Lors de nos retrouvailles sur le quai de la gare, nous nous étreignons sans plus, car Papa et Maman sont présents. Eux aussi, ne comprennent pas comment j’ai pu inviter cette fille à la maison après ce qu’elle m’a fait subir. Les films qu’ils ont vus ont largement montrés que Brittany prenait du plaisir à me cingler et à me faire hurler.
Papa et Maman l’accueillent de
façon courtoise, mais froide, car elle s’en est prise à leur fille et ils
peuvent difficilement l’admettre. Toutefois, ils feront contre mauvaise fortune
bon cœur durant son séjour, puisque c’est moi qui en ai fait la demande.
Durant nos échanges réguliers
par mails, j’ai présenté ma région, la côte d’azur, pour qu’elle ait un premier
aperçu de l’environnement durant son séjour. C’est une région qu’elle ne
connait pas et elle me disait qu’elle avait hâte de connaitre le coin et de
sentir les rayons du soleil du sud de la France.
Aussitôt arrivés à la maison,
je l’installe dans ma chambre, car j’ai négocié avec Maman qu’elle sera mieux
dans mon lit que couchée dans le convertible du salon, peu confortable, et
puis, nous serons entre filles pour papoter une partie de la nuit... Je lui
fais découvrir la maison et en entrant dans la cuisine, Brittany découvre,
accrochés au mur, les deux instruments de punition de chez DELANIERES, un martinet
et un long fouet. Elle m’interroge sur leur utilité, mais je lui dis qu’ils
n’ont pas encore servis.
Dès que ses affaires sont
déballées, nous allons nous promener à travers la ville. J’en profite pour
aller chez Ekaterina, Iourievna et Olga afin de leur présenter Brittany.
L’accueil est plus cordial, mais l’incompréhension règne aussi chez mes
meilleures amies, mais après tout, elles pensent que c’est mon problème et qu’elles
n’ont pas à juger mes relations, car elles ont entendu parler de nos rapports
lorsque nous étions ensemble à St ANDREWS, par mes autres amies qui étaient
présentes et qui ont vu certaines choses les ayant étonnées, nos baisers
échangés ou notre tendre complicité, par exemple.
Les premiers jours de vacances
se passent en promenade, sorties en tout genre et à la plage, qui ravi
Brittany, car elle n’a pas ça là où elle vit. Mes amies et moi lui faisons même
connaitre la plage naturiste, à l’ouest de la ville. Je la découvre, nue. Elle
a de très jolies formes, mais n’étant pas naturiste dans l’âme, on la sent un
peu embarrassée, rougissant, sa pudeur prenant le dessus à la moindre occasion,
lorsque par exemple, des non naturistes traversent notre espace réservé pour
aller de l’autre côté de la plage. Les jeunes qui viennent le font surtout pour
reluquer, prendre des photos et à l’occasion, entamer la conversation avec les
jeunes femmes naturistes. Les responsables de l’association naturiste sont
obligés de les faire déguerpir en leur rappelant les règles de bonne conduite.
Nous passons beaucoup de temps
dans l’eau à nager ou à nous amuser toutes ensemble. En sortant, allongées sur
nos serviettes et en la voyant rougir lorsque des gens la regardent, je lui
rappelle ce que mes amies et moi avons dû subir comme humiliation lorsque nous
avons été fouettées, nues, devant toute l’école qui se moquait de nous et elle
la première ! Brittany me prend dans ses bras et dépose un baiser sur mes
lèvres en me disant que je l’avais cherché et que cette punition a permis
d’être ensemble aujourd’hui... Je croise le regard amusé de mes amies qui ont
vu notre baiser échangé. Pour donner le change, je dis tout bas à Brittany que
pour les baisers, ce sera plus tard, car sur cette plage, les relations ne sont
pas autorisées. Brittany retourne s’étendre sur sa serviette, en me faisant un
clin d’œil, qui en dit long sur ses intentions.
Comme nous sommes toutes les
cinq à cours de discussion, Olga me demande de raconter ce que nous avons vu à
la gendarmerie lorsque les deux roumains se sont fait fesser. Brittany m’incite
vivement à tout raconter, dans les moindres détails. Je leur retrace la
chronologie des évènements du moment où j’ai vu les deux personnes roder dans
le jardin de mes voisins jusqu’à leur sévère fessée, devant plein de monde.
J’insiste principalement sur les impressions lorsque les deux voleurs
recevaient leur punition, des détails sur leur nudité et leur corps, leurs
hurlements, la façon dont ils étaient attachés et la façon dont ils gigotaient
sous les claquements sonores des lanières. Je termine par dire que ce spectacle
m’a excitée et que je me suis masturbée intensément sous ma douche, dès que je
suis rentrée à la maison. Brittany semble fascinée par mon récit que je fais en
anglais.
Le corps tout bronzé, nous
rentrons à la maison, heureuses de notre journée passée à nous prélasser et à
papoter et à jouer entre amies, sur le sable. La douche prise ensemble dérape à
plusieurs reprises, laissant présager de tendres contacts lorsque nous seront
couchées.
Après le souper, comme à
chaque repas, nous aidons Maman à ranger à laver et nous allons nous promener
dans les rues de la ville. La relative fraicheur de la soirée fait du bien
après la grosse chaleur pesante de la journée. Un peu ingénues, main dans la
main, nous discutons de tout et de rien.
En rentrant, nous allons nous
coucher et comme d’habitude, blottie l’une contre l’autre, mais cette fois,
nues, des bisous, nous passons à des attouchements plus intimes et nous faisons
l’amour, ma première expérience lesbienne. J’avoue ne pas être déçue, bien que
mon attirance soit plus grande par rapport aux hommes que par rapport aux
femmes, mais dans ce cas, le plaisir et les douces sensations étaient au
rendez-vous et j’ai dû serrer les dents, la tête enfouie dans mon oreiller pour
étouffer mes gémissements et mes cris au moment de la jouissance. Quant à Brittany,
elle a bien failli exploser, mais a su ne pas s’abandonner. Toutes les deux comblées,
nous nous endormons, enlacées.
Le lendemain, je décide
d’emmener Brittany rencontrer des garçons dans les campings de la région. De
cette façon, nous pourrons accéder à des activités et installations
gratuitement, en profitant en plus, des beaux mâles, qui se mettront en quatre
pour nous satisfaire. En été, sur la côte d’azur, les jeunes vacanciers ne
pensent qu’à draguer et à profiter.
Je préviens Brittany que dans
certains campings, les accès sont filtrés, car beaucoup de monde fraude. Seuls
les amis des campeurs dument enregistrés sont autorisés à entrer. Les campeurs
et les invités portent un bracelet les identifiant comme autorisés à être sur
le site. Ces mesures de reconnaissance sont devenues impératives dans certains
campings haut de gamme, car c’est un sport local que les jeunes riverains
entrent sans payer ou sans être invités.
Mon camping préféré est le « BELLEVUE »,
le plus grand et le plus classe de la région. Il y a une grande piscine et des
jeux de pleins air où nous allons bien nous amuser. En début d’après-midi,
Brittany et moi allons au camping, qui se trouve non loin de mon domicile. Nous
entrons dans le camping en nous mêlant à un groupe de jeunes qui rentrent de la
plage, pratique infaillible et en toute discrétion.
Nous allons directement à la
piscine où nous nous amusons dans les toboggans et bains à remouds. Bientôt,
les deux petites blondes que nous sommes sont remarquées par un groupe d’ados
de tous âges, qui ne perdent pas l’opportunité de venir nous aborder plus ou
moins adroitement, d’ailleurs. Avec notre maillot échancré et surtout notre
soutien-gorge bien rempli, nous faisons forte impression et les garçons ont
leurs hormones en ébullition.
Nous sommes assaillies de
questions en tout genre et avec Brittany qui répond en anglais, c’est plutôt la
cacophonie entre les uns qui tentent de parler anglais et les autres qui
tentent de traduire pour les plus jeunes. Notre petit groupe bruyant attire les
foudres des vacanciers qui aimeraient se reposer au calme, ce dont nous ne
tenons pas compte.
Un des surveillants du camping
arrive et il hausse le ton pour tenter de remettre bon ordre dans notre
brouhaha qui importune. Reconnaissant le service d’ordre, Brittany et moi
dissimulons nos poignets pour échapper à sa vigilance. Lorsqu’il contrôle,
Brittany et moi sommes démasquées et il nous prie de quitter les lieux au plus
vite. Se sachant en faute et ne demandant pas notre reste, nous remettons notre
tee-shirt et nous partons, raccompagnées par le gardien.
En dehors du camp, nous nous
disons que c’est dommage d’en rester là et nous décidons de rentrer à nouveau,
en faisant plus attention, cette fois.
Cachées derrière des voitures
et avec un instant d’inattention de la part du gardien, nous pénétrons à nouveau
dans le camping. En courant, nous rejoignons nos copains qui nous voient
arriver avec joie. Nous leur expliquons qu’il faudra faire plus attention et
nous partons tous vers un autre endroit, moins fréquenté.
Nos discussions reprennent,
car chaque garçon tente d’avoir sa chance avec nous, même ceux qui ont à peine
quinze ans. Leur approche un peu gauche nous fait rire, car nous les voyons
arriver avec leurs « gros sabots ».
Un des garçons nous dit que le
concours de « Mister camping » a lieu. Nous allons voir un des
garçons du groupe qui se présente, Antoine dix-neuf ans. Dissimulées parmi la
foule, nous regardons les défilés des concurrents. Quelques épreuves de force
et d’endurance ont lieu pour départager les candidats. Antoine s’en sort plutôt
bien et il devient l’un des finalistes de l’épreuve.
Alors qu’Antoine défile sur le
podium, le gardien nous repère et il surgit sur nous avant même que nous
puissions réagir. Nous empoignant par le bras, il nous embarque dans son
bureau, pour cette fois prendre les mesures qui s’imposent. Nous réalisons que
nous n’avons pas été assez prudentes et que maintenant, c’est trop tard. Le
gardien nous force à dire qui nous sommes et de donner le nom de nos parents.
Tout d’abord muettes, le gardien nous menace d’appeler les gendarmes, car nous
sommes, toutes les deux, en récidive.
Consciente d’être en faute, je
donne mon nom et le téléphone de mes parents, en précisant que Brittany est
invitée chez moi et que ses parents ne sont pas là. Le gardien se fait un
plaisir d’appeler Papa qui délègue à Maman le soin de venir nous récupérer, car
lui est en réunion et indisponible pour le moment. Il certifie au gardien que
nous allons nous en rappeler et que ça ne se reproduira plus.
Maman arrive un peu plus tard,
furieuse, car elle m’avait déjà prévenue que ce genre d’entrée en fraude est
interdite. De plus, nous pourrions tomber sur des jeunes qui nous molestent ou
même qui nous violent. Les histoires de ce genre sont fréquentes dans les
campings. Elle me rappelle, au passage, que je ne prends pas la pilule et que
tous rapports, consentis ou pas, peut avoir de fâcheuses conséquences...
Toutes les deux muettes et la
tête basse durant le trajet du retour à la maison, nous n’en menons pas large,
honteuses de notre faute.
Aussitôt arrivées, Maman nous
envoie dans ma chambre et nous ordonne de nous mettre entièrement nue, car nous
allons être punies comme il se doit. Nous, qui pensions que nous allions n’avoir
qu’une remontrance, là, ce n’est plus pareil, car nous allons être corrigées. Nous
nous regardons, interloquées. Brittany demande pardon à Maman, mais elle lui
répond qu’il fallait réfléchir avant. Même si elle ne comprenait pas le
français, elle m’a suivie dans le fait d’entrer à nouveau dans le camping,
malgré l’interdiction du gardien. Brittany ne peut que l’admettre. Elle était
bien complice sur ce coup-là.
Dans la chambre, je demande
pardon à Brittany, car c’est de ma faute si nous allons nous faire punir. Avec
un grand sourire, Brittany me dit que nous nous consolerons mutuellement
après... Je l’envie d’être aussi confiante, car je sais que la punition va nous
laisser avec des douleurs partout. Je ne sais pas si nous aurons envie de faire
autre chose...
Nous nous étreignons en nous
souhaitant beaucoup de courage et nues, nous descendons, Maman nous attend avec
le martinet à la main. A la vue du martinet, nous avons le sang qui se glace
dans nos veines. Je sens mes tétons qui se dressent par l’angoisse de la fessée
imminente. Brittany n’est pas dans un meilleur état au moi.
Maman prend Brittany par le
bras et lui dit de se pencher en avant, en prenant appui sur le dossier du
canapé et d’écarter les cuisses. Quant à moi, je dois me mettre à genoux, les
mains sur la tête et regarder avant de passer à la correction moi aussi.
Lorsque Brittany est en
position, Maman la cingle au niveau des fesses et des cuisses, faisant
sursauter et crier mon amie. A plusieurs reprises, en demandant pardon, elle
place ses mains en protection de son arrière-train qui est zébré de belles
marques bien rouges. Lorsque Maman voit que Brittany n’obtempère pas assez vite
pour retirer ses mains, elle lui cingle le dos, la faisant bondir et hurler.
Cette technique est imparable pour qu’elle offre à nouveau ses fesses aux
lanières de cuir.
En la regardant crier,
souffrir et se contorsionner dans tous les sens, mon entrecuisse se mouille
tant je suis excitée de ce spectacle. Mais en arrière-plan, une boule se noue
dans ma gorge, car je sais que je vais être la proie des lanières dans quelques
instants et je ne donnerais surement pas meilleure impression que mon amie.
N’en pouvant plus, Brittany
finit par se faire face à Maman pour interrompre la correction, pensant qu’elle
n’oserait pas lui cingler le torse. Maman lui demande à deux reprises de se
remettre en position, mais Brittany, le visage inondé de larmes tente de l’en dissuader
et elle se prend quelques cinglées appuyées sur les seins et sur le ventre la
faisant hurler et trépigner d’une jambe sur l’autre, ce qui fait ballotter ses
seins. Brittany finit par s’écrouler en se protégeant de ses bras, en sanglots.
Maman la prend par le bras et la traine jusqu’à moi pour la mettre à genoux,
les mains sur la tête. Secouée de pleurs, Brittany, toute tremblante, pose les
mains sur sa tête et essaye de se tenir droite. Son corps lui semble être en
feu.
Ayant vu mon amie se faire
fouetter, je commence déjà à pleurer lorsque Maman m’empoigne et me traine
jusqu’au dossier du canapé et me dit que je vais recevoir plus de fouettées que
Brittany, puisque c’est moi qui l’ai emmenée là-bas. Elle me sermonne à nouveau
( et en russe, cette fois ) sur les risques de viols à force de faire les
« aguicheuses » entourées de garçons qui ne demandent qu’à passer à
l’acte et se moquent éperdument des conséquences. Entre deux reniflements, je
lui dis que je n’y avais pas pensé et tout ce que je voulais c’était m’amuser
avec Brittany. Maman me décoche une gifle qui me fait rougir instantanément la
joue.
Elle me met sur mes deux pieds
et me force à prendre position. Cuisses ouvertes, ma vulve luisant de cyprine
se voit bien. C’est Brittany qui a une vue directe dessus.
Maman se met à me fouetter de
la même manière que Brittany. Moi qui n’avais jamais expérimenté ce martinet,
c’est vrai que les morsures des lanières laissent des trainées embrasées et je
comprends les réactions de Brittany. Je tente de résister mais au fur et à
mesure que Maman me cingle, je sens que je fais céder et hurler, ce qui ne
tarde pas. Je me mets à sauter sur place et à danser d’une façon aussi ridicule
que ma copine. Je supplie Maman de stopper, car ça fait trop mal, mais elle
continue, visant alternativement mon dos, mes fesses et mes cuisses.
Lorsqu’elle cesse, c’est pour
me dire de me retourner, ce que je fais sans lui faire répéter. Maman me dit de
mettre mes mains sur ma tête, car elle va me fouetter le ventre et les seins et
à chaque fois que je me protégerai, il y aura deux cinglées en plus. Je le
regarde implorante, le visage en larmes.
Dès la première sur le bas
ventre, je baisse mes mains en me massant la partie brulante. Consciente de ce
que je viens de faire, je demande pardon et je mets mes mains prestement sur la
tête. Maman continue et mes mains se positionne en pures réactions de
protection, ce qui fait que la correction dure.
Ayant déjà reçu quatre-vingts
coups de fouet sur tout le corps, je plie les genoux et je m’écroule. Cette fois,
je n’en peux plus. En larmes, en sueur et le corps intégralement zébré de
marques, Maman m’aide à me relever. Les jambes flageolantes, Brittany et moi
sommes renvoyées dans ma chambre pour y rester confinées tout l’après-midi afin
de méditer sur nos actes. Je n’ai que je temps d’aller aux toilette et d’uriner
à moitié debout, car j’ai failli me laisser aller durant la punition.
Nous nous allongeons sur mon
lit pour pleurer toutes les larmes de notre corps. Je sens Brittany me prendre
la main. Je la regarde d’un petit air implorant, car c’est à cause de moi que
nous avons été fouettées et je comprendrai qu’elle m’en veuille.
En ce mois de Juillet, il fait
très chaud, ma chambre étant sous le toit, la chaleur a envahi la pièce. Entre
ça et la chaleur de notre corps en feu, nous dégoulinons de transpiration.
Allongées toutes les deux, trempées, la vulve et les cuisses maculées de
cyprine, nous devons paraitre bien minables...
En fin d’après-midi, Maman
entre dans la chambre, nous donne de l’eau et nous ordonne d’aller prendre une
douche fraiche, car nous ne ressemblons à rien, comme ça. N’osant pas la faire
répéter, nous nous levons, le corps encore en feu et nous allons nous laver.
Toilette qui nous requinque un peu, car l’eau fraiche apaise la sensation de
brulure. En sortant de la salle de bain, nous regagnons la chambre et nous nous
apprêtions à enfiler un short et un tee-shirt lorsque Maman nous arrête en nous
disant que nous allons passer les deux prochains jours, entièrement nues, ce
qui nous évitera d’aller faire les « belles » avec les vacanciers. Brittany
rougit jusqu’aux oreilles, car elle sait que Papa va la voir sans vêtement et
ça sera très humiliant pour elle, dans une moindre mesure, pour moi
aussi !
Après toute la soirée passée
toutes rouges, débordant de subterfuges pour dissimuler notre nudité, nous
allons nous coucher. Le corps bien chaud et l’esprit encore tout embrumé de ce
que nous venons de vivre, Brittany et moi refaisons l’amour pour apaiser nos
tensions internes. Nos ébats nous font un bien fou et malgré notre corps
perclus de douleur, nous trouvons l’énergie pour faire jouir l’autre et
comblées, nous basculons dans un sommeil entremêlé de scènes pénibles et de
doux moments.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 38
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Bonjour, Elena.
RépondreSupprimerIl doit être effectivement très difficile pour votre entourage et vos amies de comprendre la nature du lien qui vous unit à Britanny, sachant qu'elle a pris infiniment de plaisir à vous fouetter. C'est le genre de choses qu'on ne peut comprendre que de l'intérieur. Comment pourriez-vous expliquer que c'est précisément le fait qu'elle y ait pris du plaisir qui vous trouble en profondeur? Que vous avez ressenti une satisfaction intense à être le "moyen" par lequel Britanny a éprouvé ce plaisir? Il y a dès lors entre vous quelque chose de très fort qui ne peut pas être comparé à quoi que ce soit d'autre. Beaucoup de choses deviennent alors possible. Et jusqu'au fait de s'offrir mutuellement le spectacle d'une correction exemplaire. Parce qu'il faut bien reconnaître qu'elles la cherchent cette fessée, qu'elles provoquent, qu'elles font tout pour l'avoir. Aussi douloureuse soit-elle. Ce dont il s'agit, et peut-être surtout de la part d'Elena, c'est de faire un magnifique cadeau à l'autre.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerEn effet, cette flagellation a St ANDREWS m'a affectée plus que prévu. Se sentir dominée par Brittany a créé une sensation inattendue... Par contre dire que cette bêtise fut voulue, je n'irais pas jusque là. Disons que notre entêtement et notre souhait de nous amuser en faisant fi des consignes en a été la cause. Mais ça aurait passer... Cependant, la flagellation mutuelle a ouvert davantage de sensations entre nous. C'est un formidable cadeau, en effet.
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et des galipettes sous la couette entre filles après la fessée... Bonjour!
RépondreSupprimerEncore que dans le midi, en été, on ne doit pas dormir souvent avec une couette, surtout quand on vient de se prendre une sévère correction au martinet avec le derrière et tout le reste du corps à la température d'un barbecue...
C'est ce qui arrive aux héroïnes coquines de ce dernier récit d'Elena, qui ne manque pas d'imagination quand aux motifs de rebellitude propices à de très très terrrrribles séances de punitions. Qu'avons nous ici comme prétexte à fessée, et plus, parce que affinité...
Une récidive de resquillade à l'entrée d'un camping trois étoiles, et maman te vous gratifie ces demoiselles d'une raclée d'un même nombre d'astres lumineux qui leur en font voir d'une seule couleur... rouge écarlate, façon homard, coquillages et crustacés!
A nous les fesses de la petite anglaise! Brittany ne regrettera pas son séjour dans le sud de la France qui vaut son pesant de cyprine sous les cinglées de martinet.
Au passage fructueux interface entre les auteurs, avec ce clin d'oeil complice à la maison DELANIARES, de "Ces Dames aux Mains Fermes", qui sponsorise le récit, en fournissant un matériel disciplinaire artisanal, de qualité française... monsieur!... ( mais c'est madame qui s'en sert .) et entièrement fabriqué à la main. Loin des martinets de pacotille "made in China" qu'on ne trouve même plus dans les drogueries... qui d'ailleurs n'existent pratiquement plus... Non plus!
Mais comme dans tous les jolis contes de fesses, tout est bien qui finit bien. Pas calmées pour autant les gourgandines...elles vécurent heureuses et eurent beaucoup d'orgasmes. Papouilles sous la douche, et roucoulade au lit...
Il s'en passe des choses dans les récits d'Elena... Et on ne nous dit pas tout, on attend le prochain pour ça.
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerToujours raffinés, vos commentaires et particulièrement drôles. Comme vous pouvez le voir, j'ouvre de multiples thèmes et tout sujet est bon pour agrémenter la vie de mes personnages.
Je m'inspire des textes qui me tombent sous la main. Comme je dis, tout est bon pour écrire. Avoir un bon matériel qui corriger mes personnages me semble primordial. Rien de tel pour les remettre dans le droit chemin.
Pour le coté coquin, j'agrémente mes textes avec un soupçon d'érotisme, d'excitation et de correction. Le tout formant un texte que j'adore écrire. Et comme dans tous mes textes, la correction passée, les compteurs sont remis à zéro et tout peut repartir sous de nouvelles bases et vers de nouvelles aventures.
Amitiés.
Elena.