La rentrée scolaire s'était pourtant déroulée
sans problème . Alicia avait peine à croire ce qu'il lui arrivait aujourd'hui. Elle
angoissait. Elle était assise dans la salle d'attente du commissariat les menottes
aux poignets. Tout avait commencé le matin même quand elle s'était bagarrée
avec Mathilde , une fille de sa classe.
Durant cette bagarre, elle avait frappé
Mathilde à la tête avec le plat de la main mais proche de l'œil .cette gifle
avait laissé une trace bien visible .la mère de Mathilde en colère s'était
rendue au commissariat avec l'intention de porter plainte . C'est le brigadier
Colette qui l'a reçue. Colette avait une cinquantaine d'années. Grande aux
larges épaules elle dégageait une autorité naturelle qui lui était bien utile
dans son métier.
Colette avait réussi à persuader la mère de
Mathilde que si elle lui faisait confiance elle se chargera de donner elle-même
une bonne leçon à Alicia. Elle lui expliqua alors ses intentions et obtint
immédiatement son approbation.
Collette téléphona à la mère d'Alicia qui trop
heureuse que la plainte soit retirée accepta sans réserve le programme et les
conditions de Colette .
La maman d'Alicia sorti du bureau de Colette
et porta un regard plein de colère avec un léger sourire que Alicia ne compris
pas sur le moment. Colette sortie sur le pas de sa porte demanda à Alicia de se
lever et de la suivre dans son bureau .elle se leva et toujours menottée la
suivit.
Alicia baissait la tête penaude, persuadée que le pire était à venir et
qu'elle serait conduite en prison.
« Asseyez-vous mademoiselle. Vous savez
pourquoi vous êtes 'ici? Vous êtes ici car vous avez porté des coups à votre
camarade. Avec l'accord de votre mère ainsi que la maman d'Alicia je vais vous
demander de faire un choix. Au regard aux blessures que vous avez infligé à
Mathilde, vous pourriez vous retrouver au tribunal. Cependant je vous propose
une autre alternative. Vous avez le choix entre le tribunal et un châtiment
corporel. Châtiments que vous recevrez ici et par moi-même, et immédiatement. »
Alicia qui se voyait déjà en prison accueilli
la possibilité d'une autre alternative avec soulagement. Mais, qu’entendait-elle
par "châtiment corporel " ? Des coups de règle sur les
doigts? Sur les mains? Ou pire encore?
Colette , comme si elle avait lu dans la
pensée d'Alicia reprit :
« Vu l'attitude puérile que vous avez eu
en vous bagarrant avec votre camarade de classe, je pense que la punition que
vous méritez est celle des petites filles turbulentes. Vous n'êtes pas d'accord ?
– Mais ! Je n'étais pas seule à me battre ! Et
l'autre? Elle a rien ? C’est pas juste !
– Ne vous occupez pas de Mathilde! ce n'est
pas votre problème dit sèchement Colette. Donc, reconnaissez-vous que vous avez
vous eu une réaction d'une petite fille? »
Colette hésita, mais elle finit par
acquiescer.
« Oui madame.
– Ne pensez-vous pas que vous avez mérité la
punition des petites filles ?
– Un peu madame, mais c'est pas de ma…
– Taisez-vous mademoiselle! et répondez-moi!
– Euh...oui madame.
– Comment pensez-vous que les petites filles
sont punies ?
– Par des heures de colles ?
– Non Alicia vous avez dépassé ce stade. De
plus à votre âge, 19 ans, vérifie-t-elle sur la carte d'identité posée sur son
bureau, les heures de colles sont inefficaces. Non je pense que vous devez
ressentir à la fois de la honte pour votre geste, de la douleur pour prendre
conscience et de l'embarrassement pour votre amour propre. Alors mademoiselle acceptez-vous
ce châtiment corporel? Je me permets de vous préciser que votre mère s'est
portée garante de vous et qu'en cas de refus de votre part c'est elle qui
recevra le châtiment.
– Oh mais quel est ce châtiment dont vous
parlez? Balbutia Alicia.
– Et bien, je vous propose de recevoir une
fessée. Sur mes genoux. Je me permets de vous préciser qu'il s'agit d'une
fessée déculottée.
– Euh…
– Soit c'est vous, soit c'est votre mère.
Laquelle de vous deux recevras cette fessée déculottée mademoiselle? »
Alicia, s'imagina mentalement la scène que
serait de voir sa mère allongée en travers des genoux de la policière, jupe
relevée et culotte baissée recevant une fessée déculottée exposant les plus
intimes parties de son corps au regard de cette colette. Quelle horreur! Alicia ne pouvait pas faire ça à sa mère. C’est
donc elle qui subirait le châtiment. Alicia inspira longuement et dit d'une petite
voix:
« D'accord c'est est moi qui suis fautive
, c'est donc moi qui serais punie.
– Bon , dit Colette en se levant, ne perdons
pas de temps »
Elle fit le tour du bureau et enleva les
menottes d’Alicia qui frotta immédiatement ses poignets endoloris. Colette
déplaça une chaise et la positionna au centre de la pièce.
– Bien mademoiselle, voici comment va se dérouler votre fessée: je
vais claquer vos fesses à travers votre robe , puis je relèverai votre robe et
vous claquerai les fesses sur votre sous-vêtement et enfin je vous déculotterai
et vous fesserai fesses nues. Quel type de sous-vêtements portez-vous ?
– Une culotte
– Avez-vous vos règles?
– Non, madame
– Avez-vous envie d'aller aux toilettes?
– Je ne sais pas , je ne crois pas .
– Vous savez,
parfois la douleur peut. Vous faire perdre le contrôle de votre vessie,
vous êtes sûre de ne pas avoir envie ? Ne me faites pas pipi dessus !!
– Non ça ira madame.
– Bien , commençons. »
Colette prit Alicia par la main et la fit
allonger en travers de ses genoux. Les mains d’Alicia touchaient le sol. Alicia
frissonnait de tout son corps. Dans quelques secondes, à 19 ans, elle allait
devoir exposer sa culotte, antre secret, dernière barrière protectrice. En la
baissant la policière verra son entrejambe et le plus intime réceptacle de ses
sécrétions. Puis elle verra son sexe et pire encore son anus. À ce stade Alicia
que c'était bien pire que la douleur de la fessée.
Colette massa avec douceur les fesses par-dessus
la jupe de la pénitente et annonça par une dizaine de claques modérées le début
de la fessée. Alicia encaissait courageusement cette première salve.
La force des claques augmentait , réparties
sur les deux fesses et même au centre. Puis Colette dit.
« Jeune demoiselle maintenant je vais
vous relever le bas de votre robe et vous fesser sur votre culotte. »
La gêne d'Alicia commença à s'accroître, sa
culotte était dévoilée ... Les claques reprirent toutes aussi fortes et
régulières . L'angoisse d'Alicia était focalisée sur la prochaine étape: Son
déculottage.
Colette était aux anges. Elle adorait donner
des fessées à des femmes jeune ou matures. Aux étudiantes, aux mamans à toutes
celles qui rêvaient et revenir à l'adolescence et vivre ou revivre les
déculottées maternelles. Elle éprouvait un réel plaisir à chauffer les
derrières de ces femmes qui, toutes redoutaient le moment où elle leurs
baisserait la culotte. À la différence
d'Alicia , toutes recherchaient ces sensations et honte , toutes redoutaient et
aimaient que leurs intimités soit exposée,
toutes mouillaient abondement.
Beaucoup avaient un orgasme .
Alicia, elle, était contrainte d’obéir, elle
était réellement terrorisée à l'idée d'être déculottée. Colette avait déjà
remarqué que l'entrecuisse de sa jeune punie s'humidifiait ce qui avait
déclenché chez elle une vague de désir intense. Sa propre culotte était aussi
trempée que celle d’Alicia. Collette adorait cette montée de plaisir
incontrôlé.
« Mademoiselle, comme je vous l'ai
indiqué cette punition va se poursuivre sur votre peau nue. Je vais donc vous
baisser la culotte. »
Alicia précipita ses deux mains dans une vaine
tentative d'empêcher son déculottage.
« Allons mademoiselle, c'est une fessée
déculottée que je vous ai promis, assumez un peu vos actes et soyez digne ! »
Résignée Alicia dégagea ses mains et les
ramena devant elle retrouvant ainsi son équilibre. Colette saisit l'élastique
de la culotte et la fit glisser lentement sur les cuisses de sa prisonnière.
Elle était aux anges. Quelles jolies fesses! Colorées à souhait. Alicia était
au summum de la honte, une inconnue avait une vue imprenable sur tout ce
qu'elle a de plus secret !
La fessée reprit. Une avalanche de claques bombardait
son postérieur. Elle battait des jambes, pleurait, son nez coulait. Puis enfin,
elle capitula. Elle encaissait sans bouger. C'est le moment que Colette
attendait. C'est aussi le signe que la fessée devait cesser.
Elle s'arrêta, et massa affectueusement les si
jolies fesses de la jeune femme.
Il lui fallut faire un énorme effort de
maîtrise pour ne pas masser autre chose que le séant écarlate offert sur ces
genoux. Mais elle y parvint. Elle releva en douceur Alicia, prit un mouchoir et
lui essuya les yeux.
« Mouche-toi ma chérie, C'est fini. Tu as
été courageuse. Tu as aussi épargné ta mère. Je te félicite. »
Elle remonta sa culotte, et lissa la jupe
d'Alicia.
« Assieds-toi, nous allons rédiger le procès-verbal
et tu pourras rentrer chez toi. La plainte est retirée. »
Collette se mit à pianoter sur son clavier et
s'attela à la rédaction du PV. Au bout de quelques minutes elle imprima le
document et le présenta à la jeune femme.
« Lit bien et document et, si tu es
d'accord avec ce qu'il y a d'écrit, signe-le ! »
Compte rendu de l'accord à l'amiable du cas de
Mademoiselle Alicia C pour coups et blessures sur la personnes de Mademoiselle
Mathilde R, il a été décidé que si la prévenue acceptait un châtiment corporel,
la plainte serait levée.
Mademoiselle Alicia C a accepté.
Le châtiment a consisté à l'administration d'une fessée
déculottée du brigadier Colette F. Celle-ci fut appliquée immédiatement.
Fait le 25 juin 2020.
PS. Le brigadier Colette F a remarqué sur la personne
d'Alicia C que la fessée déculottée a provoqué la sécrétion de substance
liquide indiquant clairement une excitation sexuelle.
Alicia en lisant ces derniers mots releva
brusquement la tête et tomba sur le regard doux et troublant de la policière.
Elle ouvrit la bouche pour protester mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle
réalisa, au fond d'elle-même, que c'était vrai. Elle avait réellement ressenti
des choses en elle.
« Tu sais, ma chérie, c'est une réaction
tout à fait normale, ne t'inquiètes pas. Et rassure-toi personne ne lira ce
document, c'était juste pour te faire prendre conscience des sensations que tu
as eues. »
Colette prit un briquet et brûla le document.
« Tu vois, personne ne le saura. Allez,
file chipie ! Et ne recommence plus, je ne pourrai pas toujours te sauver la
mise. »
Une nouvelle production de Wendy
Voici la première : Christelle, punie pour avoir triché
et celle qui a précédé :Madame de Rochecourt
Gageons qu'il y en aura d'autres.
Et maintenant ?
Pas mal, non ? Une suite à ce récit ? Wendy devrait peut-être se décider à l'écrire ? Qu'en pensez-vous ?
Faites-le-lui savoir, les commentaires c'est fait pour ça.
Si vous voulez la joindre directement, adressez moi le courriel, je transmettrai.
Bonjour Wendy,
RépondreSupprimerBon texte comme on les aime.
Alicia saura que la violence n'arrange pas tout. En acceptant la punition corporelle, elle s'est rendue compte qu'elle n'était pas dans son droit et de plus, elle a épargné à sa mère de la prendre à sa place. En étant courageuse et en acceptant de se faire corriger, elle a remis les pendules à l'heure et la brigadier Colette F a été sympa de déchirer le PV. C'est une bonne semonce qui la fera réfléchir la prochaine fois. Espérons que ça porte ses fruits.
Amitiés.
Elena.
Superbe récit, j'adore votre style, bravo et bises
RépondreSupprimerSylvie
Bonjour Elena, en effet Alicia a eu du courage et surtout de la chance que Colette lui propose une solution alternative. Certe, plus cuisante et plus embarrassante mais au moins son casier judiciaire restera vierge et sans concequence pour son avenir.
RépondreSupprimerMerci Elena pour vos commentaires, ils sont pour moi des encouragements.biz
Wendy,
SupprimerJ'adore votre façon d'aborder le sujet. Avec cette alternative, tout est bien qui fini bien, hormis la pudeur et la dignité d'Alicia. Mais c'est moins gênant que d'avoir une trace sur son casier judiciaire.
Et puis, une bonne fessée fait circuler le sang...
Bizz
Elena.
Merci Elena, je suis très flattée par vos compliments. Biz
RépondreSupprimer