Le salon de Madame Rose en plus de ses
activités de soins du corps et de fessothérapie avait une activité de vente
d'accessoires nécessaires à la discipline domestique. Lola avait eu l'adresse
par une amie qui l'avait introduit, Edwige semblait peu enthousiaste sachant
que sans doute ses fesses feraient rapidement connaissance avec quelques-uns de
ces instruments. Sophie leur avait présenté en premier les martinets, désigné
comme nous l'avons déjà vu par des numéros de un à trois en fonction de la longueur
des lanières, Sophie leur expliqua l'intérêt de choisir le un avec ses courtes
lanières pour une fessée en position classique le sujet allongé sur les genoux,
mais également pour sa facilité à le glisser dans un sac à main.
- il est toujours intéressant d'avoir un
martinet à disposition n'est-ce pas ?
Lola approuvait mais Edwige faisait la
grimace, Sophie leurs présenta la spécialité maison, une petite raquette en
cuir de forme ronde.
- voyez mesdames, elle est faite sur
mesure par un artisan sur les instructions de Madame Rose, la taille correspond à
la surface d'une fesse standard comme celle de madame,
Elle désignait Edwige qui rougit
fortement à cette allusion à un futur châtiment.
- ainsi par rapport à une fessée
manuelle, vous gagnez en efficacité.
Elle leurs présenta ensuite une autre
spécialité le plug avec compteur, cet instrument notait chaque manipulation,
ainsi quand on l'introduisait il marquait un et deux quand on le retirait,
Sophie expliqua l'intérêt de la chose, si on mettait un plug à sa punie pour
plusieurs heures, on pouvait contrôler qu'elle n'avait pas essayé de le toucher
ou pire de l'enlever. Cependant Sophie leur expliqua que cet instrument n'était
vendu qu'après une séance d'apprentissage auprès de Madame Rose car la mise en
place pouvait être délicate. Elle leurs présenta enfin ce pour quoi elles
étaient venues, à savoir la culotte à fessée, c'était également une spécialité
maison, c'était en apparence une culotte blanche classique mais le fond de ce
sous vêtement était séparé du reste, il était retenu à la ceinture par trois pressions, ce qui fait leur expliqua Sophie que le déculottage en était
grandement facilité.
- en cas de nécessité, fessée rapide en
extérieur, vous courbez madame sous votre bras, vous relevez la jupe et juste
en tirant sur les pressions vous avez les fesses à disposition le fond de la
culotte restant attaché à l'entrejambe vous pouvez reculotter rapidement la
punie et continuer votre route, si vous désirez la laisser fesses à l'air vous
retirez la dernière pression entre les cuisses et il n'y a plus de fond juste
des bandes de dentelle à la ceinture et autour des cuisses, le devant reste en
place pour respecter la pudeur de madame. C'est également pratique pour les
dames un peu fortes avec un volumineux postérieur où le déculottage est quelque
fois un peu compliqué. Et puis sentir que son fond de culotte peut être enlevé
aussi rapidement c'est assez angoissant pour la punie n'est-ce pas madame.
Sophie s'était volontairement tournée
vers Edwige. Lola approuva et demanda si son amie pouvait l'essayer puisque
c'était pour elle. Edwige rougit violemment à cette allusion évidente à son
statut de punie. Sophie acquiesça et leur indiqua la pièce où Gérard s'était
changé, quelques instants plus tard Edwige tirée par la main par Lola apparu en
culotte dans le hall d'accueil.
Pouvez-vous nous faire une démonstration
Mademoiselle ?
Sophie n'attendait que cela, mais elle
regarda en direction de Monique dont le fessier était encore bien rouge, Sophie
tenait absolument à montrer ses talents de fesseuse.
- pas de problème mais avant je dois
m'occuper de madame, ses fesses ont perdu un peu de leur couleur.
Elle saisit la pauvre Monique par
l'oreille et l'amena jusqu'à une chaise, elle s'assit et bascula
l'ophtalmologue en travers de ses cuisses, celle-ci n'avait pas protesté
pourtant à quarante ans cette bourgeoise bien connue dans la bonne société se
retrouvait en position disciplinaire fesses à l'air en parfaite position pour
recevoir un châtiment habituellement réservé aux gamines insolentes, qui plus
est, celle qui allait lui administrer ce châtiment humiliant avait à peine vingt ans. Sophie ne perdit pas de temps elle leva la main et commença la fessée,
celle-ci fut rapide à peine trois minutes pour pas moins de deux cents claques
généreusement distribuées sur la croupe bien tendue par la position. Quand elle
cessa la punition les deux fesses avaient pris une couleur rouge brique et en
regardant bien on pouvait voir une légère buée s'élever de la peau brûlante.
Monique pleurait à chaudes larmes quand Sophie la reconduisit au coin toujours
tenue par l'oreille. Les deux dames avaient été impressionnés par la technique
de Sophie, surtout Edwige qui craignait d'avoir à l'expérimenter. La suite
allait lui donner raison, Sophie s'approcha d'elle puis rapidement elle la
courba sous son bras, les trois pressions sautèrent et la ravissante paire de fesses
apparu au grand jour, Lola applaudi.
- mais c'est parfait, quelle rapidité ce
déculottage, tenez comme elle est en bonne position, flanquez-moi une bonne
fessée à cette dame je lui en doit une depuis tout à l'heure pour sa mauvaise
humeur.
Sophie ne se fit pas prier, toujours
ravie d'avoir une paire de fesses à claquer. Edwige trépignait sur place sous
la brûlure de la fessée quand Madame Rose apparu.
- puis-je savoir qui vous a donné
l'autorisation de fesser cette dame ?
Sophie relâchant Edwige piqua un fard et
bredouilla, Madame Rose lui indiqua le comptoir.
- en position !
Sophie s'exécuta, à côté du comptoir il
y avait un plan plus bas à la hauteur d'un bureau, elle s'y pencha puis
retroussa sa jupe et descendit sa culotte sous ses fesses. Pendant ce temps
Edwige cherchait à cacher ses fesses en remontant son fond de culotte, elle fut
arrêtée par Madame Rose.
- depuis quand une punie se reculotte
sans autorisation ? Allez vous mettre au coin les mains sur la tête.
Edwige se dirigea vers le coin le fond
de sa culotte pendant sous ses fesses.
Mme Rose s'approcha de son assistante,
elle prit la raquette en cuir de démonstration et administra à Sophie une
vigoureuse fessée, celle-ci gémis sous la cuisson mais elle ne bougea pas,
quand ce fut fini ses fesses étaient écarlates,
- la culotte au clou !
Madame Rose était inflexible, Sophie retira
sa culotte et l'accrocha à un crochet derrière son bureau où était indiqué son
nom, en voyant cette culotte suspendue, les clients devinaient que la
demoiselle était cul nu sous sa jupe.
Madame Rose saisi Edwige par l'oreille et
comme elle l'avait fait pour Gérard elle posa son pied sur la chaise et bascula
la jeune femme sur sa cuisse, cette position très humiliante faisait retomber
les punis en enfance, sous l'autorité d'une sévère maîtresse d'école. Elle
avait gardé la raquette en cuir à la main, une centaine de claques plus tard,
les fesses d'Edwige n'avaient rien à envier à celle de Monique. Lola était aux
anges, certes elle aimait administrer la fessée à son amie, mais la voir punie
par une autre personne n'était pas désagréable.
Madame Rose laissa Sophie finir de
s'occuper de ces dames, Gérard l'attendait pour une troisième et dernière
fessée.
Edwige avait été remise au coin et les
deux jeunes femmes discutait des bienfaits de l'éducation claquante pour les
dames ou les messieurs. Une sonnerie signifia que la pénitence de Monique Dumon
était terminée, Sophie la fit venir.
- tournez-vous que j'examine vos fesses,
allez vite, vous faut-il une autre fessée pour vous faire obéir, bien penchez-vous.
Elle prenait un malin plaisir à humilier
cette dame un peu hautaine habituellement mais qui la n'en menait pas large et
docilement montrait ses fesses rouges et les tendaient même pour permettre à
Sophie de les examiner, elle les palpa, insinuant même sa main dans la raie fessière
pour écarter les deux globes jumeaux, puis elle tapota les fesses rouges.
- c'est bien vous devenez obéissante,
c'est fou comme une bonne fessée déculottée peut rendre docile les grandes
dames. Bon ces fesses me paraissent en parfait état, vous pourrez recevoir les
fessées prévues à votre programme demain, je vais vous donner votre rdv.
Elle retourna à son bureau laissant la
pauvre Monique désemparée exposant toujours ses fesses dénudées.
- bien, disons demain à 16 h, vous ferez
la fermeture puisque je vois que Mme Rose vous a prévu deux séances de fessées
avec une heure de pénitence au coin entre les deux.
Puis elle se leva fit pivoter Monique
pour que ses fesses soient en face de Lola, elle la courba sous son bras pour
lui faire bien présenter sa croupe rebondie et levant la raquette en cuir elle
administra à Mme Dumon sa dernière fessée de la journée. Quand elle la relâcha,
celle-ci avait des larmes qui coulait sur les joues et elle trépignait sur
place pour essayer d'atténuer la cuisson qui lui embrasait le bas du dos, elle
avait appris à ses dépens qu'il ne fallait pas frotter ses fesses après la
fessée sous peine d'un retour immédiat en position disciplinaire pour une
deuxième correction en général plus sévère que la première. Sophie était
satisfaite du résultat, la façon dont Monique réagissait était la preuve de
l'efficacité de la punition.
- cessez ces manières et reculottez-vous,
vous n'avez reçu qu'une bonne fessée et vous l'aviez bien mérité ce n'est pas
la peine d'en faire tout une histoire, à moins que vous ne vouliez revenir sur
mes genoux ?
Immédiatement la jolie bourgeoise
transformée par la grâce de la fessée en gamine punie, cessa de pleurnicher et
entrepris de remonter sa culotte sur ses fesses brûlantes.
Quelques minutes plus tard, elle était
au volant de sa voiture, des lunettes noires pour cacher ses yeux rougis et se
dandinant sur son siège pour atténuer la douleur. Elle devait reprendre ses
consultations dans une demi-heure.
Pendant ce temps, Sophie avait été
chercher Gérard dans le bureau de Madame Rose et le tenant par l'oreille elle
l'avait mis au coin, culotte baissée et fesses écarlates, il avait goûté du
martinet et son fessier en gardait un souvenir cuisant.
Une jeune femme attendait son tour, elle
était là pour une épilation intime, c'était sa première visite et bien qu'ayant
signé les conditions d'accès au salon qui précisait que la fessothérapie
pouvait être punitive elle avait été surprise de voir une dame déculottée, les
fesses bien rouges dans un coin mais quand elle vit Sophie arriver tenant un
monsieur en pleur par l'oreille, accompagnant sa marche par quelques claques
sur les fesses nues, elle ouvrit de grands yeux.
Sophie signifia à Edwige que sa
pénitence était terminée, Lola lui intima l'ordre de rester fesses à l'air tant
qu'elle n'aurait pas réglé ses achats, Sophie s'adressa à Valérie, c'était le
prénom de la nouvelle cliente.
- je suis à vous dans un instant, en
attendant passez dans la cabine et déshabillez-vous, ne gardez que la culotte
et le soutien-gorge, j'arrive pour faire votre dossier.
Un peu surprise de devoir se déshabiller
avant de remplir son dossier elle failli poser une question mais la vue des
deux fessiers rougis l'incita à la prudence et elle s'exécuta.
Lola s'était décidée elle prit un lot de sept culottes à fessée, une par jour, le nom de chaque jour était inscrit sur le
fond avec une main grande ouverte. Elle prit également un martinet numéro un,
pour l'avoir toujours à portée dans son sac à main. Très bon choix approuva
Sophie, le martinet de voyage est très bien adapté à la culotte à fessée. En
cadeau de bienvenue la jeune femme lui offrit la raquette en cuir qui avait
déjà servi sur les fesses d'Edwige. En souriant Lola pris son amie par la main
et après s'être assise sur une chaise, elle la bascula en travers de ses genoux
puis levant la raquette elle commença à administrer une claquante fessée.
Edwige n'était plus cette trentenaire cadre dans une grande entreprise mais une
adolescente mal élevée corrigée par sa baby sitter, Lola en avait l'âge, elle
qui était encore étudiante.
- c'est vrai que cette raquette fait
exactement la taille de ta fesse ma chérie, je vais économiser mes mains,
quelle efficacité, une vingtaine de claques et les fesses sont toutes rouges,
tu n'avais pas encore eu droit à la fessée de Lola cet après-midi et bien voilà
qui est fait.
Pendant qu'elle parlait, elle continuait
d'appliquer soigneusement de grandes claques sur les fesses tendues de son amie
qui s'était mis à pleurer et à supplier comme c'est habituel pendant une bonne
fessée. Jugeant le résultat satisfaisant, elle ragrafa le fond de la culotte et
permis à Edwige de se relever.
- voilà, une bonne déculottée pour la
route. Allez on y va,
Sa main avait accompagné ses paroles et
avait claqué la jupe redescendue.
Sylvie nous a déjà gratifié de plusieurs récits.
Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités
Et celui-ci comporte un épisode précédent
Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : Chapitre 1
Et il y a une suite...
... la semaine prochaine, c'est assez probable.
Et toujours les commentaires
Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.
Bonjour, Sylvie. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerQue voilà tout un matériel bien utile dans un contexte comme celui de la fessée. Cette pauvre Edwige va passer tout un tas de sales quarts d'heure. Quant à Valérie, la petite nouvelle, qui tombe des nues, sans doute va-t-elle finir par avoir, elle aussi, le derrière joliment décoré.
J'aime beaucoup, pour ma part, le rythme et le ton de votre récit. Un vrai régal!
Amicalement.
François
Que de fessées, c'est délicieux !
RépondreSupprimerContinuez svp !
C'est une confrère du docteur Legendre ? On s'y croirait presque...je m'immaginerai presque dans la salle d'attente..
RépondreSupprimerAmis de la poésie et des accessoires à fessée... bonjour!
RépondreSupprimerGiboulées de fessées en mars... Averse de claques aux fesses chez madame Rose qui sait agrémenter les déculottées avec une séries d'accessoires parfaitement efficaces à faire reluire les derrières en pénitence.
L'imagination au pouvoir pour rendre la vie plus agréable aux fesseuses. Après les slips à fessée pour homme dans "CDAMF", on apprécie la culotte à fessée à ouverture facile, pour un accès rapide aux paires de fesses à corriger en libre sévice !
Idée pénétrante que le Plug à tête chercheuse, aussi efficace que les nouveaux compteurs "Engie" pour mieux contrôler le mode et la fréquence d'utilisation de l'engin. Raquette claquante sur mesure, martinet à manche court pour sac à main... Madame Rose pense à tout pour le confort des fesseuses et augmenter le rendement et l'efficacité des fessées! Et ça va chauffeeeeer, comme dit Peter.
Cela fait le bonheur de Sophie et le malheur des fesses d' Edwige sur lesquelles Lola expérimente la raquette en cuir sur mesure. Essai transformé.
Récit mené à toute allure... Madame Rose et Sophie, l'intraitable collaboratrice, rétablissent les cadences infernales et enchaînent les fessées à flux tendu, comme les derrière en CDI.( Contrats de déculottées indéterminées !)...
On attend la suite de la production avec impatience!
Amicalement
Ramina
Oui çà donne vraiment envie d sy rendre pour être copieusement et bienfessé par ces dames.
RépondreSupprimerJ aime beaucoup les fessées a cul nu sur les genoux jai une jolie paire de fesses imberbes et douce je la donne aussi très bien a homme femme trav trans fessée soft ou punitive selon les demandes ci intéressé laisser un message svp merci je suis a 50 kilometres de Paris
RépondreSupprimer