LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
FESSEES EN DOUBLE MESSIEURS .
– « Oohhh
, c’est gros ! Et ça brûle ! »
Puis, de
sa bouche grande ouverte, n’échappèrent plus que des cris et des pleurs de mari
fessé comme une sale gamin.
– « Wouaaaahh
! C'est... C’est trop ! Çaaaaa... Chauffe dur !!! Aiiiiie...
Pitié ! »
Il ne
cherchait même pas à apitoyer Régine, qui, le bras haut levé, claquait de
toutes ses forces le gros derrière déculotté et déjà tout rouge mis à sa
disposition. Elle ne voulait certes pas faire preuve de moins de sévérité que
la maîtresse de maison. D’ailleurs, Aristide avait suivi de très peu l’exemple
de son partenaire de fessée. Il s’était mis, lui aussi, à sangloter bruyamment,
après avoir d’abord brièvement tenté de répondre à Clarisse au sujet de la
racine de gingembre.
– « Rooaaiiie !
Oh là là ! ça chauffe ! Houhou ça fait mal, oh mon cul ! »
Mais très
vite comme son voisin, il n’émit plus que des cris ininterrompus d'homme adulte,
bien corrigé comme un petit garçon désobéissant. Clarisse le tenait par les
cheveux de sa main gauche pour l’obliger à garder la tête levée et lui
demandait tout en le fessant vigoureusement.
– « Alors,
tu les vois bien tes grosses fesses rouges dans la vitre ? Tu les vois ? Et
celles de Douglas... Ton cher ami Douglas, avec qui tu manigances, tu les vois
? Tu vois comme il le tortille son gros fessier déculotté ? Ça vous chauffe
bien la fessée hein ?
– Oui
Clarisse ! Oui !... Ça nous chauffe bien !
– Qu'est-ce
qui vous chauffe bien ?
– La
fessée Clarisse ! La fessée !!
– Alors
dis le que c'est la fessée !! je veux te l'entendre dire !
– Ouiiiii !
Ça nous chauffe bien la fessée...
– A la
bonne heure... J'espère que ça vous chauffe bien ! Et le gingembre dans le
derrière, tu le sens... ça te fait du bien ça ? Douglas aussi, il le
sent, comme toi, tu vois ! »
Mais
n’obtenant que des bredouillements mouillés de larmes en guise de réponse, elle
préféra s’adresser à son amie.
– « N’hésite
surtout pas Régine, claque-lui bien ses grosses fesses, je peux te garantir que
c’est ce qui leur faut et ne te laisse surtout pas avoir par les pleurs. Leurs fesses,
supportent très bien, ne t’en fais pas ...surtout celle de Douglas ! Mon mari,
tu ne le fesseras jamais assez, crois moi …tape bien sur le bas des
fesses ! »
Régine,
concentrée sur les fesses de son puni, qu'elle fait sauter en cadence sur ses
cuisses, sourit en entendant les conseils de son amie, dont elle n'a pas
nécessairement besoin.
– « Ne t'inquiète pas je sais … Le bas
des fesses et le haut des cuisses... Pour qu’il s’en souvienne quand il s’assoira
!
– C'est
ça ! Regarde comment je fais-moi... Fais pareil ! Et dans la raie des
fesses ! Ecarte les bien qu’il sente bien ta main claquer sur son cul ! Et t’en
fais surtout pas pour le gingembre, si tu le fais remuer, ce n’est que mieux…Ça
lui fera des souvenirs et il saura ce qui l’attend à la prochaine
fessée. »
Tout en
prodiguant conseils et recommandations, elle les mettait en application sur le
derrière écarlate d'Aristide pour donner l’exemple ...Exemple que Régine, bien
élevée, se faisait un plaisir de suivre en manipulant le fessier tout aussi
cramoisi de Douglas qu'elle morigénait en le fessant avec autorité.
– « Alors
mon cher Douglas, tu la sens bien la bonne fessée déculottée que je te mets ? Est-ce
que je la claque aussi bien que ta femme ? Peut-être pas assez fort ?
Regarde le postérieur de ton ami comme il est bien rouge .... Le tien ne l’est
peut-être pas encore autant …Alors tiens ! tiens ! Tiens ! »
La main
plaquée sur ses reins pour lui maintenir le derrière en bonne position, Régine
accélère la cadence des claques qu'elle distribue rageusement d'une fesse à
l'autre.
Douglas
trépigne de douleur, sans qu'elle s'en émeuve pour autant. Bien au contraire,
ses plaintes déchirantes témoignent de l'efficacité de la fessée et l'incitent
à continuer sans état d'âme avec la même énergie ;
– « Voilà
je crois que ton derrière a repris l'avantage. Il est maintenant plus rouge que
celui de ton partenaire... Maintenant il faut entretenir la couleur...
– Rooooh
non Régine ! Pas... pas plus fort... Ouaiiiile ! S'il vous
plaît !
– Mais si
voyons ! Allez tends mieux tes
grosses fesses que je te les corrige bien … Et le gingembre dans le derrière Tu
le sens bien ? Ça pique ou ça chauffe...
Ou les deux ? » Elle rit en ajustant une série de claquées juste sur
la raie des fesses.
– « Serre
les dents mon ami, la fessée n’est pas près d’être finie, crois-moi ! Il
parait d'après ta femme que c’est ce qu’il te faut ! Alors... Dis
le ! ...Dis le : C’est ce qu’il me faut et que je mérite, une
très-bon-ne-fes-sée-sur-mon-gros-derrière-dé-cu-lo-tté... Répète ! »
Mais
comme Aristide, se tortillant frénétiquement sur les cuisses de Clarisse,
Douglas est incapable d’articuler autre
chose qu’un bredouillement incompréhensible. Imitant son amie, Régine le forçait
maintenant à tenir la tête levée en lui tirant les cheveux en arrière, pour
l'obliger à profiter du spectacle de sa propre fessée et de celle de son
voisin. Ils pleuraient tous les deux à chaudes larmes, s’efforçant de maintenir
leur opulent fessier en bonne position, en croisant et décroisant leurs pieds
qui battaient l’air, chacune ayant, à tour de rôle, perdu son pantalon, projeté
sur le sol.
Heureusement pour
eux, après avoir subi une nouvelle accélération de l’averse brûlante de claques
qui leur enflammait le derrière, ils furent enfin une nouvelle fois délivrés
par leurs épouses et purent se relever ...un peu difficilement, il est vrai. Pendant quelques secondes, ils restèrent
debout en pleurant à chaudes larmes en se tenant les fesses à deux mains, se
balançant d’un pied sur l’autre, anxieux de ce qui allait leur arriver dans
l’immédiat. Ils jetaient évidemment des coups d’œil inquiets à leurs deux
martinets restés sur la table du salon, prêts à obéir aux ordres que leur femme
leur donnerait.
Les mains sur les hanches, le menton
autoritaire levé, Clarisse manifeste sa satisfaction en contemplant la belle
rougeur des deux fessiers.
– « -Ah ça fait
plaisir de voir de belles paires de fesses aussi bien
corrigée ! »
Régine, se frottant
les mains qui devaient être presque aussi cuisantes que le postérieur de son
puni.
– « Oui... ça fait du bien une bonne séance de fessées.
A nous d'abord et à eux aussi !
– Sauf qu'évidemment,
ça ne leur fait pas le même effet ! »
Ajoute Clarisse en riant. Elle se lève et
lisse sa jupe de tailleur sur ses fesses.
– Aller messieurs, au
coin, à genoux, le nez au mur, mains sur la tête... en attendant la
suite ! »
Douglas, se précipite
aussitôt au coin, où son épouse l'envoie d'habitude après chaque fessée, et, selon
les règles, s'y installe en s'appliquant à bomber au maximum son généreux
fessier totalement cramoisi. Aristide suit docilement son exemple et, sans
attendre qu'on lui ordonne, court s’agenouiller à côté de lui dans la même
posture.
Clarisse se tourne
vers Régine, la mine réjouie, et s'exclame avec un sourire triomphant.
– « Aaaah, ça
obéit maintenant... Et sans discuter ! Comme quoi, une bonne fessée bien
claquée au derrière, ça vous transforme un mari indiscipliné en un petit chéri
doux comme un agneau ! »
Rodolphe, un peu en
retrait pour ne pas trop se faire remarquer, se régalait du spectacle offert
par les deux hommes. Il ne put s’empêcher de constater que, dans cette position,
leurs derrières étaient parfaitement identiques, aussi volumineux, aussi
rebondis, aussi pleins et fermes. Pareillement enluminés d’un rouge si
éclatant qu'ils semblaient dégager une intense chaleur, perceptible même à
distance.
Pour avoir eu
l'occasion, à maintes reprises, d'assister à des séances de fessées, il avait
cru constater qu’un derrière sévèrement fessé paraissait plus gros après la
correction. Y compris le sien, observé dans la grande glace, devant laquelle sa
mère lui flanquait la plupart de ses raclées. Il pensait que cela résultait
surtout de la couleur rouge vif qu’il prenait et que, par conséquent,
l’explication de ce phénomène n'était due qu'à un simple effet d'optique.
Or il remarqua, cette
fois-là, que les nombreuses marques laissées sur les fesses et les cuisses par
les mains de sa mère et de Régine, avaient fini par se confondre en une
seule. De plus, la répétition et
l’intensité des claques se superposant les unes aux autres finissait par
provoquer un gonflement de la surface charnue. Il avait donc bien observé.
Une “bonne” fessée, de longue durée, avait
effectivement un effet immédiat sur le volume du derrière puni. La similitude
des postérieurs de Douglas et Aristide était accentuée par le bout de gingembre
planté au milieu de leur sphère fessière, comme une sorte de signal, qui en
indiquait le centre.
Clarisse du fond du
canapé où elle s'est installée avec Régine pour savourer le spectacle, les
interpelle d'un ton sarcastique.
– « “ Alors
Messieurs ? Ça fait du bien de se faire dresser par son épouse ? Qu’est-ce
que vous en pensez ? Est-ce que vos fesses sont de cet avis ? »
Douglas tournant la
tête répond le premier, par-dessus son épaule :
– « Oooh pour ça
oui, vous nous avez bien corrigé, on est bien fessé, vous tapez vraiment
fort ! »
Aristide, qui avait
du mal à tenir à genoux en gardant les mains sur la tête, semblait ne pas
pouvoir répondre tellement il pleurait.
Régine s’en agaça :
– « “ Alors ? Et
toi, tu n'as rien à dire ? Il te faut une nouvelle fessée pour que tu répondes
? »
Il esquissa un geste
pour se frotter le derrière mais se retint aussitôt et hoqueta.
– « Ouiiiii , ché...
Chérie …je suis bien fessasse…bien co...corrrrigé ...bien dressssé…bien puniiii
, je ne recommencerai plus …je te promets ... »
Sincère ou pas, il en rajoutait par rapport à
Douglas. Sereines et détendues, les deux épouses échangeaient leurs idées sur
un ton volontairement détaché, mais à voix suffisamment haute pour être bien
entendue.
– « Une bonne fessée
au martinet d’un quart d'heure, cela leur ferait du bien, qu’est-ce que tu en penses ? »
Interroge Clarisse en
maîtresse de cérémonie qui reçoit chez elle. Régine, la jupe toujours en haut
des cuisses, rajuste tranquillement ses jarretelles et, répond sans aucun état
d'âme en vérifiant l'alignement de la couture de ses bas nylon d'un coup d'œil
sur ses mollets.
– « De toutes
façons, à leur âge et vu leur conduite, pour que la punition soit
complète, une seule fessée à la main ne suffit pas. Il leur en faut, au moins,
une autre au martinet. »
Clarisse réplique.
– « Oui, et une sévère,
ils l’ont bien méritée ...Avec de bonnes paires de fesses comme les leurs,
c’est sûr que rien ne vaut une bonne séance de martinet. On leur a acheté pour
cela d’ailleurs ! »
Elles parlaient assez
fort afin que leurs époux, agenouillées dans leur coin, ne perdent pas une
miette de la conversation.
Après cet échange de
vues, elles décidèrent de les envoyer rapporter leur fameuse paire de
chaussures dans le magasin où ils les avaient achetées. Elles avaient convenu
que les avantageux postérieurs, gonflés de claques, de ces Messieurs, seraient
bien exposés s'ils tenaient leur pantalon baissé, pour que tout le monde en
ville sache qu’ils venaient d’être magistralement fessés ! Le magasin des
Delaniaires était situé en bordure du centre, qu'ils devaient donc traverser au
vu et au su de tout le monde, à commencer par les habitants et commerçants du
quartier qui les connaissaient bien.
Ils devaient ensuite
convaincre madame Delaniaires, et aussi sa nièce Géraldine, de reprendre ce qu’ils avaient acheté sans
permission en expliquant qu’ils avaient déjà reçu la fessée pour cela et que le
martinet les attendait s'ils n’obtenaient pas satisfaction.
Rodolphe, spectateur
comblé, toujours attentif au déroulement de la punition, les imaginait se
hâtant dans les rues, les fesses en feu, tortillant leur derrière
douloureux, et d’autant plus honteux que
le samedi était jour d’affluence dans le centre. Ils étaient prévenus qu’ils
auraient, de toute façon, une fessée au martinet en rentrant, mais que ce
serait double ration s'ils ne s’étaient pas fait rembourser les
chaussures !
Clarisse leur demanda
s'ils avaient bien compris, et, cette fois, ce fut à l’unisson, au milieu des
pleurs, qu’ils répondirent .
– « Oooh oui !
Ouiiii... On a compris !! »
Aristide, plus insistant,
d'une voix étranglée, pensant qu’il convenait de faire preuve d’autant de
soumission que Douglas pour ne pas sembler plus indocile, et risquer de se
prendre une nouvelle fessée avant de partir. Ils furent donc priés de se
relever et de se préparer immédiatement à sortir ! Les deux épouses, estimant
que le gingembre maintiendrait son plein effet pendant au moins une demi-heure,
les autorisèrent à ôter la racine plantée dans leur derrière.
– « Bien sûr, ce
n'est que temporaire ! »
Annonça Régine d'un
ton badin.
Clarisse d'ajouter
avec le sourire ;
– « C’est juste
en attendant la prochaine fessée ! »
Après l’avoir fait, avec une grimace de
soulagement, ils se tortillent tous les deux, en pleurnichant, pour se
reculotter. Leurs fesses écarlates et cuisantes débordent des élastiques des
slips tendues dans la raie.
Douglas s’essuya les
joues et conseilla charitablement à son compagnon de fessée, d’aller se passer
un peu d’eau sur la figure pour en atténuer un peu la rougeur. Ce qu’il fit,
non sans avoir au préalable jeté un coup d’œil à sa femme pour vérifier qu’elle
ne s’y opposait pas.
Alors qu’il se dirigeait vers la salle de
bain, Rodolphe pu constater qu’effectivement, comme prévu, le rouge vif de son
derrière était d’autant plus visible que le nylon transparent de son slip le
moulait de si près, qu'il semblait sur le point de craquer !!!
L’augmentation du volume du postérieur n’était pas une illusion d’optique mais
une réalité explicable. Il lui sembla aussi que les fesses paraissaient plus
lourdes.
Peut-être dû au fait
que les deux hommes, debout au milieu du salon, tenaient précautionneusement
leur fessier à deux mains, comme s'ils craignaient qu’il tombe, parce que leur
slip gonflé à bloc, avait du mal à les soutenir. Il avait déjà eu cette impression
quand Douglas recevait une grosse fessée, mais cela semblait cette fois encore
plus évident.
Ils s’apprêtaient à
passer la porte, chacun portant sa boîte à chaussures sous le bras, retenant,
d'une main, leur pantalon en haut des cuisses, quand Régine rappela son mari.
– « Aristide !
Si jamais tu reviens avec les chaussures, je veux que, dès que tu auras tourné
le coin de la rue, juste avant la maison de Bettina, tu baisses ton slip pour
arriver ici le derrière déculotté, prêt pour la fessée au martinet !
– Toi aussi Douglas!
– Dit Clarisse – je veux te voir rentrer les fesses à l'air, prêtes à
claquer ! Qu'est-ce qu'on dit ? »
Dans un ensemble
parfait, et avec un même ridicule, ils répondent en chœur, au garde à vous, le
petit doigt sur l'élastique du slip.
– « Oui
chérie !! Bien chérie ! ... Les fesses prêtes à claquer !»
Rodolphe, qui
décidément passait un bon moment, riait intérieurement. Il les regarda
s'éloigner dans la rue, tenant leur pantalon d'une main, de l'autre leur boîte
à chaussures, leur belle paire de fesses rouges et cuisantes roulant, bien
serrées dans leur indécent slip à fessée. Un grand moment de
discipline domestique.
Douglas et Aristide
partis en se frottant le derrière, le jeune homme , persistant dans son rôle de
petit voyeur, eut l’idée d’aller dans le jardin. Il avait pour cela deux
raisons. Bien qu’elles ne lui aient fait aucune réflexion, il préférait, d'une
part, laisser sa mère et Régine discuter entre elles, et ne pas donner
l’impression de s’immiscer dans leur conversation. D'autre part, et surtout, il
savait que, posté à un certain endroit, il pourrait, sans être repéré, assister
au retour des deux hommes, le long du trajet qui séparait la maison de William
et Bettina de la leur. Il était prêt à parier qu’ils ne pourraient obtenir la
reprise de leur achat. Aristide n’y croyait manifestement pas, Douglas sans
doute pas beaucoup non plus, mais ils avaient préféré faire semblant et gagner,
ainsi, une demi-heure au moins de répit pour leur derrière avant les cinglades
du martinet . Il ne pensait pas, non plus, que les épouses se faisaient
beaucoup d’illusions, mais pour elles, cette démarche qu’elles avaient imposée,
était évidemment un supplément de punition pour leur deux maris désobéissants.
Malin le garçon, il
savait que, placé entre une cabane à outils qui le protégerait des regards
curieux de Bettina et un massif de Bégonias qui le dissimulerait à la fois de
la rue et de sa maison, il verrait parfaitement revenir les deux punis. Il ne doutait
pas que, obligés de respecter les consignes de leurs épouses, ils devraient se
déculotter, passé la maison de Paulette... Il ne pouvait rater ça à aucun
prix !
Il sortit donc dans
le jardin par la porte-fenêtre restée ouverte, en prenant un air distrait ,
laissant sa mère et Régine discuter de la façon dont elles projetaient de punir
leurs époux quand ils allaient revenir. Après quelques détours et quelques
moments de halte, et avoir vérifié que Bettina n'était pas sortie, elle aussi,
pour profiter du spectacle, il se glissa, dans sa cachette et attendit.
Il commençait à
trouver le temps long quand il entendit des bruits de pas qui approchaient. Il reconnut
les voix d'Aristide et de son beau-père. Ils venaient de tourner à l’angle de
la rue et de s’y engager. Avec un petit sourire satisfait, il repéra tout de
suite qu'ils portaient toujours leur boîte à chaussures. Comme c'était
prévisible, Madame Delaniaires n'avait pas pris en compte leurs doléances et
leur démarche s’étaient soldées par un échec.
Aristide présentait un visage un peu défait ...mais Douglas pas
vraiment. Depuis le temps que Clarisse le corrigeait, il avait fini, entre deux
fessées, par acquérir la faculté de chasser de son esprit la dernière reçue et
de pas trop redouter la suivante.
Ils s’étaient arrêtés
tous les deux à peu près à la hauteur de la maison de Bettina et, obéissant aux
consignes, se déculottaient en trémoussant leur derrière pour l’extraire de
leur slip trop serré.
Comme s'il réalisait
seulement ce qui l'attendait, Douglas se mit tout d'un coup à se plaindre en
pleurnichant.
– « Oh la la !
Quelle fessée, on va se prendre encore ! Et elles tapent forts... à chaque fois ! »
Aristide, presque
stoïque complète sa phrase alors que l'élastique de son slip claque au milieu
de ses cuisses.
– « Oui ! Et ce
n'est pas encore fini... Maintenant, ça va être la fessée au martinet. Mais du
coup, on a quand même de belles chaussures. ! »
Douglas, ne partage
pas cet enthousiasme.
– « C’est tout
ce que ça te fait ! On les paie drôlement cher nos chaussures ...sur les fesses
...et dedans, avec cette saleté de gingembre ! Encore une idée de Bettina,
la voisine ! »
Une fois déculottés,
ils dévoilaient deux paires de fesses exagérément rebondies et proéminentes qui
débordaient généreusement des élastiques tendue en haut de cuisses et
arboraient toujours une couleur incandescente soulignée par le nylon blanc des
slips.
Rodolphe savourait le
spectacle. C’est alors que Gérôme jaillit derrière lui. Captivé par la scène
qu'il obervait, il ne l'avait pas entendu arriver. Il sursauta et son sang fit
carrément demi-tour lorsqu'il entendit la voix de son ami l'interpeller
joyeusement. Il n'avait pas encore vu les deux hommes au coin de la rue, en
train de discuter les fesses à l'air sur le trottoir,
– « Ben alors
mon gars ! Qu'est-ce que tu fabriques là, planqué derrière ta cabane
? »
Rodolphe se retourna
d'un coup, l'air effrayé, en lui faisant signe de la main de parler moins
fort. Il lui répond furieux, entre ses dents serrées pour ne pas être entendu.
– « Mais tais-toi
imbécile ! Tu m'as fait peur. Et tu vas nous faire repérer ! Mais toi
aussi, qu'est-ce que tu fous là ?
– Je reviens de
l'Olympic. J'étais avec Robin, on croyait que tu passerais. On t'a attendu même...
Il y avait Sébastien, avec sa sœur Géraldine... Un sacré canon ! Ils ont
payé une tourn...
– Raaah mais tais-toi donc ! Tu ne vois
pas qu'il se passe des trucs là !! Non d'un chien, regarde !! ,Le
mari de Régine et mon beau père, le cul a l'air sur le trottoir !!
Ils reviennent justement de chez les Delaniaires ! »
Gérôme écarquilla les
yeux lorsqu'il les aperçu et plaqua la main sur sa bouche pour étouffer une
exclamation rigolarde.
- « Oauaaaah J'y
crois pas !! Les fesses... la couleur !!! Ils... Ils s'en sont pris
une bonne !!! Ouaww ! Mais qu'est-ce qu'ils... Qu'ils... foutent là
décul...
– Chuuuut, tais-toi, !!
Mais tais-toi donc ! Ils se sont
pris une dérouillée par ma mère et sa copine Régine pour une histoire de
godasse... Je te raconterai... ! »
C'est à ce moment-là
que, pour compléter le tableau, ils virent Bettina sortir et interpeller
Douglas et Aristide en les voyant devant chez elle, les fesses à l’air et
encore bien rouges.
– « De mieux en
mieux ! Murmure Rodolphe en étouffant un ricanement, Manquait plus que
celle-là ! La rigolade ! »
Gérôme qui s'était baissé à côté de lui, se
relève.
– « Oui, ben moi
je me tire... je suis déjà en retard... Thérez doit m'attendre, à tous les
coups, ça risque de chauffer aussi pour mes fesses... Tu me raconteras hein !!
»
Rodolphe se retourne
furtivement ;
– « Oui,
t'inquiète... ça va être grandiose... On se voit demain, avec Robin, à la
baraque à frites !!
– Ouais, c'est
bon ! J'y vais !! »
-
Gérôme repart en
marchant courbé pour ne pas se faire repérer. Il entend, derrière lui, Bettina
demander aux deux hommes d'un ton goguenard.
– « Et bien messieurs... qu’est-ce qui vous
arrive ? Qu’est-ce que vous avez donc encore fabriqué pour recevoir la fessée
...et pour rentrer, maintenant, cul nu à la maison ? »
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 36
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerAvec le gingembre dans les fesses, le mot discipline prend tout son sens et en plus c'est écologique. Que demander de plus?
Il est à noter que rentrer cul nu à la maison n'est pas banal. Pour dresser un vilain mari, il n'y a pas mieux. Au moins, les voisines peuvent se rincer les yeux ( les 2 en même temps... ).
Pour "Dou glace", ça chauffe sec, tout de même. Ce monsieur ne porte pas très bien son prénom, je trouve.
Amitiés.
Elena.
Bravo M RAMINA pour ce récit
RépondreSupprimerElena se réjouis des mésaventures des maris soumis ,elle mériterais elle aussi de défiler déculottée ,garnie de gingembre les mains dans le dos avec bonnet d'âne
Jojobonno
Merci jojobonno;
SupprimerUn peu dur avec notre amie Elena... je ne suis pas certain qu'elle mériterait un pareil traitement, qui plus est, avec un bonnet d'âne!!
Même si dans ses récits les châtiments sont sans pitié!
Cordialement
Ramina
Bonjour Elena,
RépondreSupprimer"Doux-glace".. Eh Eh, Amusant, je n'avais pas pensé à ça...
Le prochain épisode devrait confirmer que le terme "glace" est effectivement inapproprié quant à la température de ses fesses ...
Sauf qu'à devoir rentrer cul nu, elles finissent bien par se refroidir! mais en général pas pour longtemps...
Amicalement
Ramina