Alors qu’elle est censée récurer la salle de bain, Marie Camille se fait surprendre par sa mère en train de se maquiller. Elle s’est permise de détacher ses cheveux et à déboutonner son chemisier. Elle s’est aussi débarrassée de son tablier.
«
Petite dévergondée, tu n’as pas honte ! J’espère que tu as honte. »
Madame Chopin, très fâchée,
vient claquer les cuisses de sa fille à trois reprises puis se saisissant d’un
coton qu’elle humidifie légèrement, elle lui nettoie le visage en frottant sans
ménagement.
«
Non seulement tu ne fais pas ton travail mais en plus tu utilises mes affaires
pour te transformer en prostituée. Parce
que désolé je ne trouve pas d’autre mot. Une jeune fille bien élevée ne fait
pas ce genre de chose. Je vais te faire regretter tes errements jeune
fille. Crois-moi tu vas prendre
cher ! »
Une fois le nettoyage terminé,
elle entraîne Marie Camille dans sa chambre en la tirant par les cheveux. Elle
s’assoit sur le lit et ordonne à sa fille se baisser sa culotte puis la prend
par la main pour qu’elle se place à sa droite. Agrippée par l’oreille cette
fois, elle couche la fautive à plat ventre sur ses genoux. Cette dernière sait
très bien qu’elle s’apprête à recevoir une sévère correction qu’elle n’oubliera
pas de sitôt. Mme Chopin coince les jambes de sa fille avec une de ses jambes
et immobilise fermement de sa main gauche les mains de Marie Camille.
Elle retire de son pied sa
claquette et s’en saisit de sa main libre. Une claquette souple mais à
l’épaisse semelle. La fessée commence. Une valse de claque qui résonne dans la
pièce. Les fesses, les cuisses, l’instrument de fessées atterrit aléatoirement
sur l’épiderme qui trouve très vite une couleur rouge vif. Marie Camille pleure
de suite tant la correction est donnée avec conviction. Elle tente vainement de
se dégager. Elle est si bien maintenue que la manœuvre n’est même pas constatée
par sa mère.
C’est une très longue et
redoutable fessée que lui administre sa génitrice. Marie Camille trouve le
temps interminable. Les coups tombent à foison et les sanglots et supplications
de sa gamine ne font pas faiblir Mme Chopin bien décidée à lui faire regretter
amèrement son attitude. Après 12 minutes de claques, elle relâche enfin son
étreinte. Elle relève sa progéniture et la place face à elle pour de nouvelles
remontrances.
« J’espère
que cette première fessée te sera salutaire. Mais je n’en ai pas terminé avec
toi. Crois-moi tu vas pouvoir encore pleurer. Va m’entendre au piquet. »
Tête basse, la culotte au pied, Marie Camille
se place dans le coin entre son armoire et le mur. Elle renifle ses sanglots
tandis que sa mère s’affaire visiblement dans sa chambre juste à côté. Elle ne
reste pas longtemps en pénitence. Cinq minutes à peine et sa mère revient munie
de la ceinture
« Va te coucher à plat ventre sur ton lit ordonne
t’elle
– Maman pitié non. Je vous demande pardon. S’il vous plait
–Dépêche-toi ou je double la dose ! »
Marie Camille forcée d’obtempérer se couche
donc sur son lit docilement. Sa mère lui place un oreiller sur le ventre pour
lui relever un peu les fesses. La jeune fille s’accroche aux barreaux du lit. Madame
Chopin replie la ceinture, relève la jupe de sa fille sur sa tête et commence
sa punition.
Sans aucune hésitation, elle
vient cingler le séant de sa gamine ainsi que ses cuisses et ses jambes. La
douleur de la fessée de la séance précédente s’accentue. Marie Camille crie et
supplie sa mère d’arrêter. Au huitième coup elle lui demande encore pardon mais
sa génitrice ne faiblit pas. Elle lui inflige encore 12 bonnes cinglées.
Sitôt la punition terminée,
Madame Chopin Oblige sa fille à se relever. Elle lui réajuste son chemisier, la
recoiffe correctement en l’affublant de deux couettes et en l’attrapant par le
poignet l’oblige à la suivre la culotte au bas des pieds et la jupe toujours
retroussée.
« Tu
viens chez madame Lepand. La baby-sitter de Jérôme va s’occuper de toi pendant
mon rendez-vous. »
Toujours en pleurs, Marie
Camille ne répond rien. Elle prend garde de ne pas tomber dans les escaliers
avec sa petite culotte au bas des pieds et sa maman qui l’a fait avancer vite
en la tirant toujours par le poignet.
Lorsque l’on sonne à la porte,
Jérôme toujours à genoux, mains sur la tête, le pan chemise relevée et les
fesses à l’aire, se demande qui cela peut être. Personne ne peut venir rendre
visite à tante Martine. Tout le monde sait qu’elle est absente aujourd’hui. Un
samedi après-midi ce ne peut pas être le facteur ou un livreur se dit-il. Il
sent l’angoisse lui monter au nez. Il se rassure car personne n’a sonné à
l’interphone. Ça ne peut que des voisins. Tout le monde sait comment il est
traité dans l’immeuble… Et si c’était la dame qui occupe son ancien
studio ? Il serait une fois de plus humilié. Toute façon qui que ce soit
il va avoir la honte.
« Bonjour Mademoiselle. Nous sommes un peu en retard,
désolé. J’ai dû corriger cette petite peste. Laissez là au coin un bon moment
comme son camarade qui je vois a dû lui aussi être puni.
– Très bien madame répond Justine en reprenant fermement le
poignet de Marie Camille
– Et si besoin n’hésitez pas à sévir, soyez très ferme
– N’ayez crainte madame. J’ai l’habitude
– Parfait j’en ai pour environs trois heures à tout à
l’heure. »
Justine conduit la jeune fille
qui doit avoir trois de moins qu’elle au coin. De sa main libre elle relève
Jérôme par l’oreille puis s’adressant à Marie Camille.
« Toi tu prends sa place, puis à Jérôme quant à toi tu
retournes à la table basse faire ta punition
– Pitié mademoiselle Justine supplie Jérôme pas genoux j’ai
trop mal »
Il reçoit pour seule réponse
une bonne claque sur ses fesses nues. Justine le replace sur ses genoux et lui
ordonne de se mettre au travail
Le spectacle dans le salon
vaut le détour. Dans un coin Marie Camille fesses à l’air. La culotte aux
chevilles et la jupe retroussée sur son dos. Elle a les mains sur la tête et le
nez au mur. Elle médite sur le fait de vouloir se déguiser en jeune fille de
mauvais genre. A droite Jérôme. Tout nu.
A genoux en train d’écrire sa longue punition. Les fesses de Marie Camille sont
rouges écarlates et l’on y distingue très bien les marques de la ceinture.
Celles de Jérôme virent au violet avec en plus les zébrures rouge du martinet.
Une demi-heure. Cela fait une
demi-heure que la jeune fille est au coin. Elle ne tient plus et tente de soulever
un genou puis l’autre le plus discrètement possible.
Rien n’échappe à l’œil de
Justine. A pas de loup elle s’approche de la punie et lui inflige une violente
cinglée sur les cuisses
« Qu’est-ce
que tu ne comprends pas dans le fait de ne pas bouger l’interroge t’elle en lui
rajoutant 3 bon coups de martinet. »
Pour seule réponse, elle a des
sanglots de Marie Camille
L’après-midi s’achève sans
autres accidents. Quand Madame Chopin vient récupérer sa fille, Justine lui
fait part de l’accident, sa mère lui promet une fessée après son bain et lui
promet d’aller se coucher le ventre vide. Elle remercie et rémunère la
baby-sitter et prend congés non sans oublier de faire remercier sa fille
« Merci mademoiselle
– De rien Chipie. A l’avenir évites les bêtises lui conseille
Justine. A nous vilain garçon ! Il est l’heure de la douche ordonne
ensuite la baby-sitter. »
Docilement Jérôme suit Justine. Il n’a aucune envie de la
contredire. Il a assez souffert et souffre encore. Il ne supporterait pas une
nouvelle correction. Il se concentre pour éviter de nouveau toute érection.
C’est compliqué car depuis longtemps il ne résiste pas au charme de sa
gardienne. Il y parvient toutefois même quand elle insiste longuement sur son
pénis et ses parties génitales.
A son retour Madame Lepand n’est pas seule. Visiblement son
déplacement était pour aller chercher son fils Laurent âgé de vingt-huit ans
soit quatre ans de plus que Jérôme. On ne lui donne pas son âge bien que Jérôme
fasse beaucoup plus jeune. Ce n’est pas bien compliqué, Jérôme à l’allure, le
corps et la tête d’un gamin.
Evidemment, Justine ne manque pas de raconter dans les
moindres détails les sottises de Jérôme. Au fur et à mesure, le regard sévère
de Madame Lepand se penche sur le jeune garçon et quand elle lui annonce qu’il
sera encore puni, il n’est pas surpris et montre un regard conscrit.
Madame Lepand prend congé de Justine et revient dans le
salon. D’un ton qui ne laisse pas le choix que d’acquiescer, elle enjoint
Jérôme à se rendre dans la cuisine pour éplucher des légumes pour la soupe du
soir. Se radoucissant, elle dicte à son fils d’aller ranger ses affaires dans
l’armoire vide qu’il partagera pendant son séjour avec celui qu’elle lui
demande de considérer comme son petit frère.
Jérôme est étonné de la façon qu’à Laurent à obéir
promptement à sa mère. Sa façon de répondre « oui Maman » à chaque
fois le sidère. Cependant quand une fois revenu d’avoir ranger sa valise, elle
lui demande d’aller prendre sa douche et de se mettre en pyjama avant le dîner,
il proteste :
« Mais enfin maman à mon âge je peux me doucher avant
d’aller me coucher
– Laurent tu connais les règles de cette maison alors
dépêche-toi d’aller faire ta toilette »
Laurent rouspète et marmonne entre ses dents sans pour
autant obtempérer. Du coup madame Lepand ne tergiverse pas. Comme s’il était
toujours le petit garçon qu’il était avant de prendre son envol, elle se saisit
d’une cuillère en bois dans la cuisine et se rue sur son grand garçon et sans
qu’il n’ait le temps de réagir, elle lui baisse son pantalon et son slip.
Sachant pertinemment qu’il ne peut résister à sa mère et connaissant
parfaitement les règles de la maison, Laurent se laisse courber sous son bras
et fesser grandement. Elever depuis toujours ainsi il sait qu’il a mérité cette
sanction et se laisse administrer cette fessée comme un petit garnement qui
vient d’être insolent.
De grandes claques explosives avec la cuillère alternent
entre fesse gauche et fesse droite. Entre cuisse gauche et cuisse droite
également. Comme toujours Martine Lepand
montre une dextérité bien huilée. Ce n’est que quand elle constate que ses
fesses et ses cuisses ont atteint le degré de cuisson voulu et que comme un
petit chenapan, Laurent pleurer à chaudes larmes qu’elle le prend par l’oreille
et l’entraine dans la chambre.
Comme quand il habitait encore chez elle, elle le
déshabille et le conduit ensuite dans la salle de bain. Jérôme qui subjugué par
la scène à laquelle il assiste, les suit comme un petit chien.
« Jérôme va éplucher les légumes pour la soupe. Lui
dicte madame Lepand
– Oui ma tante ! »
Mais Jérôme se cache encore et
observe la représentation qui se déroule. Comme elle le fait pour lui, Martine
Lepand donne la douche à son grand garçon qui se laisse facilement faire.
Pour ne pas être puni Jérôme
sort de sa cachette et part exécuter les consignes de sa tante adoptive. Quand elle revient dans la cuisine, Laurent
l’accompagne. Parfaitement coiffé lui aussi et en pyjama. Il aide son
« petit frère » à terminer sa corvée puis il mange tranquillement
tous les trois. Le repas terminé et la cuisine rangée et nettoyée, Jérôme
poursuit sa punition à la table de la salle à manger tandis que Laurent doit
lui aussi copier « je dois obéir à maman en toute circonstance et sans
rechigner. »
Vous n'avez pas lu ce les épisodes précédents ?
Eh bien voici le début : le chapitre 1
Et le chapitre 9 qui précède celui-ci
Une suite à cet épisode ?
Elle va venir, la semaine prochaine.
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Amis de la poésie et de la cuillère en bois sur les fesses...Bonjour.
RépondreSupprimerOn connaissait le roman du marquis de Sade" Justine et les infortunes de la vertu" , mais nous avons ici une autre Justine, cause des infortunes des fesses de Marie Camille qui en prend pour son grade tout au long du récit.
Sa mère, madame Chopin, connaît la musique et lui fait valser le derrière d'abord à coup de semelle de cuir, puis de ceinture pour battre la mesure. Le rimmel dont la demoiselle a eu grand tort de se maquiller les yeux doit couler abondamment sur ses joues. Quand ce ne sont pas les garçons qu'on infantilise avec le port de la culotte courte, ce sont les filles, en culotte de coton et en couette, interdites de rouge à lèvres...Le seul rouge en vigueur est celui qui doit enluminer les fesses après une sévère déculottée.
Si certains sont bien nés avec une petite cuillère en argent entre les dents, d'autres le sont moins en se retrouvant, souvent, une cuillère en bois sur les fesses. C'est le cas du pauvre Laurent que madame Lepand en pleine forme, mène à la baguette en lui cuisinant le derrière à sa manière! Ah, les bonnes recettes de tante Martine!
S'il y a parfois des déculottées qui se perdent, ce n'est pas, en tout cas, dans ces récits où la multiplication des fessées pour les uns commencent là ou finit la liberté des... mêmes!
Cordialement
Ramina