- bonjour madame, c'est bien, vous êtes à l'heure, commencez
à vous préparer pendant que j'administre un lavement à madame De Nouvel, vous vous
déshabillez, comme d'habitude, culotte et soutien-gorge.
Puis elle se dirigea vers sa patiente, elle tapota les fesses
tendues.
- allez, on me détend bien ces petites fesses, on les écarte
bien gentiment pour que je voie bien votre petit trou, allez, plus vite que ça
La main avait claqué rapidement les fesses, rosissant déjà
légèrement le derrière de la baronne De Nouvel qui se retrouvait en fâcheuse posture.
Elle gémit légèrement mais preuve de l'efficacité des punitions reçues précédemment
elle obéit immédiatement, ouvrant largement sa raie fessière
- voilà qui est mieux, je vous rappelle que ma brosse à cheveux
est à la disposition de vos fesses en cas de besoin.
Élisabeth émit un petit gémissement.
- pardon, j'ai mal entendu, vous avez quelques choses à me
dire,
La brosse était déjà entrée en action et madame De Nouvel
hurlait sous la brûlure
- non, non, aie, aie, pardon, je n'ai rien dit, aie, pitié,
pardon.
La dame allongée sur le banc présentant ses fesses déculottées
n'était plus la baronne De Nouvel, mère et même grand-mère, mais une adolescente
désobéissante punie par une sévère infirmière, elle suppliait, pleurait à chaudes
larmes sous la brûlure de la brosse. Sophie était satisfaite, rien ne lui faisait
plus plaisir que de transformer une dame en punie réclamant la clémence.
- bien, j'espère que vous avez compris, je ne veux rien entendre,
détendez-moi ces fesses.
Elle posa une petite noisette de vaseline sur l'anus et présenta
la canule, doucement elle la fit pénétrer, instruite par la fessée à la brosse,
Élisabeth se laissa faire. La situation était humiliante surtout que Amelie était
présente mais elle savait que Sophie n'attendait qu'une occasion pour la fesser.
La canule pénétrait doucement dans le fondement d'Élisabeth, Sophie prenait un malin
plaisir à faire durer l'humiliation, elle retirait légèrement l'instrument puis
le réintroduisait plus profondément, quand il eut entièrement disparu dans l'orifice,
elle relâcha les deux fesses qu'elle tenait écartées, seul le tuyau dépassait de
la raie fessière. Elle ouvrit le robinet du bock à lavement,
- je vous ai gâtée, deux litres, vous ne bougez plus, vous allez le
garder le temps que je m'occupe de madame Ducs.
Amelie sursauta en entendant son nom, il faudrait qu'elle
s'y fasse, maintenant qu'elle était une pensionnaire de l'institut la discrétion
n'était plus de rigueur et tout le monde connaissait les noms des messieurs et des
dames qui recevaient la fessée déculottée. Délaissant Élisabeth, Sophie se tourna
vers Amelie et lui désignant le lit d'examen
- en place madame, on va examiner ces petites fesses.
Amelie se rendit compte à cet instant qu'elle avait assisté
à l'humiliation publique de madame De Nouvel mais que maintenant c'était elle qui
allait se faire déculotter et mettre un thermomètre dans les fesses et ceci en public.
Sophie saisi l'élastique de la culotte et la fit descendre jusqu'à mi-cuisse. Ce
qui gênait le plus Amelie, n'était pas de montrer ses fesses après tout si elle
voulait faire disparaître sa cellulite, il fallait bien en passer par là, non ce
qui était particulièrement gênant c'était de se faire déculotter, ce retour à l'enfance
ou sa maman lui baissait la culotte était très humiliant. La jeune assistante procédait
maintenant à un examen minutieux du fessier, malaxant les rotondités, introduisant
ses doigts entre les cuisses et les fesses, instruite par les jours précédents et
ne désirant pas s'exposer à la fessée, Amélie se laissait faire.
- ces fesses commencent à acquérir de la souplesse, nous sommes
sur la bonne voie, il reste quelques rougeurs des fessées d'hier, j'espère que vous
serez sage aujourd'hui. Desserrez-moi ça que je vous mette le thermomètre.
Le tube en verre pénétra doucement, comme à son habitude,
Sophie faisait durer le plaisir, après de multiples aller et retour, l'instrument
médical avait presque disparu complètement quand dans un mouvement incontrôlé, Amelie
contracta ses fesses ce qui eut pour effet de repousser le thermomètre, immédiatement
Sophie tout en maintenant l'instrument en place administra une dizaine de claques
sur la croupe tendue.
- a pas de ça madame, si vous recommencez c'est la fessée
à la brosse et je vous mets au secrétariat avec le thermomètre dans le derrière
pendant toute la matinée.
La menace terrifia Amelie qui s'appliqua à relâcher ses muscles
fessiers. Quelques instants plus tard l'instrument bien en place ne dépassait plus
qu'à peine au milieu des fesses serrées. Satisfaite, Sophie lui tapota le derrière
comme elle l'aurait fait avec un enfant, puis elle se tourna vers la baronne De
Nouvel toujours en position sur le banc de lavement, le tuyau dépassant de sa raie
fessière.
- alors madame, ce lavement c'est bien passé ? Vous verrez
ça fait le plus grand bien, oui, je sais, 2 litres à garder 10' c'est un peu long,
mais ça vous apprendra à désobéir, quand je dis que je ne veux rien entendre, ce
n'est pas la peine de gémir. Bon je retire la canule et vous allez pouvoir vous
soulager, je vous conseille de bien serrer les fesses !
Ce fut un spectacle assez curieux que de voir cette dame,
tenant sa jupe retroussée, découvrant des bas tenus par des porte-jarretelles, la
culotte descendue à mi-cuisse, marchant à petit pas, les fesses rouges bien serrées.
Sophie se mit à rire.
- allez, on se dépêche mademoiselle cul serré, et on revient
vite se coucher sur mes genoux pour une bonne fessée.
Au comble de la confusion Élisabeth se rendit aux toilettes
et en revint peu après tenant toujours sa jupe retroussée et les joues empourprées
par la honte. Sophie l'attendait assise sur une chaise, elle la bascula en travers
de ses genoux et immédiatement commença à lui administrer une vigoureuse fessée.
- voilà qui va assouplir ces fesses, elles sont prêtes à recevoir
le plug.
L'aristocrate un peu snob de 62 ans n'était plus qu'une fillette
implorant le pardon, promettant d'être sage, enfin toute chose incongrue dans sa
bouche habituellement. Cessant la fessée, Sophie saisi le plug qu'elle avait préparé
et le posa sur la rondelle qui avait déjà été préparée par le passage de la canule,
et malgré les gémissements de sa punie elle l'introduisit profondément jusqu'à ce
que la butée.
- voilà, il est bien en place, je vous ai gâtée, un plug numéro
2, ça vous garni bien un derrière, bien mademoiselle tapecul va s'occuper de ce
joli postérieur.
Elle avait pris la raquette en cuir, spécialité de la maison,
elle l'avait rebaptisé de ce nom très évocateur de son usage et en effet mademoiselle
tapecul remplissait parfaitement sa fonction, les cris et supplications d'Élisabeth
remplissait la pièce, Aurélie était arrivée et elle était venue assister à la fessée,
elle appréciait en souriant la technique de sa collègue. Quand la croupe fut parfaitement
colorée sur toute sa surface, la jeune femme cessa la punition mais elle garda quelques
instants sa punie en position disciplinaire, celle-ci à présent pleurait doucement,
ses fesses se contractait et s'ouvrait largement laissant voir son intimité mais
la dame allongée sur les genoux de Sophie ne se souciait plus de pudeur, elle cherchait
à diminuer la cuisson qui lui embrasait les fesses. Jugeant l'exposition suffisante
Sophie la fit se relever, et s'adressa à Aurèlie.
- peux-tu me rendre service et me mettre cette dame au coin,
je dois m'occuper de madame Ducs.
Ravie de l'occasion de parfaire l'humiliation de cette aristocrate,
Aurélie saisit Élisabeth par l'oreille comme une mauvaise élève et tout en accompagnant
sa marche de bonne claques sur le fessier écarlate, elle la conduisit au coin.
Pendant ce temps, Sophie avait retiré le thermomètre, qui
garnissait le fondement d'Amelie depuis une bonne vingtaine de minutes et quelques
instants plus tard celle-ci se retrouvait dans la posture classique allongée sur
les cuisses de la jeune femme pour une fessée thérapeutique.
Le traitement se déroula sans problème particulier, Amelie
apprenait vite et les fessées successives avait eu raison de sa pudeur, elle se
laissa mettre le suppositoire sans rechigner. Quand elle fut rhabillée elle vit
que madame De Nouvel était toujours au coin, ses fesses encore parfaitement colorées,
elle se demanda si elle allait passer la matinée à exposer ses fesses, la réponse
arriva par Sophie
- madame De Nouvel, venez me voir, tournez-vous, parfait ce
plug est bien en place, vous pouvez vous reculottez. Aurélie vous attend à midi
précise pour la pénitence, vous aussi Amelie.
Celle-ci fit la grimace en entendant que c'était la plus jeune
des assistantes qui se chargerait de leur punition, car si les fessées de Sophie
étaient sévères, Aurélie faisait preuve de plus de perversité, elle serra les fesses
sous sa jupe, il lui restait 2 h, pour faire refroidir sa croupe.
La semaine se passa relativement bien pour Amelie, elle n'eut
droit qu'à une sévère fessée administrée avec générosité par Aurélie à l'aide de
mademoiselle tapecul, évidemment elle n'évita pas ce jour-là l'humiliante exposition
de son derrière écarlate dans un coin du secrétariat, nez au mur et mains sur la
tête. Chaque matin elle retrouvait sa compagne d'infortune la baronne De Nouvel
qui devait être pluguée toute la semaine avec un minimum de 3 fessées, une le matin,
une à midi et une le soir au retrait de l'instrument punitif, bien sûr les deux
jeunes femmes ne se contentaient pas de ce tarif de base et la pauvre Élisabeth
gardait les fesses rouges toutes la journée.
Le samedi arriva et Amelie se rendit à l'institut à 14h pour
la visite hebdomadaire de contrôle, c'était Sophie qui officiait ce jour-là. Comme
le premier jour elle prit les mensurations d'Amelie, elle avait immédiatement baissé
la culotte de celle-ci au niveau des genoux si bien que c'est fesses à l'air qu'Amelie
subit tout son examen, y compris la pesée, elle l'a fit coucher sur ses genoux pour
lui examiner les fesses, comme à son habitude elle ne se gêna pas pour forcer l'intimité
de sa patiente, elle écarta largement les deux hémisphères rebondis, glissa sa main
entre les cuisses et palpa toute la surface exposée par la position. Amelie se laissa
faire, c'était très humiliant de se faire traiter ainsi mais la crainte d'une cuisante
fessée avait raison de sa pudeur. Sophie lui permis de se relever et la laissant
toujours cul nu, elle rentra les données dans l'ordinateur.
- nous avons un problème madame, vous n'avez pas perdu un
gramme, ni un centimètre de tour de fesses, de plus le logiciel m'indique que vous
avez grignoté.
Amelie protesta de sa bonne foi
- je vous conseille de dire la vérité madame, une entorse
aux prescriptions vaut une bonne fessée déculottée, mais un mensonge en plus vaut
une semaine de pénitence à midi avec trois fessées à chaque fois.
Amelie bredouilla, les joues aussi rouges que ses fesses après
un passage sur les genoux de madame Rose
- euh, oui, c'est à dire, euh... oui j'ai pris un carré de
chocolat le midi avec mon café
- c'est tout ?
Sophie tapotait, le bureau et regardait en souriant la dame
devant elle, la culotte baissée exposant son intimité, elle décida de pousser son
avantage.
- tournez-vous pour me montrer vos fesses, elles sont encore
blanches, mais ça ne va pas durer, oh vous pouvez les serrer ça ne vous évitera
pas la bonne déculottée que je vous réserve, il vaudrait mieux que vous me disiez
tout.
Amelie avoua, également les petits croissants du matin. Sophie
notait tout sur l'ordinateur.
- bien, je vais vous donner les résultats fournis par le logiciel
concernant la suite du traitement, devant l'inefficacité de la première semaine,
nous passons dès lundi à deux séances par jour et trois suppositoires, vous viendrez
le matin à 8h et le soir à 17h pour une séance améliorée, il faudra augmenter la
température de la peau, et vous viendrez à midi vous faire mettre un suppositoire.
Amelie, lui fit remarquer qu'elle pouvait peut-être se le
mettre toute seule, elle s'attira une remarque cinglante
- ce n'est pas à vous de décider de la thérapie madame, en
plus je ne pense pas qu'on puisse vous faire confiance, vous viendrez présenter
vos fesses tous les midis, un point c'est tout ! Le logiciel m'indique également
la punition méritée pour vos écarts de régime, une double fessée publique. Vous
pouvez vous rhabiller.
Un peu surprise par cette ordre, alors que Sophie venait de
lui annoncer une fessée, Amelie s'exécuta. Dès qu'elle fut prête, Sophie l'a saisi
par l'oreille et l'amena dans le hall d'accueil, Aurélie présentait les produits
à un couple, une dame attendait son tour et un monsieur exposait au coin une magnifique
paire de fesses rougies et striées par la canne. Amelie compris pourquoi elle avait
été autorisée à se rhabiller, c'était pour qu'elle subisse l'humiliation du retroussage
de sa jupe et du déculottage en public. Sophie s'était assise sur une chaise confortable
placée au milieu de la pièce de façon que toutes les personnes présentes aient une
vue parfaite sur les fesses d'Amelie. Elle fit signe à celle-ci de se mettre en
position. Abasourdie par ce qui allait lui arriver et qui dépassait tout ce qu'elle
aurait pu imaginer comme dans un rêve elle se retrouva couchée en travers des cuisses
de la jeune femme, celle-ci corrigeant un peu la position de façon à ce que les
fesses soient bien à sa portée lui annonça
- vous avez désobéi madame, vous savez ce qui arrive aux dames
désobéissante, non ?
La main avait claqué le fond de la jupe
- je vais vous rafraîchir la mémoire, les dames désobéissante
reçoivent la fessée, répétez après moi, j'ai désobéi et je mérite une bonne fessée
La main claqua à nouveau et Amelie au comble de la confusion
obéi cette fois-ci.
- euh... j'ai… désobéi et euh, je mérite une bonne fessée.
- c'est bien, mais vous connaissez la maison, ici la fessée
est toujours déculottée.
Joignant le geste à la parole, elle retroussa largement la
jupe puis elle caressa la culotte qui moulait parfaitement le fessier découvrant
légèrement le bas des fesses et le pli séparant la région fessière des cuisses.
- une fessée déculottée, madame voilà ce que vous méritez,
je vais donc baisser votre culotte pour que tout le monde puisse voir vos jolies
fesses et que tout le monde comprenne ce qui arrive quand on a désobéi.
Elle prenait son temps pour faire glisser la culotte, lentement
celle-ci descendait, découvrant peu à peu des fesses blanches, serrées par la crainte.
Amelie n'avait encore jamais reçu une fessée en public, certes il y avait eu des
témoins à ses précédentes corrections mais c'était soit une des trois fesseuses
de l'institut ou un autre pensionnaire, mais en général celui-ci était déculotté,
les fesses rougies et il attendait la suite nez au mur. A cet instant elle exposait
sa croupe dénudée à deux personnes inconnue et habillée. Le couple d'ailleurs ne
perdait pas une miette du spectacle offert bien malgré elle par Amelie. Le monsieur
montrait un visage un peu inquiet devant le discours de Sophie quand la dame semblait
l'approuver.
S'adressant à son mari
- tu vois mon chéri, il n'y a pas que toi qui reçoit la fessée
déculottée quand il n'est pas sage. Regarde la dame, elle doit avoir ton âge et
elle montre bien ses fesses !
- vous voilà prête madame, une bonne fessée déculottée sur
ces fesses si bien présentées.
Amélie ferma les yeux dans l'attente de la première claque,
les commentaires de la cliente l'avait convaincu, elle était passée du côté des
gamines que l'on trousse et déculotte dès qu'elle l'ont mérité, elle n'était pas
loin maintenant d'en être convaincue, peut-être avait-elle mérité la fessée qu'elle
allait recevoir, elle n'eut pas le temps de réfléchir longtemps au bien-fondé de
sa punition car la brûlure ressentie était supérieure à ce qu'elle avait déjà enduré,
Sophie avait pris une paddle, sorte de raquette en bois assez lourde percée de trous
pour ne pas ralentir sa course dans l'air et elle claquait joyeusement les deux
fesses à sa disposition. La fessée à la paddle est terrible au bout de 50 claques
les deux hémisphères jumeaux ne faisaient plus qu'une boule rouge bien compacte,
Amelie serrait et desserrait ses fesses au rythme des claquades, elle hurlait sous
la cuisson, battait des jambes désespérément mais Sophie l'a maintenait en bonne
position, elle avait décidé que pour sa première vraie fessée publique, Amélie devait
s'en souvenir aussi elle continua imperturbablement la punition, une centaine de
claques plus tard, Amélie anéantie et en pleurs se laissa aller, toujours couchée
en travers des cuisses de sa fesseuse, indifférente à l'humiliation et au spectacle
qu'elle avait offert bien malgré elle. Sophie la fit se relever et imperturbable
lui saisit à nouveau l'oreille pour la conduire au coin, la jupe fut épinglée dans
le dos pour bien découvrir le fessier écarlate, la culotte descendue aux chevilles
dans les mouvements désordonné de la punie fut remontée à mi-cuisse, de façon à
offrir un écrin très suggestif aux deux magnifiques fesses rouges.
- voilà pour la première de vos fessées, vos fesses vont refroidir
pendant une heure, ensuite vous reviendrez sur mes genoux.
Amelie pleurait doucement, le nez collé au mur et les mains
sur la tête, elle entendit cependant la fin de la phrase, sa punition n'était pas
terminée, elle devrait à nouveau se coucher dans cette position enfantine pour présenter
ses fesses à la main de Sophie.
Les deux clients avaient apprécié le spectacle, Christine
se tourna vers Hervé son mari
- c'était vraiment une belle fessée, qu'en penses-tu mon chéri
?
Puis s'adressant à Aurélie qui avait sorti sur le comptoir
divers instruments de correction dont la fameuse tapette en cuir appelée "mademoiselle
Tapecul"
- dite moi mademoiselle, est ce qu'on peut essayer les instruments
?
Hervé pâli, Aurélie qui avait compris ce qui allait se passer
lui confirma que c'était possible et lui désigna la chaise qui avait servi à la
fessée d'Amelie.
- aucun problème, la place est chaude.
Christine prit mademoiselle Tapecul d'une main et de l'autre
elle saisit l'oreille de son mari
- en piste mon chéri, depuis la fessée de ce matin ton derrière
à du refroidir.
Hervé protesta faiblement,
- non, s'il te plaît, pas ici
- et pourquoi pas ici, tu as bien profité des fesses de la
dame et bien maintenant c'est à toi de montrer les tiennes.
Elle s'était assise sur la chaise et elle dégrafait le pantalon,
celui-ci descendit sur les chevilles et immédiatement, Christine fit basculer son
mari en travers de ses genoux. Sophie et Aurélie en fesseuses expérimentées appréciaient
la technique et la docilité du puni, il n'avait pas résisté, il exposait maintenant
une culotte blanche qui était à l'évidence une culotte de grande fille style petit
bateau, Christine lui faisait porter ce genre de sous vêtement pour bien lui faire
comprendre la position qui était la sienne à savoir un monsieur qui malgré son âge
était soumis à une discipline domestique stricte. La culotte un peu petite pour
le fessier du monsieur rentrait légèrement dans la raie fessière, mais elle ne resta
pas longtemps en place, Christine déculotta prestement son mari qui exposa comme
Amelie auparavant une magnifique paire de fesses bien musclées par l'application
régulière de fessées, la tapette en cuir entra en action et Hervé offrit immédiatement
le spectacle d'une trépidante danse des fesses. Mademoiselle Tapecul faisait un
travail remarquable en quelques instants le postérieur du monsieur ressemblait à
celui d'Amelie.
- ça claque, mon chéri ? C'est parfait tes petites fesses
ressemblent à celle de la dame, tu vas aller la rejoindre au coin que l'on puisse
comparer.
Hervé larmoyant fut conduit à côté d'Amelie, effectivement
la couleur des fesses était très ressemblante.
C'était somme toute un après-midi normal à l'institut, aux
coins de la pièce, trois derrières déculottés bien rouge et de l'autre côté, trois
dames conversant sur les bienfaits de la fessée pour l'harmonie des ménages ou pour
traiter les bourrelets disgracieux lié aux abus de chocolat. C'était la fin de la
pénitence pour Hugues, Aurélie l'autorisa à se reculotter, il passa en rougissant
devant les deux dames qui avaient pu admirer ses fesses rougies et striées, il régla
la prestation, Christine se décida pour l'achat de mademoiselle Tapecul et d'un
martinet de voyage, elle l'essaya sur les fesses de son mari qui trépigna, courbé
sous son bras, et il put enfin remonter sa culotte sur une paire de fesses bien
rouge.
II ne restait plus que la pauvre Amelie à exposer sa croupe
écarlate, Sophie consulta sa montre,
- bien, madame, il est l'heure. En piste pour votre deuxième
fessée.
Elle décida d'utiliser une position nouvelle pour Amélie,
celle dite "à l'écolière", posant son pied sur un tabouret elle fit basculer
sa patiente sur sa cuisse horizontale, ses pieds quittèrent le sol, elle se cramponna
au tabouret, ses fesses étaient exposées dans toute leur splendeur, parfaitement
bombées par la position. Cette situation finissait de ramener cette dame d'une cinquantaine
d'années à son enfance quand son institutrice l'avait corrigé un jour devant toute
la classe, mais elle s'était contentée d'une rapide fessée sur la culotte, aujourd'hui
celle-ci était baissée au milieu de ses cuisses. Sophie se contenta d'une vigoureuse
fessée manuelle, la croupe déjà bien échauffée par la fessée précédente repris rapidement
une bonne couleur et les cris et gesticulations des jambes d'Amelie montrait l'efficacité
de la correction. Quand elle la reposa par terre des larmes coulaient sur ses joues
rouges, c'était du autant à la cuisson qu'à l'humiliation subie d'avoir été fessée
à la main dans cette position. Sophie l'a fit venir au bureau en lui demandant de
tenir sa jupe troussée, elle avait devant elle le carnet de suivi.
- je note donc les deux fessées de ce jour, ce qui nous fait
si je compte bien 6 fessées dans la semaine, vous savez qu'au-delà de 5 fessées
vous devez venir en pénitence à midi toute la semaine, on en profitera pour vous
mettre le suppositoire.
Amelie se rendit compte que la semaine prochaine, non seulement
elle devrait venir matin et soir pour son traitement, elle se doutait bien que ces
deux petites garces en profiteraient pour lui claquer le derrière tout à leur aise
mais en plus tous les midis, elle serait déculottée et fessée devant ses compagnons
d'infortune et qu'on lui mettrait un suppositoire en public. Dans sa tenue jupe
retroussée et fesses à l'air elle n'était pas en position pour discuter. Elle acquiesça
sans mot dire et put enfin cacher ses fesses rougies sous sa culotte.
Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.
Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités
Et celui-ci comporte un épisode précédent
Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 7
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Et il y a une suite...
... le chapitre 9.
Et toujours les commentaires
Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.
Ouh la la ça se corse pour Amélie. Je crois que je n'aurai jamais surmonté la fessée déculottée publique qu'elle a reçue au milieu de la salle d'attente. bravo Sylvie pour ce récit haletant et très troublant....
RépondreSupprimerMerci pour vos compliments Caroline, mais vous savez bien qu'avoir de jolies fesses ça se mérite, comme la fessée d'ailleurs. Et puis quoi de mieux qu'une bonne fessée déculottée en public pour faire respecter les prescriptions diététiques. Si les diététiciennes utilisaient cette méthode les cures d'amaigrissements seraient plus efficaces.
SupprimerAmicalement
Sylvie
Cela pourrait même s'étendre à l'arrêt du tabac, une meilleure hygiène de vie, de meilleures notes.etc...
SupprimerTout à fait ma chère Caroline, vous avez des problèmes avec le tabac ? Un petit séjour à l'institut vous ferait du bien n'est-ce pas.
SupprimerAmicalement
Sylvie
Rien qu'à l'idée, j'ai déjà envie de moins fumer...on fume beaucoup a la maison. Pourtant je sais que je veux arrêter net.....
SupprimerBonjour Sylvie.
RépondreSupprimerBravo pour le texte.
J'adore la séquence où il y a un lavement. Ca doit être excellent pour l'hygiène.
En ce qui concerne la fessée en public, c'est le meilleur moyen pour humilier la punie et la rendre plus obéissante.
Le plug rappellera à Amélie sa condition de punie.
Beau travail de recherche dans le nom des protagonistes...
L'aristocrate réduite à la rétrogradation est une bonne idée pour la faire redescendre d'un cran, elle qui doit être habituée à ce qu'on lui déroule le tapis rouge !
Amitiés.
Elena.
Merci elena pour ces compliments, comme je le dis à Caroline, la fessée déculottée en public me paraît être le meilleur moyen pour être sûr que la patiente suive son régime. Pour ce qui est de la baronne, c'est vrai que ça lui fait du bien, ça prouve également qu'il n'y a pas d'âge pour recevoir la fessée, je pense que nous la retrouverons un peu plus tard avec à nouveau les fesses rouges.
SupprimerAmicalement
Sylvie
Amis de la poésie et de l'exploration ses profondeurs anales... Bonjour!
RépondreSupprimerUne vieille, très vielle ancienne légende du bon temps d'avant raconte, qu'un Notre Père,au cieux, qui paraît-il devait nous donner notre pain quotidien, avait fait descendre son fils de son escabeau pour venir sur terre, marcher sur l'eau et distribuer les petits pains en question... Il y en a qui attendent toujours.
Mais qu'avons nous ici? Une notre Dame Rose qui, certes, ne marche pas sur l'eau, mais par contre, distribue et fait distribuer des pains, tout court. Plus exactement des fessées, quotidiennement et même plusieurs fois par jour... Pas aux cieux... dans son institut ! Et ça déménage!!
Ah mes amis, comme on se régale! Un vrai festival de fessées et déculottées en tous genres. Celà fait le bonheur de Sophie, et d'Aurélie, les techniciennes de surface fessières de l'institut, qui se régalent aussi sur les paires de fesses de ces Dames au régime anti cellulite. En plus, elles payent, pour se faire claquer le derrière!
Une incertaine Amélie se fait notamment et sérieusement chauffer les fesses à plusieurs reprises entre les jarretelles, ( pas du tout passées de mode pour les esthètes du bas nylon ), et, on ne se refuse rien, dans la position bien humiliante dite: à "l'écolière" propice à une magnifique présentation des fesses à corriger.
Et attendez, ne quittez pas c'est pas fini! Kilo de cerises sur le gâteau du postérieur... Après: "Voyage au centre de la terre" de Jules Verne , les productions de l'institut Rose proposent " Voyages en va et vient au milieu du derrière" avec effet spéciaux au thermomètre et à la canule. "Vingt mille lieu sous les mers", du même auteur, c'est de la rigolade à coté de deux litres d'eau pendant dix minutes dans le derrière! Après le thermomètre, on augmente le diamètre de remplissage. (rires)
Mais on n'est pas au bout de nos plaintes. L'auteure, déchaînée, s'amuse et nous aussi. Beaucoup moins le mari de Christine qui, pour corser encore le récit, se ramasse à l'occasion, une magistrale fessée déculottée devant tout le monde, sur les genoux de sa femme!
Ouuuuf! On est rincé, mais que du bonheur !... On a presque les fesses qui chauffent en même temps, et on se demande bien jusqu'où tout cela va finir par continuer!
Amicalement
Ramina
Bonjour, juste une question. Dans votre récit "L'Institut de Mme Rose" vous passez du chapitre 8 au chapitre 10 ? Il n'y a pas de chapitre 9 ?
RépondreSupprimerCordialement
Bonour, cher lecteur anonyme,
RépondreSupprimerCherchez bien, vous aller trouver le chapitre 9. Peut-être en cliquant sur le lien qui se trouve en bas du récit ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.