Avec les récentes découvertes d’élèves qui possèdent et tiennent à jour des fiches sur d’autres élèves et sur les professeurs, Fabienne D. se montre intraitable. Elle convoque ces élèves au conseil de discipline, en pleine semaine de rentrée, rendue compliquée avec le confinement et les mesures qui doivent être prises pour assurer la sécurité du personnel.
Dans notre section de mastère, onze étudiants, se sentant coupables et démasqués, sont angoissés à l’idée de passer en conseil de discipline, car ils ont encore en tête les corrections exemplaires d’Andréa et moi, qui ont eu lieu il y a très peu de temps et ils se voient déjà tous attachés, nus, devant tout le monde, en train de se faire corriger par les deux religieuses de notre établissement, responsables de l’application de la discipline. Ce qui les effraie et ils s’en veulent de n’avoir pas fait plus attention.
De
notre côté, nous soufflons, car Olga, Iourievna et moi, faisons aussi des
fiches sur les élèves et sur les professeurs. Par contre, nous n’avons pas été
démarquées. Ce qui nous amuse, c’est de prendre des notes sur les élèves qui se
font corriger et de comparer les attitudes et courage des punis puis de fil en
aiguille, ce jeu de notation s’est propagé aux autres élèves et au corps
enseignant, avec des commentaires personnels sur tout le monde, ce qui est
formellement interdit.
Le
conseil de discipline se réunira le Mercredi soir et tous les professeurs des
sections des incriminés jugeront les actes de leurs élèves.
Le
fameux Mercredi soir, après les cours de la journée, les premiers à passer sont
les secondes puis premières puis terminales. Les élèves étant mineurs, le
conseil de discipline les exclus pour quelques jours avec un rapport sur leur
dossier scolaire, ce qui fait toujours mauvais effet pour le passage dans les
classes supérieures. Par contre, les parents de ses élèves peuvent sévir et
infliger des punitions corporelles, s’ils le souhaitent, ce qui arrivera dans
la majorité des cas. Pour les cas les plus graves, la fessée sera donnée dans
le bureau de la proviseure en présence des parents, du délégué de classe et du
professeur principal de l’élève puni.
Pour
les élèves de BTS et les mastères, les élèves étant majeurs, s’il devait y
avoir punition corporelle, elle serait donnée devant les autres élèves, pour
les obliger à réfléchir à leurs actes.
Léa
amène au conseil les onze étudiants de notre section de mastère. Pour tenter de
brouiller les pistes, Léa réconforte ses camarades tout en espérant qu’ils
prendront le maximum. Elle-même sera jurée et elle n’en épargnera aucun.
« Allez les mecs et
les meufs, courage ! Au pire ce sera un pan-pan cul-cul et ce sera
terminé, faites pas cette tête » dit
faussement Léa, qui souhaite énormément plus que ce qu’elle annonce.
« Ça se voit qu’c’est
pas toi qui va devoir être les fesses à l’air et humiliée devant tout le monde
! » rétorque Tiphanie.
« Ouais, j’sais bien,
mais r’garde Elena, elle s’en est pris une sévère, complétement à poil en plus,
et elle en est pas morte ! J’dirais même que ça lui a fait du bien...
Elle réfléchira plus le prochain coup » tente de se justifier Léa.
Lorsque
tout le monde est en salle, c’est la proviseure qui ouvre la séance pour
les sections mastères :
« Messieurs,
Mesdemoiselles, je suppose que vous savez pourquoi vous vous trouvez ici, ce
soir ? »
Les
étudiants acquiescent, connaissant la raison de leur présence en ces lieux.
« Mademoiselle Emma
D. et Monsieur Clément G. ! Approchez-vous ! »
Les
deux étudiants se détachent du groupe et la tête basse arrivent près de leurs
professeurs.
« N’ayant pas de
preuves formelles de votre implication dans cette histoire de fichage, aucune
sanction ne sera retenue contre vous pour cette fois, mais faites attention,
car nous vous avons particulièrement à l’œil et toute autre suspicion sera
sanctionnée. Avez-vous compris ? »
« Oui, Madame » répondent Emma et Clément, qui respirent
mieux d’un seul coup.
« Vous pouvez
partir ! Quant aux autres, nous allons étudier votre cas »
Les
différents fichiers ont été étudiés et certaines remarques sur tel ou tel, sont
particulièrement salées voire salaces. Les professeurs sont choqués par
certaines annotations qui portent sur l’attitude des punis lors de leur
correction. Vulgarité et insultes sont mis en face de certains élèves ou
professeurs. Même les religieuses sont notées et pas en bien.
« Nous avons déjà
sanctionné les élèves plus jeunes que vous par des jours de mise à pied ou des
fessées en privé, mais pour vous, comme vous êtes majeurs, la sanction sera
plus sévère. Vous le savez très bien et vous n’en avez tenu aucun compte. Nous
sommes dans un établissement respectable et de tels actes sont inadmissibles. Nous
allons donc vous remettre dans le rang et vous serez à la place des punis
que vous insultez, pour que vous vous rendiez compte de ce que ça fait et on
verra votre attitude face à la correction »
Les
étudiants commencent à se rendre compte qu’ils n’échapperont pas à la punition
et que celle-ci risque d’être sévère.
Un
vote a lieu et les retours sont à quatre-vingt-quinze pour cent en faveur d’une
punition. Léa a du mal à retenir sa joie.
« Mesdemoiselles,
Messieurs, la délibération a été facile, car vous êtes tous coupables, mais à
des degrés divers : Mesdemoiselles Sixtine J., Chelsea C., Messieurs Yohan
K., Lucas C. et Thomas P., vous recevrez trente coups de canne, Mesdemoiselles Mélodie
M., Alicia G. et Lucia Q., vous recevrez vingt coups de canne et Mademoiselle Tiphanie
de M., vous recevrez dix coups de canne. En cette période assez fraiche, notre
infirmière ne permet pas la fessée dans la cour, donc elles auront lieu à la
cantine devant les autres élèves et les professeurs, à l’heure du repas et vous
resterez toute l’après-midi, les fesses à l’air, ça vous aidera à méditer »
Les
étudiants ont la mine décomposée, car les coups de canne vont les empêcher de
s’assoir durant plusieurs jours, ça, ils le savent bien.
Sixtine,
Chelsea et Alicia sont en larmes. Entre deux sanglots, elles demandent pardon
et promettent de ne plus recommencer, mais le verdict est rendu et rien ne
pourra le remettre en cause.
« Silence Mesdemoiselles,
gardez vos larmes pour votre correction, car elles vont couler, je vous en fais
la promesse ! Ah ! j’oubliais, pour Vendredi, veillez à tous
être bien épilés. Vous vous comportez comme des enfants immatures et bien, vous
leur ressemblerez aussi physiquement. A présent, partez ! la séance est
levée »
Malgré
l’ordre de se taire, Sixtine, Chelsea et Alicia insistent lourdement et tentent
coûte que coûte, d’échapper à leur correction.
« SILENCE, JE VOUS
DIS ! ! ! Puisque vous insistez, à la fin de votre correction,
Laetitia F. vous mettra sa mixture à base de camphre et de piment dans votre
anus et dans votre vagin, pour vous apprendre à être insolentes »
Les
yeux et la bouche grands ouverts, consternées par ce qu’elles entendent, les
trois jeunes femmes n’en reviennent pas d’avoir eu cette punition
supplémentaire, qu’elles trouvent disproportionnée par rapport à leurs
suppliques.
Les
neuf étudiants rentrent chez eux et sont accueillis par leurs parents qui ont
été prévenus du verdict du conseil et qui, pour certains, passent un sacré
savon à leur progéniture.
Le
restant de la semaine passe et les discussions entre étudiants tournent souvent
autour des corrections qui vont avoir lieu. Certains s’en réjouissent d’avance,
d’autres, assez rares, compatissent. Pour leur part, les punis se tiennent à
carreau.
Léa,
comme à son habitude, nous fait un rapport précis du verdict du conseil de
discipline, auquel elle a participé :
« Et en plus,
Sixtine, Chelsea et Alicia vont avoir droit à la crème chauffante dans leurs
deux trous intimes, parce qu’elles ont protesté »
« Non ! tu
plaisantes ? C’est pas possible... » réplique un étudiant
« Ben si, c’est vrai,
je te dis, elles vont s’en prendre une dose dans l’anus et une autre dans le
minou »
« Wouah ! ça
va les faire danser ça, les trois cocottes » réplique Adilson
« T’as raison,
mec ! Pourtant elles le savent qu’il faut se la fermer devant la
proviseure ! »
« Eh, visez un peu,
y’a Sixtine et Chelsea qui s’pointent »
« EH, les
filles ! vous aurez beau être à moitié à poil, vous aurez chaud au cul,
Vendredi ! J’ai hâte d’y être » ironise Augustin.
« Ferme-là, pov’
débile » réplique
Sixtine, piquée au vif.
« Par contre, toi, tu
risques pas de la fermer, Sixtine, car tu vas chanter, comme une poulette en
train pondre ! »
lui répond Augustin.
« Vas-y, lâche-nous, pov’
naze ! »
« Vous avez pas mieux
à faire que de baver sur les punis ? C’est déjà assez dur pour eux » dit Alexia, la copine de Thomas.
« Bah, comme ça, tu
pourras le réconforter ton Thomas ! Y parait qu’après une bonne fessée,
les garçons sont très performants... Il va te combler ! Tu nous diras
comment c’était ? » se
moque Megan.
« T’es vraiment une crétine,
ma pauvre ! » rétorque
Alexia.
Léa
nous fait part d’une confidence :
« Vous savez pas qui
va venir assister aux fessées de nos chers punis ? »
« Non, vas-y, raconte !
»
« Va y’avoir
Anne-Sophie C. de V., l’adjointe au Maire pour la sécurité publique et Mélissa
M., l’adjointe au Maire pour la jeunesse et l’éducation »
« Qu’est-ce qu’elles vont
v’nir foutre ici, ces deux nanas ? »
« Officiellement,
voir comment ça se passe à Ste CROIX en ce qui concerne les punitions et
officieusement, surement pour se rincer l’œil ! »
« Ah, d’accord... La Anne-Sophie
C. de V., elle a aussi intégré le conseil des mères » dit Lyana.
« Ouais, c’est
bizarre, car elle a déjà tous les films qui sont enregistrés lors des
punitions, qu’est-ce qui lui faut de plus, à celle-là ? »
« Les nobles, c’est
tous des aigris de la vie. Elle va venir pour avoir quelques frissons et mater
en direct » se
moque une étudiante.
« Eh, la
ruskof ! Dommage qu’on ait pas trouvé tes fiches, tu t’en serais encore pris
une sévère ! » Lâche
Adilson, à mon égard
Je
lui rétorque :
« T’es toujours aussi
marrant, le brésilien ou devrais-je dire la brésilienne ? » dis-je du tac au tac.
« Arrête Lena, tu vas
encore t’attirer des ennuis » m’obligeant
à me taire Olga.
Le
vendredi midi, sachant ce qui va arriver, tous les élèves se pressent à la
cantine pour avoir la meilleure place possible. Les surveillants sont obligés
de faire régner l’ordre dans les rangs, car ça aurait été une foire d’empoigne.
« Méfiez-vous, tous
les chahuteurs rejoindront les punis sur l’estrade, alors tenez-vous le pour
dit et avancez dans le calme ! »
Lorsque
les élèves sont installés, la proviseure, Fabienne D. arrive avec les deux adjointes
du Maire, à qui elle réserve des places aux premières loges...
Sur
l’estrade arrivent les neuf punis, le bas du corps nu. Les étudiants ont les
mains devant leur sexe, honteux d’être exposés devant tous les élèves réunis.
Leur visage est rouge écarlate et les filles sont en pleurs.
« Pour posséder des
fichiers sur les élèves et sur des professeurs, ces étudiants vont être fessés
à la canne devant vous. Si quelqu’un dans l’assistance possède des fichiers,
priez pour que je ne le sache jamais, car il serait corrigé sur le champ »
Les
élèves se regardent entre eux, ne sachant quoi en penser, car certains n’ont
pas la conscience tranquille.
« Mademoiselle
Tiphanie de M., veuillez-vous avancer et mettez-vous en position sur cette
table »
Mère
Jolanta et Sœur Weronika courbent Tiphanie sur la table, lui attachent les
poignets, lui écartent les cuisses et lui attachent les chevilles aux pieds de
la table. De cette façon, cuisses écartées, nous avons une vue directe sur sa
fente et sur la partie sombre de son anus découvert. Nous l’entendons qui
sanglote, consciente de ce qu’elle exhibe devant tous les élèves de
l’établissement.
« Léa, vous êtes
déléguée de classe et à ce titre avec Sœur Weronika, vous allez appliquer la
punition, toutes les deux »
Comblée,
Léa s’empresse de monter sur l’estrade et prend la canne. Tiphanie la regarde,
implorante. Léa prend conscience du pouvoir qu’elle a face aux autres élèves.
Pour elle c’est presque jouissif.
Dès
les premiers coups de canne, les deux punisseuses arrachent des cris à cette
pauvre Tiphanie qui gigote en tirant sur ses liens. Des traces très rouges se
dessinent rapidement sur ses fesses et sur le haut des cuisses. Nous voyons
Tiphanie se crisper tant elle peut, ce qui fait ouvrir et se fermer sa fente au
rythme de ses contractions frénétiques.
Lorsque
les dix coups ont été donnés, les fesses en feu, Tiphanie est détachée et elle se
relève. Elle se caresse les fesses meurtries, ce qui découvre son pubis.
« Mademoiselle de M.,
faites face à vos camarades et demandez-leur pardon pour les commentaires que
vous avez écrit sur certains »
De
façon pitoyable, entre deux sanglots, Tiphanie demande pardon aux professeurs
et aux élèves.
« Maintenant à
genoux, dos au public et les mains sur la tête »
Rendue
docile, Tiphanie s’agenouille et met ses mains sur la tête bien qu’elle
préfèrerait se masser les fesses brulantes. L’infirmière jette un œil sur l’arrière-train
de la punie et fait une moue satisfaite, signe que tout va bien.
« Mesdemoiselles
Mélodie M., Alicia G. et Lucia Q., avancez-vous. Mademoiselle Alicia G., vous
passerez en dernier, car l’infirmière vous a concocté une mixture de sa
spécialité, vous nous en direz des nouvelles ! Léa, ma Sœur, attachez
et punissez Mademoiselle Mélodie M. »
En
pleurs, Mélodie est mise en position et attachée à la table, puis elle reçoit
vingt coups de canne, qui la fond crier et gesticuler. Les traces s’incrustent
dans sa chair et laissent des trainées bouillantes. Mélodie trépigne, hurle et
tape des pieds lorsque la douleur augmente.
« Ces filles ne sont
pas très courageuses, elles piaillent comme des gamines ! Et regardez-la mouiller,
en plus ! Aucune tenue ! » fait remarquer Mélissa M.
Au
terme des vingt coups de canne, Mélodie, redoublent de larmes et tremblante,
rejoint Tiphanie, à genoux et les mains sur la tête.
Lucia
est empoignée et on la force à se mettre en position sur la table, car à la vue
des deux fessées précédentes, Lucia est angoissée à l’idée d’être dans le même
état que ses camarades.
« Si vous rechignez à
vous présenter dignement sur la table, vous recevrez cinq coups de canne
supplémentaires ! » protestent
notre proviseure pour étouffer dans l’œuf toute tentative de résistance de la
part des punis.
Lors
de sa fessée, Lucia s’agite et se débat en hurlant de douleur. Elle donne des
coups de genoux dans les pieds de table pour tenter de se dégager, mais
fermement attachée, elle ne peut se défaire de sa position.
« Décidément, elles
n’ont aucune dignité et aucune fierté, ces filles... Quel piètre spectacle
elles donnent » se
plaint Anne-Sophie C. de V.
« Vous avez raison,
mais nous apprécions les voir gigoter et geindre, ça leur fait comprendre ce
qu’est la discipline » répond
Fabienne D.
« Et pour gigoter,
ça, elles gigotent ! Ce sont les garçons qui en profitent le plus, non
mais, regardez-les se caresser ceux-là ! » remarque Anne-Sophie C. de V.
Les
fesses bien marquées et en feu, Lucia est détachée et accompagnée près de ses
camarades où on l’agenouille, les mains sur la tête, le corps secoué de longs sanglots.
A
suivre...
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Bonjour Elena,
RépondreSupprimerHola! Il y a du monde à la recevoir cette fessée! Et encore! Il est clair que tous ceux qui l'ont méritée ne l'ont pas reçue. Ce n'est peut-être que partie remise. La présence de deux personnalités "officielles" donne une ampleur inédite à la punition. Il va s'en parler dans les couloirs de la mairie et peut-être cela va-t-il donner des idées au conseil municipal... Léa est de plus en plus désinhibée et de plus en plus ravie du rôle qui lui est imparti. Même si elle s'efforce tant bien que mal de le dissimuler. D'une façon générale, les élèves ne boudent pas le plaisir qu'ils éprouvent à voir leurs camarades punis. Quitte à se scandaliser de ces comportements quand ils en sont à leur tour les victimes.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerVous avez raison, ficher tel ou tel est répréhensible par la loi. L'article de loi L1222-4 est très clair sur ce point.
Les délégués de classe n'ont pas réussi à donner tous les élèves qui s'adonnaient à ce jeu, d'où le faible nombre d'élèves punis. Sur Sept cent cinquante, ça fait peu. C'est vrai !
Les 2 officiels sont là pour superviser le tout et pour se rincer l'oeil, de surcroit. La mairie autorise les corrections à condition qu'elles soient filmées et qui puissent prouver qu'il n'y a pas eu torture des punis, juste des correction amplement méritées. C'est ce qui justifie les films réalisés lors des corrections. Le conseil des mères n'échappe pas à la règle. La mairie est très scrupuleuse sur le bon déroulement des punitions corporelles. Sans film, pas de correction possible, même dans un cadre familial. Rappelons que la fessée est interdite en France, car il pourrait y avoir dérive. Avec un film, tout est contrôlé et vérifié !
Léa a un penchant très prononcé pour le côté du corps enseignant. En sera t-elle, plus tard ?
Amitiés.
Elena.
Bravo Elena et bravo François-Fabien, vos récits me comblent et depuis que vous oeuvrez en duo, c'est encore plus palpitant et excitant. Une petite remarque, Mary P la secrétaire de direction n'avait-elle pas été condamnée à 1 mois de nudité, sauf erreur, vous n'y faites plus allusion.
RépondreSupprimerBien sympathiquement .
Serge
Bonjour Serge.
SupprimerMerci infiniment pour vos encouragements. C'est toujours plaisant à lire lorsque l'on passe des heures et des jours à écrire et c'est toujours gratifiant de discuter avec les lecteurs. Le partage passe aussi par les commentaires.
Nous nous sommes bien trouvés avec François. C'est une combinatoire intéressante, car il a des idées que je n'ai pas et ses textes ont une réelle plus value par rapport aux miens. La preuve, j'ai pris un peu de son style sur lequel je n'étais pas à l'aise au départ. On se complète bien.
Pour Mary P. ( chapitre 26 ), non, il y a juste eu une fessée à la canne, devant tous les élèves, au centre de la cour, lieu de prédilection pour les fautes graves. La pauvre Marie P. a été fessée pour rien, car les dossiers n'avaient pas été perdus, juste mal rangés par les gens du rectorat. Des injustices, il y en a partout... La faute était tellement grave qu'elle aurait pu avoir ce mois de nudité pour lui faire prendre acte de l'importance de son travail, par contre, la proviseure s'étant rendu compte de la source de l'erreur aurait, de toute façon, mis fin à cette seconde punition et Marie P. n'aurait pas fait ce mois de nudité. Dans mes textes, je tente d'appliquer des principes de base, pas juste une fessée pour une fessée, il y a aussi des bons sentiments, des moments où la personne punie est réconfortée. Ca donne un semblant de réalisme dans des textes qui ne le sont pas.
Amitiés.
Elena.
Bonjour, Serge. Et bonjour à tous.
SupprimerRavi que notre collaboration vous comble d'aise. Je sais que, pour ma part, j'éprouve beaucoup de plaisir à me connecter sur les textes d'Elena. Ce n'est pas la première fois que je me lance dans une collaboration d'écriture. Toutes les autres ont très rapidement échoué. Nos attentes n'étaient pas les mêmes ou nos univers étaient trop différents. Mais là, on se renvoie en permanence la balle. Plus on avance et plus j'éprouve une véritable jubilation d'écriture. Peut-être cela transparaît-il dans les textes eux-mêmes?
Amicalement.
François
Amis de la poésie et de la crème chauffante à boucher les trous, la, li, trous la la, trous la lère... bonjour.
RépondreSupprimerEt bien encore un fois, à Ste Croix, croise les doigts pour ne pas t'en prendre une, parce que tu ne pourras pas te servir d'une chaise pendant un bout de temps. Après de pareilles corrections, il vaut mieux se faire raconter des histoires à dormir debout! Même un voile sur les fesses devient insupportable, alors pensez donc...un drap en coton, ou une couverture en laine...
Car il s'en passe des choses pas catholiques dans cet institut qui en revendique pourtant l'appellation non contrôlée. Institut privé certes, mais pas privé de fessées!
Et serait ce la frustration du fruit défendu qui rend les soeurs aussi hargneuses, pour porter la bonne parole de notre seigneur à coup de trique sur les fesses des punis ? Quand ce n'est pas de leur tartiner le trou de balle avec de la sauce piquante ! C'est du propre! Alors, vicieuses les religieuses ? Celles là, en tout cas, c'est pas du gâteau! Comment s'étonner après qu'elles, aussi, sont notées et " pas en bien " Tiens comment ça se fait ? Ah ben elles sont toujours du côté du manche à reluquer les filles et les garçons tout nus, se tortiller sous les cinglées. Pardi! Dieu est amour, il reconnaitra les fesses des pêcheurs. Par difficile, elles sont plus rouges que les autres.
Indépendamment des fouetteuses , ce qui frappe dans cet épisode, c'est la descriptions détaillée de la vie de l'établissement avec son personnel administratif hiérarchisé et ce petit monde d'indiscipliné au derrière en ébullition sous les séances de fessées en public. On voit même des représentantes de la municipalité venir s'y rincer l'oeil.
Et tout cela est si bien documenté qu'on se demande au fil de la lecture, si Elena n'habiterait pas sur place...
Amicalement
Ramina
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerSi un jour, je venais à mourir de rire, ce serait de votre faute, tant je me gausse devant vos commentaires si riches en expressions de notre terroir. C'est un bon moment que je passe en lisant vos remarques, cher Ramina.
J'entraine mes lecteurs dans mon univers un peu particulier, celle de ma ville qui a décidé de prôner le zéro délit. Donc on y va de tout bords et pas question d'engorger les prisons, donc, la fessée comme alternative me parait pas mal. Tout est bon pour faire entendre raison à nos citoyens, élèves et étudiants en premier, car c'est dans nos écoles que commencent l'éducation, juste après le foyer maternel.
Pour le côté documentation, c'est vrai, je m'inspire de ma ville et de ma région, en effet, sans la nommer, mais mes personnages y évoluent. Ca donne à mes textes un côté réaliste. En tout cas, moi, je sais où les personnages sont lorsque j'écris. Ca me donne aussi un fil conducteur géographique tout au long de mes chapitres. Dans la mesure où je prends aussi le rôle d'Elena dans mes textes, j'intègre en quelque sorte les scènes et c'est plus immergeant. Il y aurait 2 côtés, la fiction mixé au réel. C'est ce qui fait ce monde que vous lisez.
Mais rassurez vous, ma vie en dehors de mes textes est tout à fait normale et je suis épanouie.
Amis de l'explication et de l'interprétation, bonne journée...
Amitiés.
Elena.
Re-Bonjour Elena,
RépondreSupprimerFichtre! je m'en voudrais à mort de vous faire mourir de rire ! Certains diraient que c'est une belle mort , mais finir comme ça ou écrasé sous une péniche , on s'en fiche... On est mort! Rions en !
Amicalement
Ramina