« A ton tour, jeune fille ! »
Jeune fille ? Aurélie n’avait pas vraiment l’impression d’être tellement plus jeune que celle qui venait l’inviter à la rejoindre pour recevoir sa fessée. Oui, mais elle avait tout de même le droit de la corriger. Aucun doute sur cette question. Aurélie avança vers la policière. Elle ne le voulait pas, mais que faire d’autre ?
Ce
n’était pas simple pour Aurélie. Elle connaissait Marjorie depuis qu’elles
étaient toutes petites. Elles avaient fréquenté les mêmes classes depuis la
maternelle et, durant les dernières années de lycées, elles avaient fait partie
du même groupe d’amis. Il y avait eu quelques fâcheries d’adolescentes entre
elles deux, rien de grave et elles s’étaient toujours appréciées, comme deux
filles très différentes mais assez complémentaires : Aurélie la première
de la classe et Aurélie celle qui ne s’en laissait pas compter, même s’il
fallait aller à l’affrontement physique avec les garçons.
« Approche ! »
Tirée
par le bras, Aurélie fit les deux derniers pas en un saut. Marjorie voulait
montrer quel niveau d’obéissance elle attendait de son ancienne condisciple.
Elle souleva le bas de la jupe en glissant ses mains vers la culotte.
« Mais
Marjorie… non, s'il te plait !
–
Je ne veux pas t’entendre ! Ce n’est pas l’ancienne amie qui va te donner
une fessée déculottée, mais la policière municipale. Je te conseille de ne pas
l’oublier ! »
Aurélie
hocha la tête. Evidemment, leur relations ne pouvaient plus se placer sur un
plan d’égalité. Elles appartenaient maintenant à deux groupes très
différents : celles qui donnaient la fessée et ceux qui la recevaient.
Elle sentit que sa culotte descendait et un petit courant d’air froid passa sur
ses fesses nues. Elle n’eut plus le temps de réfléchir à ce qui lui arrivait et
comment gagner encore un peu de temps avant que la correction ne commence.
Fermement,
la policière coucha Aurélie sur ses genoux. Elle glissa sa main sous la jupe et
elle la remonta le long des cuisses, puis des fesses pour retrousser la jupe.
« Bien
qu’elle ait plus de trente ans, ses fesses ressemblent bigrement à celles des
jeunes filles que je fesse habituellement. »
Cette
constatation fit s’envoler les dernières réticences qu’elle avait à fesser son
amie. Elle ne faisait que son devoir, comme elle le faisait habituellement. Il
n’y avait aucune raison qu’Aurélie bénéficie d’un traitement de faveur. Elle
abattit sa main sur les fesses qui s’étaient couvertes de chair de poule.
Aurélie cria et elle crispa tous ces muscles, mais sans chercher à quitter les
genoux sur lesquels elle était punie.
Cette
réaction conforta Marjorie dans la certitude qu’elle avait fait le bon choix.
Aurélie n’avait rien de différents des jeunes gens qu’elle corrigeait. Elle fit
tomber sa main sur l’autre fesse. Aurélie cria de nouveau, mais sa plainte fut
écourtée par la main qui claqua de nouveau les fesses.
La
fessée se poursuivit. L’attention de Marjorie était centrée sur l’efficacité de
ce qu’elle faisait. C’était important d’ôter définitivement ; à Aurélie,
l’envie de recommencer. Quand elle se lèverait des genoux sur lesquels elle
gisait, il fallait qu’elle ait une nouvelle vision de l’obligation de respecter
les règles définies par la loi.
« Comme
elle est plus âgée que mes habituels punis, je dois sans doute appuyer mes
claques un peu plus fort. Marjorie frappa un peu plus fort.
« Ce
n’est parce que c’est une fille, qu’il faut que je sois plus
clémente ! »
Elle
y mit toutes ses forces et toute son application et cela se vit aux réactions
d’Aurélie. Celle-ci dansait maintenant sur les genoux de sa correctrice et si
ce n’étaient ses cris particulièrement dissonants, cela aurait pu passer pour
un ballet moderne.
Marjorie
continua tant qu’elle en eut la force. Son bras finit par fatiguer et sa paume
devenait incandescente.
« Bon,
je crois que ça suffit pour le moment, se dit-elle ! »
Aurélie
éclata en sanglot dès qu’elle comprit que la fessée était terminée. Elle n’en
avait pas eu le loisir jusqu’à maintenant, tant la fessée avait été rude. Elle était
restée le plus souvent en apnée, retenant sa respiration pour absorber la
cuisson que Marjorie dispensait généreusement sur ses fesses. Cela ne lui avait
pas permis d’extérioriser ses sentiments, mais le barrage avait rompu, dès que
la correction lui en laissa le temps.
Elle
resta allongée sur les genoux de la policière, le corps secoué des spasmes
provoqués par ses pleurs.
«
Pas tant de comédie, lui intima sa mère ! Tu as reçu la fessée que tu as
méritée ! »
Aurélie
sentit la main de sa correctrice se poser sur le sommet de ses fesses, puis
dessiner des petits cercles sur la peau enflammée. Cela lui fit du bien, pas
tant physiquement que psychologiquement. Grâce à la caresse sur ses fesses,
elle sentait la compassion de la policière et cela la rasséréna. Pas un instant
elle ne songea à elle comme une ancienne condisciple. Non, elle représentait
maintenant la loi et elle avait été punie de l’avoir outrepassée. Les genoux
sur lesquels elle se tenait à plat ventre et la main qui l’avait si rudement fessée,
n’en avaient été que l’instrument. Justice avait été faite.
«
Va te mettre au coin, ordonna sa mère ! Nous avons encore à discuter de
votre désobéissance de ce matin. La punition de Marjorie, c’était pour être
sortis sans l’attestation. Il reste à régler la question de votre fugue. Je
n’ai pas l’intention que vous recommenciez ! »
Aurélie,
à petits pas pressés, se dirigea vers le coin où elle avait ses habitudes.
« Evidemment,
se dit-elle, je ne comptais pas m’en tirer à si bon compte. »
Elle
prit la position que sa mère attendait. C’était toujours la même, celle que
Philippe, dans son coin, avait également prise.
« Madame
le Maire, vous avez fait du bon travail. Ils sont très obéissants ! En
trois jours, c’est remarquable ! »
Marjorie
savait apprécier l’autorité que sa patronne avait sur sa fille et son gendre.
Elle avait pu constater, à plusieurs reprises, qu’il n’en était pas ainsi dans
toutes les maisons du village. Dans bien des endroits, les parents, les
compagnes ou plus généralement ceux ou plus souvent celles, qui avaient la
tutelle sur les jeunes gens dont elles s’occupaient, devaient faire un ferme
usage de leur ascendance sur leur pupille, pour les faire obéir quand il était
question de punition, surtout quand cela se passait en public. Cela ne
suffisait pas toujours.
La
plupart de ceux qu’il s’agissait de punir n’appréciaient pas leur nouvelle
condition. Les premières fois, cela se traduisait très souvent par des
protestations indignées, des appels à leur âge censé les protéger d’une fessée
déculottée, à leur condition d’adulte et à leur pudeur bafouée.
Certains
déculottages s’étaient révélés sportifs quand les pupilles avaient décidé de ne
pas se soumettre aux injonctions de leur tutrice. Les faibles résistances
avaient été le plus souvent ignorées mais les oppositions les plus fortes
avaient demandé des mesures plus fermes.
Les
mises au coin aussi s’étaient souvent révélées problématiques, surtout quand le
puni devait s’en acquitter devant témoins. Marjorie avait été appelées plus
d’une fois pour prêter main forte à l’un deux et elle s’acquittait de sa tâche
avec zèle, ne laissant jamais l’un de ses jeunes gens s’en tirer sans une
monumentale fessée, en paiement du déplacement qu’elle avait dû faire en raison
de leur désobéissance.
Habituellement,
une seule intervention de la policière municipale suffisait pour mettre fin aux
oppositions des récalcitrants. La menace de faire de nouveau appel à elle
suffisait pour faire plier les personnes qui avaient besoin d’une fessée. Ils
se soumettaient de mauvaise grâce à une nouvelle punition, mais ils ne
prenaient pas le risque de provoquer une seconde immixtion de Marjorie dans
leur régime disciplinaire.
Assez
rarement, il avait fallu un deuxième déplacement. Marjorie avait alors utilisé
son ceinturon et administré la fessée déculottée en extérieur et les punis avaient
dû s’y tenir un long moment en pénitence. Puis ils avaient dû aller demander
pardon à leur tutrice qui leur avaient administré une nouvelle correction sur
le champ.
Une
seule fois, il avait été nécessaire d’aller plus loin. La fessée domestique
qu’il avait reçue à cette occasion n’avait pas soldé sa désobéissance. Il avait
été convoqué dans les locaux municipaux tous les soirs pendant une semaine. Sur
le trottoir, il avait reçu la fessée chacun de ces sept jours, puis, les fesses
nues, il avait dû patienter au piquet, attendant l’autorisation de se
reculotter et de rentrer chez lui. Il n’avait pu compter le nombre de personnes
qu’il connaissait qui avaient assisté à au moins l’une de ses punitions. Il se
l’était tenu pour dit et acceptait maintenant, sans tergiverser, les
corrections de sa tutrice, y compris quand elles se déroulaient dans un lieu
public.
Chez
Madame le Maire, rien de tel. Quand Marjorie retourna à ses affaires, Aurélie
et Philippe se tenaient chacun dans leur coin, montrant leurs fesses encore
rougies de la fessée qu’ils venaient de recevoir.
« J’espère,
Marjorie, que la prochaine fois que vous prendrez l’un de ces deux-là en faute,
vous n’attendrez pas mon autorisation pour le déculotter et le fesser, où que
vous soyez !
–
Je vous le promets, Madame le Maire. Ce sera fait. »
Maman
Marianne avait vaqué à ses obligations pendant un long moment sans s’occuper
des deux punis en pénitence. Quand elle était arrivée, Madame Bernadette avait
grondé. Philippe et Aurélie avaient serré les fesses, craignant une nouvelle
correction, mais cela n’avait pas été plus loin.
« Venez
ici, tous les deux ! »
Sur
la table, il y avait deux couteaux de cuisine que Maman Marianne désignait.
« Vous
allez me couper deux baguettes dans le noisetier. »
Aurélie
devint toute blanche. Elle savait ce que cela voulait dire.
« Je
vois Aurélie que tu te souviens de leur destination. Tu montreras à Philippe
quelle badine il faut choisir. Je pense que tu t’en rappelles. »
Aurélie
s’en rappelait, oui. Comment oublier ? Mais elle ne trouvait rien à dire.
La bêtise qu’ils avaient commise ce matin demandait une réaction ferme. Avec la
baguette, elle le serait. Aurélie le savait, par expérience.
« Allez !
Filez ! Je veux vous voir de retour ici dans moins de deux minutes !
Si vous n’êtes pas revenus à temps, il y aura une double dose pour celui qui
arrivera en retard ! »
Deux
minutes pour se rendre au fond du jardin et en revenir avec la démarche entravée
par une culotte baissée, il n’y avait pas de temps à perdre. Aurélie marcha
vers la porte aussi rapidement qu’elle le pouvait. Philippe, sentant l’urgence
de la situation lui emboita le pas. Il eut une courte hésitation quand il fallu
franchir le seuil pour se retrouver dehors.
« Aurélie !
Ta culotte ! N’importe qui peut voir tes fesses !
–
Je sais, mais tu ferais mieux de te dépêcher ! »
Aurélie
avait pris quatre ou cinq mètres d’avance. Elle ne faisait pas du tout
attention aux éventuels passant sur la route qui ne pourraient pourtant pas la
manquer.
« Tu
n’as pas encore compris que d’être les fesses nues là où des gens peuvent nous
voir est le cadet des soucis de Maman ? Cela t’arrivera très souvent. Tu
ferais mieux de t’y habituer et de te dépêcher de me suivre. A moins que tu ne
veuilles une double dose de la baguette, mais je ne te le conseille pas. »
Philippe
en réfléchit pas plus d’une seconde. Aurélie parlait avec clairvoyance. Il
fallait se faire une raison. Il soupira. Ce n’était pas la première fois qu’il
se retrouverait les fesses nues dans un lieu où des personnes qu’il ne
connaissait pas pouvaient l’apercevoir. Chez sa belle-mère, cela n’avait rien
d’incongru ni d’indécent, malgré son âge. Il se hâta de rattraper sa compagne,
sans tourner le regard vers la route. Advienne que pourra !
Il
y eut deux voitures qui passèrent, le temps qu’ils arrivent à l’autre bout du
jardin. Elles ne freinèrent pas du tout, bien qu’elles ne pussent manquer de
voir les deux adultes qui se hâtaient de leur démarche hésitante, les fesses à
l’air. Monsieur Antoine était dans son jardin. Il les aperçut par-dessus la
haie.
« Tiens,
dit-il, il y a de la baguette dans l’air. Pas étonnant après vos exploits de ce
matin ! »
Une
dame qui se rendait à pieds au village fit une pause devant la barrière.
« Bonjour !
Dites-moi, Monsieur Antoine, c’est vous qui vous apprêtez à les fesser. Car il
y a bien une fessée en préparation, je me trompe ?
–
Bonjour, Madame Moreau. Vous ne vous trompez pas, mais ce n’est pas moi qui
vais sévir. C’est Madame le Maire !
–
Ah oui, j’ai entendu dire que la petite Aurélie était de retour et qu’elle
avait emmené son conjoint. Il parait que Madame le Maire a repris ses bonnes
vielles habitudes pour tenir sa fille dans le droit chemin et que son gendre
profite du même traitement. Je vois que c’est bien le cas !
–
Ce qui est sûr, c’est que ces deux-là vont avoir les fesses striées pour toute
lajournée ! »
Aurélie
ignorait la présence de la dame. Elle avait tout juste ralenti le pas pour lui
adresser un « bonjour Madame » rapide avant de reprendre sa marche
vers sa destination. Philippe n’avait pas eu cette présence d’esprit.
« Dis-moi,
mon garçon, l’apostropha Monsieur Antoine, tu ne sais pas dire bonjour ?
Tu sais que les garçons impolis reçoivent la fessée, ici ! Veux-tu que je
demande à Madame Moreau de te la donner elle-même ?
–
Oh non, Monsieur Antoine, Pardon ! Bonjour Madame ! Excusez-moi, je
ne voulais pas être impoli. Je… je … la surprise…
–
Ça ira pour cette fois, mon garçon, mais que je ne t’y reprenne pas !
Allez file ! Je crois que tu es attendu ! »
La
conversation reprit quelques minutes avec Monsieur Antoine, sans que ni l’un ni
l’autre ne fît plus attention à Aurélie et à Philippe qui se pressaient vers le
fond du jardin.
Aurélie
avait guidé Philippe dans le choix de sa baguette pendant qu’elle en coupait
une pour elle.
« Bien
droite, avait-elle dit. Longue comme ça, en écartant les mains de quelques
dizaines de centimètres. Pas de nœuds, avait-elle précisé et grosse comme mon
petit doigt ! »
Il
n’y avait pas encore de feuilles. Ce n’était pas encore la saison.
« Mais
c’est pour quoi faire ?
–
Tu es bête ou quoi ? Maman va te donner la fessée avec la baguette que tu
es en train de couper. Je peux t’assurer que ça ne fait pas du bien. Je parie
qu’après, tu n’auras plus envie de partir sans son autorisation. »
Bien
sûr, Philippe avait compris ce qui l’attendait, mais il avait besoin de se
l’entendre dire par sa compagne pour en palper la réalité. Il serra les fesses.
Il ne pouvait éviter la punition qui l’attendait. Elle l’effrayait rien que d’y
penser. Il grommela pour toute réponse.
Aurélie
attendit que Philippe eût trouvé ce qui correspondait à ses indications, puis
ils firent le chemin inverse.
Maman
Marianne les attendait derrière la porte à travers des vitres de laquelle elle
avait surveillé leur périple. Elle avait apprécié leur empressement à revenir
vers elles tout en sachant ce qui les y attendait/
« Montre-moi
ça ! »
Elle
prit la baguette des mains d’Aurélie et elle la fit siffler dans l’air.
« Parfait !
Exactement ce qu’il te faut pour te faire passer l’envie de fuguer !
Donne-moi la tienne ! »
Elle
fit le même geste avec celle de Philippe qu’avec celle d’Aurélie. Elle hocha de
la tête en signe d’approbation, puis elle rendit son instrument punitif à son
gendre.
« Je
vais commencer par Aurélie, comme ça tu sauras ce qui t’attend ! »
Elle
attrapa sa fille par le bras et elle l’emmena vers un tabouret bas sur lequel
elle posa son pied. Aurélie dut se courber sur la cuisse qui était maintenant à
l’horizontal. Maman Marianne passa son bras entre les jambes de sa fille et
elle la hissa un peu plus haut. Les pieds d’Aurélie ne touchaient plus le sol
et ses bras pendaient dans le vide. Elle posa une main sur le mollet de sa
mère. Elle senti que la jupe était replacée sur son dos. Elle crispa ses fesses,
attendant la douleur dont elle avait gardé le souvenir. Le temps ne l’avait pas
édulcoré.
La
baguette siffla et son élan s’acheva sur les fesses d’Aurélie. La jeune femme
rua, arquant son corps et tétanisant ses muscles, se plaçant brièvement à
l’horizontal, puis retombant dans sa position de départ. Aurélie hurla. Elle
n’était restée en position que grâce à la poigne de sa mère qui la maintenait
en équilibre sur sa cuisse.
La
baguette retomba une deuxième fois. Maman Marianne n’avait pas diminué la
vitesse avec laquelle elle avait appliqué la badine sur les fesses de sa fille.
Deux longs traits rouges barraient maintenant les fesses d’Aurélie. Cela ne contenta
pas Marianne. Aurélie avait besoin d’une correction bien plus sévère.
La
baguette siffla de nouveau, dessinant un troisième trait qui croisa les deux
premiers. Aurélie se raidit de nouveau. Ensuite, elle n’en eut plus la
possibilité. Le rythme auquel sa mère abattait la baguette sur ses fesses ne
lui en laissait pas le temps. Elle eut l’impression que la correction n’allait
jamais cesser. Elle ne se débattait pas vraiment, mais ses mouvements
involontaires étaient si erratiques que sa mère était obligée de la maintenir
en place. Une main encerclant la taille le permettait sans trop de difficulté.
Il fallait juste amortir les gestes les plus vifs.
« Est-ce
toi qui a eu la géniale idée de cette excursion matinale ?
–
Non, Maman, non, c’est pas moi !
–
En es-tu certaine ?
–
Oui, Maman, oui ! C’est Philippe ! Il m’a obligé. J’ai dû le suivre.
–
Et toi, tête de linotte, tu n’as pas réfléchi plus loin que le bout de ton
nez ? »
La
baguette vint confirmer le jugement de Marianne sur le comportement de sa
fille.
« Je
vais voir cela avec Philippe tout de suite. En attendant, je crois que le
fessée, ne serait-ce que pour avoir participé, n’a pas encore été assez
démonstrative. Continuons encore un peu ! »
Le
cri d’Aurélie n’y changea rien. La badine retrouva le chemin de ses fesses.
Quand
les fesses d’Aurélie furent presque entièrement couvertes de stries que
s’entrelaçaient, Marianne estima que la leçon donnée à sa fille était
suffisante. Elle toucha l’épiderme zébré de sa main. Un cri étouffé accompagna
ce geste. L’échauffement était parfaitement perceptible. Elle remit sa fille
sur ses pieds et elle dut la soutenir un peu afin qu’elle retrouve son
équilibre.
Les
yeux embrumés par les larmes, Aurélie resta immobile auprès de sa mère.
Philippe,
mais aussi de désespoir de savoir que sa correction n’était pas encore achevée
et qu’elle allait, au contraire, entrer dans une phase très douloureuse.
Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !
Et le précédent : le chapitre 22
Bjr JLG,
RépondreSupprimerje vois que les fesses de 2 citadins sont de plus en plus connus dans le village , bientôt un tour au village et reconnus ?
Au plaisir de vous lire
Cher lecteur anonyme,
SupprimerVous le saurez en lisant les prochains épisodes...selon la formule consacrée.
Au plaisir de vous lire
JLG.
Bonjour JLG. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerDevoir être fessée, parce qu'on l'a mérité, par une ancienne camarade de classe devenue gendarme, quelle redoutable épreuve! De même, être contraints, pour nos deux coupables d'aller se choisir, les fesses à l'air, les badines qui vont servir à les punir, au risque d'être vus de la rue, quel périlleux exercice! Vous rendez remarquablement bien compte du climat de cette scène. On a le sentiment d'y assister.
Amicalement.
François