Lucie profite de mon immobilité pour me caresser les fesses, comme si elle voulait prendre toute la dimension de son œuvre punitive, frôlant une nouvelle fois mes balloches qui décidément l'intéressent de plus en plus.
« Celle-là, je crois qu'il s'en souviendra, il va avoir du mal à s'asseoir demain en cours et il n'a pas fini de se trémousser sur sa chaise, je sais ce que c'est, quant aux marques, il y en a pour quelques jours. Je pense même qu'il faudrait lui passer un peu de crème si on veut conserver ses fesses en état de marche, des fois que Madame Leblanc s'y intéresserait. Je m'en occuperai demain matin, tu couches ici ?
– Non, je vais appeler un taxi et rentrer
chez moi.
– Attends encore une minute et toi cesse
de brailler ou je t'en colle une autre, il faut qu'il te demande pardon. De toutes
façons, dans l'état où on l'a mis, je doute qu'il fasse un amant possible, je vais
le mettre au piquet après ton départ, le temps qu'il se calme. Tu le prends en
photo, tu as raison, ça lui rappellera de bons souvenirs, n'est ce pas Fabien ? »
Tu parles de souvenirs, c'est depuis
cette horrible après-midi avec Corinne où elles avaient photographié mon humiliation
sous tous les angles qu’elle me fait plus ou moins chanter. J'ai encore des trémolos
dans la voix, mais je parviens à redresser la tête.
« Non s'il te plait Justine pas ça ! »
Mais les clics clac qui suivent m'indiquent
que ma supplique n'a pas été suivie d'effet.
« Allez, ça suffit pour ce soir, mets-toi
à genoux et implore le pardon de ta fiancée où je te remets une série de coups
de brosse.
– Non, non, pitié, ça fait trop mal. »
Et je m'exécute comme le lâche que je
suis, je me hais quand je suis comme ça, docile, véritable serpillière, mais
seuls peuvent me comprendre, ceux qui ont véritablement souffert dans leur chair,
comme c'est mon cas, tu n'es plus toi-même et tu ferais n'importe quoi pour que
ça s'arrête. C'est bien où j'en suis, je n'ai nulle envie que Lucie reprenne
son infernale sarabande sur mes fesses en bouillie et je vais jusqu'au bout de
mon humiliation, je m'agenouille devant Justine, les mains sur la tête, slip et
pantalon aux chevilles, le visage ravagé par les larmes, mortifié comme jamais.
« Justine, je te demande pardon.
– Je l'accepte. Bien, Lucie, je te laisse
finir ta tâche, pour moi, c'est assez, je crois que je n'ai pas trop le goût pour
ce genre de chose. A bientôt mes chéris.
– C'est comme tu voudras, rentre bien et
à bientôt, la semaine prochaine ?
– Je ne sais pas, on verra. »
Elle n'a même pas eu un mot d'adieu pour
la larve que je suis devenue et ça me fait presque aussi mal que le brasier qui
dévore mon bas du dos.
« Toi, tu vas au piquet.
– Mais Lucie, il est presque minuit, demain,
j'ai cours à huit heures.
– Moi aussi, il n'empêche, tu vas te frapper
un quart d’heure de piquet, si tu ne veux pas que je m'en prenne à nouveau à
tes fesses.
– Tu es vraiment méchante avec moi, je
ne sais pas ce que je t'ai fait ?
– Tu le sais très bien, tu as oublié
toutes les humiliations que tu m’as fait subir quand j'étais plus jeune et que
tu m'excluais systématiquement de tous tes jeux avec tes copains, me traitant
de pisseuse, mais le principal, ce sont bien les machinations que tu as montées
pour me faire punir par ma mère, je ne suis pas près de les oublier.
– Tu ne crois pas que tu t'es suffisamment
vengée avec tout ce que tu m’as fait subir ? Et ce soir encore, Justine ne m'aurait
jamais fessé si tu ne l'y avais pas encouragée.
– Sans doute, disons que je suis peut-être
impitoyable, mais je crois plutôt que j'ai dépassé ce stade, en fait si tu veux
tout savoir, j'y ai pris goût et de plus en plus, ça me plait de t'humilier, de
te fesser, en particulier en public. A travers toi, je prends une revanche sur
toutes les misères que me font subir tes congénères.
– Mais, je n'y suis pour rien, je suis
gentil avec les filles.
– Oui, comme avec Justine à qui tu n'as
rien à reprocher et que tu trompes dès qu'elle a le dos tourné.
– C’étaient juste quelques baisers.
– C'est cela, prends-moi pour une conne.
Et je te préviens, je t'ai à l'œil, si tu dragues encore des filles, je te
garantis que tes fesses en paieront le prix, ce soir, ce n'était qu'un échantillon.
– Tu hais vraiment les garçons, je ne
sais pas ce qu'ils t'on fait comme misères, pourtant tu es plutôt jolie, je ne
comprends pas.
– Eh bien continue à ne pas comprendre
et n'essaie pas de me flatter, allez au piquet, les mains sur la tête et le nez
bien contre le mur, je n'ai pas toute la nuit.
Je me suis exécuté et j'ai trouvé le
temps très long, mes cuisses et surtout mes fesses me cuisaient, j'avais
l'impression que Lucie s'était tellement acharnée avec sa brosse qu'elle avait
fait comme un trou au milieu de chacune de mes fesses.
– Ça suffit, viens que je te passe un
peu de crème, des fois que tu sois amené à te prendre une nouvelle correction prochainement,
tu vois que je ne suis pas si mauvaise.
Au point où j'en étais, je me suis laissé
faire et je suis retourné faire un passage sur ses genoux, pour la bonne cause
cette fois, redevenant une nouvelle fois un petit garçon. Seule nouveauté, je constatais
qu'elle élargissait un peu trop le champ de ses soins, écartant largement mes fesses,
glissant ses doigts dans ma raie et s'amusant à toucher mes couilles au passage
et feignant de ne pas s'apercevoir que ses attouchements déclenchaient une
belle érection dont j'ai eu tout à fait honte quand elle m'a autorisé à me
relever et que je me suis retrouvé debout face à elle.
– Allez au lit, vilain garçon et n'en
profite pas pour te soulager dans tes draps, il faudra désormais que tu me demandes
mon autorisation. Je vais te passer ton pyjama.
Je n'en pouvais plus et je n'ai pas eu
le front de me rebiffer, avant d'aller m'allonger sur le ventre, le seul passage
de l'élastique du pantalon sur mon derrière meurtri m'a fait crier. Je me suis
dit avant de m'endormir que cette soirée était à marquer d'une pierre noire,
non seulement, je me couchais une nouvelle fois avec les fesses en feu, mais
j'avais été fessé par ma fiancée, qui possédait désormais une photo de mon humiliation,
qui s'ajoutait à la vidéo toujours entre les mains de Lucie, encore plus
accablante pour ce qui me restait de dignité.
Ma cousine avait clairement démontré sa volonté
de me reprendre en mains et de m'imposer son autorité comme aux derniers temps
de mon séjour chez sa mère, ce qui augurait de jours sombres si je ne trouvais
pas rapidement une parade. Quant à ma nouvelle situation avec Justine, je
m'efforçais de ne pas y songer et je n'envisageais pas très favorablement la
poursuite de nos relations, en tout cas, pas sur les bases actuelles.
J'eus un peu de consolation dans les
jours suivants en apprenant par le bouche à oreille que Lucie avait encore une fois
été convoquée par Madame Bruno pour une conversation privée, dont ses fesses
n'étaient pas sorties indemnes.
Le soir même, après notre dîner chez Madame
Leblanc, j'y fis bêtement allusion.
– Il parait que tu t'en es encore pris une
bonne par Madame Bruno. C'est la troisième si je compte bien, la prochaine
fois, ce sera en public.
Elle rougit et se mit en colère.
– Ah, ça te fait plaisir. Oui, c'est
vrai et alors ?
– Rien, c'était juste pour parler.
– J'ai cru comprendre de mon côté, que
tu n'avais pas été non plus épargné de ce côté, j'ai même appris qu'elle t'avait
mis une super fessée déculottée à la règle devant toute la classe, ce dont tu ne
t'es pas vanté. Dommage que j’aie raté ça, ça a dû être un grand moment. La
preuve, on en parle encore.
– Je ne te le souhaite pas, malgré toutes
les misères que tu me fais.
– Monsieur est bien bon, mais dis moi, depuis
la rentrée des classes, tu passes entre les gouttes, pas une seule correction à
part celle qu'on t'a infligé avec Justine. A ce propos, tu as des nouvelles ?
– Elle ne peut pas venir ce week end, elle
va chez ses parents, mais je dois en principe la voir celui d'après.
– Ici ?
– Si je ne peux pas faire autrement...
– Tu crains qu'elle t'en remette une autre
et avec Eve où en es-tu ?
– Ne parlons plus de ça, je te répète
qu'on a juste flirté.
– Oui, on dit ça.
– Je dis ça par ce que c'est vrai,
comment ça s'est passé avec la mère Bruno ?
– Monsieur veut tout savoir, et bien j'ai
rendu le plus mauvais devoir de la classe avec Damien et elle nous a gardé après
le cours, pour avoir une conversation comme elle dit.
– Et après ?
– Tu t'en doutes, non ? J'y suis passée
la première.
– Damien a dû se régaler, tu n'as pas eu
droit à la règle ?
– Si, ça m'a fait très mal comme tu t'en
doutes, tu avais raison, elle frappe dur.
– Tu as pleuré.
– A ton avis ?
– Et après, piquet ?
– Eh oui, un à côté de l'autre, les
fesses à l'air, du classique, hélas.
– Et personne ne s'est pointé ?
– Si, la pionne, je sais plus son nom.
– Aude ?
– C'est ça.
– Fais gaffe, à présent qu'elle a vu tes
fesses, elle n'hésitera pas à te les claquer à la première occasion.
– Oui je sais tu m'as déjà parlé d’elle,
on verra bien, mais revenons à toi, tu as dû avoir super honte devant toute la
classe, non ?
Ça lui faisait plaisir qu'on parle plutôt
de mes tourments, je me mis bêtement à rougir comme un coquelicot, même si cette
triste affaire était vieille de plusieurs mois, elle me faisait toujours aussi
mal.
– A ton avis ? Surtout qu'elle ne m'a
pas ménagé, tu as eu un échantillon avec la règle, tu imagines, c'était horrible.
– Autant qu'à la baguette ?
– Ce n'est pas pareil, mais ça fait vraiment
très mal, je te parle pas de la honte, je dois t'avouer que je n'en suis pas
encore remis.
Mais qu'est ce qui me prenait de lui
raconter ma vie, sûr qu'elle se servirait à mon encontre de ces confidences.
– Tiens, il faudra que je t'en donne un
peu de la baguette, je trouve que tu prends beaucoup de graine ces temps cis, il
est temps que je te reprenne en mains, je vais voir, si je trouve quelques orties
dans le coin pour compléter la punition, cela ne doit pas être trop difficile
puisque le pauvre Kevin y a eu droit. Tu as remarqué que depuis, il ne bouge
plus une oreille, comme toi d'ailleurs. Il faut te voir avec Madame Leblanc,
plus soumis, il n'y a pas.
– Pourquoi tu la ramènes toi ? Et encore
que tu aies eu de la chance, tu ne t'es prise que trois petites fessées, certes
devant tout le monde, mais je suis confiant, tu vas bientôt t'en ramasser une très
sévère et là, c'est moi qui rigolerais.
– Petites, façon de parler, c'est toujours
plus facile quand c'est les autres, en attendant, il y a longtemps que je ne t'ai
pas épilé et comme Justine semble apprécier, je vais m'en occuper, allez, déshabille-toi,
complètement !
– Mais, j'en ai pas envie.
– Fabien, il serait temps que tu
comprennes que tu n'as pas le choix, tu dois m'obéir en tous points.
– Et puis quoi encore, c'est fini cette
époque.
– Ah bon, que tu crois. Je vais encore
te rappeler que je peux envoyer ta jolie vidéo à des tas de gens qui se feront charmés
de te voir en si délicate position et que j'ai officiellement pleine autorité
sur toi.
– Dans tes rêves.
– Bien, je vais dès demain passer un
coup de fil à ta mère qui ne manquera pas d'en faire part à Madame Leblanc et là
tu vas prendre le maximum, avec un peu de chance, tu auras droit aux fameuses
orties, je me ferai un plaisir de te maintenir en place, ce sera autrement plus
marrant qu'avec ce pauvre Kevin. D'ailleurs, ça suffit, non seulement je vais
t'épiler à fond, mais en plus ta rébellion va te valoir une solide fessée.
– Tu peux toujours courir ma grande, fais
attention que ce ne soit pas moi qui te claque tes jolies petites fesses.
– Bien, puisqu'il faut toujours te
menacer, voudrais-tu que je révèle dès demain à notre logeuse que tu fumes
régulièrement en cachette, que tu as trafiqué l'emploi du temps que tu lui a communiqué
pour aller boire des coups en ville avec tes potes et en plus et ça aussi, ça fera
plaisir à Justine, si on la revoit un jour, ce qui n'est pas si sûr, que tu fais
à présent du gringue à la petite
Virginie, qui est bien mignonne, soit dit en passant. Tu es devenu un vrai Don
Juan mon cousin.
– C'est pas vrai et toi aussi tu fumes.
– Bien moins que toi, bon ne mens pas,
je vous ai vu, oui, c'est juste un petit bisou en passant comme avec Eve, n'est
ce pas ?
– Rien de plus, je t'assure.
– Comme tu voudras, c'est à prendre ou à
laisser, ou tu m'obéis en tous points comme chez Maman, ou je révèle tout ce
que je sais, y compris à ta mère, sans parler de Justine, je crains que ce ne
soit la goutte d'eau qui fasse déborder le vase et qu'elle t'envoie bouler aussi
sec.
– Tu n'oseras pas et tu n'as pas de preuves.
– Ce ne sera pas trop dur à vérifier, crois-moi.
A ta place, c'est un pari que je ne ferai pas, mais à ton aise, c'est toi qui
vois. Allez tout nu et vite.
Je n'ai pas trop eu le temps de réfléchir,
tant Lucie semblait fermement décidée à mettre ses menaces à exécution, je n'osais
imaginer ce que serait mon proche avenir si ma mère venait à être informée que je
fumais et que je passais pas mal de temps dans les bars avec mes copains.
Au-delà des volées que je me ramasserai
par la mère Leblanc, qui verrait comme un affront personnel que la rude discipline
qu'elle imposait à ses pensionnaires et qui faisait sa réputation, soit
ouvertement bafouée, mais surtout, je craignais encore plus les réactions de ma
mère qui m'expédierait illico dans un internat des plus sévères, elle avait
déjà fait allusion à une institution anglaise qui affichait ouvertement son
attachement à la tradition des châtiments corporels, qui non seulement "me
dresserait, mais de plus, me ferait largement progresser dans l'assimilation de
la langue anglaise".
Je savais que ça me pendait au nez, sans
compter mon petit flirt avec Virginie qui ne ferait pas du tout plaisir à
Justine et je me disais que je n'avais pour l'heure pas d'autre choix que de me
remettre provisoirement sous la terrible férule de ma jeune cousine. Je me
débrouillerais bien à un moment ou à un autre pour la prendre à son tour en défaut
et à avoir barre sur elle, comme je l'avais fait chez ma tante lors des dernières
vacances, même si cela avait finalement fort mal tourné pour moi.
– Ça suffit, déloque-toi et allonge-toi
sur ton lit, on n'a pas toute la vie devant nous.
Je n'avais d'autre choix que de
m'exécuter et je me retrouvais allongé sur le dos au dessus de ma couverture
revêtue d'un drap de bain.
– Cette fois, on va faire les choses
comme il faut, je vais t'épiler à la cire, comme je le fais pour mes jambes, ça
te fera un peu plus mal, mais ce sera efficace.
Effectivement ça m'a fait très mal, je
n'ai pas voulu me donner le ridicule de pleurer, mais à plusieurs reprises des larmes
me perlèrent aux paupières.
Elle me tint la verge entre ses mains pour
dégager mon pubis et cela me procurât une belle bandaison dont elle feint de ne
pas s'apercevoir, à mon grand désarroi et en dépit de mes protestations, elle dépouillât
aussi ma poitrine des quelques poils dont je n'étais pas peu fier.
-
Allez
tourne toi que je m'occupe de tes fesses, je finirai par tes boules, c'est
l'endroit le plus sensible. Allez, mets tes fesses bien en l'air et tu les
écartes, à moins que tu préfères que je demande l'aide de Justine à sa
prochaine visite, je sais que tu adores cette position, le cul bien offert.
J'étais on ne peut plus gêné, mais là
encore, je me laissai faire, je ne connaissais guère de position plus humiliante.
Quand on en vint à mes testicules, elle les prit une nouvelle fois à pleines
mains.
-
C'est
vrai que c'est moche, ces deux machins qui vous pendent entre les jambes, quand
on pense que vous en êtes si fiers. Je trouve d'ailleurs les tiennes spécialement
vilaines, toutes plissées.
-
Tu te
répètes un peu, et puis tu as dû en voir et en toucher tellement...
-
Plus
que tu ne crois, tu as raison de devenir insolent, tu sais qu'il y a une fessée
qui t'attend en guise de somnifères.
Au passage, elle s'amuse à me décalotter
le prépuce.
- J'aime bien quand,
c'est à l'air, tu es encore plus nu. Et tu bandes encore, décidément ; il parait
que sous l'effet d'une robuste correction, la contraction des fesses peut
provoquer une éjaculation, il faudra que je teste le truc. Cela dit, ta queue a
une taille respectable, pas très épaisse, j'ai vu mieux, mais ce n'est pas si
mal.
Je ne veux pas aggraver mon cas, en lui envoyant
qu'elle parle comme si elle était pleine d'expérience, tu parles, elle a dû coucher
avec deux ou trois garçons au maximum et encore pas si sûr, mais elle aime bien
faire sa maligne, jouer la femme fatale.
Elle n'a pas pu me passer complètement mes
burnes à la cire, ça faisait trop mal, ça brûlait atrocement, je hurlais à m'en
briser les cordes vocales, elle néanmoins fini le travail très méticuleusement,
armée d'une paire de ciseaux qui me terrorisaient, ce qui la fit beaucoup rire,
puis avec la pince à épiler, non sans oublier de me passer une lotion apaisante
sur les parties les plus sensibles excepté sur mes fesses.
– Tu n'en as pas besoin, au contraire,
puisque je vais y mettre le feu, allez lève toi que je contemple mon œuvre, tourne-toi.
Et tu bandes encore, décidément ; un jour si tu es sage, je m'occuperai de toi,
allez viens sur mes genoux.
Elle me prend le sexe à pleines mains et
s'en sert comme d'un manche pour me guider vers ses cuisses, c'était du jamais
vu ! Au passage, elle a récupéré un martinet qu'elle avait dû introduire en
douce et placé au fond d'un tiroir de la cuisine. L'affaire s'annonçait mal, même
si ça ne pouvait pas être pire que la brosse qui m'avait laissé des marques pendant
presque une semaine.
– Tu vas avoir droit au martinet en
raison de ton insolence et si tu n'es pas sage durant ta fessée, je te ferai
mettre au piquet le cul en l'air et je t'enfoncerai le manche dans le trou du
cul.
– Tu ne ferais pas ça, c'est dégoûtant.
– Tu préférerais peut-être que je te donne
un bon lavement avant, histoire que tu ais le cul propre ? Tiens devant
Justine, je suis sûr qu'elle apprécierait.
– Non, non, pas ça, s'il te plait Lucie.
– On verra, en tout cas, tu sais ce qui t'attend,
si tu te rebiffes. Une dernière chose, quand tu te présenteras tout nu devant
moi et je te garantis que compte tenu de tout ce qu'on s'est dit tout à l'heure,
ça n'a pas fini de t'arriver, je veux que tu sois toujours le gland à l'air, c'est
entendu.
– Oui Lucie.
– Allez en piste.
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