Jeudi 19 mars 2020 – 12 heures 30
« Mettez-vous
en rang ! »
Les
trois élèves se levèrent et ils s’alignèrent devant la maîtresse.
« Philippe,
remets ta blouse correctement en place ! »
Les
yeux de la maîtresse ne laissaient rien passer. Elle se livra à une rapide
inspection de ses élèves. Il n’était pas question qu’elle rendît l’un de ses
élèves dans un état de propreté ou une tenue approximative.
« Montre-moi vos mains ! »
Tous
les trois tendirent leurs mains.
« Aurélie,
tu vas les laver ! Qu’est-ce que c’est que cette tâche ? »
La
jeune femme de dépêcha de poser son cartable et elle trottina vers le lavabo
installé dans un coin de la classe. En passant, la maîtresse lui donna une
claque sur la cuisse.
« Tu
mériterais une fessée ! »
Personne
ne broncha, pas même Aurélie. Si la maîtresse le disait, c’était certainement
que c’était vrai. La propreté était un élément important du bon comportement
d’un élève, preuve de son attention à ce qu’il faisait en classe, donc à la
propreté de ses mains. Aurélie avait échappé à la fessée, elle trouvait qu’elle
ne s’en tirait pas si mal avec cette main assénée sur la cuisse ce qui avait
été plus vexant que douloureux.
Damien
ne prêtait pas attention à ce qui se passait autour de lui. Il s’était
machinalement lis dans le rang, obéissant maintenant sans réfléchir aux
consignes donnée par la maîtresse. Il venait tout juste de sortir du coin et la
maîtresse l’avait reculotté quelques minutes avant de donner le signal de la
fin de la classe. Il n’était pas candidat pour une nouvelle fessée, et
pourtant…
Il
était préoccupé. Préoccupé par l’accueil qu’ll allait recevoir quand Colette
saurait qu’il avait reçu trois fessée dans la matinée. Car il y avait eu une
troisième fessée, comme la maîtresse le lui avait promis…
Damien
s’était appliqué pour préparer son carnet de correspondance. Il avait fait très
attention à former ses lettres comme elles avaient été dessinées par la
maîtresse sur le tableau. Il avait tracé des lignes les plus droites possibles.
Il avait finalement examiné son travail et il n’y avait pas trouvé de défaut.
« La
maîtresse sera contente, s’était-il dit ! »
Il
avait alors posé son stylo sur sa table et il avait levé le doigt, attendant
patiemment et silencieusement que la maîtresse veuille bien s’occuper de lui.
Cela n’avait pas tardé.
« Oui
Damien, as-tu fini ?
–
Oui maîtresse !
–
Et vais-je encore trouver des lettres écrites sans soin et des ratures ?
–
Non maîtresse !
–
Nous allons voir cela ! Apporte-moi ton carnet ! »
Damien
s’était levé et il avait présenté son carnet de correspondance qu’il venait de
préparer, à la maîtresse qui était restée assise à son bureau. Elle le prit et
elle le feuilleta. Damien attendait son verdict, debout à côté d’elle. Il avait
mis ses mains dans son dos.
« C’est
bien, c’est du travail propre. Cela change du tout au tout par rapport au
travail que tu as fait les deux premières fois. Je vois que les fessées ont
servi à quelque chose. »
Damien
hocha la tête. Il prit cela pour un compliment.
« Il
faut maintenant que j’inscrive les fessées de la matinée, n’est-ce pas ?
Et, pour demain, tu feras signer cette page par Colette. Tu n’oublieras
pas ?
–
Non, maîtresse. »
Cela
ne prit qu’une petite minute.
« Lis
ce que j’ai écrit ! »
Damien
reprit son carnet de correspondance.
« Trois fessées déculottées données
à Damien ce matin. Une pour un travail bâclé, une autre pour avoir été insolent
et une pour avoir désobéi pendant son déculottage. Punition à faire à la maison.
Pour demain, copier 500 fois la phrase : à l’école, je dois obéir à la
maîtresse et soigner le travail que j’ai à faire. »
« C’est
bien ce qui s’est passé, demanda la maîtresse ?
–
Oui maîtresse ! »
Il
se disait que faire signer cela à Colette n’allait pas passer comme une lettre
à la poste.
« Tu
as vu que tu as une punition à faire à la maison ?
–
Oui maîtresse ! »
Les
conséquences de sa désobéissance ne cessaient de s’accumuler et elles étaient
toutes désagréables.
« Comme
tu peux le lire, je parle de trois fessées. C’est bien ce que tu as mérité,
non ?
–
Oui maîtresse ! »
Sa
réponse était sincère. Il reconnaissait une logique imparable dans les
décisions de son institutrice. Il avait bien commis les écarts qui lui étaient
reprochés. Cela ne lui semblait plus du tout déplacé que chacun d’eux fût
sanctionné par une fessée.
C’était
la règle à l’école et que la maîtresse fût bien plus jeune que lui ne changeait
rien sur le droit qu’elle avait de punir ses élèves quand ils en avaient besoin,
et il était l’un de ses élèves. Toute idée de révolte contre ce traitement
infantilisant s’était envolée. Quand il voyait l’attention avec laquelle il
avait fait le travail que la maîtresse lui avait demandé, il constatait les
effets de la fessée. Jamais il n’aurait fait aussi attention s’il n’y avait eu
une fessée en jeu. Il avait voulu défier la maîtresse, il en payait les
conséquences.
« Combien
de fessées as-tu reçues, Damien ?
–
Deux, maîtresse, vous m’en avez donné deux. »
Il
voyait maintenant où le conduisait cette discussion. Il ne fut donc pas surpris
de la conclusion de la maîtresse.
« Il
en manque donc une ! »
Damien
ne put que hocher la tête. Sa gorge se serrait, il n’arrivait plus à parler.
Fort heureusement, la maîtresse ne l’exigea pas. Elle déplaça sa chaise jusqu’au
milieu de l’estrade, exactement là où elle l’avait placée pour donner sa
première fessée à Damien. C’était aussi là où rien n’entravait la vue de ses
deux condisciples sur tous les détails de la correction qui se préparait.
« Viens
ici, Damien ! »
La
maîtresse n’eut même pas besoin d’élever la voix. Damien se rendit à son invite
sans hésiter. Il savait pourtant ce qui l’y attendait. Debout devant la
maîtresse qui avait pris place sur la chaise, il ne bougea pas d’un pouce
pendant qu’elle baissa son pantalon. Il ferma les yeux quand ce fut au tour de
sa culotte. Bien qu’il eut senti sa culotte glisser le long de ses cuisses, ce
fut la sensation de fraîcheur sur ses fesses qui lui fit prendre conscience qu’il
était maintenant déculotté.
Elle
ne l’avait pas immobilisé entre ses jambes comme elle avait dû le faire la
première fois. C’était maintenant inutile. Damien n’avait pas songé à cacher
son entrejambe, bien que ses deux camarades pussent le voir. Pourtant la gêne
d’avoir à exhiber ses fesses nues était bien présente.
La
maîtresse amena Damien à sa droite. Elle prenait son temps. Il n’y avait aucune
urgence. Au contraire, il fallait que Damien prît bien conscience de la fessée
qui se mettait en place afin d’en profiter au maximum.
« J’espère
que tu as compris que c’est la fessée déculottée qui attend tous les élèves de
ma classe quand ils sont désobéissants ou quand je ne suis pas satisfaite de
leur travail. Est-ce bien clair ? »
Damien
n’arrivait à articuler un mot. Il se sentait au bord des larmes.
« Je
t’ai posé une question… »
La
maîtresse claqua le haut de la cuisse de Damien.
« …
J’attends donc une réponse ! »
L’urgence
de la situation débloqua le mutisme de Damien.
« Oui,
maîtresse, oui ! J’ai compris !
–
Ce sera vrai pour toi, comme pour les autres. Je pense qu’il n’y aura plus
besoin que je me fâche comme ce matin, mais ne te fais pas d’illusion, il y
aura d’autres fessées ! »
La
maîtresse le prit par le coude et elle le guida. Il dut reprendre la place qui
avait été la sienne et qu’il retrouverait, à l’avenir, en de multiples
occasions.il la laissa faire pendant qu’elle ajustait sa position, sans doute
pour pouvoir lui donner la fessée plus confortablement. Il serra les dents en
attendant que la fessée ne débutât, mais, certaine de maîtriser la situation,
la maîtresse avait tout son temps.
« Pour
cette troisième fessée, je ne vais pas prendre la règle. Ma main suffira. Mais
n’oublie pas qu’elle est bien là, à portée de main, prête à servir. A chaque
fois que ce sera nécessaire, je n’hésiterai pas à l’utiliser. »
La
maîtresse n’avait pas vraiment besoin de la règle pour donner une fessée qui
cuisait les fesses. Damien ne se rappelait, de la première fessée, que la
colère froide de son institutrice et de la conclusion assénée avec l’instrument
en bois. Il n’avait pas de souvenir de la première partie de la correction
mais, cette fois-ci, il avait tout le loisir de regretter de se trouver une
nouvelle fois à plat ventre en travers des genoux de la maîtresse, lui offrant
ses fesses dénudées pour lui apprendre à se comporter comme elle l’attendait.
Il
aurait bien juré que la leçon avait été comprise et qu’il n’était nulle besoin
d’une nouvelle fessée pour s’en assurer. Mais il savait que la maîtresse irait
au bout de la correction afin de s’assurer qu’il ne recommencerait pas de si
tôt les comportements qu’il avait adoptés, il y avait moins d’une heure.
C’était
une véritable dégelée de claques qui tombaient sur les fesses de Damien.
Parfois alternant d’une fesses à l’autre, parfois insistant au même endroit cinq,
dix, vingt fois de suite, la maîtresse ne ménageait pas son énergie. Elle
voulait qu’il comprenne que même avec la main, elle savait administrer de
formidables fessées qui sanctionneraient tout comportement délictueux.
Elle
estima la rigueur de la correction aux signaux, qu’involontairement, Damien
donnait. Elle avait décidé que cette fessée ne prendrait pas fin avant que son
élève ne maitrisât plus ses gestes et ses plaintes. Il fallait donc durer un
peu, quelle que soit la cuisson qu’elle ressentait sur sa main. Elle se
consolait en pensant à la douleur que Damien éprouvait lui, grâce à cette main
qui commençait à devenir sensible.
Quand
il fut évident qu’elle ne rougirait pas plus les fesses qu’au niveau auquel
elle était parvenue, elle ralentit le rythme puis mettre un terme à la
correction. Elle n’avait aucune idée de sa durée, mais elle ne trouvait pas
cela fondamental. Ce qui importait, c’était que Damien, à la seule pensée d’une
nouvelle correction, n’ait plus aucune envie de recommencer. Elle était
persuadée que maintenant c’était le cas.
Elle
ne se faisait pas d’illusion. Elle serait naturellement obligée de le punir plus
d’une fois encore, mais ce ne serait plus pour le même motif. Damien n’aurait
plus jamais l’idée de défier son autorité.
Il
ne bougeait pas. Il ne le ferait pas avant qu’elle lui en ait donné
l’autorisation. Elle posa sa main sur le fesses. Damien eut un petit sursaut.
Le corps toujours secoué de sanglots, il s’inquiétait de la reprise de la
correction, mais, ne voyant rien venir, il retourna à la sensation de fournaise
que produisait son postérieur et que la main posée sur ses fesses réussissait à
la fois à accentuer et à apaiser. Finalement, il dut quitter le confort des
genoux de la maîtresse.
« Allons !
Debout ! tu retournes au coin pour la fin de la matinée ! »
Damien
serait bien resté plus longtemps allongé sur les genoux de son institutrice. Il
s’y sentait en sécurité. Il n’avait, jusqu’alors, pas éprouvé cette sensation
depuis que, l’âge aidant, il n’avait plus eu le droit de se tenir sur les
genoux de sa Maman, sauf, bien sûr quand Colette le gardait un peu sur les
genoux après lui avoir donné la fessée. Il obéit malgré tout. Le coin ?
Oui, il s’y attendait.
« Allez,
avancez ! »
La
maîtresse ouvrit la porte. Aurélie et Philippe rentraient seuls. Ils n’avaient
qu’à suivre l’allée qui les menait à la porte de la cuisine. Du regard, la
maîtresse pouvait contrôler qu’ils rentraient bien à la maison. Personne
n’était donc n’était venu les chercher.
Colette
attendait son mari.
« Alors ?
Ça s’est bien passé, demanda-t-elle à la maîtresse.
–
Demandez plutôt à Damien ce qu’il en pense. »
Etonnée
par la réponse, elle se tourna vers son conjoint.
« Qu’en
dis-tu ? »
Damien
tortillait le bas de son blouson. Il n’osait pas répondre. Il aurait préféré
que la question lui fût posée une fois rentré chez lui.
« Toi,
il y a quelques chose de pas net ! Raconte ! »
Le
silence de Damien obligea sa femme à monter d’un cran.
« Si
je découvre que tu me caches quelque chose, je te promets une fessée
magistrale ! »
Damien
savait ce que c’était qu’une fessée magistrale il en avait reçu deux et il ne
tenait pas à ce que sa femme s’engageât sur cette voie. Il fallait parler, il
n’y avait pas d’autre solution.
« J’ai
été puni.
–
La maîtresse t’a puni ?
–
Oui Colette !
–
Et pourquoi donc ? »
La
maîtresse croisa les bras sur sa poitrine, attentive à ce que Damien allait
répondre.
« Parce
que j’ai mal travaillé.
–
Bon, je t’ai prévenu. Si la maîtresse n’est pas satisfaite de ton travail, tu
auras la fessée en arrivant à la maison. »
Ce
n’était pas vraiment un mensonge. C’était effectivement de là que tout était
parti. Mais l’omission était trop grosse. La maîtresse ne laissa pas passer.
« Est-ce
tout, Damien ? »
Damien
la regarda par en-dessous. Il avait espéré pouvoir en rester là jusqu’au moment
où il faudrait faire signer le carnet. Cela lui aurait laissé un peu de temps.
« Non,
dit-il d’une petite voix.
–
Parce qu’il y a autre chose ?
–
Aussi parce que j’ai été insolent.
–
Tu as été insolent avec la maîtresse ?
–
Oui Colette.
–
J‘espère que la maîtresse t’a donné la fessée.
–
Oui Colette.
–
Tu as donc eu deux fessée dans la matinée ? Bravo ! Tu peux
t’attendre, cet après-midi, à ce que tes fesses soient rouges un bon
moment. »
Damien
regarda la maîtresse. Elle fronça les sourcils. Il avait encore un aveu à
faire.
« Non
trois !
–
Trois quoi ?
–
Trois fessées. »
Colette
mit quelques secondes à comprendre.
« Quoi ?
C’est trois fessées que la maîtresse a dues te donner ? En une
matinée ? Mais où te crois-tu ? »
Elle
se tourna alors vers la maîtresse.
« Mais
que s’est-il passé ? »
La
maîtresse raconta comment elle avait été amenée à donner une première fessée à
Damien et comment il avait tenté de s’y soustraire. La colère de Colette
montait.
« Et
il a fait autant de difficultés pour les deux autres ?
–
Non, heureusement ! Il a compris qu’avec moi, ça ne fonctionne pas comme
ça. J’ai pu le punir sans qu’il essaye de m’en empêcher.
–
Alors comme ça, tu as commencé par refuser que la maîtresse te donne la
fessée ? Malgré ce que je t’avais dit ce matin ? »
Damien
se savait dans une situation délicate. Plus que ça, catastrophique.
« C’est
sûr que je vais avoir la fessée, se dit-il. Mais avec tout ça, que va trouver
Colette pour me punir ? »
Colette
se posait la même question au même moment. Dès qu’elle l’eut trouvé, la
solution lui sembla évidente. Elle attrapa son mari par le bras et elle le
rapprocha d’elle. Sans un commentaire, elle s’attaqua à la ceinture du
pantalon.
« Mais
qu’est-ce que tu fais ?
–
Ça ne se voit pas ? Je te baisse le pantalon.
–
Mais… mais… »
Le
pantalon était déjà arrivé en-dessous des genoux.
« Non
Colette, pas ici !
–
Et pourquoi pas ici ?
–
On va me voir !
–
Et alors ? Je tiens à ce que tout le monde sache comme je punis les
insolents dans ton genre.
–
Mais il y a du monde !
–
Oui je sais ! Tu as de la chance. Avec le confinement, il n’y a personne
qui passe sur la route. C’est dommage ! Il n’y aura donc que Bernadette et
Antoine qui vont assister à ta fessée. Je ne compte pas la maîtresse. »
Damien
regarda par-dessus son épaule. Bernadette était sur le pas de la porte de la
cuisine et Antoine était appuyé sur le manche de sa bêche, à moins de dix
mètres de la sortie de l’école. Tous les deux avaient une vue directe sur ce
que Colette préparait.
Bien
que Bernadette s’en doutât, elle n’avait jamais été présente quand Colette
donnait la fessée à Damien. C’était une première pour elle et pour Antoine,
mais pour Damien aussi. Il allait prendre une fessée en présence de ses amis.
Cela ouvrait de nouvelles possibilités lors de leurs rencontres futures. Au
lieu des regard furibonds que Colette jetait à son mari quand il disait un
incongruité, ou quand il était inattentif, elle pourrait maintenant lui donner
une fessée en présence de ses amis sans que cela n’étonnât qui que ce soit.
Colette
descendit la culotte de Damien. Elle lui fit faire deux pas vers le milieu de
l’allée. Là elle été certaine que les deux témoins qu’elle avait repérés, et
éventuellement d’autres, aucun ne pourraient louper le fessée qui se préparait.
Elle
le coinça sous son coude sans qu’il s’y opposât. La fessée commença aussitôt.
La maîtresse admira la technique de Colette. Damien réagit à la correction
qu’il recevait. Il supplia, il dansa d’un pied sur l’autre, il tortillait son
bassin, mais rien n’empêchait la main de trouver ses fesses et d’y installer
une fournaise.
Il
est vrai que Damien se ressentait encore des trois corrections reçues dans la
matinée. Cette quatrième fessée arrivait sur des fesses encore sensibles. Colette
n’en avait cure. Elle ne fut pas plus clémente pour ça.
« Dommage
qu’il ne passe personne sur la route, se dit-elle ! Avec les cris qu’il
pousse, il aurait attiré l’attention de tous les passants. »
La
fessée ne se déroulait qu’en présence de trois personnes, mais elle tenait à ce
qu’ils sachent qu’elle n’admettait pas ces comportements de la part de son
mari. Aucun de ceux qui étaient là n’en doutait.
Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !
Et le précédent : le chapitre 28
Bjr JLG,
RépondreSupprimerde nouveaux ou nouvelles élèves prévus , j'attends la suite avec impatience ;
Au plaisir de vous lire
Amis de la poésie et du retour des maîtresses d'école fesseuses... JLG... bonjour !
RépondreSupprimer-- "Les cahiers au feu la maîtresses dans le milieu !" Chantaient les écoliers du temps d'avant, le jour du départ en vacances. Là, en l'occurrence, c'est la maîtresse qui met le feu aux fesses de Damien, avec trois belles fessées consécutives qui le rendent d'une docilité exemplaire.
Il a compris le jeune homme et ne tente plus de résister au moment ou il se fait déculotter pour recevoir les fessées qu'il a méritées.
La maîtresse maîtrise, et à travers le récit de notre créateur du blog ( eh oui, c'est bien lui!), fait une nouvelle fois la démonstration des vertus éducatives de la fessée. Grâce aussi, à son renouvellement systématique lorsque que le comportement de Damien le nécessite.
"Cent fois sur son fessier elle remet son ouvrage, pour le fesser sans cesse et le recorriger" ( à la mémoire de Boileau, pour les intimes!)
Et pour garder la main sur les fesses de son mari, et faire bonne mesure, le dernier mot ou la dernière claquée revient à Colette, qui sanctionne, sans état d'âme, les trois fessées du matin par une quatrième à la maison. Couvre feu, cette fois sur les fesses et devant témoins... C'est encore mieux.
Bonne nouvelle, le virus ne se transmet pas la fessée ! Madame lui en colle une sévère, malgré les précédentes déculottées. Le cumul de mandales sur les fesses est, non seulement autorisé , mais vivement conseillé pour les récidivistes!
La vie conjugale, c'est simple comme une fessée déculottée!
Amicalement
Ramina