Jeudi 19 mars 2020 – 10 heures 55
Damien
tourna vivement la tête pour se recentrer sur le travail qui lui avait été
donné à faire.
« Bon
sang, se dit-il, je n’ai quasiment pas avancé ! »
Il
venait de voir où le conduisait de la distraction au lieu de faire son travail.
« Vite ! Je suis loin d’avoir fini, se dit-il ! Pourvu que la maîtresse ne vérifie pas tout de suite ce que j’ai fait ! »
Il
finit de noter son adresse en allant aussi vite qu’il le pouvait. La maîtresse
s’occupait encore d’Aurélie qui avait difficilement reprit place sur sa chaise.
Elle serait volontiers restée debout, quitte à passer un peu de temps au coin,
mais la maîtresse en avait décidé autrement. Elle entama la première des cinq copies
qu’elle avait à faire, le buste encore secoué de temps en temps par un sanglot
qu’elle tentait de ravaler.
Damien
se hâta. Il finissait tout juste de tirer le dernier trait du tableau prévu
pour recueillir les punitions quand la maîtresse l’interpella.
« Damien,
viens me montrer où tu en es ! Tu dois avoir eu largement le temps de
faire le travail que je t’avais donné. »
Il
se leva et vint présenter son carnet, debout à côté du bureau où la maîtresse
était assise. Elle fronça tout de suite les sourcils.
« Qu’est-ce
que c’est que ce travail ? Une écriture de cochon, des traits tout de
travers et même une rature ? »
La
maîtresse déchira le carnet en deux morceaux qu’elle jeta à la poubelle.
« Tu
as de la chance de ne pas avoir été là quand j’ai expliqué ce que devait être
un travail soigné. Tu recommences et cette fois-ci je ne tolèrerai pas que tu
me rendes un travail aussi négligé. Je te préviens que ce sera la
fessée ! »
Elle
lui donna un autre carnet.
« Retourne
à ta place et tu as dix minutes pour faire tout cela correctement ! »
Elle
accompagna sa dernière phrase d’une claque sur le fond du pantalon. Damien fit
deux pas vers son pupitre, puis il se retourna. Il ouvrit la bouche, comme s’il
voulait parler.
« Oui,
Damien, tu veux dire quelques chose ? »
Il
y avait de la menace dans le ton de la voix de la maîtresse. Damien se ravisa.
Il reprit son chemin vers son pupitre.
« Damien,
je t’ai posé une question, j’aimerais avoir une réponse ! »
Il
marqua une longue seconde de silence avant de répondre.
« Non,
rien !
–
Non, qui ? »
Il
hésita encore une fois.
« Non…
maîtresse.
–
Fais attention mon garçon ! J’ai l’impression que tu es au bord de
l’insolence. Je ne vais pas accepter cela pendant longtemps. »
Damien
se retourna et il regagna sa place. La maîtresse le regarda faire. Elle ne le
quitta pas de yeux avant qu’il se soit assis. Elle se demandait si elle
n’aurait pas dû sévir tout de suite, se doutant que, de toute façon, c’était
reculer pour mieux sauter.
Damien
bouillait intérieurement. Il était furieux contre lui-même pour n’avoir pas osé
crever l’abcès. Il ne pouvait pas faire autrement que de venir à l’école. Sa
compagne l’exigeait et, la fessée aidant, elle savait faire respecter ses
décisions.
Mais
il était encore plus indigné de la façon dont la maîtresse, enfin cette gamine,
l’avait traité. Elle l’avait humilié publiquement en déchirant son carnet,
comme si ce qu’il avait fait n’était pas suffisant et comme s’il n’était qu’un
gamin qui avait mal travaillé. Il s’en serait bien contenté, n’ayant pas
l’intention de jouer à ce jeu de l’école pour adultes ni bien longtemps, ni
bien sérieusement.
En
plus, elle l’avait menacé d’une fessée ! Pour qui se prenait-elle ?
« C’est
déjà bien assez difficile de recevoir la fessée de Colette dans l’intimité
conjugale, rumina-t-il dans sa tête, et voilà qu’elle se met à en parler à
d’autres personnes, dont cette… »
Il
ne trouvait pas de qualificatif pour nommer de celle qui se prétendait « sa
maîtresse d’école ». Cela faisait bien longtemps qu’il n’en avait plus
besoin et si Colette avait raison sur son niveau de maîtrise de certaines
notions de base en français et en calcul, il s’en tirait parfaitement bien sur
le plan professionnel. Plus de vingt ans dans la même boite. Evidemment si la
crise actuelle l’obligeait à chercher du travail ailleurs, ce serait un
handicap sérieux.
« N’importe !
Si elle s’imagine que je vais la laisser me donner une fessée, sans même penser
qu’elle pourrait me déculotter. Je n’ai rien à voir avec les deux autres qui
apparemment se laissent faire. »
Il
n’était pas complètement dupe. Il se savait en position de faiblesse. Avoir été
placé sous l’autorité de la maîtresse relevait d’une décision de sa femme. Et
elle savait faire respecter ses choix. Il savait ce qu’il risquait s’il s’avisait
de lui tenir tête. Mais la maîtresse, ce n’était pas sa femme.
Il
était d’autant moins sûr de lui qu’il avait été impressionné par la fessée qui
s’était déroulée sous ses yeux. Ce n’était peut-être qu’une gamine, mais en
matière de fessée, elle savait y faire. La correction qu’elle avait administrée
à la femme, pourtant plus âgée qu’elle, n’était pas une plaisanterie. Or, il
n’y avait pas eu une seule protestation d’émise ni contre ce traitement
infantilisant, ni contre sa vigueur.
Damien,
réagissant contre l’impression de trouver des raisons d’accepter de se
soumettre à l’autorité de la maîtresse, décida que quoiqu’il en coûte, il
refuserait la prochaine vexation qu’elle lui imposerait. Il prit son stylo et
recommença à remplir son carnet sans rien changer à ce qu’il avait fait la
première fois. Il se permit même quelques ratures supplémentaires.
Annette
regarda sa montre. Elle avait laissé à Damien vingt minutes, le double de ce
qu’elle lui avait annoncé. Pendant ce temps, elle avait sorti Philippe du coin,
elle l’avait reculotté et elle lui avait donné du travail. Il s’agissait
d’apprendre les verbes irréguliers en anglais, matière qu’il devait maîtriser
dans son travail et dans lequel il présentait de nombreuse lacunes. Philippe
s’était empressé de se mettre au travail et, depuis les dix minutes qu’il
planchait sur sa feuille, il montrait tous les signes d’une intense
concentration.
Damien
ne semblait plus travailler.
« Damien,
viens me montrer ce que tu as fait ! »
Nonchalamment,
il se leva en donnant tous les signes d’une indifférence qu’il ne ressentait
pas du tout. Son cœur battait follement dans sa poitrine. Il allait jouer son
va-tout, sur un coup de bluff. Heureusement, cela ne se voyait pas sur son
visage.
« Donne-moi
ton carnet ! »
Il
attendit une petite seconde avant de le tendre à la maîtresse. Dès qu’elle
l’ouvrit, ses traits se durcirent.
« Tu
te moques de moi ?
–
Non… Madame !
–
Je t’ai dit de m’appeler maîtresse !
–
Oui… maîtresse ! »
Sans
relever l’ambiguïté de la réponse, elle laissa un long silence s’installer
pendant lequel elle feuilleta lentement les pages du carnet, une par une, en
prenant son temps. Le malaise devant ce manque de réaction déstabilisa Damien.
Il se balançait d’un pied sur l’autre.
« Bon,
je crois que la situation est très claire. Ce travail a été fait par-dessus la
jambe. Aucune amélioration, au contraire. Tu sais ce que cela signifie ?
–
Non !
–
Maîtresse !
–
… maîtresse.
–
Eh bien, c’est assez simple, je vais te donner une fessée et tu peux me faire
confiance. Elle va être magistrale. »
La
maîtresse sortit une règle plate en bois de l’un des tiroirs du bureau. Elle la
fit claquer en la posant devant elle. Puis elle prit sa chaise et elle la
délaça au milieu de l’estrade. Elle s’y assit.
« Viens
ici ! »
Elle
désignait le sol, à sa droite. Damien ne bougea pas.
« Si
je dois venir te chercher, tu auras une autre fessée en fin de matinée ;
Aussi sévère que la première ! »
Cela
ne fit pas bouger Damien.
« Bien ! »
La
maîtresse se leva et elle saisit Damien par l’oreille.
« Laissez-moi !
Vous n’avez pas le droit ! »
La
maîtresse ne tenait pas compte de ces objections. Elle nota, avec satisfaction,
qu’il ne faisait rien pour se libérer. Il suivait la maîtresse tout en
protestant. Elle reprit place sur la chaise et elle le plaça Damien entre ses
jambes, les resserrant sur les siennes. Maintenant, il devait se débattre pour
se libérer. La maîtresse ne lui laissa pas le temps de réfléchir. Elle
entreprit de déboucler la ceinture.
C’en
était trop pour Damien. Il posa ses mains sur celles de la maîtresse, les
immobilisant.
« Laissez-moi
tranquille ! Je ne vous laisserai pas faire !
–
Ah non ? Je te donne une dernière chance de me laisser te baisser la
culotte. De toute façon, cette fessée tu vas l’avoir. Tu ferais mieux de t’y
faire. Ce serait plus simple, pour moi, effectivement, mais pour toi
également. »
Damien
ne bougea pas. Il ne voulait pas utiliser la force pour se libérer. Cela
l’emmènerait trop loin et la réaction de Colette serait terrible. Non, il
comptait opposer une résistance passive jusqu’à ce que la maîtresse renonce.
Une fois qu’il aurait remporter cette victoire, il comptait se faire renvoyer
de l’école. Bien sûr il recevrait une fessée de la part de Colette,
certainement une très sévère, mais c’était un moindre mal. Il serra les dents.
Les minutes à venir seraient décisives.
« Damien,
je compte jusqu’à trois ! Un… deux… »
Damien
n’avait pas esquissé un geste.
« …
et trois ! »
D’un
geste sec, la maîtresse dégagea ses mains. Elle prit son téléphone et composa
un numéro.
« Maman ?
Je me demandais si tu avais le numéro de portable de Colette ? Oui…
attends je note… merci Maman ! »
Elle
se tourna vers Damien.
« Si
je dois téléphoner à Colette, mon garçon, nous allons attendre qu’elle arrive
et à ce moment-là, je te donnerai la fessée dont tu as besoin. Si tu résistes,
je pense que ma mère et Madame Marianne sauront mobiliser suffisamment de
personnes pour te tenir pendant que je te déculotterai. »
Elle
regardait, droit dans les yeux, le garçon qu’elle tenait entre ses jambes.
« Mais
alors, après une première fessée ici, tu en auras une deuxième que j’irai te
donner sur la place du village. Et ce sera ainsi tous les jours pendant la
semaine prochaine. Je passe sur les longs moments que tu passeras au coin,
comme Philippe vient de le faire, la culotte baissée. Compte sur moi pour que
ce soit dans tes endroits où tout le monde pourra t’observer. »
Elle
laissa ses paroles faire leur chemin dans le cerveau de Damien. Celui-ci avait
pâlit. Dans les yeux de la maîtresse il pouvait lire sa détermination.
« Alors,
je fais le numéro ? »
Damien
ne bougeait toujours pas, mais son malaise était palpable. Il se dessinait sur
son visage.
« Comme
tu veux ! »
Elle
commença à composer le numéro.
« Non,
attendez ! »
Elle
suspendit son geste, le doigt levé sur le numéro suivant.
« Que
veux-tu que j’attende ? Enlève tes mains !
–
Non s'il vous plait, je ne recommencerai plus ! Je vais obéir !
–
Si tu as décidé d’obéir, la première chose que tu as à faire, c’est d’ôter tes
mains. Le reste, je m’en charge !
–
Oui, je vais les enlever, mais vous ne me punissez pas. Je ne recommencerai
plus !
–
Damien, tes mains ! C’est la dernière fois que je te le dis ! Après… »
Damien
relâcha la pression sur les mains de la maîtresse, puis il écarta lentement les
siennes. Il se mordait la lèvre, conscient d’avoir perdu cette première
bataille, mais elle était décisive. En deux mouvements vifs, la maîtresse
déboucla la ceinture. Le bouton qui retenait encore le pantalon sauta à son
tour.
La
maîtresse fit descendre le vêtement qui n’était plus tenu à la taille jusqu’au
milieu des cuisses, là où les siennes enserraient celles de Damien. Elle ne
voulait pas lui donner l’occasion de se dérober. Elle devait réussir cette
fessée. C’était la première qu’elle lui donnerait et de celle-là dépendrait
toutes les autres. Et réussir cette fessée, commençait par baisser la culotte
de son élève bien qu’il n’eût aucune envie de se laisser faire. Le reste
viendrait sans problème.
Elle
avait anticipé la dernière défense de Damien. Quand elle posa ses mains sur
l’élastique de sa culotte, celles de Damien se mirent de nouveau en travers de
son chemin. Elle tapa d’un coup sec sur les doigts en grondant.
« Damien ! »
Elle
avait compté sur le réflexe que cela déclencha, un réflexe d’obéissance, fruit
d’une habitude prise lors des punitions que lui donnait sa femme. Damien retira
ses mains et cela suffit pour quelle baissât la culotte.
Le
sexe de Damien jaillit dès que l’élastique de la culotte le libéra. Annette
s’était attendue à ce qu’il soit turgescent avec cette longue préparation de la
fessée. Il n’en était rien. Damien était habitué à recevoir la fessée, sans
doute la peur de la correction à venir l’emportait-elle sur l’excitation que
pouvait provoquer le déculottage par une tierce personne. Cela devait faire
partie de ses réactions habituelles quand sa femme le préparait pour une fessée.
Damien
lit trois ou quatre secondes à se rendre compte que ses parties génitales
étaient directement sous le regard de la maîtresse, à une dizaine de
centimètres de ses yeux. Il voyait encore la maîtresse comme une jeune fille et
c’était très humiliant de lui montrer ses attributs sexuels dans ces
conditions. Il place vivement ses mains en coupe tentant maladroitement de les
dissimuler.
« Bien,
pensa-t-elle, cela occupera son esprit. Tant que sa préoccupation première sera
de cacher une partie de sa nudité, il me laissera faire. Maintenant, il ne faut
surtout pas lui laisser le temps de réfléchir avant que la fessée ne commence. »
Elle
écarta ses jambes et en tenant Damien par le coude, elle lui fit faire le tour
de sa jambe pour l’amener à sa droite.
« Non,
s'il vous plait, ne cessait-il de répéter. Non, s'il vous plait. »
Elle
l’obligea à se courber au-dessus de ses genoux sans qu’il résistât réellement.
Si elle continuait aussi fermement, sans montrer d’hésitation, elle obtiendrait
ce qu’elle souhaitait et Damien ne tarderait pas à regretter sa désobéissance.
Elle tira un peu sur le bras et Damien tomba à plat ventre en travers de ses genoux.
Il n’avait plus le choix. Il laissa sa verge et ses testicules un bref instant
à la vue de la maîtresse et plaça ses mains en avant pour amortir sa descente.
La
maîtresse le serra contre son ventre tout en écartant le bras gauche de Damien.
Enfin, elle posa son coude entre les deux omoplates de son élève. Ainsi, il
faudrait qu’il bataille pour se relever et elle voyait bien que ce n’était plus
à l’ordre du jour.
La
dernière et faible opposition de Damien vint quand elle baissa le pantalon et
la culotte pour bien dégager les fesses. Elle sentait bien qu’il était résigné
à son sort, reconnaissant malgré lui l’autorité de la maîtresse et sa
légitimité à lui administrer une fessée déculottée quand elle l’avait décidé.
Quand il sentit sa culotte descendre le long de ses cuisses, il tenta de la
retenir à l’aide de sa main droite, la seule qui était disponible.
« Damien,
quand je te donne la fessée, je ne veux pas voir ta main, ni pour retenir ta
culotte quand je la baisse, ni pour protéger tes fesses. Tu l’ôtes de là tout
de suite. »
Damien
ne réagit pas à cet ordre. Il n’était pourtant plus question de garder un zeste
de dignité, sa culotte étant baisée vu la position dans laquelle il était alors
qu’il ne faisait rien pour en sortir. Il avait admis l’inéluctabilité de la
fessée. Un réflexe plutôt.
« Damien,
attention ! »
La
voix de la maîtresse étant devenue glaçante. Cela suffit pour ramener Damien à
l’obéissance. Il lâcha sa culotte et ne fit plus rien pour empêcher la
maîtresse de l’amener au bas de ses cuisses. Annette savait qu’elle avait
obtenu ce qu’elle voulait et que, la prochaine fois, Damien ne lui ferait plus
de difficulté si elle lui démontrait sans ambages, combien sa désobéissance
l’avait conduit à une fessée bien plus sévère.
« Tu
te rappelles la fessée que je t’avais annoncé si ne me laissais pas te baisser
la culotte et te fesser ? »
Elle
posa la main sur les fesses. Damien se raidit. Elle lui donna une sérieuse
claque sur chaque fesse.
« Sage ! »
Quand
elle se mit à pianoter de ses doigts sur la peau, il ne réagit plus. il n’avait
plus aucun doute que ce contact inhabituel, s’immisçant dans son intimité,
faisait maintenant partie des prérogatives de la maîtresse.
« Eh
bien nous y sommes. Je tiens toujours mes engagements, surtout quand il s’agit
de punitions. Tu en as pour jusqu’à midi et sache que j’estime que tu as besoin
de plusieurs très sérieuse fessées. J’espère que c’est la dernière fois que
j’aurai à sévir comme cela, n’est-ce pas ?
–
Oui maîtresse, pardon, s'il vous plait !.
–
Pas tout de suite le pardon, ce sera après la fessée ! »
La
main de la maîtresse s’abattit sur ses fesses. Au bout d’une dizaine de
claques, il ne savait plus qui fessait le plus fort, sa femme ou la maîtresse.
Il serra les dents, croyant encore qu’un homme ne pouvait montrer à une jeune
femme combien la fessée qu’elle lui donnait le cuisait. Sa résolution ne tint
pas plus de trente secondes.
Quand
la maîtresse accéléra le rythme de la fessée, sans en diminuer la vigueur, il
n’y tint plus. Ses pieds décolèrent du sol et un gémissement franchit ses
lèvres. C’était une faille dans l’impassibilité qu’il recherchait. Elle ne
cessa de s’agrandir.
Il
ne lui fallut pas plus d’une minutes pour que les battements de pieds de Damien
et ses gémissements montrassent qu’il avait abandonné toute retenue. La fessée
faisait son effet.
Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !
Et le précédent : le chapitre 26
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