Elle était sévère mais juste, elle ne fessait qu'à bon escient mais elle reconnaissait bien volontiers qu'elle éprouvait un réel plaisir à déculotter et à punir son mari malgré ses 40 ans et son statut de responsable dans une banque. Elle avait découvert avec le temps le plaisir de le féminiser, la carrure fine et longiligne d'Hervé, son absence de pilosité facilitait les choses, aussi dès qu'il rentrait de son travail si elle avait quelque chose à lui reprocher, il devait revêtir une tenue de soubrette avant de recevoir une fessée déculottée. Elle avait remarqué que sa virilité n'en était pas affectée, bien au contraire. Il se montrait un excellent amant après une sévère correction. Mais très souvent Christine ne lui faisait pas ce plaisir et il finissait la soirée au coin, les mains sur la tête sans possibilité de compenser la douleur par une petite satisfaction sexuelle.
« C'est pour des retards répétés sans justification professionnelle »
qu'elle lui avait annoncé une punition exemplaire qui avait commencé par l'achat
des fameuses culottes à fessée.
Elle dégrafa le pantalon de son mari et le fit tomber sur
ses pieds, sans ménagement elle le fit pivoter.
- oh mais c'est parfait, Aurélie t'a déjà fait mettre la culotte
à fessée et bien c'est parfait te voilà prêt, enlève-moi ce pantalon et en piste.
Comme il en avait l'habitude, Hervé plia soigneusement son
pantalon, le déposa sur une chaise et se présenta devant son épouse. Elle avait
pris place sur le canapé et tapotait ses cuisses pour lui signifier l'endroit où
elle le voulait, ce n'était pas une surprise pour Hervé la position lui était familière.
Il se coucha docilement en travers des cuisses de Christine.
- cette jolie culotte rose te va parfaitement mon chéri, alors
voyons un peu si c'est vraiment pratique.
Elle tira sur les pressions qui maintenait le fond et les
fesses apparurent immédiatement, encore un peu rosées de la fessée d'Aurélie.
- oh, la, la, mais c'est super, ah on a reçu une petite fessée,
Aurélie a fait panpan cucul ?
Hervé ne répondait pas, il était habitué aux petites humiliations
de son épouse, mais il avait été mortifié d'être fessé comme un gamin par la jeune
assistante, Christine lui avait déjà administré une fessée en public à l'institut
lors de l'achat du martinet mais il n'avait jamais été fessé par une autre personne.
Soudain la brûlure sur ses fesses lui rappela douloureusement sa condition, il était
fesses à l'air sur les genoux de sa femme et celle-ci se livrait à une de ses activités
favorites l'administration à son mari d'une bonne fessée déculottée. En quelques
secondes Hervé était redevenu un gamin pleurant sur les genoux de sa mère ou de
son institutrice, ses jambes n'étaient pas entravées par le pantalon ou la culotte
donc elle pouvait battre l'air sans retenue. Christine habituée à fesser sans ménagement
le maintenaient fermement par la taille. Le fessier était maintenant incandescent,
en fesseuse virtuose, Christine par une simple fessée manuelle sans l'aide d'aucun
instrument pouvait obtenir un résultat remarquable. Maintenant Hervé sanglotait
sur ses genoux, implorant le pardon, la main allait et venait, claquant maintenant
le haut des cuisses.
- ah mon petit ami, tu vas les regretter tes retards, je t'avais
prévenu, oh tu peux pleurer, maman Christine n'en a pas encore fini avec tes fesses,
oui ça brûle, je sais, c'est fait pour ça la fessée, encore quelques claques et
ton petit derrière sera cuit à point, la... Voilà...
La fessée s'était arrêtée mais pas la brûlure qui lui envahissait
tout le bas du dos. Il était habitué aux sévères corrections de son épouse, mais
celle-ci comptait parmi les plus intenses, la vue des fesses justes découvertes
par l'absence du fond de la culotte était très suggestif et Christine émoustillée
par le spectacle s'en était donnée à cœur joie. Elle glissa sa main entre les cuisses
de son mari pour trouver la pression qui maintenait encore le fond de la culotte
puis l'ayant trouvée elle tira sans ménagement dessus et le morceau de tissu qui
habituellement masquait les fesses fut enlevé.
- maintenant tu files au coin, tes fesses sont ravissantes
avec cette culotte sans fond, il faut les exposer.
Quelques instants plus tard, le cadre bancaire n'était plus
qu'un sale gosse, nez au mur, mains sur la tête exposant son derrière cuisant.
Satisfaite du résultat, elle prit son téléphone, elle jouissait
du spectacle de soumission de son mari et elle savait ajouter des touches d'humiliation
en faisant partager le spectacle par téléphone.
Elle commença par appeler l'institut.
- bonjour Aurélie, je voulais vous féliciter pour vos culottes,
c'est vraiment parfait, pour une fessée rapide, il n'y a rien de mieux, et puis
là, une fois le fond enlevé, les fesses sont toujours à disposition, je suis vraiment
ravie.
Elle appela ensuite sa mère, Irène était au courant des rapports
particuliers de sa fille avec son mari, elle avait été un peu surprise au début.
Bien sûr elle avait administré des fessées à Christine pendant son enfance et même
jusqu'à l'adolescence mais c’étaient des simples fessées punitives, rapide et pas
trop sévère qui ne donnait lieu à aucune mise en scène. Elle avait découvert qu'on
pouvait donner la fessée pour punir mais aussi y prendre un certain plaisir et elle
qui avait connu un mariage raté s'était dit que peut-être que si elle avait utilisé
la fessée, son ex n'aurait pas sombré dans l'alcool.
Christine lui raconta par le menu, la punition d'Hervé et
lui décrivit le spectacle qu'il offrait maintenant. Par la même occasion elle l'invita
à prendre le thé, Hervé grimaça, il savait que la venue de sa belle-mère signifiait
à coup sûr une fessée déculottée publique.
II resta au coin pendant 1 heure puis Christine l'autorisa
à se rhabiller, elle ne lui remit pas le fond de la culotte et comme c'était souvent
le cas après une fessée, elle lui fit mettre une jupe pour avoir plus facilement
ses fesses à disposition. Elle le regarda en souriant.
- tu es très mignon, mon petit chéri, une vraie petite soubrette,
tu vas nous préparer le repas.
Hervé était habitué, à la maison il s'occupait des tâches
ménagères, ça ne le gênait pas mais le problème c'est que Christine se comportait
comme une maîtresse de maison du 19ème siècle, elle corrigeait sa soubrette de façon
traditionnelle, à savoir la fessée déculottée.
Juste avant de passer à table elle l'appela, elle avait à
la main le cadeau d'Aurélie à savoir Mademoiselle Tapecul, cette redoutable raquette
en cuir de la taille d'une fesse.
- mon petit chéri, tu as bien travaillé, je vais t'offrir
un apéritif.
Elle posa son pied sur un tabouret et sans ménagement elle
bascula son mari sur sa cuisse horizontale, elle était sportive et Hervé n'était
pas bien lourd, elle n'eut aucun problème pour le maintenir en équilibre, les pieds
décollés du sol et les fesses bien tendues juste à bonne distance de sa main. Le
cadeau d'Aurélie se montra tout de suite très efficace, Hervé se mit à battre des
jambes et à pleurer très rapidement sous la brûlure de l'instrument punitif.
- mais c'est qu'elle claque bien cette Mademoiselle Tapecul,
oh, la, la tes fesses sont magnifiques mon petit ami, oui je sais ça brûle, ça fait
mal, mais la prochaine fois que tu voudras être en retard tu réfléchiras.
Satisfaite du résultat, un fessier à nouveau rouge très foncé,
elle cessa la punition, elle ne le relâcha pas tout de suite, le laissant dans cette
position humiliante, tête plus basse que les fesses, jambes pendant dans le vide.
Elle caressa les fesses brûlantes.
- ça va te chauffer un moment, tu vas penser à ta fessée pendant
tout le repas.
Enfin elle libéra Hervé de son inconfortable position. La
jupe retomba dissimulant le derrière écarlate.
Christine se mit à rire en voyant son mari se trémousser sur
sa chaise pour essayer de calmer la douleur, puis comme il ne se calmait pas.
- cesse ces simagrées, si tu continues, tu es privé de repas
et je te renvoie au coin les fesses à l'air.
Cette menace qui se serait sans doute accompagné d'une fessée
supplémentaire eut pour effet de calmer Hervé.
Le repas terminé, le petit mari ayant débarrassé la table,
Christine lui indiqua un prie dieu qui était contre le mur.
- tu places monsieur confesse au milieu de la pièce et tu
te mets en position.
Elle avait trouvé ce prie dieu dans une brocante et l'idée
lui avait immédiatement traversé l'esprit, elle voyait bien son mari à genoux, déculotté,
les avant-bras posé sur le dossier, lui présentant ses fesses bien tendues. Elle
avait mis en place une procédure à chaque fois qu'elle jugeait que son mari avait
fait une bêtise, elle lui imposait une séance de confession de ses fautes fesses
à l'air. Au besoin elle stimulait sa mémoire avec l'aide d'une longue règle plate
en bois.
Une fois Hervé agenouillé, elle retroussa la jupe sur les
reins et la coinça dans la ceinture, le fond de la culotte à fessée enlevé, il ne
fut pas nécessaire de baisser la culotte, le fessier de son mari lui apparut dans
toute sa splendeur rougeoyante.
- bien tu connais le principe, tu vas me raconter par le menu
ta visite à l'institut ce matin et tâche de ne rien oublier, si tu as besoin d'aide
ma règle est à la disposition de tes fesses.
Après quelques coups de règle bien appliqué sur les fesses
tendues, Hervé livra un récit complet de son essayage de la culotte, de la fessée
administrée par Aurélie et de son séjour au coin en compagnie de Caroline.
- et bien je pense que ça t’aura servi de leçon, si tu n'es
pas sage, je te renverrai voir Mademoiselle Aurélie. Tu vas rester là un moment,
on réfléchit beaucoup mieux cul nu. Elle prit un magazine et se plongea dans sa
lecture levant de temps en temps les yeux pour surveiller son mari agenouillé sur
le prie dieu lui exposant ses fesses dénudées. Après 1/4 h de pénitence elle l'autorisa
à se relever et lui permis de baisser sa jupe.
- tu es libre jusqu'à l'arrivée de maman, tu nous serviras
le thé, elle est toujours ravie quand tu fais la soubrette.
Quand Irène sonna, Christine envoya Hervé l'accueillir, elle
sourit en voyant son gendre féminisé, elle en avait maintenant pris l'habitude et
elle avait même avoué à sa fille que c'était assez plaisant.
- bonjour, jeune dame, vous êtes très mignonne, Hervé rougit
jusqu'aux oreilles, Christine en rajouta en riant.
- et tu n'as pas tout vu, Hervé viens ici !
Résigné, son mari s'approcha, elle le fit pivoter et rapidement
lui troussa la jupe. Les fesses nues d'Hervé apparurent.
- oh mais c'est nouveau, où as-tu trouvé ça ?
Christine lui expliqua rapidement, Irène avait entendu parler
de l'institut de madame Rose depuis qu'elle s'intéressait à la fessée. Elle s'approcha
pour apprécier l'ingéniosité du sous vêtement.
- et bien avec ça le derrière est rapidement à disposition.
Christine avait relâché la jupe et Hervé avait retrouvé un
peu de décence.
- tu nous sers le thé mon chéri.
Hervé était un peu inquiet, il savait qu'à la moindre erreur
il n'échapperait pas à une bonne fessée, elle ne serait pas déculottée comme d'habitude
mais ce serait quand même une fessée cul nu.
Les deux dames papotaient tranquillement au salon, le sujet
principal était bien sûr la fessée déculottée. Hervé arriva portant le plateau,
il n'était pas trop à l'aise mais il réussit quand même à le poser sur la table
sans rien renverser. C'est en servant Irène qu'il commit la faute attendue par les
deux spectatrices, il laissa tomber quelques gouttes de thé sur la table. Christine
saisit immédiatement l'occasion.
- quel maladroit ! Tu as failli brûler maman et en plus tu
tâches la table, essuie-moi ça en vitesse !
Hervé conscient de ce qui allait lui arriver, s'excusa en
rougissant. Christine se tourna vers sa mère.
- puisque c'est toi qui as subi sa maladresse, tu n'as qu'à
te charger de le corriger.
- mais ça sera avec plaisir ma chérie, approchez un peu mon
petit ami.
Irène était ravie de l'occasion qui lui était donnée de fesser
son gendre. Hervé, résigné se présenta devant sa belle-mère, celle-ci était maintenant
habituée à donner cette correction enfantine à un adulte. Elle coucha ce monsieur
de 40 ans sur ses genoux et lui retroussa la jupe, les fesses nues apparurent immédiatement.
- c'est vrai que c'est pratique mais j'avoue préférer découvrir
une culotte et avoir le plaisir de la baisser.
Elle caressa la peau des fesses qui était encore rosée des
multiples fessées reçues depuis ce matin. Hervé malgré son habitude des punitions
était rouge de honte de devoir présenter ses fesses nues à une autre personne que
son épouse. Il les serrait pour préserver un peu sa pudeur. Irène maintenant les
tapotaient.
- détendez-vous mon petit. Il a vraiment des fesses ravissantes,
on voit que tu t'en occupes.
Puis soudain la fessée débuta, Irène voulait montrer à sa
fille qu'elle aussi savait donner de sévère fessée, une avalanche de claques s'abattait
sur le derrière du pauvre Hervé qui ne put retenir ses cris puis ses larmes sous
la cuisson qui lui embrasait la croupe. En quelques instants les deux hémisphères
eurent retrouvé leur belle couleur rouge carmin. Comme elle avait vu Christine procéder,
elle garda son gendre allongé dans cette position humiliante pendant quelques instants,
le temps que les pleurs s'atténuent. Puis elle le fit se relever, Christine applaudi
en souriant
- bravo maman, c'était une belle fessée, je crois qu'Hervé
va s'en souvenir. Approche un peu que je vois ça de plus près, tiens ta jupe qu'on
voie bien tes jolies petites fesses.
Hervé, les joues rouges et couvertes de larmes s'exécuta docilement,
il tenait sa jupe retroussée et tendait son fessier à son épouse. Celle-ci se leva
et lui saisit l'oreille.
- voilà ce qui arrive aux maladroits, tu vas aller réfléchir
au coin pendant qu'on déguste notre thé et ne t'avise pas de bouger !
Elle avait coincé le bas de la jupe dans la ceinture pour
bien dégager la croupe écarlate, Hervé dut mettre ses mains sur la tête comme un
écolier puni.
Et comme si de rien n'était les deux dames continuèrent leur
conversation sans se soucier du monsieur exposant une paire de fesses déculottées
portant les stigmates d'une sévère correction. C'était pourtant un spectacle insolite,
Hervé tout à la brûlure de son fessier ne se rendait pas compte de l'incongruité
de la situation.
Irène jeta un coup d'œil vers le coin de la pièce.
- c'est vrai qu'Hervé a été un peu maladroit mais je trouve
qu'il a fait des progrès, j'organise un dîner avec des amies demain soir, tu me
le prêterais pour faire le service ?
- aucun problème maman, c'est avec plaisir, je pense que Hervé
sera ravi de te rendre ce petit service.
Puis avec un sourire malicieux elle ajouta.
- je suppose que tu le veux habillé en soubrette ? Je lui
ai acheté un costume qui lui va à ravir. Je te l'envoie quand ?
Irène suggéra que ce serait mieux si Hervé venait dès le matin
pour se familiariser à son travail.
Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.
Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invitésEt celui-ci comporte un épisode précédent
Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 18
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Et il y a une suite...
... la semaine prochaine, c'est assez probable.
Et toujours les commentaires
Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.
Bravo Sylvie, vous inaugurez, je crois, un nouveau genre. Bravo, ça promet de belles aventures..
RépondreSupprimerMerci Caroline, mais rassurez vous les fesses des dames ne seront pas épargnées si vous voyez ce que je veux dire.
SupprimerAmicalement. Sylvie
J'adore ce cette série de récits.
RépondreSupprimerC'est très bien écrit et Hervé a bien de la chance.
C'est vous qui le dites mon cher, ses fesses ne sont pas d'accord avec vous.
SupprimerSylvie