La suite du forfait grosse bêtise d'Elodie.
Elodie avait passé une
matinée assez désagréable, ses fesses douloureuses, le plug qui lui rappelait sa
présence à chaque mouvement et surtout la perspective du retour à l'institut lors
de la pause de midi avec une nouvelle fessée déculottée et certainement quelques
humiliations dont Aurélie avait le secret.
Quand arriva l'heure elle s'éclipsa discrètement,
elle n'avait pas envie qu'une collègue lui propose de partager sa pause, qu'aurait
pu elle lui répondre. Elle arriva à l'institut avec une boule au ventre, il n'y
avait qu'une seule cliente à attendre, elle fut un peu rassurée, sa fessée ne serait
vue que par une personne. Mais Aurélie entra dans la pièce en tenant un monsieur
par l'oreille, des larmes coulaient sur ses joues, signe d'une bonne fessée, la
couleur de ses fesses qu'elle aperçut au passage confirma sa première impression.
Aurélie lui fit mettre les mains sur la tête mais ne le conduisit pas au coin comme
c'était l'habitude.
- vous irez au coin
tout à l'heure, pour le moment, vous allez assister à la punition de ces deux péronnelles,
une fessée déculottée en public, rien de mieux pour éduquer les dames.
Les deux dames en question
se regardèrent affolée, recevoir une fessée déculottée à l'âge adulte c'était déjà
dur, en public c'était encore plus humiliant mais que ce public soit masculin ça
devenait insurmontable. Pourtant c'est ce qui allait arriver et pour son malheur
c'est Elodie qui fut désignée pour recevoir en premier la fessée. Aurélie s'était
installée confortablement sur une chaise en plein milieu de la pièce et avec son
sourire malicieux et un tantinet pervers elle appela Elodie.
- à nous deux mademoiselle,
c'est l'heure de payer votre grosse bêtise.
Pétrifiée sur place,
Elodie ne bougea pas, ce qui eut le don d'agacer Aurélie.
- mademoiselle n'a pas
l'air de se rendre compte qu'elle va recevoir deux fessées au lieu d'une si je me
répète !
Elodie fit un pas mais
s'arrêta aussitôt.
- bien, vous recevrez
donc une deuxième fessée avant de repartir au travail. Je pense que vous ne voulez
pas que je prolonge également d'un jour votre forfait, 4 jours avec le plug ça risque
d'être long.
Elodie vaincue s'approcha
enfin des genoux d'Aurélie. Celle-ci la bascula immédiatement en position disciplinaire.
- ce n'était pas bien
difficile, c'est dommage, vous auriez pu vous éviter une fessée supplémentaire.
Elle retroussa largement
la jupe sur les reins, la culotte à fessée apparu moulant parfaitement le derrière
bien rebondi de la jeune femme, d'un geste sec elle dégrafa les pressions de la
ceinture puis sa main s'insinua entre les cuisses pour atteindre la dernière, Elodie
les serra dans un réflexe, Aurélie passablement agacée par les manières de sa punie,
lui claqua immédiatement une dizaine de fois la croupe.
- mademoiselle, je commence
à en avoir assez de vos désobéissance successives je pense que vous allez le regretter
! Écartez-moi vos cuisses et vite !
Elodie avait crié sous
la brûlure des claques, elle desserra ses cuisses, Aurélie y passa la main et ayant
dégrafé la dernière pression retira le fond de la culotte rose. Elle prit une brosse
à cheveux et calmement se mit à administrer une volée de coups sur les fesses exposées.
La violence de la punition fit hurler la pauvre Elodie, effectivement elle regrettait
amèrement ses petits gestes de rébellion, maintenant elle n'était plus qu'une pauvre
petite fille recevant une fessée mémorable, en quelques instants les fesses étaient
redevenues écarlates, Aurélie ne cessait de faire aller et venir sa brosse alternant
la fesse gauche puis la droite et ainsi de suite, Elodie ruait sur les genoux mais
Aurélie avait une grande habitude des fessées administrées à des adultes et elle
la tenait fermement par la taille. La correction dura un temps qui parut une éternité
à Elodie, elle pleurait maintenant à chaudes larmes, Aurélie voulait marquer le
coup, elle administrait rarement des fessées aussi sévère, les deux fesses serrées
sous la cuisson ne formait plus qu'une boule rouge, jugeant enfin que la leçon serait
profitable elle cessa la fessée.
- j'espère que vous
avez compris, à la prochaine incartade, je rajoute une journée à votre forfait.
Maintenant debout et main sur la tête, vous allez assister à la fessée de madame
De Nouvel et ensuite au coin.
La prochaine punie avait
sursauté en entendant son nom, certes elle était une habituée des lieux et ses fesses
étaient connues car très souvent exposées écarlates au coin de la pièce mais à chaque
annonce d'une fessée elle redevenait une gamine prise en faute. Elle allait à nouveau
recevoir une fessée publique, que les deux personnes qui allaient assister à son
châtiment aient les fesses rouges n'étaient qu'une maigre consolation. Instruite
par la magistrale fessée que venait de recevoir Elodie, elle ne fit aucune difficulté
pour se coucher en travers des cuisses de la jeune assistante. Elle était retombée
en enfance son élégante jupe n'était plus une protection puisqu'elle était retroussée
sa culotte en dentelle glissait maintenant sur ses fesses. Quelques traces plus
sombres barrait le fessier contracté signe d'une correction à la canne. Aurélie
passa la main sur les fesses qui frissonnèrent.
- la punition de madame
Rose vous a laissé quelques traces, qu'en a pensé votre mère, je suppose qu'elle
a inspecté vos fesses en arrivant.
Madame De Nouvel était
au comble de l'humiliation, se retrouver déculottée sur les genoux d'une jeune femme
était déjà difficile mais que tout le monde sache qu'à 60 ans elle devait montrer
le résultat de ses punitions à sa mère comme une mauvaise élève rentrant du collège.
Aurélie imaginait le
spectacle de cette bourgeoise hautaine obligée de trousser sa jupe et de baisser
sa culotte devant sa mère âgée de 85 ans assise dans un fauteuil et explorant d'un
regard sévère la croupe de sa fille très rouge et barrée des traits plus sombre
de la canne. Mais pour le moment elle avait devant elle le fessier blanc de sa punie,
les quelques marques résiduelles n'étaient pas un obstacle à l'application d'une
bonne correction. Au lendemain d'une fessée avec un instrument dur laissant quelques
traces, il fallait utiliser quelque chose de plus souple, la main pouvait faire
l'affaire mais Aurélie savait que la baronne avait besoin de fessée sévère, elle
opta donc pour la petite raquette en cuir appelée "mademoiselle Tapecul"
c'était un redoutable instrument qui brûlait instantanément et durablement les fessiers
mis à sa disposition mais ne laissait aucune trace disgracieuses. La fessée fut
plus courte que celle d'Elodie mais les fesses de madame De Nouvel avaient très
bonne mine quand Aurélie la remis sur ses pieds. Maintenant c'était trois puni avec
des fesses également rougies qui étaient devant elle.
- maintenant au coin,
le nez au mur et les mains sur la tête !
L'ordre avait claqué,
ils étaient tous des habitués des lieux et ils trouvèrent rapidement leur place,
les jupes des deux dames furent épinglées dans le dos, le monsieur n'avait plus
de pantalon, les trois fessiers écarlates éclairaient la pièce. Satisfaite Aurélie
regagna son bureau d'où elle pouvait surveiller les trois punis. Le silence régnait
dans la pièce, Elodie moins habituée et ayant reçu la plus sévère des fessées, sanglotait
doucement, la brûlure qui envahissait ses fesses étaient intolérable mais elle ne
pouvait pas l'atténuer en les frottant, elle se contentait donc de les contacter
convulsivement, elle en aurait presque oublié le plug qui lui garnissait encore
le derrière, après 3/4h d'exposition les fessiers avaient perdu un peu de leur couleur,
Aurélie les fit quitter leur coin et permis à Hugues et à Élisabeth De Nouvel de
se reculotter, ce qu'ils firent avec empressement. Elodie était maintenant la seule
à avoir les fesses dénudées, elle avait gardé ses mains sur la tête, elle était
un peu inquiète de la suite des événements. Elle fut rapidement mise au courant
de ce qui l'attendait.
- mademoiselle je vous
avais promis une deuxième fessée en cas de désobéissance et bien il est l'heure
de la recevoir, vous avez de la chance vous aurez deux spectateurs pour assister
à la danse de vos fesses. Venez ici et vite, vous savez ce qu'il en coûte d'hésiter.
Elodie était effondrée,
l'humiliation la submergeait depuis ce matin mais là on atteignait le summum. Elle
allait recevoir à nouveau une fessée déculottée à 25 ans, punie comme une gamine
mais en plus devant deux personnes qui n'étaient plus des punis mais seulement des
spectateurs. Cependant la crainte d'une punition encore plus sévère eut raison de
sa pudeur et elle s'approcha de sa jeune maîtresse. Celle-ci voulait vaincre définitivement
la fierté d'Elodie aussi décida-t-elle d'utiliser la position à l'écolière qui faisait
retomber les adultes en enfance. Son pied posé sur un tabouret elle bascula la jeune
femme sur sa cuisse horizontale et la souleva de terre, cette position très inconfortable
où les pieds pendaient dans le vide obligeait la punie à se cramponner au tabouret
et laissait ses fesses à la disposition de la fesseuse. Aurélie avait pris mademoiselle
claquefesse et elle commença la correction, Elodie croyait avoir reçu sa plus sévère
fessée tout à l'heure mais c'était une erreur celle-ci lui fut supérieure. La pauvre
Elodie regrettait amèrement ses ébats avec Sophie, elle suppliait Aurélie d'arrêter
la punition mais c'était peine perdue, la jeune assistante n'était pas mécontente
de punir cette petite mijaurée. Les deux spectateurs étaient ravis du spectacle,
ils avaient l'habitude tous les deux d'être dans la position d'Elodie et c'était
une nouveauté pour eux de voir des fesses rougir et gigoter sous les claques de
la raquette percée. La fessée était arrivée à son terme, Elodie pleurait toujours
en équilibre sur la cuisse d'Aurélie. Elle la remit sur pied.
- j'espère que cela
va vous servir de leçon, vous allez avoir du mal à vous asseoir cet après-midi mademoiselle,
voulez-vous que je vous fasse un mot pour votre responsable.
Elle avait dit ça en
souriant, Elodie ne répondit pas. Mais elle devinait la scène, en arrivant à son
bureau, les yeux rougis tendant un papier à Laure sa responsable "vous voudrez
bien excuser Elodie pour son retard et lui permettre de travailler debout, en effet
elle a reçu deux fessées très sévères qui l'empêche de rester assise", elle
s'imagina Laure souriante lui demander de trousser sa jupe et de se déculotter pour
vérifier l'état de ses fesses. Heureusement ce n'était qu'un mauvais rêve, mais
elle eut vraiment du mal à rester assise pendant le début de l'après-midi.
Le soir c'était madame
Rose qui l'accueilli, il n'y avait personne au secrétariat, mais le bureau de la
responsable était ouvert et on entendait distinctement résonner les claquements
d'une main sur la peau nue et les supplications d'une dame entrecoupés de ses cris
de douleur. Madame Rose administrait une fessée à Sophie, elle avait vu arriver
Elodie, elle arrêta un moment la punition de son assistante pour s'adresser à Elodie.
- j'en ai pour un instant
et je suis à vous, baissez votre culotte et mettez-vous au coin en tenant votre
jupe levée.
Elle avait prononcé
cette phrase d'un ton égal, comme s’il était naturel pour une dame d'aller exposer
son derrière déculotté au coin dès son arrivée. La fessée de Sophie avait repris,
madame Rose utilisait maintenant la brosse à cheveux.
- vous pouvez pleurer
mademoiselle, mais c'est le tarif prévu pour votre conduite inqualifiable, d'ailleurs
votre acolyte est là et rassurez-vous elle va être bientôt à votre place. Ainsi
Elodie payait elle aussi leurs ébats amoureux et fessophile. Quand madame Rose la
relâcha ses yeux étaient embués de larmes et sa croupe écarlate resplendissait dans
le bureau. Madame Rose lui coinça la jupe dans la ceinture, sa culotte était descendue
jusqu'à ses genoux.
- mains sur la tête,
vilaine fille, vous allez maintenant assister à la dernière fessée de la journée
de votre complice de débauche.
Elodie avait écouté
la fin de la fessée de son amante et l'annonce de sa propre fessée, elle se doutait
bien que celle-ci allait être sévère. Elle ne fut pas déçue, madame Rose lui administra
d'abord une bonne fessée déculottée classique allongée en travers de ses genoux
puis après l'avoir fait agenouiller sur un fauteuil fesses bien tendues elle prit
le martinet et lui appliqua une cinquantaine de coups qui la firent hurler de douleur.
Son fessier était très sensible de toute les fessées reçues et ces deux fessées
avaient parachevé le tableau.
- voilà une bonne journée
pour vos fesses mademoiselle, venez ici que je vous enlève ce plug.
Elle coucha à nouveau
Elodie sur ses cuisses et lui écarta les fesses, la jeune femme instruite par les
multiples punitions reçues se laissa faire, elle sentit les doigts de la sévère
maîtresse ouvrir sa raie fessière, frôler son intimité et le plug sortit lentement.
C'était un soulagement qui lui faisait un peu oublier la cuisson de ses fesses.
Madame Rose maintenant lui caressait les fesses et insinuait ses doigts entre pour
les écarter, elle parachevait la soumission de la jeune femme. Mais il s'agissait
de punir et pas de donner du plaisir aussi deux vigoureuses claques firent revenir
Elodie à la réalité.
- debout mademoiselle,
mettez-vous à côté de votre complice et tournez-vous toutes les deux que je voie
bien vos fesses. Parfait on va faire une photo de ces deux magnifiques paires de
fesses. Vous regardez bien dans la glace en face de vous qu'on reconnaisse bien
vos minois sur la photo. Ce serait dommage qu'on ne sache pas à qui appartiennent
ces superbes fessiers.
Effectivement la photo
était très parlante, les visages des deux jeunes femmes exposant leurs fesses déculottées
bien rouges étaient parfaitement visibles sur la photo, les yeux rougis attestaient
de la sévérité de la correction.
Madame Rose fit reculotter
Sophie, elle alla décrocher la culotte d'Elodie qui était suspendue depuis le matin
au secrétariat et elle la lui tendit.
- tenez mademoiselle,
vous pouvez enlever votre culotte à fessée et remettre la vôtre. Comme c'est prévu
vous allez maintenant chez Isabelle, elle vous attend pour vous prendre en charge
pendant les trois soirées de votre forfait grosse bêtise. Je serai sur comme cela
que vous n'irez pas retrouver Sophie pour vous livrer à la débauche et quelque chose
me dit qu'après ces trois jours passés chez nous, votre libido sera un peu calmée.
Elodie avait écouté
cette tirade sans mot dire, elle fit une petite grimace quand madame Rose lui remit
son carnet de punition où était noté le déroulement de la journée. Si Isabelle utilisait
les mêmes méthodes que celles qu'elle avait instaurée avec Monique, ses fesses n'avaient
pas fini de rougir. La directrice de l'institut sourit à la mimique de la jeune
femme.
- oui mademoiselle,
vous avez raison de vous inquiéter, une fessée à l'école égale une fessée à la maison....
Ne traînez pas en route, Isabelle est prévenue de votre arrivée et je ne pense pas
qu'elle tolèrerait du retard.
Quelques instants plus
tard, Elodie sonnait à la porte de la maison d'Isabelle avec son sac contenant ses
affaires à la main.
Isabelle l'accueilli
chaleureusement et lui fit une bise.
- ah voilà donc notre
jeune dévergondée, votre journée c'est bien passée. J'espère que vous n'avez pas
oublié votre carnet de punition. Elodie rougit et le tendit à Isabelle, l'accueil
chaleureux de cette dame contrastait avec ses paroles, en effet elle l'avait traitée
de dévergondée et lui avait demandé immédiatement son carnet de punition ce qui
n'augurait rien de bon. La suite inquiéta encore un peu plus Elodie, en effet Isabelle
tenant le carnet à la main l'entraina sur la terrasse et au passage demanda à sa
bonne de préparer le thé. Deux choses perturbaient Elodie, elle se doutait bien
que la lecture du carnet allait la conduire immanquablement sur les genoux d'Isabelle
mais le fait d'être en plein air et la présence de la bonne rendait la situation
très gênante. Hortense, la bonne arrivait avec le plateau juste au moment où Isabelle
commençait à froncer les sourcils à la lecture du carnet.
- et bien c'est du joli,
2 fessées le matin dont une pour difficulté à vous faire le lavement, deux à midi
dont une pour désobéissance, ça vous a servi de leçon, ce soir madame Rose ne vous
a administré que la fessée prévue... Si je compte bien ça nous fait cinq fessées,
nous n'avons pas de temps à perdre.
Hortense servait le
thé, elle souriait, habituée aux penchants de sa maîtresse elle savait que la petite
jeune femme assise devant elle n'allait pas tarder à se transformer en gamine déculottée
pleurant sur les genoux de sa patronne.
- finissez votre thé,
mademoiselle, ensuite je vais m'occuper de vos petites fesses.
Elodie rougit à nouveau
en croisant le regard de la bonne, maintenant il y avait une personne de plus qui
savait qu'elle recevait la fessée comme une gamine désobéissante. Elle but son thé
un peu difficilement, Isabelle la détaillait en souriant, en fesseuse avertie elle
avait regardé la croupe d'Elodie dès son arrivée et surtout quand elle l'avait fait
passer devant elle pour aller sur la terrasse. Les fesses de cette jeune femme lui
paraissaient être fessable, c'était son expression favorite quand elle parlait d'un
derrière féminin. Elodie posa sa tasse et regarda Isabelle, celle-ci recula sa chaise
et désigna ses genoux.
- en piste mademoiselle.
Elodie retrouva une
position qui commençait à lui devenir familière, la tête près du sol, les pieds
décollé de l'autre côté et les fesses à portée de la main d'Isabelle au sommet de
cette courbe. La fesseuse avait prévenu, il n'y avait pas de temps à perdre, donc
elle retroussa rapidement la jupe et baissa la culotte d'Elodie jusqu'à ses genoux.
Les fesses de celle-ci portaient encore les stigmates de la fessée précédente, une
rougeur assez marquée persistait, Isabelle n'en fit pas cas et elle administra à
la jeune femme une magistrale fessée. Elodie avait ressenti immédiatement une intense
brûlure et ses pleurs étaient à la hauteur de la douleur. Hortense était restée
pour regarder sa patronne opérer, elle recevait si souvent ce châtiment enfantin,
qu'Isabelle en compensation lui permettait souvent d'assister aux fessées qu'elle
administrait. Elodie fut bien sûr conduite au coin ou du moins à ce qui en faisait
office, un pilier de la terrasse, Elodie exposait ainsi ses fesses face à la pelouse
et au jardin de Sylvie. Elle se rendit compte que de nombreuses personnes pouvaient
l'apercevoir dans cette fâcheuse posture. Isabelle ne la laissa pas trop longtemps
au coin et elle la fit se rhabiller. Elle lui expliqua rapidement la suite de sa
soirée, il lui restait 4 fessées à recevoir, elle lui en donnerait donc une avant
le repas et une après et une autre encore avant de se coucher. Elle lui gardait
la cinquième pour le lendemain matin afin de préserver l'état de son fessier. Elodie
frissonna en entendant ce programme qui promettait d'être cuisant. Il se déroula
à la lettre, Elodie mangea avec la culotte baissée aux genoux, les fesses nues et
brûlantes directement posées sur la paille de la chaise. Ces dandinements pour atténuer
la cuisson firent sourire Hortense qui servait le repas.
Isabelle s'installa
dans le canapé et après avoir à nouveau fessé la jeune femme, lui écarta les fesses.
- c'est bien ce que
je pensais, le plug toute la journée ça irrite, Hortense amenez moi la crème et
le suppo. Elodie frémit en entendant ces derniers mots. L'horreur quand elle était
gamine c'était quand sa mère lui mettait un suppositoire et il était question qu'à
25 ans Isabelle se charge de lui administrer ce médicament. Elle serra les fesses,
ce qui lui valut une dizaine de claques sur chaque fesses.
Hortense revenait avec
le tube de crème et la boîte de suppo.
- il va falloir vous
laisser faire ma petite sinon vos fesses vont en payer le prix.
Vaincue, les fesses
brûlantes, Elodie laissa Isabelle tapisser sa raie fessière et son anus d'une crème
apaisante, puis tenant bien écartées les deux hémisphères elle posa le suppositoire
sur l'anus et le fit pénétrer lentement. Ce viol fut une humiliation terrible pour
Elodie, c'était bien moins gros que le plug mais l'administration d'un suppositoire
dans cette position la ramenait vraiment au rang de gamine. Elle pleurait doucement,
Isabelle resserra les fesses.
- voilà c'est fini,
ce n'était pas si terrible, mais il vous faut bien serrer les fesses, je ne veux
pas le voir ressortir.
Au comble de la honte
Elodie s'aperçut que la bonne était restée et avait assistée de bout en bout à l'introduction
du suppositoire. Isabelle ne l'envoya pas au coin jugeant la punition suffisante.
Quand vint l'heure du coucher, Elodie les fesses encore sensibles de toutes les
fessées reçues se prépara à recevoir la dernière mais elle n'était pas au bout de
ses surprises. Elle s'était mise en pyjama mais elle avait gardé sa culotte, Isabelle
assise au bout du lit la mit dans la position classique la déculotta et lui administra
une fessée rapide mais vigoureuse. Puis elle lui demanda si elle avait bien fait
pipi. Devant la mine surprise de la jeune femme elle ajouta
- il le faut car cette
nuit ça sera impossible.
Le regard interrogateur
d'Elodie la fit sourire.
- vous êtes une dévergondée
mademoiselle, je ne voudrais pas que cette nuit vos doigts s'égare aussi je vais
utiliser une méthode ancienne, je vais vous mettre de l'éosine sur les doigts, si
vous touchez votre culotte pour vous caresser, elle sera marquée de rouge et je
le saurai, votre punition sera exemplaire. Donc pas de pipi la nuit non plus.
Elodie était abasourdie,
elle se leva et se rendit aux toilettes. Quand elle revint, Isabelle fit comme elle
l'avait annoncé et ensuite elle baissa à nouveau la culotte de la jeune femme pour
y placer une protection intime.
- si par hasard, vous
ne pouviez pas vous retenir, je ne voudrais pas que vous mouilliez vos draps.
Elodie semblait revenir
en enfance.
La nuit se passa bien
et le matin très tôt, Isabelle la réveilla. Puis elle l’attendit à la cuisine, Hortense
préparait le petit déjeuner. Elle la fit venir devant elle et d'un geste vif elle
baissa le pyjama et la culotte, elle passa son doigt sur la protection, elle était
humide, elle la fit tourner et passa sa main sur ses fesses et entre ses cuisses,
elle ressorti ses doigts légèrement mouillé.
- mademoiselle à fait
pipi dans sa culotte ! Et bien vous allez voir ce qui arrive aux petites sales.
Elle saisit l'oreille
d'Elodie et lui laissant la culotte descendue elle l'entraina dans la salle de bain,
elle lui fit retirer complètement son bas de pyjama et sa culotte et enjamber la
baignoire puis prenant la pomme de douche après avoir réglé l'eau sur froid, elle
dirigea le jet d'eau sur le pubis de la jeune femme, elle cria de surprise.
- tournez-vous et présentez-moi
vos fesses, vite.
Elodie s'exécuta tout
en sautillant dans la baignoire.
- chez moi, les gamines
qui font pipi à la culotte, je leur lave les fesses à l'eau froide, il n'y a que
ça de vrai.
Puis elle fit sortir
Elodie de la baignoire s'assit sur un tabouret, plaça une serviette sur ses genoux
et bascula la jeune femme dessus.
- et une bonne fessée
pour les sécher ça complète la leçon.
Elodie hurla sous la
brûlure, c'était sa première fessée mouillée, et ça cuisait beaucoup plus.
Quand elle fut remise
sur pied la chaleur dégagée par la fessée avait complètement séché la peau. Elle
jeta un œil dans la glace elles étaient écarlates. Isabelle la ramena à la cuisine,
toujours nue de la taille au pied, elle la fit asseoir ainsi pour déjeuner sous
l'œil intéressé d'Hortense.
Il lui restait encore
une fessée avant de partir pour l'institut retrouver Aurélie.
La journée s'annonçait
longue et cuisante.
Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.
Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités
Et celui-ci comporte un épisode précédent
Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 20
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Et il y a une suite...
... la semaine prochaine, peur-être.
Et toujours les commentaires
Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerVoici un institut où il ne fait pas bon désobéir. Les fessées s'enchaînent à la vitesse de l'éclair. Au moins, Madame Rose sait tenir son personnel et la discipline règne en maître.
Le plug anal durant quelque temps, histoire qu'en marchant, il se rappelle au bon souvenir de son porteur.
Le lavage à l'eau froide est excellent pour la peau. Ca raffermit les chairs. C'est un excellent moyen pour que la personne se retiennent jusqu'au matin. Un nettoyage à l'eau froide sur les parties intimes surprend...
Amitiés.
Elena.
J'attend avec ferveur les nouvelles aventures de l'institut de Madame Rose. C'est un très beau récit.
RépondreSupprimerBonjour à tout le monde, je venais aux nouvelles de Mme Rose et de sa fine équipe ! J'espère que les fesseuses et les fessées se portent bien. Cela fait quelques temps que nous n'avons pas pu lire leurs nouvelles aventures. J'espère pouvoir compter sur leurs nouveaux cuisants exploits !
RépondreSupprimerBonjour,
SupprimerJe pense que Sylvie va reprendre son récit, mais je n'ai pas d'indication pour vous dire quand...
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour gladys, je suis très touchée par vos encouragements à me remettre au travail, j'aurais peut-être moi aussi besoin d'une bonne fessée pour m'y remettre.
SupprimerMais c'est entendu je vais bientôt envoyer de nouveaux récits.
Sylvie
Bonjour à tous les lecteurs, je venais aux nouvelles de Sylvie. Les fesses des punis(es) de l'institut de Mme Rose ne risquent-elles pas de prendre froid depuis le temps que personne ne s'en occupe . J'espère que Mme Rose, Sophie, Aurélie, Elodie, Mme Dumon et toutes les autres fesseuses vont pouvoir reprendre rapidement leur travail.
RépondreSupprimerBonjour Sylvie, je suis une lectrice assidue de vos récits, mais je ne vois toujours pas venir une suite pour Madame Rose. Auriez-vous toujours besoin d'une bonne fessée pour vous y remettre ? Je suis décidée à vous donner des encouragements, mais faudra t-il qu'ils soient claquants ?
RépondreSupprimerAu plaisir
Gladys