QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LA
METHODE BETTINA .
Norbert et Aristide avaient beau être habitués à recevoir des
fessées, ils ne pouvaient s’empêcher chaque fois, par réflexe, de crisper les
fesses dans l’attente de la première claque. Mais Astrid comme Régine, en
fesseuses expérimentées, sachant bien que l’on ne peut pas garder des fesses
serrées au maximum bien longtemps, attendaient simplement qu’elles reprennent
leur élasticité, ce qui ne tarda pas.
C’est le moment qu’elles guettaient pour lever leur main droite et l’abattre
sans ménagement en plein milieu des fesses de leur punis. Ils poussèrent un cri
en ruant dans un bel ensemble, comme s'ils avaient répété une chorégraphie.
Norbert s'agrippa au tabouret pour ne pas tomber et Aristide, la tête coincée entre les cuisses
de sa femme, souleva son corps, sans pouvoir le faire bouger en poussant un cri
.
Les deux femmes relevèrent leur main, les dents serrées sur un
sourire carnassier et une nouvelle claque rageuse, tout aussi marquante que la
première leur secoua durement les deux fesses à la fois. Ils poussèrent
derechef un râle de douleur puis un deuxième, lorsque la main de leur fesseuse
retentit une nouvelle fois au même endroit. La mesure du fessier étant ainsi
prise, les claquées commencèrent à s’abattre en cuisants allers et retours,
cadencés comme un métronome.
– Ah c'est sûr que ça va faire
mal, s'exclame Astrid,
– Assurément, tenez bien vos fesses mes petits messieurs, elles
vont vous cuire ! ajoute Régine, comme si elle annonçait une bonne
nouvelle. .
Elles échangent un clin d’œil complice et entament alors une éclatante fessée en
duo qui retentit immédiatement dans tout le magasin, et même, jusque dehors,
par la porte grande ouverte. Astrid se faisait un devoir de faire savoir que,
dans la boutique des Delaniaires, on ne se contente pas de vendre des
instruments de discipline mais qu'on passe aussi aux travaux pratiques, avec
des fessées de démonstration, en direct.
Il est certain que si une cliente était entrée à
ce moment-là elle aurait pu admirer l’empreinte de deux mains imprimées sur les
volumineux postérieurs, et que ce n'était
pas la place qui allait leur manquer pour les faire rougir.
Les
sévères épouses avaient beaucoup de pratique et savaient comment s'y prendre
pour bien corriger un derrière. Elles appliquaient, tour à tour, à peu près les
mêmes techniques utilisées pour leur
efficacité et leur capacité de cuisson. Elles alternaient les allers et retour d'une fesse à l'autre
avec des séries de quatre ou cinq claques au même endroit qui provoquaient de brusques poussées de
hurlements. Le chant des maris fessés selon
l'expression d'Edwige lorsque Stephen commençait à hululer sous un effet
de cuisson en augmentation constante.
Astrid,
sur sa lancée des deux précédentes fessées, gardait le même tour de main. Elle
claquait méthodiquement les fesses de Norbert, qui criait tout ce qu’il savait
et remuait des jambes dans tous les sens, au risque de perdre l'équilibre. Il
avait beau se débattre de plus en plus, elle accentuait régulièrement la
pression sur ses reins afin de le maintenir encore plus solidement, en position
sur sa cuisse. Elle le forçait ainsi, à garder ses fesses bien tendues et bien
retentissantes sous les claquées. Elle n’oubliait pas non plus le haut des
cuisses, cette partie si sensible là, où finissent les fesses. Cette brûlure
supplémentaire le fit redoubler de sanglots, tant la cuisson devenait
insupportable.
Régine,
aussi, savait y faire pour corriger les fesses de son récalcitrant de mari
régulièrement exposées à sa cuisante force de frappe. Il avait fini par
capituler et se soumettre sans résistance à la magistrale fessée,
parfaitement adaptée au format de son imposante
paire de fesses. Ses larmes n’arrêtaient pas de couler, et commençaient à
dégouliner sur le revers des bas nylon
que la vicieuse épouse frottait douloureusement, en cadence, sur ses joues en
feu. Corrigé dans cette humiliante posture, c'était pour lui, une double peine.
Il savait déjà qu'Il allait finir le visage en feu, presque aussi rouges et brûlant
que ses fesses.
– J'adore
sentir le crissement de mes bas nylon sur ses joues pendant que je le fesse.
Répond
Régine à Astrid, qui la complimentait sur la manière astucieuse dont elle exploitait
le positionnement de sa victime. D'une rigueur sans faiblesse, l'implacable
épouse, lui inflige une cuisson simultanée, en haut sur les fesses, et en bas
contre les joues. Elle ajoute, sur un ton doucereux
– Cela
lui permet de profiter en même temps de la chaleur de ma main et de la tiédeur
de mes cuisses gainées de nylon. Je choisis des bas plutôt rêches quand je le
discipline dans cette posture ! C'est d'ailleurs lui que j'envoie les
acheter chez madame De Blagnac.
– C'est
bien, vous ne lui épargnez rien. Il faut aller au bout des choses.
– Certes,
et je le punis d'une fessée supplémentaire s'il se trompe de marque. Ce qui lui
arrive de temps en temps, l'étourdi, malgré les consignes que je lui donne. Je
suis entièrement d'accord avec vous, le propre d'une discipline efficace est de
rien laisser passer.
La
charmante, Madame Duplessy, faisait preuve, en toutes circonstances, d'une
exquise courtoisie. Mais ses manières raffinées, étaient un écran de bienséance
qui masquait une inclinaison perverse
pour des méthodes disciplinaires d'un genre ostensiblement, radicale. Les fessées avec le manche d'un
martinet dans le derrière, n'étaient qu'un échantillon de son imagination
fertile en la matière.
C'est
donc sans états d'âme et sans complexe, qu'elle évoque la tiédeur de son entre
jambes, pendant qu'elle administre la fessée à son mari. Compte tenu de la
chaleur ambiante qui règne dans le magasin, et les fesses chauffées au rouge de
ces Messieurs n'y sont pas pour rien, le pauvre Aristide suffoquait presque,
sous la forte pression de ses cuisses qu'elle exerce contre son visage. Faire volontairement
crisser ses bas nylon contre ses joues est une mélodie dont elle ne se lassait
pas, et au final, elle essayait, toujours, de les rendre aussi rouges, voire
cramoisies, que ses fesses... Certaine que le feu du rasoir, à côté, ce n'est
rien.
Ambiance
torride dans la pièce où on n’entendait
plus que le claquement sec des
retentissants allers et retours sur les fesses des deux hommes ainsi que les cris
et les pleurs qui les accompagnaient . Agrippé au tabouret pour maintenir ses
fesses en positon sans risquer tomber en avant, Norbert alterne hurlements et
supplications.
– Oooh, Astrid... Aiiiie ! Aiiie, pas si... si
fort ! S'il te plaiiiiiit …
Plus la fess... la fesséééée !!
Le fessier en plein cuisson d'Aristide, à quelques
centimètres de son visage lui envoie le souffle brûlant des claques qui le font
rebondir en cadence. Le malheureux, à moitié étouffé entre les cuisses serrées
de sa femme, émet des gargouillements incompréhensibles, en essayant de reprendre sa respiration.
Les deux femmes fessent en cadence et discutent en même
temps. Parfois sans regarder les derrières qu'elles corrigent, tant leurs mains
habituées, connaissent les trajectoires. Margaret exprime sa satisfaction.
– Vous avez bien fait de venir, chère amie,
Sclac ! Sclac ! Ça tombe. Vos remarques sont très judicieuses et vont
nous permettre de mieux répondre à la demande de nos clientes. Et d'adapter nos
instruments à leur usage.
Elle fait une brève pause pour ajuster le slip
de son mari plus bas sur les cuisses et s'offrir ainsi une plus grande surface
à corriger. A défaut, d'échanger les
paires fesses, échange d'amabilités, entre femmes de bonne compagnie, Régine y
va de son compliment.
– C'est ce qui fait la réputation de la maison,
Madame Delaniaires. Et quoi de plus agréable que cette petite séance de fessées
ensemble pour mieux connaître la réalité de nos pratiques et exprimer nos
besoins.
– Tout à fait. Sans compter que c'est toujours
stimulant de claquer deux paires de fesses en même temps.
– Surtout des paires de fesses, comme celles-là. Nos maris nous
gâtent... Regardez comme ils sont dociles, comme ils présentent bien leur
derrière...
Margaret serre les dents sur un sourire
féroce en reprenant la fessée, mais en plein milieu des fesses, sur la même
empreinte, comme pour éprouver la capacité
de Norbert à les garder tout de même, bien tendues malgré la puissance
des claques. Régine opère le même changement de rythme. Les deux hommes
pleurent un peu plus fort mais gardent la position. Margaret fait semblant
d'être étonnée.
– C'est curieux comme ces Messieurs semblent ressentir à la fois, de la honte et
de la fierté à montrer que leur provocant derrière reçoit de bonnes fessées !
– C'est dire s'ils sont bien
dressés ! Parce que vous avez aussi une belle force de frappe , chère, madame.
– Je vous remercie, mais peut-être pas encore aussi
cuisante que la vôtre. J'ai l'impression que les fesses de votre mari ont un temps
d'avance sur celles du mien.
– Vraiment, vous croyez ?
Comme pour rattraper un retard peu
évident alors que les deux postérieurs sont corrigés avec la même ardeur. Régine monte encore en
régime, tout en évaluant le niveau de cuisson des fesses de Norbert La position plié en deux sur la cuisse de son
épouse, l'oblige à bien les déployer, séparées par la raie bien en vue. Elles
sont d’une couleur écarlate si vive qu’elles paraissent reluisantes sous la
lumière, témoignant, à l'évidence, de la chaleur infernale du fessier corrigé
Leur capacité d'endurance durement éprouvée,
les deux hommes accompagnent leur fessée d'un bruyant concert de pleurs, cris et supplications, sans que cela
émeuve pour autant leur correctrice.
Elles en ont entendu d'autres et les commentaires sarcastiques ponctuent les
volées de claques qu'elles abattent en cadence.
– C'est fou ce que les hommes sont douillets,
ironise Margaret. Pourtant avec le nombre de corrections qu'ils reçoivent, ils
devraient tout de même être un peu plus résistants. De bonnes fessées, bien
appliquées, régulièrement ça fait mal, mais c'est normal, et surtout, c'est
pour leur bien.
Régine,
abonde dans le même sens.
– Tout
à fait, on leur rend même service. Ça remet les idées en place, et corrige des
mauvaises habitudes...
– ...Et
maintient le derrière en forme ! Finalement, nous sommes des épouses
bienveillantes, sévères mais justes !
– Sévères...et
encore, ils ne savent pas vraiment ce que c'est. J'ai une excellente amie,
issue d'un très bonne famille d'origine Russe, immigrée en France dans les
années 1920, qui envoie sa fille Lourievna dans un institut religieux, à
Ste Croix exactement. J'aime autant vous dire que la discipline en vigueur
là-bas, c'est autre chose que les petites fessées qu'on flanque à nos maris.
Les corrections sont administrées au martinet ou au fouet, entièrement nu dans la cour devant tous les étudiants.
– Oui,
j'ai entendu parler de ces méthodes paraît-il, très efficaces.
– En
effet, alors quand j'entends nos petits chéris se plaindre comme des gamins
pour deux ou trois fessées un peu appuyées, je regrette que leurs fesses
n'aient pas connus ce genre d'établissement !
– Tout à fait ! En comparaison, nos punitions, même très
sévères, sont encore un cran en dessous.
Pendant que ces Dames discutaient en
fessant, ou fessaient en discutant, ça revenait au même, les deux paires de
fesses, gonflées de claques étaient montées au cramoisi. Quelques allers et retours plus tard,
Margaret claqua la fin de la séance avec un score à son avantage. Norbert avait une fessée d'avance, avec celle qu'elle
lui mettait tous les matins en arrivant au magasin, pour lui donner du cœur à
l'ouvrage. Les deux hommes libérés, s'écroulèrent au sol en se tenant les
fesses à pleines mains, et il y avait largement de quoi les remplir. Aristide
arborait une paire de joues en feu, rougies sous le nylon, presque autant ses
fesses . Conformément aux règles de politesses, ils
durent,
à genoux toujours déculottés, remercier, ces Dames de les avoir si sévèrement
fessés... pour leur bien.
Margaret assura sa cliente que son
martinet serait prêt pour la fin de la semaine, vendredi ou samedi. Elle lui
préciserait par SMS.
Lorsque Régine quitta le magasin en
propulsant son mari, devant elle à
grandes claques sur les fesses, Norbert cuvait sa troisième fessée de la
journée en finissant de ranger son atelier sous l'œil attentif de son
épouse.
– Dépêche-toi non ami, il faut
encore qu'on passe chez ma sœur avant de rentrer.
Margaret vient d'accueillir son étudiant anglais. D'après ce que j'ai compris
sur ma messagerie, le jeune homme est charmant, et, bonne nouvelle, il a une
magnifique paire de fesses qui supporte très bien les fessées. Il paraît que
j'aurai raté une mémorable séance ! Mais bon, je ne peux
pas être sur tous les derrières en même temps.
Aller ... remue toi !! Il te faut une autre fessée pour te faire
activer !
Norbert faisait ce qu'il pouvait.
Empêtré dans son pantalon aux chevilles et son slip tendu entre ses cuisses, il
avait d'autant plus de mal à finir de balayer autour de son plan de travail que
ses fesses lui cuisaient atrocement au moindre mouvement. Astrid l'obligea à se
reculotter que lorsqu'il eut terminé. Il rentra sagement à la maison, les
fesses en feu, serrées dans son slip, assis à côté de madame qui
conduisait la voiture à grand coups de freins et d'accélérateurs.
Les
femmes fortes ont la conduite impulsive. Edwige, l'impétueuse voisine d'en
face, qui persistait à rentrer sa voiture directement dans son garage, avec
autant de détermination qu'elle mettait à déculotter Stephen, son époux, pour
lui mettre une fessée, avait déjà fait changer deux fois les montants de son
portail. Sans compter les réparations de carrosserie qui aurait valu au mari un
régime de fessées particulièrement sévères si cela avait été lui qui
conduisait.
Mais c'était comme ça. Ces Dames,
émancipées d'un patriarcat tombé en désuétude, portaient depuis longtemps la
culotte dans les ménages, et descendaient
celle de ces messieurs au moindre écart de comportement. Elles se vantaient entre elles,
d'obtenir respect et obéissance auprès
de leur maris, fils, filles aussi, petits amis ou même, amants, par une
pratique systématique de la fessée. .
Non seulement ça n'étonnait personne,
mais tout le monde trouvait tout à fait normal de voir ou entendre claquer une
paire de fesses à n'importe quel moment de la journée. L'heure de pointe pour les fessées, étant
surtout le soir, au moment des rendus de comptes quotidiens. Et on
estimait que si certaine épouses tapaient aussi fort, c'est que les correction devait être amplement
méritées . Ce qui n'était pas toujours le cas. Certains...ou plus
exactement certaines en réclamaient tout autant qu'elles les redoutaient.
C'était le cas de Bettina, la fantasque
voisine de Gladys et Clarisse. ( voir saisons
2 et 3) Elle se vantait, à qui voulait l'entendre, et même aux autres,
d'avoir été dotée par la nature d'un plantureux derrière, qu'elle trimbalait
avec fierté. Un fessier bien rebondi, qu'elle ne perdait jamais une occasion de
faire remarquer. Certaine, lorsqu'elle marchait dans la rue , que le
balancement de ses hanches sous la jupe de son beau petit tailleur rose faisait
l’effet recherché ! Un fessier, triomphant, particulièrement endurant et
formaté pour en recevoir de solides corrections. Raison pour laquelle elle
reprochait à son mari, et ça ne la gênait pas de le faire en public, un manque de conviction et d'énergie à lui
administrer les fessées qu'elle réclamait et qu'elle estimait jamais assez
fortes. Le pauvre Walter, régulièrement humilié, s'appliquait pourtant à la
tâche et lui en mettait des sacrées sévères... Au point, un soir, de lui avoir
éclaté un slip sur les fesses pendant une séance d'échauffement... à la
main ! C'est dire sa bonne volonté à satisfaire les caprices
disciplinaires de l'insatiable épouse. Et bien non ! Madame, jamais contente, en veut toujours
plus sur le derrière et regretta, ce jour-là, d'avoir été privée du
plaisir de se faire déculotter pour sa fessée suivante.
Le couple pittoresque, habitait une maison
placée entre celles de Gladys et Clarisse, juste derrière celle des
Delaniaires, située à dix minutes du magasin de la sœur Astrid ou travaillait
Géraldine. Elle faisait l'aller et tour à pieds tous les jours. Juste en face,
au rez-de-chaussée, les fenêtres sans rideaux du salon d' Edwige, offraient, à
qui voulait, le spectacle des
spectaculaires fessées qu'elle infligeait régulièrement à Stephen son
mari.
Une
petite porte barrière au fond de chaque jardin ou sur les côtés, permettait de
communiquer facilement et de passer d'une maison à l'autre au gré des
invitations, pour un thé, un dîner ou une bonne séance de fessée en public.
Bettina, en était particulièrement friande,
poussée par une curiosité perverse, dès qu'elle entendait claquer une
fessée, administrée par une de ses
voisines à un mari récalcitrant ou un fils désobéissant. Elle traversait
discrètement son jardin, passait dans celui d'à côté par la petite porte en
bois, et, de dehors, allait tranquillement s'accouder à la fenêtre d'où parvenaient le claquement
du derrière en pénitence. De ce poste d'observation, elle profitait, sans gêne,
de l'excitant spectacle d'une belle paires de fesses en train de se tortiller
sous les claques. Et elle avait de quoi se régaler.
Chez Gladys, avec le solide derrière du fils
Robin rompu à l'exercice des cuisantes
fessées maternelles, comme Edouard le beaux père soumis au même traitement par
la sévère épouse. La fille Patricia, s'en donnait aussi à cœur joie,
intraitable, à assurer les compléments de service. La maison de l'autre côté, accessible, aussi,
par le jardin, offrait à Bettina une vue imprenable sur les deux fessiers que
Clarisse rougissait régulièrement. Le
gros postérieur de Rodolphe, son incorrigible rejeton, adolescent attardé de
plus de vingt ans, et celui, si merveilleusement endurant de son mari Douglas.
Le spectacle d'une paire de fesses écarlates
bondissant sous les claquées, provoquaient chez Bettina des réactions
frénétiques incontrôlées, comme si elle mettait ses doigts dans une prise de
courant. Excitée, comme une adolescente prépubère, devant son chanteur préféré,
elle entrait dans une sorte d'exaltation perverse, proche de l'hystérie. Abandonnant toute
retenue, son slip trempé collé aux fesses, elle entrait en pâmoison, et d'une
voix criarde, ne cessait de stimuler la fesseuse en l'incitant à taper toujours
plus fort. Ce qui était parfaitement
inutile, Gladys comme Clarisse n'avaient nullement besoin d'encouragement pour
fesser dur. Ces manifestations d'enthousiasme avaient cependant le mérite de
pimenter les séances de fessées et de les rendre plus impressionnantes
encore. Mais pour Bettina,
une fessée n'était jamais assez forte.
Elle prétendait, d'ailleurs, bien
s’y connaître en matière de correction. Debout dans l'herbe, sur la
pointe de ses talons aiguilles, les coudes collés à l'encadrement de la
fenêtre, elle s'évertuait, à prodiguer ses conseils avisés, pendant que Gladys
ou Clarisse claquaient avec énergie le derrière de leur garçon ou de leur mari. Ces Dames trop occupées pour se laisser
distraire, l'écoutaient en fessant, sans répondre, pour garder un rythme de
claquées bien régulier.
A force d'insister, la turbulente
voisine, persuadée de rendre service, avait
fini par les convaincre qu'une véritable fessée ne débutait efficacement
que lorsque trois conditions étaient successivement réunies.
C'était la fameuse méthode Bettina. Tout
d'abord, une bonne position, postérieur en l'air déculotté, tendu au maximum, parfaitement
exposé . Puis, une première fessée pour bien préparer le derrière et en
monter la surface toute entière à
l'écarlate. Enfin, faire durer cette fessée d'échauffement jusqu'à ce que les
sanglots du punis soient devenus continus et incontrôlables. Selon elle, la
vraie fessée commence, seulement, à partir du moment où ces trois constatations
peuvent être faites sans conteste. Chaque fessée, doit paraître très longue et
faire brailler le puni. Dans l'idéal la séance doit se dérouler devant une
fenêtre grande ouvert face à une grande glace. On peut ainsi humilier un peu
plus le puni, en l'obligeant à suivre sa correction dans une grande glace et
regarder à travers ses larmes, son gros derrière déculotté, cramoisi, danser
frénétiquement dans tous les sens tandis que ses pieds battent en l’air.
Le claquement des fessées et les braillements
des punis s'entendaient d'une maison à l'autre, jusque dans la rue, pour la
plus grande satisfaction des maîtresses de maison, convaincues des bienfaits
d'une bonne discipline domestique. Les fessées étant ainsi rendues presque toujours publiques, tant et
si bien que certaines, à l'oreille avertie, étaient capables de reconnaître
quelqu'un rien qu'à la sonorité de son derrière sous les claques.
S'il était des postérieurs dont toutes les Dames
du quartier commençaient à bien connaître la sonorité, c'était bien, aussi,
ceux de Robin et Rodolphe, régulièrement corrigés pour leur comportement
perturbateur, par leur mère respectives, Gladys et Clarisse. Mais la palme
rouge, revenait sans conteste, au gros derrière de Gérôme. Il sonorisait déjà
toute la rue, chaque lundi pendant ses leçons particulières d'Anglais, avec des
braillements à déclencher les sirènes d'alarmes incendie quand Patricia lui
mettait le feu aux fesses. Il faut dire
que la jeune femme, n'y allait pas de main morte sur les fessées qu'elle
distribuait généreusement, inaugurant
ainsi des débuts de semaine, en fanfare, sur le derrière bien rebondi de son
élève.
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 10 La suite, c'est très bientôt.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Amis de la poésie et du chant des partisans fessés, bonjour,
RépondreSupprimerNous pouvons voir qu'il n'y a pas qu'à Ste CROIX que les fesseuses ont l'entrejambe humide lors d'une fessée et qu'elles mettent les joues de leur cher et tendre aussi rouges que leurs fesses. Du coup le haut est égal au bas, pas de jaloux...
Les sujets se croisent dans tous les sens. V'lat'y pas que des personnages d'autres épisodes translatent vers le monde des dames aux mains fermes ! Etonnant, non. Et il semblerait qu'à Ste CROIX, les fessées y soient plus intenses et plus dénudées. On imaginera aisément le calvaire de Norbert en rentrant à la maison avec sa femme qui volontairement fait des coups de freins et d'accélérateur. Des va-et-vient savamment dosés pour accentuer la cuisson, tout un programme. Et les voisines de Bettina, qui viennent s'accouder à la fenêtre comme d'autres le sont au comptoir. Y'a du spectacle chez Bettina, qui a aussi des fuites de plaisir. On ne lui en voudra pas de se laisser aller à un laisser aller-retour.
Après la méthode assimil, il y a la méthode à Bettina, à ne pas confondre avec la méthode à mimile !
Rien ne vaut la discipline domestique devant une fenêtre ouverte pour avertir toute la populace qu'une fessée est en cours.
Tels des tamtam de la brousse, sur lesquels les villages s'envoient des messages, les derrières des hommes font le même effet.
Amitiés.
Elena.
Décidément, les femmes aux mains fermes savent comment mater les rejetons, maris, beau-fils et j'en passe. Les hommes sont entre de bonnes mains fermes.
Bonjour Ramina, Elena,
RépondreSupprimerC'est la grande lessive d'Hiver. On secoue les vieux tapis, on époussette les bibelots, bref on aère le salon...
"Concert à 16 h 30 Salon des Dames, Rue des Bouleaux à Synthol. ". On vocalise à tout-va. Wahou ! Quelle prestation ! Ces Dames se surpassent... et les fessiers trépassent !
Amicalement. Peter.
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerJe constate, avec plaisir, que l'intérêt pour la poésie va grandissant. Echange de bons commentaires. Ste Croix, St Joseph( Peter Pan )et leur petit peuple de claque-fesses, se retrouvent effectivement à la croisée de plusieurs histoires. Doux jésus-Marie-Joseph et toute la bande,(signe de croix précipité), qui eu cru que le blog deviendrait un club échangiste de personnages et situations de récits différents, avec comme point commun le crépitant sujet de la fessée. Stimulante autant sur l'imagination que sur les fesses !
Amusant rapprochement entre les messages envoyés par Tam tam et le derrières de ces messieurs, comme vous dites, entre bonne mains (très) fermes...
Quant à la méthode à Mimile, je vous le donne en mille ...en plein milieu de la cible... charnue .(rire)
Amicalement
Ramina
Bonjour Peter
RépondreSupprimerToujours marrantes tes annonces festives!
Effectivement concert de percussions... Je ne sais pas si on dépoussière les derrières, mais après un tel réchauffement, qui n'a rien de climatique, ils ont certainement besoin de se faire aérer!
"Ces Dames se surpassent", techniciennes de surfaces... fessières!
Amicalement
Ramina
Il y a quelques temps que je n'avais lu vos derniers récits.
RépondreSupprimerJ'adore cette frénésie de donner de cuisantes et mémorables fessées à leur maris ou autres messieurs par ces dames.
Surtout données avec une telle maîtresse et bonne humeur.
Un régal de les lire en imaginant être àla place de ces messieurs.