Une semaine de vacances chez belle-maman

 Alors, comme ça, mon garçon, on a décidé de désobéir et de me faire un caprice pour aller au lit quand je l'ordonne ? Je crois que tu n'as pas bien compris les règles qui régissent la vie chez moi. Je t'ai pourtant expliqué comment cela fonctionnerait si tu venais vivre sous mon toit !

Que tu sois mon gendre et non mon fils n'y change rien. Que tu vives avec ma fille fais de toi l'un de mes enfants et j'ai toujours eu l'habitude d'être obéie par mes enfants. Tu as sans doute cru que d'avoir trente-huit ans te donnait des privilèges qui te permettaient de défier mon autorité ? Tu vas vite te rendre compte de ton erreur, tu peux compter sur moi !

Depuis ce midi, quand tu es arrivé avec ma fille pour passer une semaine de vacances ici, tu as voulu jouer les petits mâles qui commandent : tu t'es même proclamé l'homme de la maison. Comme si nous avions besoin, pour nous sentir protégées, d'une supervision masculine qui ne fait rien d'autre que mettre ses pieds sous la table et faire des remarques quand il juge qu'il n'est pas assez bien servi.

J'ai attendu que ma fille réagisse, mais il semble qu'elle soir satisfaite de cette situation ou tout du moins qu'elle s'en accommode. Avec moi, tu peux être sûr que tes rodomontades vont cesser. Tu vas bien vite découvrir qu'ici c'est moi qui commande et que tu vas te comporter comme un grand garçon bien sage et bien obéissant.

Heureusement pour toi, tu as été faire la vaisselle quand je te l'ai ordonné. Tu n'étais visiblement pas content d'avoir à t'occuper de cette tâche domestique, mais tu y es allé, non sans que j'aie dû te menacer d'une punition. J'ai bien senti que tu as hésité quand j'ai prononcé le mot. Je crois que tu n'y croyais pas vraiment et que tu te pensais au-dessus de ça.

J'ai bien entendu la conversation que tu as eue avec ma fille. "Mais où se croit-elle ?" "Elle pense qu'elle va me dire ce que j'ai à faire ?" "Je vais lui expliquer que ça ne marche pas avec moi"... je me trompe ou ce sont bien tes paroles ? Sans doute que je ne les répète pas littéralement, mais tes phrases étaient truffées de gros-mots que je ne veux pas redire.

Ma fille a bien essayé de t'expliquer qu'on ne plaisantait pas avec moi et qu'il fallait mieux faire profil bas. Mais tu as négligé ses avertissements. Erreur fatale ! Je savais que tu finirai par passer les bornes et que je devrai t'en punir. Nous y sommes !

J'ai bien vu ta stupéfaction quand je suis revenue la brosse à la main et que je t'ai annoncé que tu allais avoir le droit à une sérieuse fessée déculottée. Tu as même souri. Maintenant que tu es là, allongé sur ma cuisse et la culotte baissée et les fesses déjà bien cuisantes, trouves-tu cela toujours aussi amusant ?

Quand tu as compris que j'étais sérieuse et que j'avais vraiment l'intention de te corriger, tu as essayé de m'empêcher de te baisser la culotte. Il faut que tu saches que, chez moi, je te baisserai la culotte à chaque fois où je déciderai que tu as besoin d'une fessée. Il va falloir que tu en prennes l'habitude !

Il est vrai que tu ne pouvais pas savoir que tu n'es pas le premier grand garçon que je déculotte pour les fesser. Je n'ai pas eu beaucoup de mal à te baisser le pantalon, puis ta culotte, afin que tu sois prêt pour ta correction.

Demande donc à mon fils et au mari de ma grande fille ! Ils sont un peu plus âgés que toi et ça ne les empêche pas de passer assez souvent à plat ventre sur mes genoux et d'y recevoir la fessée déculottée qu'ils ont méritée.

Ne crois pas que les filles soient épargnées ! Comme les autres jeunes gens qui sont sous ma responsabilité, elles ont le droit à des fesses rouges et cuisantes pour leur apprendre à obéir.

Bien, te voilà en bonne position pour apprendre ta leçon. Eh non, je n'ai pas fermé la porte. Eh oui, ta compagne va entendre le bruit de la fessée que je vais te donner. Ne crois pas qu'elle va en être étonnée. Elle sait ce qui t'arrive en ce moment.

De toute façon, dès que j'aurai correctement rougi tes fesses et que je serai certaine que tu regrettes ton comportement, je vais te mettre au coin. Tu vas y attendre que je t'autorise à en bouger. Si tu ne le comprends pas du premier coup, tu viendras refaire un tour sur mes genoux. La brosse sera prête à resservir.

Tout le monde pourra contempler les effets de la brosse sur tes fesses, pas seulement ta compagne, mais également tes beaux-frères et tes belles-sœurs. N'aies crainte, cela leur est arrivé avant toi. En encore as-tu la chance que je ne t'ai pas fessé devant eux. C'est uniquement parce qu'ils n'étaient pas là. Quand je te donnerai la fessée, je ne me préoccuperai pas ni du moment ni du lieu, ni de savoir s'il y a quelqu'un de présent.

Après le coin, ce sera pour aller faire ta toilette dans la salle de bain. Et sois bien persuadé que je vérifierai si le résultat obtenu est à la hauteur de mes exigences en matière d'hygiène. Je sais que les garçons, y compris quand ils sont grands comme toi, négligent souvent les petits coins oubliés : derrière les oreilles, entre les doigts de pied, la raie des fesses et le bout de leur kiki. Mais j'ai l'habitude. Tu ne seras pas le premier grand garçon à qui je ferai la toilette.

Ensuite, je te mettrai au lit. C'est une semaine en famille qui s'annonce bien. Tu y recevras la fessée, comme mes autres enfants, quand j'estimerai que tu en as besoin. Avec ton petit caractère rebelle, ça risque d'être assez souvent, mais cela fait partie de mes devoirs de Maman. Je parie qu'il ne me faudra pas une semaine pour te transformer en un gentil garçon, sage, poli et obéissant.

Bon, voyons ma brosse arrive à te faire regretter tes caprices et tes désobéissances !

Merci à ...

... Barbara O'Toole pour l'utilisation de son dessin. J'espère qu'elle ne considérera pas que j'en ai dénaturé l'esprit avec le récit dont je l'ai enrobé. 

Défier sa belle-mère... très souvent une mauvaise idée

            

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