Jeudi 19 mars 2020 – 10 heures 40
On
toqua à la porte de la salle de classe.
« Entrez,
répondit la maîtresse ! »
Dans son coin, près du tableau, Philippe se raidit. Qui que ce soit qui entrait dans la pièce aurait une vue dégagée sur ses fesses dénudées. Après la fessée, il avait été envoyé au coin, sans possibilité de remonter sa culotte. Ses mains, croisées dans son dos maintenaient relevés l’arrière de sa blouse et les pans de sa chemise.
« Bonjour
Annette, j’espère que je ne dérange pas ! »
C’était
une voix inconnue, celle d’une femme. Philippe tressaillit.
« Toi,
je te conseille de rester sage et immobile dans ton coin, gronda la maîtresse.
A moins que tu ne veuilles une autre fessée tout de suite ? »
Philippe
enfonça son nez dans l’angle des murs. Il n’avait réussi rien d’autre qu’à
attirer l’attention sur lui. Si les visiteurs ne l’avaient pas remarqué avant,
maintenant c’était fait et il ne pouvait rien faire d’autre que rester en
pénitence, là où la maîtresse l’avait placé.
Cela
faisait, à son estimation, une bonne dizaine de minutes qu’il avait été mis au
coin et la leçon s’était poursuivie dans son dos. Il avait l’impression que la
maîtresse l’avait oublié, mais pas au point où il pouvait prendre des libertés
avec la position qui lui avait été ordonnée. Ses pensées en étaient venues
naturellement à sa condition d’élève. Il s’était réjoui qu’il n’y avait dans la
pièce que la maîtresse et sa compagne pour l’apercevoir dans cette position et
cette tenue infantilisantes. C’était moindre mal.
Malheureusement,
l’arrivée d’une visiteuse inconnue n’y changeait rien. La maîtresse disposait
de l’autorité suffisante pour l’obliger à rester en pénitence et, le cas
échéant, le fesser devant une inconnue. Oubliée la petite dizaine d’année de
moins que lui que la maîtresse affichait au compteur de son état civil. Des
larmes lui montèrent aux yeux. Il était justement puni et la punition irait à
son terme quelles que soient les personnes qui pénétreraient dans la classe.
Il
avait même plutôt intérêt à montrer son obéissance, certain qu’une deuxième
fessée viendrait sanctionner toute excentricité de sa part.
« Non,
non, je vous en prie, Colette, je suis au contraire ravie de vous voir. Nous
allons faire une courte pause dans cette leçon de géographie. »
Puis
se tournant vers Aurélie.
« Pendant
que je discute avec Madame Dompierre, tu apprends les deux pages que nous
allions d’étudier, ordonna la maîtresse. Je t’interrogerai dessus tout à
l’heure. »
La
visiteuse attrapa quelques chose derrière elle. Quand elle franchit la pas de
la porte, elle tirait par l’oreille un Monsieur qui devait avoir
approximativement son âge, une bonne quarantaine d’années et qui n’était
visiblement pas ravi d’être là.
« Avance,
Damien ! »
L’étrange
équipage fit quelques pas à l’intérieur de la classe.
« Annette,
je vous ai amené mon mari, avec l’espoir que vous l’accepterez dans votre
cours. »
Une
claque sur le fond du pantalon obligea ledit mari à faire encore un pas vers la
maîtresse. Il n’était plus tenu par l’oreille, mais il ne tenta pas de partir.
Il resta là, les bras ballants.
« Eh
bien, pourquoi pas ? Dites m’en plus !
–
Oh, c’est assez simple. Damien est au chômage partiel depuis avant-hier et moi
je travaille toujours, à distance. Toute la journée hier, il a été dans mes
pattes, désœuvré. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai dû m’interrompre
pour m’occuper de lui, dont deux fois pour lui donner la fessée. »
Damien
baissa la tête. Les propos de sa femme ne le mettaient pas vraiment en valeur.
Il aurait bien protesté de ce dévoilement public de leur intimité conjugale,
devant ces deux étrangers et cette gamine qui avait l’âge d’être sa fille, ou
presque.
« Les
seuls moments où j’ai eu la paix, c’est quand je l’ai mis au coin. Ce matin ça a
recommencé. La première fessée à peine levé ! Je lui ai donné une punition
à faire, histoire de l’occuper : une rédaction sur la manière dont il
devait se comporter. Quelle catastrophe ! Le résultat en a été
déprimant ! »
Madame
Dompierre regardait son mari d’un air furieux.
« C’était
à peine écrit en français. Des phrases qui ne voulaient rein dire et je ne
parle pas de l’orthographe ! Quand on pense qu’il est encore plus mauvais
en calcul, je me demande comment il a pu obtenir son DUT.
–
Vous savez, intervint la maîtresse, beaucoup d’adultes perdent leur niveau
scolaire de départ, faute de pratiquer.
–
Justement, c’est là où j’ai pensé à vous. Bernadette m’avait parlé de votre
idée de faire l’école aux adultes inoccupés. Je lui ai téléphoné ce matin pour
savoir où vous en étiez de ce projet. C’est alors qu’elle m’a appris que vous
aviez commencé à faire la classe à vos deux petits voisins ce matin. Je me suis
dit que vous auriez peut-être une place pour Damien.
–
Cela peut s’envisager, mais êtes-vous au courant des conditions ?
–
Je ne sais pas de quoi vous voulez parler.
–
Eh bien je tiens à n’avoir dans ma classe que des élèves qui viennent là pour
travailler. Je ne fais fort, alors, de leur faire faire des progrès.
–
Cela me va très bien.
–
Parfait ! En conséquence, je suis très exigeante sur le travail et la
discipline qui va avec. Comme vous pouvez le voir… »
La
maîtresse montra de la main Philippe qui patientait au coin en laissant voir
des fesses encore un peu rougies par la récente fessée qu’elle lui avait
donnée.
« …
je n’hésite pas à sévir quand je ne suis pas satisfaite que ce soit du travail
fourni ou du comportement d’un de mes élèves. En général, c’est la fessée
déculottée et elle est administrée devant toute la classe. Ainsi, les autres
profitent également de la punition en sachant ce qui leur arrivera s’ils
commettent les mêmes écarts.
–
Vous savez, Annette, si je suis là, c’est bien parce que j’ai eu connaissance
de vos méthodes. Votre mère, Bernadette, m’en a fait part et je les approuve à cent
pour cent. D’ailleurs je ne pense pas que Damien puisse faire des progrès s’il
n’est pas placé dans un système qui le contraigne et qui l’oblige, fermement si
besoin, à faire des efforts. Quant à la fessée, y compris
déculottée, vous avez dû comprendre, Annette, que j’y avais souvent recours.
Damien en a l’habitude.
–
J’avais cru comprendre, effectivement.
–
J’ai dû lui en donner une, il y a quelques minutes avant de partir, pour qu’il
accepte de me suivre jusqu’ici comme je l’avais décidé. Je ne lui passe aucun
caprice.
–
Fort bien !
–
La seule nouveauté, pour lui, ce sera la main qu’il sentira sur ses fesses.
Jusqu’à aujourd’hui, ce n’était que la mienne. Il faudra qu’il s’habitue à la
vôtre. Mais vous pouvez compter sur mon entier soutien.
–
Je tiens beaucoup à ce que les parents… enfin ceux qui détiennent l’autorité
habituelle sur mes élèves, précisa-t-elle en souriant, soient pleinement
impliqués dans le processus d’apprentissage. Il est nécessaire que les élèves
sentent qu’ils ont en face d’eux des adultes cohérents et travaillant dans la
même direction. Je n’accepterai pas un enfant… je veux dire un élève dont le
tuteur ne soit pas pleinement convaincu de l’efficacité de la fessée dans
l’arsenal éducatif.
–
Pas de souci de mon côté. Au contraire ! Les fessées que Damien recevra à
l’école seront doublées à la maison. J’espère bien que vous serez sévère et que
cela permettra à Damien de faire de rapides progrès.
–
Restera à régler la question de sa tenue. Un pantalon long, comme cela, ne me
semble pas adapté pour ma classe. »
La
maîtresse donna quelques explications sur la tenue qu’elle recommandait.
« Pantalon
court de couleur bleu, bretelles, chemise blanche et cravate, blouse bleue, je
crois que j’ai ce qu’il faut à la maison. Dès demain, c’est possible !
–
Je vois que nous sommes sur la même ligne. Je ne vois donc pas de difficulté à
admettre dans ma classe Monsieur Dom… je vais plutôt dire Damien puisqu’il doit
devenir l’un de mes élèves, n’est-ce pas mon garçon ? »
Damien
leva à peine la tête. Il ne répondit rien. Une claque sur les fesses vint
sanctionner cette impolitesse.
« Annette
t’a posé une question, faut-il que j’insiste encore pour que tu lui
répondre ? »
Damien
regarda furtivement sa femme. Elle irait jusqu’au bout. Il le savait, mais il
n’y tenait pas.
« Oui…
euh…
–
Appelle-moi maîtresse, comme tous mes élèves !
–
Oui maîtresse. »
Madame
Dompierre approuva d’un hochement de tête. Elle avait le sentiment d’avoir pris
une décision pertinente. Ici, Damien serait en de bonnes mains.
« Je
vous propose donc d’admettre Damien dans ma classe, si mes conditions vous
conviennent.
–
J’en suis très heureuse, mais faut-il que je participe aux frais ? C’est
possible, ce serait naturel.
–
Voyez cela avec Madame Marianne. C’est elle qui a financé mon initiative, mais
je ne crois pas qu’il y aura de difficulté. Me laissez-vous Damien dès
maintenant ? Le plus tôt sera le mieux.
–
C’est convenu. Je reviendrai le chercher à midi. Bon travail à
tous ! »
Damien
faillit protester, mais il se retint à temps.
« Va
t’assoir là, Damien ! Tu vas commencer par remplir ton carnet de
correspondance. »
Damien
prit place, mais il se débrouillait pour montrer son désaccord en traînant des
pieds. Tout son langage corporel indiquait sa mauvaise volonté à se retrouver,
malgré lui, dans cette situation. Il prit le carnet que lui tendait la
maîtresse, mais d’un geste brusque.
« Je
te conseille de te calmer Damien ! Autrement, je vais m’en
charger ! »
Il
regarda la maîtresse dans les yeux et il y lut sa détermination qui n’était pas
sans lui rappeler celle de sa compagne. Il décida de se montrer plus discret.
« Tu
recopies exactement, avec les éléments qui te concernent, ce que Philippe a
écrit sur son carnet. Tu me montreras cela quand tu auras fini. »
Elle
revint vers Aurélie.
« Voyons
ce que tu as retenu de ta lecture. »
La
panique gagna Aurélie. Elle n’avait rien lu des pages qu’elle devait étudier.
La scène qui s’était déroulé sous ses yeux avait accaparé toute son attention
et elle avait oublié que la maîtresse lui avait donné du travail à faire. Elle
jeta un œil désespéré sur son livre, tachant de glaner rapidement les quelques
informations qui lui permettraient de répondre aux questions qui n’allaient pas
manquer de venir. Le manuel disparut de sous ses yeux.
« Alors,
cite-moi cinq affluents de la Loire ;
–
Euh… de la Loire… eh bien… le Cher… et puis… la Saône… et… l’Eure… La Mayenne…
et…la Dordogne ?
–
Hum, je vois. Deux sur cinq ! Pas terrible. Une autre question pour te
rattraper : où prend-elle sa source ?
–
Sa source ?
–
Oui, c’est bien la question que je t’ai posée.
–
Dans la Massif central ? »
Elle
se rappelait vaguement un carte où ce fleuve provenait du centre de la France.
Cela ne pouvait être que dans ce massif montagneux.
« C’est
bien dans le massif central, mais où plus exactement ? »
Aurélie
chercha désespérément le nom d’un sommet dans cet ensemble montagneux.
« Le
Puy de Dôme, cria-t-elle triomphalement ! »
C’était
le seul nom qui lui était revenu. La maîtresse fit une grimace.
« Une
dernière question pour être certaine : as-tu une idée de la longueur de ce
fleuve ?
–
La longueur ?
–
Cesse de répéter mes questions et réponds-y !
–
Oui, maîtresse ! Euh… trois cents kilomètres ? »
Cela
lui sembla déjà bigrement long, pour un fleuve.
« C’est
bien ce que je pensais. Tu n’as pas lu une ligne de ces deux
pages ! »
La
maîtresse prit Aurélie par le bras et elle l’amena au milieu de l’allée qui
séparait les deux rangées de tables. Elle coinça la jeune femme sous son coude,
puis elle retroussa la blouse et la jupe, mettant en évidence la culotte
blanche que sa mère lui avait mise. D‘un geste ferme, elle la baissa et
l’abandonna quand elle fut descendue sur les mollets de la jeune femme. Elle
raffermit alors sa prise sur la taille d’Aurélie dont les fesses étaient maintenant
tournées vers le pupitre de Damien.
« Tu
vas me copier cinq fois ces deux pages sur la Loire. Puis tu souligneras les
bonnes réponses aux questions que je t’ai posées. Demain, je t’interrogerai de
nouveau sur cette leçon. Tu seras punie pour toute mauvaise réponse. Mais
auparavant… »
La
main de la maîtresse tomba sur les fesses nues. Une fois à gauche, puis la
suivante à droite. Puis elle recommença. Cela résonnait dans la pièce et le
léger écho laissait à penser qu’à chaque fois Aurélie recevait deux fessées.
Ses cris devinrent désespérés, mais la maîtresse jugea que la correction
n’avait pas encore fait son effet. Il fallait poursuivre.
Damien
était positionné à moins de deux mètres des fesses d’Aurélie. Il avait ressenti
une évidente excitation quand la maîtresse avait déculotté la jeune femme
devant lui. Il avait bien pensé recevoir la fessée selon les informations que
sa femme et la maîtresse avaient échangé, mais il n’avait pas imaginé que
d’autres en recevraient devant lui. C’est pourtant ce qui se passait.
La
première phase de surprise passée, il fut impressionné par l’énergie qui
émanait de la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il reconnaissait, dans les
plaintes et les gesticulations d’Aurélie, ses propres comportements quand Colette
le fessait. La rigueur de la correction qui se déroulait sous son regard,
n’avait rien à envier, semblait-il, à celle que qu’obtenait sa compagne.
Les
fesses rougissaient à vue d’œil. Il n’avait pas vraiment eu le temps de
s’imaginer ce que pourrait être une fessée donnée par la maîtresse, mais il
savait maintenant que ce serait une punition à prendre en compte.
De
plus, si ses deux condisciples, garçon comme fille, avaient été déculottés
publiquement, il prenait conscience qu’il n’y avait aucune chance que cela lui
fût épargné. C’était nouveau pour lui. Jusqu’alors, Colette ne l’avait corrigé
qu’en privé. Le pire qui lui était arrivé, c’était quand il avait été corrigé
dans la chambre alors que des invités se trouvaient dans le séjour. Un couloir
et une porte fermée protégeaient son intimité. Quand il était revenu après
avoir fait disparaître les traces de ses larmes, nul n’avait fait de remarque,
ni ne lui avait jeté de regard interrogateur. Il en avait déduit qu’aucun de
ses amis ne s’était douté de la nature du traitement qu’il venait de recevoir.
A l’école, visiblement, il n’en serait pas de même.
Il
se vit à la place de la jeune femme, persuadé que cela lui arriverait tôt ou
tard s’il se laissait faire. C’était apparemment le cas d’Aurélie. Elle ne
faisait aucun effort pour se libérer. Il n’en faisait pas plus quand c’était
Colette qui sévissait, mais une aussi jeune fille… lui donner une fessée
déculottée et devant les autres élèves… Oserait-il résister ? Que dirait
sa compagne si la maîtresse se plaignait de son comportement ? Il
connaissait sa réaction. Cela lui donnerait-il l’énergie nécessaire pour se
soumettre à la punition de la maîtresse ?
Toute
son trouble provoqué par la nudité des formes féminines sous ses yeux avait
disparu. La fessée l’avait ramené à sa propre condition d’élève soumis à
l’autorité de sa nouvelle institutrice. Il ressentait maintenant, presque
physiquement, l’impact des claques sur la peau nue. Il se mettait à la place de
sa camarade et cela n’avait rien d’amusant de recevoir une telle fessée.
Enfin,
la fessée arriva à son terme. La maîtresse remonta la culotte sur des fesses
écarlates, puis elle relâcha Aurélie qui ne prit pas la peine de rajuster sa
tenue. Sa jupe et sa blouse n’avaient pas tout à fait repris leur position de départ,
d’autant plus qu’Aurélie les soulevaient en frottant ses fesses à travers sa
culotte qu’elle laissait voir sans sembler y accorder de l’importance, comme si
elle était seule dans la pièce.
« Laisse
tes fesses tranquilles et retourne à ta place ! Tu peux commencer à copier
les pages que tu as à apprendre ! »
Aurélie
se dépêcha d’obéir. Des larmes roulaient encore le long de sa joue.
Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !
Et le précédent : le chapitre 25
Bravo pour le récit déculottage fessée en blouse dans salle de classe à l'ancienne comme j'ai connu l'humiliation d'être traiter comme un écolier d'autrefois
RépondreSupprimerVivement la suite
Amis de la poésie et des fessées en cours de rattrapage scolaire pour mari au chômage partiel... Bonjour! Bonjour JLG.
RépondreSupprimerAh Ah, il fallait la trouver celle là... C'est fait, et c'est drôle.
Madame ne sait plus quoi faire de son mari désœuvré, qu'elle a "dans les pattes" toute la journée à la maison comme un gamin en manque d'activité. Alors après deux ou trois fessées, c'est retour à l'école pour révisions des connaissances et occuper le gamin adulte !
Evidement, Annette, la maîtresse, pas encore en maillot de bain, à la main leste, et mème sa classe à la fessée. Normal!
Amusant passage sur les affluents de la Loire... et sa source ...(au mont Gerbier des Joncs, sans blague!) On s'y croirait.
JLG ne ferait il pas partager aux lecteurs, la nostalgie d'une certaine école aux méthode aujourd'hui un révolues , et notamment des fessées qui allaient avec ? Et ça sent encore, la craie, le tableau noir et les claques sur le derrière.. (sourire)
Cordialement
Ramina
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerJe vois que Annette recrute pour sa classe , bientôt de nouveaux élèves filles et gars jeunes ou âgés
Au plaisir de vous lire
Bonjour Messieurs,
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec notre confrère Ramina, Toute cette situation rappelle des souvenirs de l'école républicaine où les problèmes étaient laissés à la porte. J'ai connu aussi les cartes murales Lablache et les tableaux historiques peints. "La Loire prend sa source au mont Gerbier des Joncs et la Seine sur le plateau de Langres...". J'ai connu vers 1972-1975 la TV scolaire à 14 h le Mardi, qu'on regardait à la cantine avant d'aller en classe où notre
institutrice nous demandait de parler de ce que l'on avait vu. Prétexte parfois à une petite dictée autour du sujet projeté.
Il y avait aussi les films en salles de "Connaissances du Monde" à la fin desquels le conférencier discutait du film à partir des questions qu'on lui posait. Et le "cinéma de Noël" : une séance payante en guise de "récompense " (Ce qui m'a permis de voir "Peau d'Âne" avec la sublime "Reine Catherine").Eh oui, tout cela ne nous rajeunit pas mais qu'importe... Comme dirait ce bon monsieur De La Fontaine...
Amicalement. Peter.