J’ai obtempéré, de toute façon, je n’en pouvais plus et j’étais épuisé aussi bien physiquement que mentalement, tant les perspectives qui m’attendaient étaient affligeantes, je ne savais plus si je souhaitais revoir Justine, dans quelle condition serait-elle après m’avoir fessé comme un gosse sous l’impulsion de ma cousine ?
Pourrait-elle à nouveau me considérer comme son amoureux et j’avais très envie de faire l’amour avec elle, ou au contraire me mépriserait-elle, soit en me laissant tomber sèchement, soit en décidant de s’amuser encore un peu avec ce qui risquait de devenir son jouet ?
Mon
réveil fut difficile, je n’avais qu’une envie, rester pelotonné sous mes
couvertures, pour une fois, ma cohabitation avec ma cousine m’était de quelque
utilité, c’est elle qui me réveillât et me secouât sans tendresse.
-
Encore heureux que je sois là et que j’ai procédé à ta toilette hier soir,
faute de quoi, tu étais bon pour un gros retard et une bonne fessée déculottée
chez madame Leblanc.
Après
ce début précipité, ma journée fut convenable et j‘eus la bonne surprise en
rentrant le soir dans le bus d’entendre des étudiants de première année que je
ne connaissais pas se gausser d’une élève qui avait été aperçue dans les
couloirs de l’établissement en train de se ramasser une fessée déculottée par
la très redoutée Aude, celle qui faisait fonction de surveillante. Je
m’approchais et me mêlais à la conversation ce qui ne fut pas difficile, en
tant que plus ancien, je bénéficiais pour l’heure d’une certaine aura,
peut-être toute provisoire, en attendant qu’ils aient eu vent de mes misères
passées et notamment de ma terrible déculottée en pleine classe.
On
n’est encore qu’au début du trimestre et les élèves ne se connaissent pas tous,
il s’en faut, mais j’ai tout de même l’impression que la victime de cette
fessée quasi publique pourrait bien être ma chère cousine, en tout cas, c’est
une fille de sa classe puisqu’elle venait d’être virée du cours. Je n’en
saurais pas davantage, la description physique assez flou, évidemment on avait
surtout vu ses fesses, si elle correspondait assez bien, une brunette plutôt
jolie, ne me permettait pas de me faire une opinion très ferme. En tout cas,
les témoignages concordaient, elle s’était pris une bonne raclée les fesses à
l’air et comme c’était juste avant la fin des cours et l’envahissement des
couloirs par les élèves, un certain nombre avait assisté à la fessée avant que
la punie relâchée par Aude, s’éloigne en courant vraisemblablement vers les
toilettes pour échapper à la honte et se refaire un visage possible. Je me
réjouissais d’interroger Lucie mine de rien dès qu’elle se pointerait à
l’appart, si c’était bien d’elle qu’il s’agissait, elle serait bien obligée
d’avouer sachant que dès le lendemain, il ne me serait pas difficile de savoir
quelle fille avait été virée d’une des trois classes de première année.
Elle
s’est pointée une heure plus tard, tandis que j’étais dans ma chambre à revoir
mon contrôle du lendemain et n’a pas tardé à m’interpeller.
-
Fabien, c’est l’heure de ta douche, dépêche-toi, je ne veux pas être à la
bourre chez la mère Leblanc.
-
J’y vais.
-
Non, tu m’attends, tu sais bien que tu ne sais pas te laver correctement, on ne
sait jamais, si tu venais à te prendre une déculottée, je ne voudrais pas subir
de reproches si tu as le cul sale.
Je
me mis donc sous la douche, plus ou moins dégouté, Lucie ne tardât à m’y
rejoindre, se régalant comme d’habitude à me passer le gant de toilette dans
mes parties les plus intimes, m’écartant la raie des fesses, y introduisant
limite son index, insistant sur mes boules, me soulevant la verge et me la
décalottant et recalottant comme à plaisir, me prenant véritablement pour un
pantin de chair.
-
Tu as encore le cul sale et le slip pareil, décidemment tu ne sais pas t’essuyer,
dorénavant, c’est moi qui le ferai, tu m’appelleras.
-
Mais enfin, ça ne va pas, je ne suis plus un bébé.
–
Ça suffit, si tu veux t’en ramasser une bonne, tu n’as qu’à insister.
Pendant
qu’elle me sèche, je lui glisse sans trop y toucher.
-
A propos de fessée, j’ai entendu dire qu’une fille de ta classe s’en était
ramassé une bonne par Aude.
Immédiatement,
elle s’empourpre, ce qui me confirme que j’avais vu juste, hésite quelques
instants à s’enfoncer dans le mensonge, avant d’avouer la vérité.
-
Tu es déjà au courant, les nouvelles vont vite ! Eh bien oui, je me suis
fait coincée par elle.
-
Aude ?
-
Oui, je crois bien que c’est elle.
-
Si c’est le cas, tu dois avoir les fesses encore marquées, parce que j’ai déjà
eu affaire à elle et je m’en souviens encore, elle tape comme une sourde, c’est
l’âme damnée de la mère Bruno, c’est elle qui a dû la former.
-
Je confirme, j’en ai encore mal aux fesses.
Soudain,
nous changions de catégorie, pour le moment, je n’étais plus le soumis de ma
cousine, mais son alter ego, nous nous retrouvions comme avec d’autres
camarades, frère et sœur de fessée, je savourais ces instants de grâce, sachant
d’expérience qu’ils ne dureraient guère. Je feins la compassion, sait-on
jamais, cela pourrait me valoir quelques faveurs en retour, ou plutôt adoucir
mes futures misères.
-
Qu’est-ce qui s’est passé précisément ?
-
Eh bien, je me suis fait mettre à la porte par la prof d’anglais alors que je
n’avais fait que participer au bavardage général, du coup, je suis furieuse et
alors que j’essaie de me planquer quelque part en attendant la fin du cours, je
tombe sur cette pétasse, elle m’a demandé ce que je faisais là et comme une
conne, je l’ai envoyé aux bains, je ne pensais pas qu’elle était si raide. Ça
n’a pas traîné, elle m’a empoignée, mis sous son coude, relevé ma robe, baissé
ma culotte et en avant nous autres, je n’ai rien compris au film. Elle a une
force et une poigne extraordinaire cette garce, mes pieds ne touchaient plus
par terre, j’en ai pris une bonne, encore heureux qu’elle s’est arrêtée de me
fesser quand la sonnerie a retenti, j’avais en beau prendre sur moi, je
commençais à sangloter quand elle m’a enfin lâchée en me disant :
-
La prochaine fois, tu me parleras correctement, oui ou non ?
-
Qu’est-ce tu as répondu ?
-
Je n’ai pas risqué de faire ma maline, les élèves commençaient à sortir des
salles de cours, je lui servi un piteux oui mademoiselle et je me suis
reculottée. Mais bon, c’était trop tard, la chipie l’avait fait exprès,
quelques-uns m’ont aperçue en fâcheuse posture et voilà, ça va faire le tour de
l’école, la preuve, tu es déjà au parfum.
-
C’est comme ça, tu n’as pas eu de chance.
-
Ne fais pas semblant de me plaindre, tu parles que ça te fait plaisir.
-
Mais non, tu te trompes, je te plains sincèrement.
-
C’est ça, prend moi pour une bille, bon, c’est pas tout ça, tu t’habilles et on
va bouffer, il ne s’agirait pas que je m’en prenne une autre en étant en
retard.
Finalement
Justine me fit signe, elle venait le samedi, elle était invitée à une soirée et
nous y étions conviés avec Lucie.
Je
n’étais que moyennement enthousiaste, je me demandais où j’allais tomber,
y-aurait-il des copains de l’école ou au contraire exclusivement des gens
appartenant à ses relations avec qui je ne me sentirai pas trop à l’aise, de
toutes façons, je n’avais guère le choix, si je voulais conserver un espoir de
poursuivre mes relations avec elle et puis j’étais en manque de sexe, surveillé
comme le lait sur le feu comme je l’étais par ma cousine, je ne pouvais
m’adonner que fort peu à l’onanisme et en prenant mille précautions.
Cette
dernière en revanche était ravie de l’aubaine, elle allait pouvoir faire la
belle, une seule ombre au tableau cependant, je me chargeais de lui rappeler
qu’il serait préférable que nul des participants n’ait été informé de sa
dernière déconvenue.
-
Tu es vraiment chiant, tu as le don pour remuer le couteau dans la plaie, je ne
sais pas ce qui me retient de te flanquer une bonne fessée, on n’a pas le
temps, il faut que je me prépare, mais nous sommes en compte, ne l’oublie
surtout pas.
Qu’est-ce
qui m’avait pris de lui dire ça, du coup, c’est moi qui étais anxieux, d’une
part de revoir Justine, je ne savais plus trop où on en était de notre relation
et par ailleurs, j’étais certain que Lucie ne me raterait pas, j’espérais
toutefois qu’elle attendrait notre retour au bercail pour me faire passer un
moment douloureux sur ses genoux.
La
coquine est tout à fait ravissante, minijupe à ras le bonbon, des baskets
mignons tout plein et un très joli chemisier bleu ciel sous lequel, je remarque
tout de suite qu’elle a les seins libres, les ongles des mains faits elle est
un peu trop maquillée à mon goût, avec un rouge à lèvres carmin que je trouve
bien trop agressif, il n’empêche, je suis bien obligé de reconnaître qu’elle
est très bandante ma cousine, gare à ses fesses, si la mère Leblanc la
rencontre dans cet équipage.
La
soirée se déroule chez Anaïs, une copine de Justine dont les parents ont bien
voulu lui laisser leur villa à disposition.
Nous
ne sommes pas très nombreux, une douzaine environ, c’est la jauge maximale
qu’on lui a autorisée car il est prévu que les participants dormiront sur
place, ce qui évidemment plus prudent.
Les
retrouvailles avec Justine sont chaleureuses, même si je pressens une sorte de
réserve, comme si elle prenait un peu sur elle, je ne tarde pas à comprendre
que la belle est l’objet des assiduités d’un grand diable très brun qui ne la
quitte guère des yeux et auxquelles elle ne semble pas totalement insensible,
il s’en faut !
Cela
me met le moral un peu en berne, mais je suis néanmoins décidé à m’accrocher,
ma cousine n’a pas ses problèmes et n’a qu’à choisir entre trois ou quatre
prétendants, le hic, c’est que je m’aperçois rapidos au travers des conciliabules
des minettes que notre hôtesse vit assez moyennement son esquisse de flirt avec
son mec. A tous les coups, ma mutine cousine l’a fait exprès, histoire de
démontrer qu’elle est bien la reine de la soirée
On
s’est tapé du punch un peu trop tassé comme qui rigole et avec la sono qui t’en
met plein les oreilles et qui déchire grave, l’ambiance commence à bien monter
en gamme.
Justine
danse langoureusement avec moi, mais je sens bien l’embrouille, elle kiffe le
grand Marco, cela me navre, mais que faire, de toutes façons, je me doute bien
que je suis largement descendu dans son estime. Elle m’a vu me prendre une
fessée déculottée par ma mère, une autre par ma cousine, avant de m’en flaquer
une elle-même, excusez du peu !
Je
me décide à faire contre mauvaise fortune bon cœur et essaie de draguer une
autre minette, las, cela ne me semble pas être mon soir, autant à l’école, ça
roule plutôt bien, autant ce soir, c’est misère et compagnie. Du coup, je
m’intéresse au manège de ma cousine, grisée par le punch, elle se laisse
embrasser par le mec de la puissance invitante, elle a fait ça en catimini,
planquée derrière une porte, mais je l’ai bien repérée, j’ai un instant le
réflexe d’aller balancer, mais je prends sur moi, laissons-faire les choses,
les esprits sont déjà suffisamment échauffés par les whiskys Coca qui ont
succédé au punch à qui la compagnie a fait un sort.
Evidemment
Anaïs, la maîtresse des lieux n’a pas tarder à être informée par une bonne âme
de son infortune et je la vois littéralement se jeter sur Lucie en la traitant
de tous les noms.
Ça
bagarre sévère, comme seules savent le faire les filles, on se tirent les
cheveux et on tente de se griffer le visage, des gens bien intentionnés,
garçons majoritaires, parviennent non sans mal à les séparer et tandis que ma
cousine est maintenue par deux mecs, l’autre lui sort.
-
Je crois que ce qui convient, c’est une bonne fessée, j’ai entendu dire qu’elle
s’en était prise une à son école et je crois que c’est ce qui lui manque ce
soir.
Je
n’étais pour rien dans cette révélation, mais dans un petit bourg, les rumeurs
couraient vite, je me disais qu’à tous les coups, ça allait me retomber dessus
et que Lucie ne manquerait pas de se venger sur moi de ses misères du moment.
Car
misères, il y avait, tu parles que la compagnie, déjà largement prise de
boisson, avait applaudi des deux mains à la proposition d’Anaïs, y compris son
copain qui voulait à l’évidence se dédouaner et qui n’était pas le dernier à
hurler qu’il n’était pour rien dans l’histoire que c’était elle qui s’était
jeté sur lui, l’avait presque violenté, pauvre innocent qu’il était.
Ma
cousine a beau se démener, crier, rien n’y fait, elle se retrouve bientôt
allongée sur les genoux de notre hôtesse qui particulièrement en colère, lui
remonte sa jupette et dégage une jolie petite culotte bleu ciel plutôt
transparente et parfaitement assortie, j’ai réussi à me glisser aux premières
loges, même si je me garde bien de participer de près ou de loin à la
correction qui s’annonce, ce n’est pas si simple car Lucie se débat de plus
belle, hurle comme une diablesse. Anaïs ne doit pas en être à sa première
fessée, car elle bloque rapidement sa victime, un bras maintenu relevé dans le
dos et une cuisse passée au-dessus de la sienne et le tour est joué, même si ma
cousine rendue folle furieuse par ce qui va immanquablement lui arriver, à
savoir une fessée déculottée devant une douzaine de personnes de son âge, ne
renonce pas et continue de se démener en se tordant et en remontant ses mollets
frénétiquement.
Cela
ne dure guère et le copain de notre hôtesse, probablement soucieux de se
racheter une conduite, lui maintient les pieds au sol, ce qui permet à Anaïs de
baisser le slip de ma cousine jusqu’à ses chevilles, dévoilant ses jolies
fesses et c’est parti, très énervée, la fesseuse démarre sur un tempo très
élevé qui déclenche au bout de quelques claques très appuyées les cris de ma
cousine qui résonnent grave dans le salon où le silence s’est fait, la sono est
arrêtée et tous entourent le canapé où l’exécution du châtiment se poursuit, on
se presse pour mieux voir le fessier prendre des couleurs et je suis bousculé
par Justine qui veut être aux premières loges, il semble que la petite garce
ait pris goût à la chose.
Je
me sens enfin vengé de mes misères, j’ai peine à y croire, ma garce de cousine
est en train de se ramasser une fessée déculottée en public devant moi, j’en ai
une monstrueuse érection, je suis parvenu malgré la presse à conserver une
position enviable, je suis presque en face des fesses malmenées, à peine à plus
d’un mètre.
Encouragée
par les cris des spectateurs, que dis-je les hourras, les hurlements, les
filles ne sont pas les dernières, il s’en faut, Anaïs ne ménage pas sa peine,
sa victime qui sait à présent que toute résistance est inutile continue
néanmoins de se tordre sous les claques, c’est de douleur à présent, tu parles
que je connais le processus, bientôt comme dans toute fessée bien menée, elle
se mettra à sangloter et c’est bien ce qui survient à ma grande satisfaction,
je l’entends car les clameurs se sont presque tues, nous sommes fascinés par la
vision qu’elle nous offre en remuant ses gambettes sur lesquelles le garçon a
relâché sa pression en constatant qu’en les agitant en tous sens, elle découvre
à l’assemblée sa chatoune vierge de tout follicule pileux. Ça tombe bien, c’est
un des coins les plus éclairés du salon, je ne sais pas qui a envoyé les watts,
alors que comme il se doit, le reste des lieux est largement tamisé, je me
régale de l’entendre pleurer, hoqueter et nous dévoiler toute son intimité.
Car
l’autre semble inépuisable, elle doit avoir les mains brûlantes, pas autant que
les fesses de sa rivale, mais tout de même, je l’ai elle aussi en ligne de
mire, les traits crispés, habitée par une rage folle, elle tape comme une sourde
à l’aveuglette, ne mesurant pas ses coups, frappant comme ça vient, du moment
que ça fait mal, à telle enseigne qu’elle atteint à moment donné la fente de
Lucie, en plein sur son clitoris j’imagine, qui la fait se cabrer et pousser un
hurlement de bête fauve.
Enfin,
essoufflée, en nage, Anaïs met fin à la solide correction, elle laisse sa main
droite quelques instants sur le cul en feu, comme pour vérifier qu’aucune zone
n’a été épargnée, tandis que sa victime sanglote bruyamment.
–
Ça t’apprendra à vouloir prendre les fiancés des autres !
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