QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LES FESSES D' ANDREW A L'EPREUVE DU FEU ;
– Et encore j'ai dû insister pour obtenir un bonjour... '' Madame, Margaret'... poursuit la maîtresse de maison. C'est pourtant pas compliqué ! Alors tu comprends, je ne pouvais pas laisser passer ça . A peine arrivé il avait déjà mérité une fessée !
Géraldine, toute excitée, se trémousse sur son tabouret et commence à sentir son slip, s'humidifier à l'entre cuisses. Elle est très sensible de ce côté-là et ces séances de fessées la mettent toujours dans tous ses états. Elle aurait bien voulu, elle aussi, faire connaissance avec le derrière du petit nouveau, mais elle sait que les occasions ne manqueront pas. Elle se contente d'un trait d'humour cynique.
– Alors... Qu'est-ce qu'on en dit de la fessée label France ?
– Maman, c'est
Gladys ! Dit joyeusement Géraldine en éloignant son portable de son
oreille. Elle demande si elle peut venir avec Patricia, souhaiter la
bienvenue à l' Anglais au pair.
– Mais bien
sûr. Ça m'aurait étonné qu'elles ne sautent pas sur l'occasion. D'ailleurs, on
ne devrait pas tarder non plus, à avoir des nouvelles de ta tante. Je connais
Astrid, un nouveau derrière chez les Delaniaires, c'est une vente de martinets
en perspective.
– Patricia a
l'air excitée comme une puce à l'idée de le rencontrer ! D'autant plus
qu'elle-même donne des
cours d'anglais... à Gérôme Bellebouges.
– Oui, je
sais, le fils de Thérez, répond
Margaret. Mais Il ne faut pas exagérer, ajoute -t-elle sur un ton inhabituel de
modération. Andrew n'est tout de même
pas un animal de foire ! Je reconnais bien la fougue de Patricia quand
elle a une paire de fesses en ligne de mire.
– Maintenant... Elle n'a pas tort, quand on en a un comme ça sous la main, on a beau être habituée à en claquer presque tous les jours, ça donne envie.
Elle ne semble pas encore décidée à libérer son puni qui attend, sans broncher, l'autorisation de se relever.
Margaret caresse nerveusement les belles fesses rouges déployées sur ses genoux. E Elle en savoure la surface brûlante d'une paume enveloppante. C'est toujours une découverte exaltante que la prise en main d'un nouveau postérieur. Bien autre chose que de l'avoir choisi en photo sur internet. Elle en savoure la ferme élasticité et l'excellente réceptivité aux claques qui ont rendu si savoureuse la première fessée qu'elle vient de lui administrer. De toute évidence, c'est un solide fessier, bien entraîné, à l'anglaise, habitué à s'en prendre des sévères. Apte à subir le programme d'apprentissage, cours, leçons de français, dictées, fessées, humiliations, qu'elle projette de mettre en place tout spécialement pour lui.
– Allez mon
ami, on arrête de pleurnicher et on va
se mettre gentiment au coin, déculotté, pour que tout le monde voit bien
l'effet de votre fessée. D'ailleurs, vos fesses vont avoir de la visite et pas
de n'importe qui !
Géraldine ne
peut s'empêcher d'en rajouter.
– Oui ! Et pas impossible qu'elles reprennent du
service s'il n'a pas enregistré les formules élémentaires de politesses.
De plus en
plus inquiet, le malheureux, obéit immédiatement. Même s'il n'a pas tout
compris, l'index autoritaire de sa préceptrice, orienté vers l'angle du mur,
lui indique la direction à prendre. Il s'y précipite, en se dandinant, gêné par
son caleçon que l'élastique détendue l'oblige à tenir à deux mains en travers de ses cuisses.
Le pauvre
garçon, est prêt à dire yes, ou plutôt
oui, à n'importe quoi, même s'il ne comprend pas tout ce qu'on lui dit. .
– C'est pour le
remercier que tu lui flanquer une fessée dès son arrivée, répond la jeune femme
en riant.
– Justement, c'est
l'occasion de fêter la première ''french fessée'' d'Andrew ! Et ça tombe
bien, je sais que Gladys et Patricia adorent les Pur Malt.
– Qu'est-ce qu'il en dit
notre jeune homme au pair ? Dit Géraldine en tortillant joyeusement du
derrière vers le bar
Andrew a compris qu'on
l'interpellait en entendant prononcer son nom. Il a à peine le temps de se
retourner, qu'il est aussitôt repris de volée d'une grande claque sur les
fesses par Géraldine qui passe à côté de lui en allant chercher des glaçons
dans la cuisine.
– C'est bien ma chérie!
Il ne faut pas hésiter à le recadrer dès maintenant Tu aurais même dû taper plus fort ! Sa
prochaine fessée, c'est toi qui lui donneras.
– Avec plaisir mam...
Le jeune femme n'a pas
le temps de finir sa phrase, qu'elle est interrompue par l'arrivée soudaine de
Gladys et Patricia. Elles sont entrées, directement après avoir sonné. Ces femmes n'aiment pas attendre. Notamment
derrière une porte, qu’on vienne leur ouvrir.
Elles soupèsent du
regard les volumineuses rondeurs en train de cuire comme on évalue la qualité
d'un morceau de choix.
– Comme tu vois !
Répond Margaret, les bras en arrière,
nonchalamment posés sur le dossier du canapé. Je me doutais bien que vous
n'alliez pas résister à l'envie de venir voir
notre petit stagiaire .
Patricia, debout
derrière sa mère, les mains appuyées sur le dossier du fauteuil où elle est
assise, enveloppe d'un regard concupiscent le derrière en exposition. .
– On ne voit pas sa tête pour le moment, mais
rien que ses fesses... ça vaut déjà le déplacement.
– On voit qu’elles n’ont
pas mis longtemps à faire connaissance avec ta main. Monsieur s'en est déjà
pris une bonne !
– Oh ce n'était pas
encore la grosse fessée, mais je peux vous dire que ses fesses claquent à
merveille. N'est-ce pas Géraldine ?
– Pour ça oui, ajoute
l'intéressée en posant les verres et la bouteille d'Aberlour sur la table basse. Pour une première leçon
de français, il nous a fait un joli récital. .
– Et il n'a pas fini de
claquer du derrière, ajoute Margaret avec un soupir faussement navré. Sa lourde
poitrine en profite pour tenter de s'émanciper de son décolleté. Il est
pratiquement incapable de faire une phrase dans un français correct.
– Tu vois
Patricia ! Dit Gladys en se retournant vers sa fille. Prends exemple sur
Margaret, toi qui donnes des cours d'anglais à Gérôme.
– Comme si j'avais besoin de ça, répond la
jeune femme . Je sais très bien comment faire avec lui. Je te garantis que
ses fesses ne chôment pas !
Taille cambrée, reins creusés, dans une attitude de
soumission, il s'oblige à exhiber les rondeurs proéminentes de son volumineux
fessier, le rendant aussi provocant que possible, disponible pour toute nouvelle fessée qu’il
plairait à l'une de ces femmes de lui administrer.
– On dirait que notre
ami anglais est habitué aux corrections. Apparemment, il connaît les règles et
les usages à respecter après une bonne fessée ...
– J'ai remarqué aussi,
ajoute Patricia. Il suffit de voir comment il expose son derrière.
– Déjà bien dressé le
garçon !
Andrew, dans son coin, saisit l'ambiance électrique et serre les fesses discrètement en s'attendant à ce que ça lui retombe dessus à n'importe quel moment. Les plaisanteries un peu salaces et les éclats de rires fusent à travers la pièce lorsque Margaret se lève et tape dans ses mains pour réclamer un peu d'attention.
– C'est sûr, je crois que j'en ai trempé mon slip...
Glisse discrètement Géraldine, à l'oreille de Patricia qui manque s'étrangler
de rire .
– Moi aussi, figure-toi...
et pas seulement à cause de la rigolade ...Elle pouffe entre ses mains.
Intenables, ces Dames,
debout au milieu du salon, applaudissent à grand cris.
– On fait le service,
déculotté, pour régaler tout le monde de ses belles fesses rouges.
– Pour moi, ça mérite
une autre fessée... Ajoute Patricia... je suis partante.
– Voyons Patricia, la
reprend sa mère d'une tape sur la cuisse. Ce n'est pas à toi de décider, sauf
si on te le propose. .
– Raaah, mamaaan, mais euuuuh !
Margaret les ignore et
d'un coup de menton autoritaire invite son stagiaire à les rejoindre.
– Andrew... Mon ami, bougez-vous
un peu, on vous attend pour le service !
– Yes Ma'am !
Yes !
– En français
Andrew ! En français ! Ou c'est la fessée ! Il va falloir vous
habituer... Elle se tourne vers sa fille. Géraldine, les glaçons s'il te
plaît ?
– Mais maman, on ne met
pas de glaçons dans du douze ans !
– Et alors, douze ans ou
pas, je m'en fiche, je fais ce que je veux ! Tu le sais très bien
d'ailleurs, je ne vois pas pourquoi tu discutes. J'aime entendre le bruit des
glaçons dans mon verre.
– Moi aussi dit Gladys,
en décroisant les jambes, le nylon crisse à nouveau. Comme le bruit de bonnes
claques sur des fesses !
– Enfin... Andrew, vous
ne pouvez pas faire attention ! Une
paire de bas tous neufs ! Des ''Gio'' à couture en plus, on n'en trouve
pratiquement plus que sur commande...
– Oww... Sory miss
Géraldine...pardon please... Y'am véry désolé ...
– Please madame
Margaret... S'il vous plaît... pas la spanking !
– En français,
Andrew ! En français ! Gronde sa sévère préceptrice qui savoure sa
soumission. Vous êtes là pour apprendre, mon ami, et vous avez tout à
apprendre !
– Yes... oui, Ma'am...
Please, pas la fessée...S'il vous plaît ! No fessée please !
– Oh que si la fessée, et une belle fessée encore...une sévère !
Elle
se lève d'un bond, le saisit par l'oreille pour le courber devant elle, puis le
caler sous son bras. Le buste coincé contre sa hanche elle le soulève pour lui
faire tendre les fesses vers les trois
spectatrices qui se régalent d'avance. Pas besoin de le déculotter c'est déjà
fait. Elle lui claque aussitôt une rageuse fessée, rythmée d'une sévère la
leçon dont elle ponctue chaque mot d'une fesses sur l'autre.
– Vous-êtes-ici-mon-ami-pour-apprendre-
le-Fran-çais ! Si vous n'arrivez pas à vous mettre ça dans le crâne, je
vais vous l'imprimer sur les fesses !
– Bravo ! Ça c'est
parlé...et en rouge, sur les fesses !
S'exclame Patricia en piaffant sur ses talons aiguille. Il n'y rien de
mieux pour aiguiser la mémoire !
Sa mère approuve.
– Cette fois tu as
raison ma chérie ! Il n'y a rien de plus efficace.
La tension est montée d'un cran. Gladys, Patricia et Géraldine savourent leur Whisky à petites gorgées, en même temps que le spectacle des fesses d'Andrew, qui se tortillent en cadence sous la main ferme de la maîtresse de maison. Correctement assoupli par la précédente fessée, le derrière donne un bon claquant sous les allers et retours nerveux qui le font retentir dans toute la pièce. Brève mais intense, la fessée crépite sur un rythme rapide, impulsée à l'énergie par Margaret qui l'administre avec brio, sans ralentir la cadence un seul instant.
Elle y met fin au bout
d'une dizaine de minutes et relâche, sans ménagement, son puni qui s'écroule à
ses pieds en pleurnichant, comme un gamin que sa mère vient de corriger. Ses
fesses, gonflées de claques, resplendissent à nouveau, d'un magnifique rouge
écarlate uniformément réparti sur toute la surface.
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Good morning Ramina, euh, sorry, it's a mistake, I would say bonjour Ramina.
RépondreSupprimerJe vois que Géraldine est comme mes élèves de Ste CROIX, elle a des réactions en voyant ce cher Andrew se prendre une fessée sous ses yeux, quoi de plus normal, en somme ? Je pense que Géraldine est déjà tout excitée de donner sa prochaine fessée à Andrew et la moindre occasion sera la bonne.
On peut dire qu'Andrew à d'excellent professeurs. Avec la perspective de s'en prendre une, il va faire des progrès en un rien de temps. La pression fait faire des prouesse.
Renverser du pure malt, quel sacrilège, comme dirait quelqu'un que je connais. Une bonne fessée pour corriger ça me parait être une bonne idée. Avec ce qu'il a pris en si peu de temps, Andrew va devenir un parfait garçon au pair ou un(e) soubrette, les fesses et le reste à l'air. Je retiens la très bonne idée.
Amitiés.
Elena.
Bonjour " morning" Elena,
RépondreSupprimerCes précieux commentaires sont aussi stimulants que les fessées pour entretenir l'envie de l'écriture ...
Eh oui, Géraldine, comme les élèves de St Croix, s'humidifie du sous-sol au spectacle d'une fessée. L'expression des sens émoustillés, est, "quoi de plus normale" comme vous dites fort justement.
Les héroïnes de nos récits, nourrissent la même préoccupation de la transmission des savoirs qui passe tout autant par des fesses rouges que par la matière grise de la mémoire .
Andrew est dans un environnement favorable, sous la pressions constante des fessées nécessaires à son apprentissage. Ces Dames, aux mains fermes ne vont pas se priver d'en faire un usage sans modération. Avec ou sans Pur malt!
Amicalement.
Ramina