Dès le repas terminé, nous fumes "priés" de
débarrasser et de ranger. Tous les deux nous obéîmes sans protester. Cela
n'était pas de mise. Ces tâches domestiques achevées, Madame Tolbois nous
indiqua, du doigt, la direction du séjour. Je savais bien ce dont il était
question. Notre hôte ne nous laissa pas longtemps dans le doute :
"C'est l'heure de votre fessée ! Maria, tu
retrousse ta jupe et toi, Daniel, tu baisses ton pantalon."
Je jetais un coup d'œil en coin à Maria pour voir comment
elle répondait à cet ordre. Maria fit de même à mon encontre. Cela suffit pour
provoquer le courroux de Madame Tolbois.
"Vous savez que je n'ai pas beaucoup de patience quand
il s'agit de vous punir. Si vous n'obéissez pas tout de suite, ce sera la
ceinture et une autre fessée demain pour désobéissance."
Je m'empressais de baisser mon pantalon et quand j'eus fini,
Maria tenait sa jupe retroussée largement au-dessus de sa taille.
"Enfin, ce n'est pas trop tôt !"
Madame Tolbois s'approcha de moi.
"Je ne veux plus voir d'hésitation quand je t'ordonne
de te préparer pour une fessée."
Elle accompagna cette remontrance par une claque sonore sur
le haut de ma cuisse. Puis elle fit glisser ma culotte le long de mes cuisses.
Alors elle se déplaça pour être à proximité de Maria qui reçut la même claque
que moi et dont la culotte fut abandonnée à hauteur de ses genoux. Maria eut un
geste instinctif pour couvrir sa nudité. Funeste erreur !
"Remets-moi cette jupe à sa place !"
Comprenant son erreur, Maria se dépêcha de reprendre la
position. Dès que ses fesses furent de nouveau accessibles elle reçut une grêle
de claques. Ses gémissements n’y changèrent rien.
"Tu sembles avoir vraiment besoin de cette punition,
conclut Madame Tolbois, commençons par toi."
Elle prit la main de Maria et l'entraîna vers le canapé.
Elle la fit passer sous son bras, la ceintura et la souleva de terre tout en
prenant place sur le canapé. Maria se retrouva à plat ventre sur le genou
gauche de Madame Tolbois tandis que ses jambes se logèrent entre celles de ma
logeuses et qu'elle tomba d'elle-même à genoux entre les pieds de son amie. Je
restais impressionné par la facilité avec laquelle elle avait positionné la
jeune femme punie, sans que celle-ci ait le temps de s'y opposer.
Alors, elle leva la main à hauteur de son épaule et la fit
descendre, avec le maximum de force sur la fesse gauche de Maria qui réagit par
un cri et une ruade bien inutile. Puis ce fut l'autre fesse qui subit le même
traitement. Enfin, la fessée prit son rythme, alternant régulièrement chacun
sur chacun des globes fessiers. A chaque fois que la main de Madame Tolbois claquait
le postérieur de la femme à plat ventre sur son genou, une vague se formait sur
la peau des fesses et se propageait dans toutes les directions.
Maria avait une peau plutôt blanche, parsemée de petites
taches de rousseur. Il suffit de quelques fessées pour que, là où la main de
Madame Tolbois se portait, la peau devienne assez vite rosée. Puis, la fessée
continuant, le rose se diffusait toujours plus largement, gagnant les
territoires périphériques, alors que le centre de chaque globe fessier prenait
une teinte plus sombre. Puis, progressivement le rose foncé du centre vira au
rouge tandis que le pourtour des fesses s'assombrissait. Bientôt, il fut
impossible de distinguer les taches de rousseur qui se confondaient avec le
rouge foncé qui recouvrait le sommet des fesses de Maria. Il était encore
possible de les distinguer sur le rouge moins soutenu qui avait envahi le côté
de chaque fesse.
Maria pleurait presque depuis le début du châtiment. Passé
la stupeur provoquée par les premières claques qu'elle avait accompagnées d'un
cri de douleur, Maria sanglotait et en me fondant sur ma courte expérience de
la fessée, c'était autant de honte que de douleur, du moins au début. Chaque
fessée était suivie d'un gémissement plus sonore qui s'étouffait dans un
nouveau sanglot.
La position dans laquelle Madame Tolbois l'avait mise ne lui
laissait que peu de marge de mouvement. Elle se contentait de battre des pieds
sans que cela ne gêne en rien l'administration de la correction. Madame Tolbois
la tenait à peine. Elle avait posé sa main gauche, bien à plat, sur les reins
de Maria, maintenant ainsi la jupe correctement retroussée. Maria ne cherchait
pas à profiter de cette relative liberté. Elle restait en place bien que,
apparemment, la douleur fût vive. Si ce n'était sa taille et sa toison pubienne
qui apparaissait au gré de ses mouvements, on aurait pu croire qu'il s'agissait
d'une petite fille recevant une fessée dont elle reconnaissait le bien fondé,
de la part d'une grande personne lui administrant une punition sévère mais
juste et méritée.
A tout bien regarder, c'est exactement ce qui se produisait.
Il y eut une courte rupture du rythme pour laisser le temps
à Madame Tolbois de se saisir de ma ceinture qui était opportunément restée sur
à portée de main. Autour de sa main, elle en enroula l'extrémité terminée par
la boucle. Puis, prenant son élan, elle fit retomber la large bande de cuir au
centre des fesses de Maria. L'extrémité libre, emportée par la vitesse du
mouvement, claqua sur le haut de la cuisse.
Maria poussa un hurlement qui s'abîma dans un sanglot
sonore. Ses muscles se tendirent, arquant son corps sur le genou de Madame
Tolbois. Ses pieds, un instant décollés du sol, retombèrent à la même place.
Madame Tolbois la tenait fermement. Elle avait ceinturé sa taille de son bras
gauche et elle la plaquait fortement contre son flanc. Ainsi maintenue en
place, Maria se trouva positionnée là où la ceinture l'attendait une nouvelle
fois. Celle-ci s'abattit sur l'autre fesse et son extrémité cingla la peau à la
jonction entre le fessier et la cuisse. La même scène se reproduisit. Mais
Maria était en bonne position pour recevoir la ceinture une troisième fois.
Puis le terrible instrument punitif, comme un métronome,
cingla régulièrement les fesses de Maria. Inlassablement, Madame Tolbois
prenait de l'élan puis elle lui donnait de la vitesse à la lanière de cuir pour
l'appliquer alternativement sur une fesse puis sur l'autre. A chaque fois que
l'extrémité touchait la peau tendre entre les cuisses de Maria, celle-ci
hurlait encore plus fort. Elle avait cessé ses brusques ruades pour laisser son
fessier à portée de la ceinture mais à chaque cinglée, tous ses muscles se
crispaient.
Les fesses de Maria tournèrent rapidement à l'écarlate. Mais
elle ne faisait aucune tentative notable pour se soustraire à la terrible
punition. Les premières ruades passées, Madame Tolbois maintenait Maria en
position sans faire d'effort apparent. Elle plaquait juste sa main à plat sur
le dos de sa victime.
Contemplant cette scène, j'étais fasciné par son côté
naturel. En y repensant par la suite, je ne trouvais rien de choquant dans
cette situation. Tout le potentiel érotique était gommé par le caractère
punitif. Maria, en s'y soumettant en reconnaissait la légitimité, et Madame
Tolbois, de par le sérieux qu'elle y mettait, s'appliquait à administrer un
juste châtiment. Je n'eus pas une pensée pour l'incongruité de la
situation : une femme d'âge mûr recevant, devant témoin, une fessée
déculottée qui la transformait en une petite fille sanglotant sur les genoux de
sa punisseuse.
Durant tout le temps où Maria recevait sa punition, je ne
songeais pas, malgré mes fesses dénudées, que je prendrai bientôt la place de
Maria pour y recevoir un châtiment sans doute équivalent.
Si elle fut sévère et intense, la fessée ne fut pas très
longue. Une fois que la totalité de la surface, du bas du dos au haut des
cuisses avait pris une teinte écarlate, Madame Tolbois cessa la fouettée. Les
crispations des muscles de Maria continuèrent quelques instants, puis elles
s'estompèrent. Les sanglots perduraient et Maria restait en position punitive.
Madame Tolbois laissa la situation durer un petit peu. Puis, prenant Maria par
les épaules, elle la redressa.
"Relève-toi ! Reprend ta place à côté de Daniel !"
Visiblement, Maria s'empressait d'obéir. On l'aurait fait à
moins.
"Retrousse ta jupe qu'on puisse voir tes
fesses !"
C'est alors que je pris conscience que mon tour était venu. La
boule dans mon ventre qui avait presque disparu reprit toute sa place.
"A ton tour, Daniel !"
Malgré l'angoisse qui montait, je pris la place que je
commençais à bien connaître. Il n'était pas du tout dans mes intentions de
résister de quelque façon que ce fusse. Madame Tolbois passa un bras autour de
ma taille et me courba sur son genou. Glissant son autre main entre mes
cuisses, elle la plaqua sur mon ventre. Qu'elle ait dû, dans son geste, écarter
mon sexe, ne provoqua aucune réaction, ni de sa part, ni de la mienne. Ce début
d'attouchement n'avait rien de sexuel et je ne m'y trompais pas. Toute mon
attention était focalisée sur la fessée à venir et sur l'impérieuse nécessité
de montrer mon obéissance. Autant que je puisse en juger, elle me souleva
facilement pour me positionner plus à sa main.
Le visage enfoui dans les coussins du canapé, je ne voyais
plus rien des préparatifs de ma logeuse. Je les suivais grâce aux sensations
sur ma peau. Elle relava le pan de ma chemise qui était légèrement retombé,
puis, sans appuyer outre mesure, elle posa sa main à plat dans le creux de mes
reins. Enfin, elle resserra ses jambes de chaque côté de mes cuisses. Je savais
les préliminaires achevés. La fessée était proche.
Je sentis l'élan que Madame Tolbois prenait et la première
claque tomba sur mes fesses. Alors, elles se succédèrent sans interruption. Je
ne cherchais pas à lutter contre la douleur. Je laissais libre cours à mes cris
puis, rapidement, à mes pleurs. Mes mouvements sporadiques consistaient tout
juste en quelques tortillements sur le genou de ma logeuses et en quelques
battements de pieds limités par mon pantalon entourant mes chevilles. Après
avoir reçu suffisamment de claques pour échauffer sérieusement mon postérieur,
j'oubliais tout de ma situation : l'indécence de ma tenue, l'exposition de
mon intimité et la présence d'une spectatrice. Seule la présence dominatrice de
Madame Tolbois s'imposait à mon esprit. Je priais pour qu'elle considère enfin
mon châtiment comme suffisant au regard de ce qui l'avait motivé.
Lorsque, dans un premier temps, elle me relâcha, puis
qu'elle me ceintura plus fermement, je sus que le temps de la ceinture était
venu. Bien que ce fût la troisième fois que je la recevais, la sensation de
douleur n'en était pas moins forte.
La ceinture provoquait instantanément une sensation de
brûlure qui ne disparaissait plus et allait en s'amplifiant. Tout d'abord,
c'était le plat du cuir que je sentais au centre de mes fesses provoquant une
première douleur qui s'accompagnait d'un bruit sourd. Dans la fraction de
seconde qui suivait, c’était l'extrémité de la ceinture qui finissait sa course
quelques centimètres plus bas. Le son qui l'accompagnait était plus sec, mais
la douleur plus vive, comme un pincement suivi d'une brûlure intense. La fessée
à main nue avait sérieusement échauffé mes fesses. La ceinture l'embrasa en
quelques instants. Puis, la punition se poursuivant, la douleur semblait toujours croître un peu plus.
Pour autant, à l'instar de Maria quelques minutes plus tôt,
je ne me débattais pas, je ne cherchais pas à me soustraire à mon châtiment.
Sans que cela fût conscient, j'acceptais cette punition comme méritée, laissant
à Madame Tolbois le soin de décider de sa durée.
Comme presque à chaque fessée, alors que je n'en espérais
plus la fin, celle-ci arriva malgré tout. Surtout quand elle est administrée
avec une ceinture, il faut un peu de temps pour se rendre compte que la fessée
est achevée.
Comme souvent après une fessée sévère, Madame Tolbois ma
laissa en position punitive quelques instants, le temps que je reprenne mes
esprits. Elle en profita pour inspecter la cuisson de mes fesses.
"Relève-toi, ordonna-t-elle."
Je repris ma place aux côtés de Maria.
"Chacun dans votre coin !"
De concert, nous nous dirigeâmes vers notre lieu respectif de
pénitence. La pudeur qui avait marqué notre déculottage n'avait pas laissé de
trace. Les deux adultes punis que nous étions, obtempérions sans discuter,
traversant la pièce, nus de la taille aux mollets et, gênés dans notre
déplacement par nos vêtements baissés, adoptant une démarche à petits pas qui
commençait à me devenir familière. Puis, plaçant mon nez dans le coin, croisant
mes bras dans le dos, je perdis de vue ma compagne de punition.
"Voilà qui est parfait, commenta Madame Tolbois, vous
avez tout le temps pour réfléchir à la bêtise qui vous a conduits là où vous
êtes."
Elle alluma le poste de télévision qui se trouvait entre
Maria et moi. Elle avait ainsi certainement une bonne vision sur nos fesses
dénudées.
Etre mis au coin est une situation très embarrassante. Les
premières minutes, c'est la douleur résiduelle de la fessée qui prédomine. Quand
celle-ci avait été sévère, des ondes de
souffrance parcouraient la peau là où elle avait été particulièrement meurtrie.
Je devais résister à une envie pressante de masser mes fesses, ce qui m'était
strictement interdit chez Madame Tolbois. Cela occupait toute mon attention
d'autant plus que, souvent, je devais étouffer les sanglots qui montaient
encore du fond de ma gorge. J'étais alors assez indifférent à ce qui se passait
derrière moi et au spectacle que je pouvais donner.
Mais même après les fessées les plus sévères que j'ai pu
recevoir, mon temps d'exposition au coin était suffisamment long pour que la
douleur devienne élancement et souvent, les minutes passant, ne restait qu'un
tiraillement qui parfois même s'estompait totalement. C'est à ces moments que
je prenais conscience de ma situation. Je cherchais à deviner qui pouvait
m'apercevoir dans cette tenue aussi humiliante alors que seule l'écoute des
bruits me permettait d'avoir quelques repères. Bien qu'étant habitué à la
présence de ma logeuse qui vaquait à ses occupations sans me prêter attention,
je n'arrivais pas à me faire à l'idée d'exposer mon anatomie intime à son
regard. Peu à peu montait un sentiment de honte dont les causes étaient
mêlées : honte d'avoir commis une bêtise qui m'avait valu une punition,
honte d'avoir dû me soumettre à la fessée déculottée, et honte d'exhiber publiquement
mes fesses nues révélant ainsi, bien au-delà de la durée de la fessée
elle-même, mon statut de grand garçon puni quand il l'avait mérité et de ma
soumission à ma logeuse.
Enfin, le temps s'étirait et semblait s'être arrêté. L'exigence
d'immobilité quasi-totale qui constituait la règle d'une mise au coin, devenait
peu à peu désagrément, puis j'avais de plus en plus de mal à garder cette position
inconfortable dans laquelle mes muscles se tétanisaient. Il fallait alors
concentrer ma vigilance afin de ne pas quitter la posture qui m'avait été
assignée. J'en connaissais les conséquences : une deuxième fessée, tout
aussi douloureuse que la première, m'aurait été immédiatement administrée,
suivie d'un retour dans le coin pour une durée encore plus longue. Je
souhaitais alors vivement la présence de Madame Tolbois. Peu m'importait alors
qu'elle puisse contempler mes fesses nues. Elle seule pouvait me libérer de
l'obligation de me tenir en pénitence.
Ce soir-là, à la fin du premier jour où j'avais reçu la
fessée de la part de Madame Tolbois, je découvrais ces sensations. Je ne me
rappelle pas d'avoir ressenti l'envie de me rebeller contre l'autorité de ma
logeuse. Depuis mon premier déculottage, le matin même où j'avais résisté au
moins en pensée, je ne contestais plus le bien-fondé des punitions qu'elle
m'administrait. Elles m'apparaissaient maintenant comme une juste rétribution
de mes désobéissances, un moment douloureux qui permettait à Madame Tolbois de
pointer un comportement délictueux et à moi d'en prendre conscience sans qu'il
me soit permis d'en douter. La fessée faisait partie de la vie chez Madame
Tolbois, il était donc normal que j’y sois soumis quand je l’avais méritée.
Bien souvent par la suite, je repensais à ce que Madame
Tolbois avait expliqué cette après-midi à Maria. Je dus bien vite convenir de
son exactitude. Bien que très embarrassante, cette relation me convenait. Le
contrôle qu'exercerait désormais Madame Tolbois sur tous les aspects de ma vie,
répondait à une nécessité profonde, à un besoin de sécurité que je n'avais pas
encore trouvé ailleurs ou à un autre moment de ma vie. Recevoir la fessée
déculottée en faisait partie. C'était, certes, un moment déplaisant et
humiliant, mais qui ponctuait à raison ma nouvelle vie chez Madame Tolbois.
"Maria, viens ici !"
Si j’en juge par ce que j’entendais qui venait de la
télévision, c’était à la fin de l’émission que Madame Tolbois regardait. Je
reconnaissais la musique qui accompagnait le générique.
"Allons, laisse-moi faire"
Cette réprimande fut accompagnée du bruit que faisait une
main claquant la peau nue.
"Aïe, non, pas la fessée, supplia Maria"
"Si tu es sage et que tu me laisses faire, il n'y a pas
de raison que je te punisse une nouvelle fois ce soir. A moins que tu ais
désobéi pendant que tu étais au coin?"
"Non, non, Madame, j'ai été sage"
La voix de Maria laissait percer sa crainte de façon tout à
fait claire.
"Alors tu n'as rien à craindre. Après avoir reçu la
fessée, ta faute est pardonnée. Je ne te punirai que lorsque tu l'auras mérité.
Pour le moment, je n'ai pas d'autre raison de te corriger. Ne te fais pas
d'illusion il y aura d'autres occasions, sans doute demain."
"Oh, répondit Maria."
Puis le silence s'installa pendant quelques instants.
"Bon, commença Madame Tolbois, je vois que tu t'es
remise assez vite de la fessée. A peine quelques rougeurs et quelques marques
laissées par la ceinture. Pas de quoi te pommader les fesses. Ce ne sera pas
nécessaire."
Comme je pus le constater à chaque fois, Madame Tolbois,
après nous avoir administré la fessé se préoccupait également de ses
conséquences. Après chaque fessée un peu appuyée, elle inspectait l'état de la
peau de nos fesses et y apportait les soins adéquats à chaque fois qu'elle
estimait que la sévérité de la fessée avait marqué exagérément notre
postérieur.
"Relève-toi, ordonna Madame Tolbois, je vais te mettre
au lit. Enlevons d'abord cette culotte, tu n'en as plus besoin ce soir."
"Oh, mais …"
Le début de protestation de Maria fut interrompu par une nouvelle
claque sur les fesses.
"Allons, avance!"
"Mais, Madame, il faut que je traverse la rue, je dois
remettre ma culotte."
"Je vais t'apprendre à me répondre!"
J'entendis quelques froissements de tissu entrecoupés de
gémissements de Maria. Puis le bruit caractéristique d'une fessée administrée
sur les fesses nues retentit dans la pièce. J'imaginais sans difficulté Maria
courbée sous le bras de ma logeuse, la jupe retroussée sur ses reins, recevant
la correction promise.
"Non, aïe …, pardon, aïe … je vais obéir, aïe, je vais
obéir, aïe …"
Bien que cela n'allégeât pas la fessée, Maria, comme moi
dans de semblables circonstances, ne pouvions pas nous empêcher de supplier
notre fesseuse. Cela restait sans effet. Madame Tolbois poursuivit la punition
jusqu'à avoir une jeune femme en sanglots ployée sous son coude.
"Puisque tu préfères traverser la route avec les fesses
brûlantes, te voilà servie. Estime-toi heureuse que je ne t'ôte pas la jupe
pour de faire traverser la rue cul nu. La prochaine fois, c'est ce que je
ferai ! Tout ce que tu as gagné, c'est une grosse fessée que je vais
t'administrer avant de te coucher."
Il y eut encore une claque sur les fesses nues.
"Allons, file !"
Maria ne demanda pas son reste. Je pouvais suivre son
déplacement vers la porte grâce aux sanglots et gémissements qu'elle émettait.
"Et toi Daniel, tu m'attends sagement au
coin !"
J'entendis la porte se fermer, puis le silence s'installa.
Premier épisode : chapitre 1
Episode précédent : chapitre 6
Episode suivant : chapitre 8
de plus Madame Tolbois donne aussi des fessés à d'autres femmes.
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