« Paul ! Tu remets ton nez dans le coin tout de suite ! »
Il renfonça son nez dans le coin. Quelle folie ! Madame
Caroni allait-elle le punir pour cette désobéissance ? Il serra les fesses
et ferma les yeux. La réaction sa tutrice ne venait pas alors que la fessée se
poursuivait. Paul se détendit.
Il n’avait plus que ses oreilles pour comprendre ce qui se
passait dans la pièce où il se tenait. Le claquement de la main sur la peau
nue, un cri de la jeune femme, un autre claquement. La seule variation venait
de la fréquence avec laquelle la main arrivait sur les fesses et de l’intensité
des réactions de la jeune femme. Et la fessée cessa.
« Cela suffira pour ce soir, n’est-ce pas ma
chérie ? »
Maïlis pleurait, incapable de répondre.
« Y aura-t-il encore des colères ? »
Maïlis fit un gros effort pour maîtriser sa respiration
avant de répondre.
« Non, Zia Margherita, c’est terminé !
– Terminé ? Ne t’avance pas trop. L’habitude de faire
des colères ne passe pas aussi vite que cela, mais maintenant, tu sais ce qui
t’arrivera à la prochaine.
– Oui, Zia.
– Voilà une bonne chose de faite. Va te remettre dans ton
coin. »
Un léger frottement des pieds et quelques sanglots
insuffisamment ravalés indiquèrent à Paul le lieu vers lequel se dirigeait la
jaune femme. Ce n’est que quand Madame Caroni tira sur son oreille pour le
sortir du coin qu’il comprit que sa punition n’avait été que légèrement
différée. Il n’avait pas entendu sa tutrice approcher.
« Voyons voir su j’arrive à t’expliquer comment il faut
se tenir au coin. Il semble que des mots n’y suffisent pas. »
Elle avait courbé Paul sous son bras. La suite ne faisait
pas de doute.
« Mets-toi à genoux ! »
Madame Caroni pesait sur le dos de Paul qui obéit. Il ne
songea pas un instant qu’il aurait pu faire autrement. Madame Caroni dégagea sa
cible, en remontant la chemise qui couvrait les fesses.
« Si je vois ta main qui protège tes fesses, je prends
la ceinture. Elle n’est pas loin ! »
La main de Madame Caroni provoqua une fournaise sur ses
fesses en quelques minutes. La position à genoux était douloureuse et elle ne
permettait aucun mouvement. Faire passer son poids d’un genou sur l’autre était
quasiment impossible, sans compter bouger un genou, même d’un centimètre. Pas
question de remuer des pieds, pas question de gigoter du bassin.
Paul ne voulait pas manifester sa souffrance en présence des
deux jeunes femmes. Il serrait les dents, mais ses fesses se ressentaient
encore des effets de la ceinture. Il avait besoin de se raccrocher à quelque
chose de tangible. Il entoura la cuisse de Madame Caroni de ses deux bras et il
se serra contre elle.
La douleur n’en était pas plus supportable, mais le contact
étroit avec la personne qui le fessait, le rassurait. Il avait l’impression
d’une plus grande intimité et la sensation d’une compréhension mutuelle, comme
si recevoir la fessée de la main de sa voisine était une situation normale, une
punition dont il retirerait de grands bénéfices pour peu qu’il en accepte le
principe. Il rejeta cette idée. Il ne lui était pas possible d’admettre que
cette punition était justifiée. Il n’en relâcha pas pour autant la pression de
ses bras sur la cuisse de Madame Caroni.
Paul laissa passer quelques gémissements entre ses lèvres.
Après, il se laissa aller et il ne fit plus aucun effort pour retenir ses cris
et ses larmes, exactement comme l’avait fait Maïlis avant lui.
« As-tu enfin compris que quand je te mets au coin,
c’est parce que plus personne ne veut voir ton nez de vilain garçon
désobéissant ? Il doit rester tourné vers le mur. C’est déjà bien assez de
contempler tes fesses ! »
Madame Caroni appuyait chacun des syllabes qu’elle
prononçait par une claque sur les fesses de Paul, aussi forte qu’elle le
pouvait. Paul comprenait la logique de la correction qu’il recevait. Mais il
n’arrivait pas à admettre y être soumis régulièrement, comme Madame Caroni le
lui avait promis.
Il fut soulagé quand la fessée prit fin. Ses fesses étaient
brûlantes.
« Je pense que tu vas maintenant préférer garder ton
nez dans le coin. Si ce n’est pas le cas, je peux recommencer aussi souvent que
nécessaire. La prochaine sera bien plus sévère. Tu sais que je peux y arriver
sans problème ! »
Ça oui, il le savait.
« Retourne te mettre au coin ! »
Madame Caroni l’accompagna jusque-là.
« A genoux ! Tu vas te mettre au coin à genoux
pour un bon moment. »
Paul n’avait aucune envie de discuter, bien que l’ordre de
Madame Caroni, auquel il allait se conformer, l’inquiétait. Il venait de
quitter cette position et il avait pu constater combien elle était difficile à
tenir. Combien de temps sa tutrice le laisserait-elle au coin dans cette
position ? Il n’avait pas la réponse. Il s’agenouilla cependant.
« D’être à genoux ne t’empêche pas de croiser tes bras
dans ton dos et de remonter ta chemise ! »
Paul rectifia sa position. Il lui sembla, qu’à cause de ce
simple geste des aiguilles rentraient dans ses genoux. Cela allait être encore
plus difficile qu’il ne l’avait cru.
« Désolée de t’avoir fait patienter, Camille, mais la
fessée que je devais à ce garçon passait en priorité. Je suis à toi,
maintenant. »
Camille se serait bien passée de bénéficier de l’attention
de Madame Caroni, mais cela faisait maintenant partie de sa vie. Il fallait en
passer par là. Elle était venue se placer debout devant sa tutrice, sans
rechigner. La présence de ce garçon la gênait, bien entendu, mais elle ne s’en
plaignit pas. Il n’aurait pas été raisonnable de protester alors que ses fesses
nues étaient à portée de la main de Madame Caroni.
« Je veux que tu comprennes qu’à chaque fois qu’il sera
nécessaire de te fesser au travail, qui que ce soit qui doive sévir, tu auras
une deuxième correction, le soir, une fois arrivée à la maison. »
Camille écoutait attentivement ce que disait Madame Caroni.
Elle avait compris que l’inattention n’était pas de mise. Une fois avait suffi.
Elle n’avait aucune intention de recommencer à être distraite quand Madame
Caroni la grondait. Elle s’efforçait d’intégrer ce qui lui était dit. C’étaient
de précieuses informations qui lui serviraient, peut-être, à éviter une autre
correction si elle était très attentive.
Camille ne protestait pas contre la décision de sa tutrice.
le plus ennuyeux, si l’on peut dire, ce n’était pas d’être punie à la maison.
Elle commençait à en avoir l’habitude et à l’envisager comme un effet évident
de sa nouvelle condition de pupille. Non, ce qui la gênait, c’était que
désormais Madame Daurent recourût à la fessée. Sa patronne l’avait envisagé
avec un tel naturel que Camille ne voyait pas comment elle ferait pour l’éviter.
Paul, de son côté, n’en croyait pas ses oreilles. Désobéissance,
colère, gros-mots… la liste des raisons pour recevoir une fessée chez Madame
Caroni, était longue. Mais imaginer qu’il fût possible d’être puni parce qu’on
avait été fessé au travail dépassait son entendement. Il songea un bref instant
à ce qui pourrait lui arriver s’il était soumis à ce traitement par sa cheffe.
C’était inenvisageable.
Cette pensée était si désagréable, qu’il se raidit, mais la
douleur qui transperça ses genoux le ramena à plus d’humilité. Ce n’était pas
le moment. La fessée de Camille avait commencé. Le bruit qu’il reconnaîtrait
entre mille maintenant, de la main de Madame Caroni s’abattant sur de la peau
nue, les cris de la jeune femme, ses pleurs…
Paul ressentait la fessée que prenait Camille comme si
c’était lui qui était allongé en travers des genoux de Madame Caroni. Il avait
un petit tressaillement à chaque fois que la main de sa tutrice frappait les
fesses de la jeune femme. Il lui semblait que la cuisson de ses fesses avait
repris. Il secoua la tête pour se débarrasser de cette sensation. Elle n’avait
rien d’agréable.
Il était surpris de la sympathie qu’il éprouvait pour les
deux jeunes femmes. Il y avait peu de temps, elles lui auraient été
indifférentes et il n’aurait pas sourcillé si elles avaient pris une fessée en
sa présence. Cela l’aurait plutôt amusé. Il ne voyait plus les choses de la
même façon. Ils étaient maintenant tous les trois dans le même bateau et Paul
était inquiet. Bien que ce ne fussent que des rumeurs, il commençait à circuler
des bruits sur Madame Caroni et il avait peur que ce qu’il avait entendu fût
encore en dessous de la réalité.
« Bien, nous nous en tiendrons là pour ce soir.
Crois-tu que cette fessée soit suffisante ?
– Oh oui Madame, réussit à articuler Camille entre deux
sanglots.
– Sans que j’aie besoin de te le rappeler, quand tu prendras
une fessée au travail, tu viendras me voir tout de suite en rentrant pour que
je puisse te punir. J’espère que je n’aurai pas à te le rappeler. Allez, au
lit ! Toi aussi Maïlis ! Filez toutes les deux dans la
chambre. »
Il y eut un bruit de pas, mais il était étrange, pas du tout
ce à quoi cela ressemblait habituellement. Paul mit quelques secondes à l’identifier.
C’était celui que faisaient les deux jeunes femmes qui de déplaçaient
précautionneusement, sans vraiment lever le pied. Leur culotte à hauteur de
leurs genoux les en empêchaient.
« Quant à toi, Paul, tu restes-là sans
bouger ! »
Il n’en avait pas du tout l’intention. La position à genoux
devenait pourtant plus qu’inconfortable.
Quand Madame Caroni revint, Paul n’avait pas bougé. Se tenir
à genoux était maintenant une véritable torture. Il n’arrivait plus à penser à
quoi que ce fût d’autres depuis quelques minutes, suppliant intérieurement que
Madame Caroni vînt le délivrer. Elle avait pris son temps.
Paul avait eu le temps de réfléchir à ce qui venait de se
passer. Il n’avait pas vraiment compris comment il se retrouvait dans cette
situation. Ce qu’il savait parfaitement, c’était pourquoi il y restait. Les
fessées de Madame Caroni n’étaient pas une plaisanterie et, bien qu’il avait
fallu l’aide d’une autre personne, elle l’avait soumis à la fessée bien
facilement. Paul ne voyait pas, dans l’immédiat, ce qui l’empêcherait de
recommencer. Ce constat l’avait démoralisé.
C’est en songeant à ce que faisait sa voisine pendant qu’il
avait de plus en plus de mal à tenir sa position, qu’il prit conscience de ce
qu’il avait entendu. Madame Caroni était allé mettre les deux jeunes filles au
lit. Aucune des deux n’avait protesté contre ce traitement infantilisant. Elles
étaient jeunes, certes, mais pas assez pour qu’on ait besoin de les mettre au
lit. L’expression utilisée faisait bien plus penser à des enfants qu’à des
jeunes femmes. Se serait-il trompé sur leur âge ? Au moins l’une deux
avait un travail. Elle ne pouvait pas être si jeune que cela. Mais alors, que
signifiait mettre les deux jeunes femmes au lit. Ne savaient-elles pas le faire
seules ? Absurde ! Il y avait quelque chose qui ne collait pas.
« Elles le sont assez pour recevoir une
fessée ! »
Paul se rendit compte tout de suite de l’absurdité de son
raisonnement. Trente-deux ans, c’était son âge. A trente-deux ans, selon Madame
Caroni, on pouvait encore recevoir la fessée. Cela laissait de la marge pour
les deux femmes.
« Lève-toi et viens me voir ! »
C’était encore plus difficile de se relever que de rester à
genoux. Paul n’avait aucun point d’appui. Il dut transférer son poids en arrière,
ce qui lui arracha des plaintes. Poser alors une main par terre ne fut pas plus
simple. Quand il put faire peser son poids sur ses deux mains, le soulagement
fut immédiat. Il eut du mal à déplier ses genoux, mais ce n’était rien à côté
de ce qu’il avait enduré auparavant.
Il boitilla jusqu’au canapé sur lequel se tenait Madame
Caroni.
« Qui t’a autorisé à laisser retomber t
chemise ? »
Madame Caroni releva le côté du vêtement incriminé et sa
main claqua la cuisse nue. La douleur fut fulgurante. Paul lâcha un cri sourd
et remonta précipitamment sa chemise. Cela ne lui épargna par une autre claque
au même endroit.
« Tu laisses tes bras croisés dans le dos tant que je
ne t’ai pas dit le contraire ! »
Une troisième claque vint confirmer que Madame Caroni considérait
cette initiative de Paul comme une bêtise.
« Tu vas apprendre à te tenir correctement pendant que
tu es puni. Afin que tu t’en rendes bien compte, tu auras, presque à chaque
fois la culotte baissée, et je tiens à ce que ce soit jusqu’à ce que je
t’autorise à cacher tes fesses. Pour le moment, ce n’est pas le cas. »
Paul s’attendait à une autre fessée, mais elle ne vint pas.
Il ne prit vraiment conscience de sa nudité qu’à ce moment-là. Ses organes
génitaux étaient exposés sous les yeux de sa voisine et il ne pouvait les
dissimuler. Le plus humiliant, c’était certainement que Madame Caroni n’en fît
aucun cas. La honte lui fit monter le rouge aux joues.
« Sache que tu n’en as pas fini avec les punitions.
Refus d’une fessée totalement méritée, un coup que tu m’as donné, gros-mots…
tout cela mérite autant de fessées et je ne t’en épargnerais aucune. Si tu
recommences à me faire des difficultés quand j’ai décidé de te corriger, je
peux toujours appeler du renfort. Tu as vu, ce n’est pas difficile de trouver
une personne disponible pour me prêter main forte. »
Paul n’en doutait pas du tout. La démonstration en avait été
éloquente.
« Dans ce cas je te mettrai à genoux au coin. Tu n’y as
été qu’une petite dizaine de minutes, ce soir. Cela pourrait être bien plus
long la prochaine fois. »
Ce n’était pas possible que le temps au coin n’avait duré
que dix minutes. Paul avait eu l’impression d’être resté à genoux une éternité.
« Pour ce soir, je vais être clémente. Tu n’auras
qu’une fessée à la main avant que je te mette au lit. Ce sera pour l’ensemble
de tes désobéissances de la journée. Nous reprendrons les choses sérieuses
demain soir. Tu viendras me vois dès que tu rentreras et je te donnerai les
fessées que je te dois. »
Bien qu’il s’en doutât, Paul comprit qu’il n’en avait pas
fini avec les fessées de sa voisine. Debout devant elle, la culotte baissée, il
ne voyait pas comment il pourrait y échapper.
« Retournons chez toi. Il est temps de te mettre au
lit. ! »
La descente de l’escalier avait été plus difficile que la
montée. Madame Caroni n’avait pas accepté que Paul remonte sa culotte. Il était
plus difficile de descendre des marches avec une culotte qui limitait ses pas,
et Paul était passé d’un étage à l’autre, la boule au ventre, craignant de croiser
un voisin. L’angoisse était bien plus forte qu’à la montée qu’il avait
effectuée sans vraiment se rendre compte de ce qui lui arrivait, tant la
cuisson sur ses fesses était prégnante.
Sa mère avait ouvert de grands yeux quand il avait sonné à
la porte en voyant la tenue dans laquelle il se tenait. Elle n’avait pas dû le
voir les fesses nues depuis qu’il avait sept ou huit ans. Elle avait battu en
retraite précipitamment devant l’avancée de Madame Caroni.
« Où est ta chambre ? »
Paul avait montré la porte à droite au fond du couloir.
Madame Caroni qui le tenait par le bras l’entraîna. Elle se retourna vers la
mère de Paul.
« Tu m’attends dans le séjour ! Nous avons
beaucoup de choses à discuter ! »
Celle-ci ne dit pas un mot et elle trottina jusque dans le
séjour. Une impulsion sur le bras de Paul et ils se dirigèrent tous deux vers
la chambre. Paul était resté perplexe sur ce que Madame Caroni avait fait quand
elle avait mis les deux filles au lit. Il en eut une démonstration
personnalisée.
Madame Caroni s’assit sur son lit et le plaça debout devant
elle. Elle délaça ses chaussures, les lui enleva et elle les écarta du pied.
Puis ce fut au tour de son pantalon, puis de sa culotte. Paul, afin de ne pas
perdre l’équilibre se tint aux épaule de sa voisine alors qu’elle lui ordonnait
de lever un pied après l’autre.
« Va ranger tes chaussures à leur place ! »
Paul les ramassa et il fit un pas vers la porte. Il songea
alors à sa mère qui ne manquerait pas de le voir se baladant dans l’appartement
les fesses nues.
« Mais je ne peux pas. Pas comme ça !
– Ah non, répliqua Madame Caroni en lui donnant une
formidable claque sur les fesses nues ? »
Cela fit changer Paul d’avis. Il sortit en courant, ses
chaussures à la main. Le risque était bien plus grand du côté de Madame Caroni
que de celui de sa mère. Celle-ci ouvrit de grands yeux en voyant son fils
passer devant la porte ouverte, le bas du corps entièrement nu.
Quand Paul revint dans sa chambre, Madame Caroni acheva de
le déshabiller. Sans vraiment le vouloir, Paul coopérait avec Madame Caroni. Il
levait les bras quand il le fallait, il se tournait sur un geste de suggestion
de sa tutrice. Il ne réagit pas quand Madame Caroni le prit, une main de chaque
côté de ses hanches pour le ramener devant lui avant de lui passer le bas de
son pyjama.
Une main plaquée sur le ventre de Paul, frôlant les poils
pubiens, Madame Caroni le maintint en place pendant qu’elle prit le temps
d’examiner l’état des fesses en passant son pouce sur l’épiderme fessier,
cherchant des nodosités sous la peau.
« Que des dégâts mineurs. Je pensais avoir été plus
sévère. »
Paul n’avait pas le même avis, amis il le garda pour lui. D’une
petite tape sur la cuisse, Madame Caroni lui indiquait quand il fallait lever
un pied ou quand il fallait se tourner pour faciliter les choses à sa voisine.
Il se retrouva vêtu de son pyjama.
« Va te laver les dents ! »
Il fit une courte toilette, surveillé de près. Et une claque
sur les fesses lui ordonna de retourner dans la chambre. Il voulut se glisser
dans son lit.
« Une seconde, mon garçon ! Tu oublies la
fessée ! »
Il avait espéré passer à travers.
« S’il vous plait, j’ai encore très mal là. »
Il désignait vaguement son postérieur.
« Tu as grand besoin de te coucher après avoir reçu une
dernière fessée. Elle te permettra de réfléchir aux inconvénients qu’il y a à
me désobéir. Cela va te faire du bien.
Ce ne serait pas pour ce soir qu’il réussirait à fléchir la résolution
de sa tutrice. Il grimaça, mais il ne résista pas quand elle l’amena sur son
côté droit, ni quand elle lui baissa le pantalon de pyjama. Il était résigné
quand Madame Caroni l’allongea en travers de ses genoux. Il y avait une nette
différence avec la première fessée qu’elle lui avait donnée. Madame Caroni
n’eut aucun mal à placer les fesses de Paul là où sa main les trouverait
facilement.
Il n’y avait pas besoin d’administrer une fessée d’une
grande sévérité. Elle suffit à asseoir l’autorité de Madame Caroni. Les
corrections que Paul avait reçues, seraient gravées dans son esprit. Il
faudrait confirmer sa soumission le lendemain, mais c’était en bonne voie.
Paul se mit au lit sans rechigner. Il avait les fesses bien
assez douloureuses pour ce soir.
Vous avez loupé le début de l'histoire ?
Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 34
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
Il y aura une suite, bien sûr !
C'est la chapitre 36.
Les commentaires...
Ils sont les bienvenus, voire un peu plus. Lâchez-vous ! Laissez-vous aller ! Exprimez-vous ! N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez ! Bref, on attend vos contributions.
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