QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
PATRICIA ET LA LECON D'ANGLAIS DE GEROME
Les nombreuses séances de fessées qui rythmaient ses heures de cours du lundi, finissaient par avoir raison de la paresse naturelle de Gérôme avec une double conséquence. La nette amélioration de sa connaissance de la langue et une meilleure capacité d'endurance de ses fesses. Patricia y trouvait la juste récompense de sa méthode pédagogique, et le meilleur des prétextes à rougir toujours plus sévèrement les fesses de son élève en augmentant, la fréquence et la durée des fessées. La moindre petite erreur ou insignifiante faute de prononciation, était, immédiatement sanctionnée de la plus claquante manière, par une magistrale fessée déculottée, administrée sans prise en compte de la cuisson des précédentes. Gérôme consommait chaque lundi, autant de nourritures intellectuelles que son derrière encaissait de fessées.
Patricia, lui avait rapidement fait intégrer qu'on mémorisait plus
rapidement, à plat ventre, déculotté sur ses genoux, avec une fessée bien
claquante au derrière. Ou encore, qu'une paire de fesses chauffées au rouge
activait la compréhension d'un texte,
même en lisant à travers ses larmes. Pour ne pas perdre de temps à sévir, elle
lui faisait apprendre et réciter ses leçons allongé en travers de ses cuisses,
la tête en bas, livre ouvert, devant ses yeux, entre ses mains plaquées au sol.
Ses fesses déculottées, bien exposées à sa main, claquaient instantanément, à la moindre erreur. C'est la succession de
fessées de plus en plus sévères, qui rendait la méthode efficace.
Toutes ces petites astuces, bien stimulantes, nées de l'esprit
inventif de la pétulante préceptrice, rendaient les cours attrayants, mais, par
contre, très bruyants. Les récitations à voix haute, les injonctions
autoritaires de Patricia, entre-coupées du claquement des fessées, des cris, et
des supplications, envahissaient tout l'espace sonore de la maison pendant une
heure. Des fessées qui claquaient tellement fort qu'on les entendait retentir à travers la porte de la chambre, de là-haut, jusqu'en bas dans le salon. Ça la rassurait Ma'am Thérez. Elle considérait que plus il en
recevait, mieux il apprenait et que le coût de ses leçons particulières était largement
compensé par les résultats obtenus.
Patricia,
ponctuelle aux rendez-vous du lundi, porte documents à la main, venait
d'appuyer deux fois sur la sonnette des Bellebourges . Elle avait retiré
son doigt en prenant soin de ne pas abîmer son vernis à ongle, dont le rouge
intense lui fit aussitôt penser à la couleur
des fesses de son élève, à l'issue de l'heure à venir. Elle sourit à
cette idée, la main déjà impatiente d'entrer
en action. La leçon au programme du jour allait devoir s'accompagner d'une
distribution de fessées, particulièrement sévères.
–
Ah, voici notre lectrice d'anglais !
Entrez, Patricia, entrez ! , dit Ma'am Thérez en lui tenant la
porte ouverte. Vous êtes toujours à l'heure, vous, c'est bien ! Ce n'est pas le cas d tout
le monde.
– Très aimable à vous ! Répond
l'intéressée, toute pimpante, perchée sur ses talons aiguille, sa courte jupe
plissée ondulant en haut de ses cuisses gainées de nylon noir. Elle poursuit sur le ton de la plaisanterie.
– C'est
que je ne trouve pas convenable de laisser trop longtemps en attente les
derrières des jeunes gens dont j'ai la
charge éducative. Elle piaffe sur ses hauts talons, et ajoute d'un air malicieux. Surtout celui de
Gérôme... si réceptif.
– Je ne le vous fais pas dire, dit Ma'am Thérez
avec un presque soupçon de fierté dans la voix. Mon grand garçon est très
bien pourvu de ce côté-là...
– Je m'en régale tous les lundis...chère
madame. Pour son plus grand bien et au bénéfice de ses études.
Thérez hoche la tête avec un sourire d'approbation.
– C'est
bien l'impression que j'ai, en constatant la rougeur de ses fesses après chaque
leçon. Vous avez un solide tour de main. Montez, il est dans sa chambre, il
vous attend... Enfin, quand je dis, il vous attend...C'est tout relatif...
Patricia
a un petit sourire en coin .
– Je m'en doute, si ma main se réjouit de
retrouver ses fesses, l'inverse m'étonnerait !
Elle s’esclaffe d'un petit rire léger, s'engage
dans l'escalier et s'arrête sur la première marche en se retournant.
– A propos de ses fesses, dit-elle, le sourcil levé en signe
d'interrogation, j'espère qu'elles ont récupéré après la formidable séance de
fessée d'hier chez Margaret Delaniaires.
– Oui, j'ai appris ça, répond Thérez, il paraît que ça a chauffé dur
et que Gérôme s'en est encore pris une sévère, avec son cousin comme
d'habitude.
– Pour ça oui et ils l'avaient bien méritée,
après leur comportement déplacé envers
Géraldine.
– Ça leur fait du bien, il ne faut pas hésiter
à leur tanner les fesses à ces deux loustics ! Ils n'en ratent pas une,
quand ils sont ensembles.
–
Sauf qu'à
l'origine, la petites sauterie c'était pour fêter l'arrivée d'Andrew l'Anglais
au pair chez les Delanaires. Et à propos
de pair... Hummmm, il en a une bonne... de fesses, lui aussi !
– C'est ce que j'ai cru comprendre... ça
promet. Margaret et Géraldine, avaient déjà de quoi s'occuper les mains avec
Arnold le mari et le frère Sébastien... Quant à Gérôme ici, il faut croire
qu'il a pris un abonnement …Elle a un petit rire malicieux.
Thérez a
bien compris que si Patricia s'interroge sur l'état du postérieur de son
turbulent rejeton, c'est moins par compassion, que pour s'assurer de disposer
d'un postérieur en pleine forme, qu'elle va pouvoir claquer à volonté pour le
bon déroulement de sa leçon.
– Pas de souci avec ses fesses, Patricia, elles
sont habituées, il fait tellement d'âneries. Comme vous le savez, ses sœurs et
moi on les entretient. Elles récupèrent vite. Déjà, grâce au Dolpic
d'ailleurs ! Vous allez pouvoir les corriger, autant que vous l'estimerez
nécessaire. Plus j'entends claquer de fessées, plus je me dis que votre méthode
a du bon et que j'ai eu raison de vous faire confiance.
Patricia,
se dandine sur ses talons aiguille en opinant de la tête comme pour remercier
du compliment. Elle s 'impatiente un peu en pensant au postérieur qui
attend là-haut sur la chaise à fessées mais continue la conversation par
politesse.
– Et
bien je vous garantis que vous allez en entendre des fessées ! Aujourd'hui on aborde des notions de vocabulaire,
sur un sujet particulièrement d'actualité. Au vu de ses réticences à apprendre
par cœur, il va certainement passer plus de temps, le slip sur les cuisses que
les fesses dedans !
Thérez, la main levée en signe d'assentiment.
– Oh, pour ça, je ne fais aucun souci,
j'approuve votre méthode sans réserve. Et j'en
constate les effets au niveau de cuisson de ses fesses après chaque
leçon. Les résultats s'en suivent à l'institut, c'est le plus important. .
– Et bien si vous évaluez ses progrès à la couleur
de son derrière, vous aurez de quoi vous réjouir tout à l'heure. Quand je
sortirai votre Gérôme de sa chambre, les fesses écarlates et cuisantes, vous
pourrez être certaine qu'il aura bien profité de son heure de cours.
Ondulant exagérément des hanches, le derrière
mouvant sous les plis de sa courte jupe,
virevoltant au ras de ses jarretelles, elle reprend tranquillement la
montée de l'escalier vers la chambre de son élève. Sous le regard satisfait de
Thérez, ravie de la perspective de progrès de son poussin.
Pour Gérôme, le claquement des talons aiguille de Patricia dans
l'escalier, annonçait moins le début de son cours particulier, que l'arrivée
des fessées. Il savait que la main qui
glissait avec nonchalance sur la rampe pendant cette lente montée des marches,
n'avait rien à voir avec la montée des marches du festival de Cannes. Mais
plutôt d'un festival de claques qu'il commençait à redouter dès la veille. Impossible d'échapper aux cuisantes fessées
de sa sévère préceptrice. Elle prenait, d'ailleurs, un vicieux plaisir à multiplier les motifs de
le déculotter et lui rougir les fesses, en exploitant la moindre de ses
erreurs. Docile, et soumis, il
l'attendait , comme elle exigeait le trouver
lorsqu'elle entrait dans sa chambre. A genoux sur sa chaise à fessées,
courbé en deux sur le dossier, le slip sur les cuisses, les fesses tournées
vers elle. Il devait lui montrer son acceptation des séances de fessées en lui
présentant son derrière déjà déculotté, prêt à claquer, sans qu'elle ait besoin
de le demander. A côté de lui, sur le bureau, son livre ouvert à la page de la
leçon du jour.
Le cours ne débutait réellement
qu'après une première fessée d'échauffement qui commençait dès qu'elle avait refermé la
porte. Cette fessée durait le temps qu'il fallait, pour que son postérieur
monté à l'écarlate, soit en mesure de
bien ressentir l'intensité de cuisson des suivantes. Ça ressemblait en tous points à la fameuse méthode
Bettina, avec la petite touche personnelle de Patricia qui en avait élargi le
principe à sa méthode d'enseignement.
Elle estimait qu'un fessier régulièrement pris en main par une généreuse
distribution de fessées, permettait de stimuler considérablement le processus
de mémorisation des leçons. A condition de ne pas lésiner sur la sévérité, la
fréquence et la durée des fessées.
Patricia l'impressionnait tellement, que cela faisait déjà belle
lurette qu'il n'opposait plus aucune contestation à recevoir ses punitions. Dès
qu'elle lui annonçait une fessée, il se mettait à couiner d'angoisse et se
précipitait à plat ventre sur ses cuisses pour lui mettre docilement ses fesses
à sa main. Elle n'avait pas besoin de le lui demander. La voix autoritaire, le
ton sec, péremptoire, suffisaient.
– Gérôme... tes fesssses !
Disait-elle en faisant siffler à plaisir, les ''S'' entre ses
dents pour rendre l'annonce plus impressionnante. Implacables, systématiques,
les fessées se succédaient au rythme des fautes, des oublis, des erreurs. Elles
étaient à chaque fois présentées comme inéluctables, une évidence, sans aucun
espoir d'alternative. Elle l'avait si bien dressé qu'Il venait se positionner
de lui-même, immédiatement. Les jambes repliées, cambrure de reins poussée au
maximum, pour lui présenter son fessier, rebondi et parfaitement déployé. Elle
attendait tranquillement qu'il ait fini de s'installer en le regardant se
tortiller sur ses cuisses, et déculottait sans ménagement, une resplendissante
paire de fesses encore cuisante de la fessée précédente. Elle se régalait, alors, à lui en claquer une
nouvelle, avec la satisfaction de l'avoir parfaitement conditionné à la
recevoir. Le moindre relâchement était systématiquement sanctionné, après un
passage au coin, par une fessée supplémentaire qu'il devait venir chercher en
tenant son slip baissé sur ses cuisses. Il fallait bien souligner l'influence
déterminante de la position sur l'efficacité de la correction.
– Et bien Gérôme, on ne dit pas bonjour
à sa maîtresse préférée ? Ironise Patricia en refermant la porte derrière
elle. C'est pas bien ça... Surtout quand je vois tes fesses en si bonne
position. J'espère que tu as retenu ta leçon de la semaine derrière, aussi bien
que les consignes de présentation de ton derrière !
– Euuuh oui , madame … Si… oui...bonj... bonjour...
s'empresse de répondre l'intéressé en
tournant la tête pardessus son épaule.
– Bonjour... c'est tout ?
Il
ajoute aussitôt.
– Non, non,
oui... Bonjour ma... Madame, Patricia.
– Ah quand même, c'est un peu tardif, mais
bon... Une fessée de plus ou de moins, tes fesses ne sont plus à sa près...
Elle le contourne pour se diriger vers son
bureau en lui soulevant le derrière, au passage, d'une grande claque
retentissante en plein milieu.
– Bonjour Gérôme. Humm, on dirait que ton petit
séjour hier, sur les genoux de Margaret a été profitable. Il faut croire qu'elle t'a
bien assoupli les fesses, à les entendre
claquer aussi bien.
– Ah oui mais vous avez déjà tapé dur... Madame
Patricia. Répond Gérôme en se frottant le postérieur, les larmes aux yeux.
– Une petite claque aux fesses de rien du tout,
et tu commences à pleurnicher. Qu'est-ce que ça va être dans cinq
minutes.
– Ooh madame... non... s'il vous plaît ...
Gérôme, derrière en l'air, se tortille sur le
dossier de sa chaise, pendant que Patricia, appuyée des deux mains sur le bord
de son bureau examine son livre de vocabulaire.
– Tu l'as ouvert à la bonne page au
moins ?
– Oui, madame , oui … page 31, Comme vous l'avez demandé au téléphone... ''La
tradition des châtiments corporels dans les écoles anglaises''.
– C'est ça. On reste dans l'actualité. Voilà un
futur bon sujet de conversation avec l'ami Andrew... Hier vous étiez trop
occupé par autre chose.
– Oui, madame Patricia. Euuuh... Chapitre
1 : '' Introduction : La fessée déculottée '... Chapitre 2 '' La
fessé à la main'' ... Chapitre 3 : la fessée au martinet... Chapitre
4 : La fess ...
– Oui c'est bon ! Tu ne vas pas m'énumérer
tous les chapitres ! Et d'abord tu parles, en Anglais s'il te plaît.
– Yes Mistress Patricia ! The Spanking of...
– Et puis, ça suffit avec tes niaiseries, à
donner du ''madame Patricia'' par ci et
du ''Mistress Patricia '' par-là !! Tu m'énerves tiens ! Amène-moi tes fesses, que je te les
chauffe un peu, hypocrite !
Elle le
saisit par l'oreille, le fait se relever de sa chaise, et sans le
lâcher, s'assied à la place où il attendait à genoux.
– Je vais te faire passer tes petites manière
de faux jeton, tu vas voir ! Elle retrousse sa courte jupe jusqu'au revers
noir de ses bas nylon et d'un doigt autoritaire montre l'emplacement sur ses
cuisses où il doit venir lui présenter ses fesses. Aller, en position...dépêche-toi !
– Yes, Madame Patricia... je vous obéis ... je vous
obéis ...
– Tu as intérêt et c'est pas la peine de le
répéter sans arrêt. En plus, ça ne suffit pas ! Qu'est-ce que je t'ai appris à dire à
chaque fois, avant de te prendre une fessée ?
Gérôme s'est allongé sur les genoux de sa
fesseuse, les mains posées à plat par terre. Il relève la tête par-dessus son épaule. L'air un peu
ahuri. Il ne sait visiblement pas quoi
répondre et dit n'importe quoi.
– Euuhh... qu'est-ce que je dois dire...
Euuuh... S'il...s'il vous plaît... pas …
pas trop fort la fessée... Mais, yeuuuh... je suis pas sûr...
Patricia, de rage, lui expédie une claque
monumentale sur les fesses.
– Mais non, imbécile ! C'est pas ça !
Tu te fiches de moi ! Je veux
t'entendre demander si tes fesses sont bien présentées pour que je les voie
bien et que la fessée que tu vas recevoir soit la plus claquante possible.
C'est tout de même pas compliqué !
Il répète docilement en s'efforçant de bien cambrer les reins pour
arrondir son derrière, tendu au maximum… Mais à peine a-t-il fini qu’une première claque
magistrale d’une éclatante sonorité
retentit sur ses fesses que Patricia cueille à la volée en pleine montée...
– Tu peux faire mieux fainéant ! Prends appui
sur tes mains et pousse à fond sur le derrière
pour me le mettre bien arrondi à ma main, ordonne-t-elle en la relevant très
haut au-dessus de sa tête pour prendre un
maximum d'élan.
Et aussitôt ce n’est pas une, mais des dizaines
de claques qui tombent sur son fessier tressautant qui rougit à toute vitesse .
Il pleure , supplie.
– Raaaaah !!! Vous tapez trop fort, ça
cuit !! Pitié, plus la fessée, s’il
vous plait !
– Mais, qu'est-ce que c'est que ces
pleurnicheries, on fait son petit douillet maintenant ? Ce n'est pourtant
que le début. Une bonne fessée à travers le slip pour commencer. Le nylon,
c'est excellent pour la cuisson.
–
Oui madame... Pat...
–
Alors évite de répondre n'importe quoi, quand je t'interroge !
Tout
en fessant d'un main, de l'autre, elle ramasse le livre d'anglais sur le bureau
et le lui colle entre les mains, devant ses yeux emplis de larmes.
–
Tu l'ouvres à la bonne page et tu révises en lisant à haute voix pendant que je prépare tes
fesses. Et garde les bien en position ou je te les remets en place en tapant
plus fort. Tu as cinq minutes, le temps de les rougir à point, et je
t'interroge avec une fessée à la clé pour chaque erreur.
Le
petit tour de chauffe ne dura pas bien longtemps, mais menée avec vigueur, il
permit d' obtenir une cuisson suffisante du derrière pour bien le sensibiliser
aux fessées qui n'allaient pas manquer de claquer en rafales. La leçon pouvait
réellement commencer.
Penché
au-dessus de son livre, la voix saccadée, par les claques qui lui
faisaient rebondir le derrière, Gérôme
marmonnait le texte qu'il avait devant les yeux. Malgré son application à ne
pas se tromper, il éprouvait les pires difficultés à lire à travers ses larmes,
multipliant les risques d'erreur et les
inévitables fessées qui s'en suivrait.
Fermement stimulé par la main ferme de
Patricia, il franchit sans dégât
l'obstacle des trois premiers chapitres, pour se vautrer au suivant en
confondant le nom d'instruments de
discipline sur les photos sans légende. ''Paddle'', ''Tawse'' , ''Strap''.
Plusieurs fessées successives furent nécessaires avant qu'il réussisse à mettre
les noms sous la bonne image. Patricia, annonçant à chaque fois la sentence, comme
s'il s'agissait d'une récompense.
– Et voilà, tu es l'heureux gagnant d'une
nouvelle fessée, pour avoir inversé ''Whip'' et Swift''... Aller en
position !
– Oooh noooon... pitié madame Patricia...
! Je savais, mais je révise ! Je révise !
Patricia impassible, se réjouit même
intérieurement de tenir un bon prétexte à lui en remettre une.
– Tu savais...
bien sûr... Dommage pour toi que tu confondes cravache et martinet …
C'est la fessée mon ami ! Et estime toi heureux que je ne te fasse pas
sentir la différence sur les fesses !
Patricia le reprit sur ses genoux, le
déculotta, mais au lieu de commencer tout de suite, décida de le faire mariner
un peu, en engageant la conversation sur les événements de la veille.
–
Dis-moi Gérôme, j'y pense, c'est quoi cette histoire de Hamster que tu nous as
racontée hier. Il est où, ce fameux Hamster ? Tu n'aurais pas inventé ce
mensonge pour échapper à la fessée de Margaret, par hasard?
–
Hein ? Mais non... Euuuuh... Mais si, madame Patricia, j'en ai un !
Je vous jure , c'est vrai !
–
Ah oui, vraiment ? Et il est où ce Hamster ? Je ne vois rien ici, qui
ressemble à ce petit animal de compagnie.
–
Euuuh... Il... Il est... Il est...Euuuh... Dans la cabane à outils... oui...au
fond du jardin.
Gérôme,
de plus en plus inquiet par la tournure de la conversation, crispe un peu les
fesses que Patricia tapote et caresse tout en continuant à lui poser des
questions.
–
Non ! La pauvre bête ! Quelle idée de l'enfermer là-dedans ? Pourquoi ne pas le garder dans ta chambre
?
–
Ben... C'est... C'est parce que... Euuh, il fait trop de bruit à tourner tout
le temps dans sa roue et... et ça
m'empêche de me concentrer l'après-midi quand je travaille.
–
Ah parce que tu travailles dans la journée toi, maintenant ?
La
main de Patricia se fait de plus en plus insistante sur ses fesses. Gérôme sent
que les petites tapes faussement affectueuses vont se transformer à n'importe
quel moment en véritable fessée. Il cherche une réponse plausible pour en
retarder l'échéance.
–
Euh... la nuit aussi...Ça me réveille tout le temps et je ne dors pas bien...
le... le lendemain je suis fatigué.
–
Oui bien sûr... et c'est pour ça que tu ne fiches rien en cours. Tu te moques
de moi ?
Il
sent la main de la jeune femme lâcher ses fesses pour prendre de la
hauteur.
–
Non-madame Patricia ! Non ! Je vous jure !! je vous jure, c'est
vr.... Raaaiiiiiiie !!!
La
première claque lui fait sauter le derrière avec un bruit retentissant.
–
Et bien, si tu as du mal à t'endormir ce soir, ça sera pas à cause du Hamster,
mais de la cuisson de tes fesses, mon ami !
Et
la nouvelle fessée repart, sous les cris, les pleurs et les supplications de
l'imaginatif propriétaire du Hamster
fantôme.
Cinq
fessées plus tard, Gérôme, tenu fermement par une oreille, ressortait de sa
chambre en gémissant, le visage inondé de larmes, bavant sa morve, et
remerciant sa préceptrice de lui avoir flanqué les bonnes fessées, grâce
auxquelles il avait bien appris ses leçons. Elle se positionna en haut de
l'escalier, le tenant courbé entre ses cuisses, le slip baissé, pour exhiber
son imposant fessier cramoisi, gonflé de claques, sous les yeux admiratifs de
Thérez et Anna sa sœur, venues contempler le résultat.
Elle
croisa ses mains sous son ventre, et le souleva pour l'obliger à exposer son
gros derrière flamboyant devant de sa mère et sa sœur debout au pied de
l'escalier. Elle le tient en l'air, comme un trophée, témoignant de
l'efficacité de sa méthode d'enseignement.
–
Mesdames, il faut rendre hommage à cette magnifique paire de fesses, qui vient
de se prendre, pas moins de cinq fessées déculottées. Gérôme sait, maintenant,
sa leçon par cœur !
Elle
le repose alors, à genoux par terre, et ces Dames applaudissent le derrière
écarlate et cuisant qu'il tient à pleines mains en gémissant. Campée au-dessus
de lui sur ses talons aiguille, elle rajuste tranquillement ses jarretelles,
détendues pendant les opérations.
–
Oh le vilain garçon ! Dit-elle en riant. Il mériterait encore une
fessée ! A force de tortiller du derrière sur mes genoux, Il a trouvé le
moyen de me filer un bas. Elle rabat sa
courte jupe plissée sur ses cuisses et le laisse en larmes sur le palier, pour
s'offrir une triomphale descente d'escalier.
–
Plus ça va, plus j'adooore ces cours particuliers du lundi.
Elle
se dirige vers la porte et en passant devant Thérez, lui murmure à l'oreille.
– Vous devriez aller voir dans la cabane de
votre jardin. D'après Gérôme, iI y aurait un Hamster en train de pédaler dans
une cage.
–
Un, un quoi vous dites ?.. De faire quoi ?
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
dire que de telles femmes existent en angleterre en amérique et pas en france,c'est vraiment navrant pour les passionnés comme moi de cuisantes fessées maternelles.
RépondreSupprimerserge...
Amis de la poésie et de la pédagogie aux abonnés Dolpiciens, bonjour Ramina,
RépondreSupprimerCa y est, la joyeuse bande de fesseuses so british est de retour.
Ah, ce bon vieux fesses tival de claques, rien de tel pour faire entrer dans la tête des garçons la grammaire et le vocabulaire. Par contre, pour l'accent, en braillant, ce n'est pas des plus aisé de prononcer les th et autres sons.
Je dois dire que pour de bons athlètes, il faut toujours une séance d'échauffement et la fessée d'arrivée est une bonne entrée en matière. Le fait que le puni l'accepte est d'autant plus propice à l'action.
Le thème du jour fait écho à ce qui suit. On ne pouvait décidément pas faire mieux comme sujet d'étude.
Le hamster dans la cabane au fond du jardin, une vraie chanson de Cabrel, ça, mais pour l'excuse, c'est raté et surtout pas crédible !
Amitiés.
Elena.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMerci pour ce petit privilège !
Tout un épisode consacré à mon/notre héros gaffeur Gérome.
Wahou ! Mais c'est Noël ! Dessin au top.
Esta Professora Patricia aqui ? Aqui es !
Calamity Pat', celle qui fesse plus vite que son ombre, a encore frappé ! La "Lucky Pat" de Synthol-s/Mer !!! Mais pas dans " la cabane... au fond du jardin ". Et le retour du h-Amster(Dan, que l'on surnomme "le Hollandais courant"), est pour bientôt ?
Merci, amigo ! Franchement, ça nous manquait ! Bon retour (?).
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerYes my dear, bon retour du sud ouest hier... Bigre j'ai pris du retard, du coup! pas mécontent de retrouver notre petite communauté.
Et ça fait plaisir de faire plaisir!
Jolies tirades de mots mêlés, enchevêtrés, à tiroir polyglotte. le hamster jovial fait une belle carrière ... au fond du jardin!
Oui c'est toujours tentant de remettre cycliquement en scène nos pieds nickelés gaffeurs, Gérôme, Robin, Rodolphe et compagnie,( bientôt Sébastien ), le frère de Géraldine. On peut être certain que leurs facéties et autres tours pendables finissent à chaque fois par attirer les cuisantes fessées des mères ou des soeurs, toujours prêtes à mettre la main à la pâte fessière.
Amicalement
Ramina
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerA l'évidence vous commencez à performer sérieux sur les commentaires acérés...
Et bien sûr, quid de mieux qu'une sévère préceptrice "so british", à la manœuvre, pour distribuer les "hard spanking" nécessaires à l'apprentissage de la langue anglaise. Par contre, effectivement, avec les cris, les pleurs et les supplications, bonjour les fautes d'accents, motifs de tours de fessées supplémentaires... Le cercle vicieux de la claque aux fesses!
C'est vrai que ces séances de fessées en série, relèvent un peu de la performance sportive. Tant du point de vue de celui qui reçoit, que de celle qui administre . ( Que dire ses tournées de fessées au martinet à St Croix!) Dépense d'énergie, endurance, performance, durées de fessées ,effort physique soutenu.... Comme pour des athlètes de haut niveau, une longue période d'échauffement s'impose, afin de bien préparer le derrière à donner le meilleur de lui même... à répondre "présent" comme ne cessent de répéter les sportifs sans qu'on leur ai posé la question ! (hi, hi!)
Patricia quant à elle, se montre toujours à la hauteur de l'enjeu...
Enfin !!! la fessée, c'est une affaire sérieuse !
Amicalement
Ramina
Bonjour Serge,
RépondreSupprimerOn le comprend , l'ami, dépité de ne pas trouver, main à ses fesses, comme chaussure à son pied ... Désolé de ne proposer que de la fiction à défaut de contact de belles femmes sévères administrant de cuisantes fessées ... maternelle ou pas ...
Amicalement
Ramina