QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
CHACUN SON TOUR, OU LA FESSEUSE, FESSEE
L'irruption
inattendue de Walter jeta un froid. Ce ne fut, cependant, pas suffisant pour
atténuer la cuisson des fesses d'Andrew, qui débordaient presque
entièrement de son slip. Les élastiques s'étaient progressivement enfoncés dans
la raie sous l'effet de la fessée. Ô
temps suspend ton vol, Bettina, en arrêt sur image, suspendit aussi son geste
et resta quelques secondes les doigts sur les élastiques. Walter, interloqué
par ce qu'il voyait, demeurait immobile, les bras ballants, planté à la porte
du salon, comme un couteau dans une motte de beurre.
– Mais... mais... Bettina... enfin...qu'est-ce... qu'est-ce que tu fabriques...là ?
Bettina, pas
gênée le moins du monde, répond sans se démonter, avec un air beaucoup plus
rigolard que navré. Ça l'amusait plutôt de voir la tête de son mari et son air
complètement ahuri. Elle commence déjà à le provoquer.
– Enfin Walter, tu le vois bien, je suis en train de
déculotter ce jeune homme pour mieux lui rougir les fesses. Et pour ça, il n'y
a rien de mieux qu'une bonne fessée déculottée.
– Co... comment
ça dé... déculotter... mais... mais
pourquoi , et c'est qui d'abord ?
– Je viens de te
le dire, pour lui flanquer une fessée déculotté . Et le jeune homme, c'est
Andrew, voyons !
Walter qui ne
l'avait encore jamais vu, n'était pas plus avancé pour autant.
– Andrew ?
Andrew ?... Connaît pas ! Il hoche la tête, agacé. C'est qui ce
loustic ? Et qu'est-ce qu'il fait
devant toi, le cul à moitié à l'air ?
– Décidément tu n'es au courant de rien mon
pauvre ami , soupire Bettina en levant les yeux au ciel. Ce loustic, comme
tu dis, c'est un étudiant anglais, au pair, chez les Delaniaires.
– Un étudiant...
Anglais en plus ! Au pair, au pair ! ... Moi ce que je vois, c'est
une paire de fesses que tu as trouvées pour t'amuser ! C'est plus fort que toi
hein , la fessée... toujours la fessée, il t'en faut toujours plus !
Tu n'as pas autre chose à faire que de claquer des derrières !
– Si bien sûr,
mais j'adore ça, claquer des derrières, figure-toi... Ça m'excite et ça me
détend en même temps !
Andrew, les fesses cuisantes, en position
délicate entre Monsieur et son épouse, n'ose pas se retourner. Il essaye de
suivre la conversation, sans vraiment tout comprendre, sinon que le mari n'est
pas vraiment content. Bettina le tient toujours debout entre ses cuisses,
jouant à tendre et détendre l'élastique de son slip sur ses hanches, sans
encore le baisser. La présence de Walter, ne l'a pas fait renoncer à lui
flanquer sa fessée déculottée. Au
contraire.
– Andrew a mérité une bonne correction, et je
vais continuer à la lui mettre, ici, que ça te plaise ou non !
Maline, elle
détourne alors la conversation, en renversant la situation d'un revers de
mauvaise foi, croisé le long de la ligne.
– Mais d'abord,
qu'est ce qui te prend de rentrer si tôt ? Je croyais que tu avais ta partie de
cartes à '' l' Olympic '', avec Edouard, Douglas et ton cher ami Aristide
Duplessy,
Walter, pris de
court, se laisse emporter sur le sujet.
– Et bien justement...Aristide.
On a été obligé d'annuler parce qu'il n'a pas pu venir. A trois, c'est
impossible de jouer.
Bettina, à qui
rien n'échappe, est, bien sûr, au courant de l'histoire du martinet que Régine
avait rapporté chez Astrid Delaniaires pour faire modifier le manche. Elle
n'ignore rien, non plus, de la magistrale séance de fessées qui s'en est suivi
dans le magasin, mais elle fait semblant de s’apitoyer.
– Mince alors,
c'est pas de chance ! Qu'est-ce qu'il lui est arrivé au pauvre Aristide.
Il a eu un accident ? Il est malade ?
– Comme si tu
ne savais pas, dit Walter qui commence à s'énerver. Il sait que Bettina, sait,
et que, du coup, tout le monde sait dans le quartier. Il s'est pris, hier soir,
une grosse fessée par sa femme, avec le manche de son martinet dans le cul...
Un gros en plus remodelé !
– Oui... Et
alors ! Ça doit être jouissif, une fessée avec un manche de martinet
enfoncé dans le derrière ! Bonjour les sensations fortes, moi
j'adorerai ! Ça donne envie d'essayer.
Walter est
habitué aux provocations de sa fantasque épouse et ne relève pas.
– Tu parles des
sensations ! Elle tape dur la Régine, et vicieuse avec ça, avec ses airs
de grande bourgeoise distinguée. Maintenant, il a le troufignon en choux fleur
et ne peut même pas s'asseoir.
Andrew qui a compris l'essentiel de la
conversation, frémit d'horreur. Il serre instinctivement les fesses, comme s'il
avait déjà mal au rectum. Bettina rit, le coup du manche de martinet l'a
inspirée. Elle glisse la main dans son slip par dessous l'élastique, et, comme
si de rien était, lui enfonce lentement un doigt entre les fesses. Elle les
sent encore délicieusement cuisantes de la fessée qu'elle vient de lui
mettre.
– Et
alors ? dit-elle innocemment, en lui détendant le trou de balle d'un petit
massage assouplissant de l'index. Je ne vois pas le rapport avec votre partie
de cartes...
Elle remonte la
raie des fesses sur toute la longueur et sort discrètement la main du
slip. Walter ne s'est aperçu de rien
.
– C'est pas
possible, tu le fais exprès ! dit-il . Il n'allait tout de même pas
jouer debout, puisque je te dis qu'il ne peut pas s'asseoir !! Sa femme
lui a mis le cul en compote !
Walter était un
homme simple, dans le bon sens du terme. Un brave type, de nature calme, plutôt
taciturne, qui se mettait rarement en colère. Deux choses pouvaient le mettre
hors de lui et l'amener à fesser sa femme, qui ne demandait que ça . Ne
pas pouvoir mettre la main sur sa bouteille de Genièvre, que Bettina cachait parfois pour l'empêcher
de trop picoler, ou d'apprendre qu'elle s'était encore laissé peloter les
fesses par un inconnu. Pire quand c'était quelqu'un qu'il connaissait. Le reste
du temps, c'était elle qui le corrigeait, pour ses négligences, son manque de
participation aux tâches domestiques, sa nonchalance exaspérante et ses sorties
de bistrots un peu trop arrosées. Et ça faisait un nombre appréciable de motifs
de fessées. Elle n'en ratait aucune.
Dans le cas
présent, il avait beau être habitué aux frasques de sa femme, à son
imprévisibilité et à sa manière de le provoquer, Walter se dit qu'elle commençait vraiment à exagérer. Au
bord de se mettre en colère, il en devenait presque pathétique.
– Je ne sais
pas ce que vous avez les bonnes femmes, mais faudrait peut-être vous calmer un
peu avec les dérouillées. Il y a des derrières qui n'arrivent plus à
suivre !
Bettina le
regarde avec un sourire narquois.
– Mais mon ami,
si vous ne nous donniez pas autant de raisons de vous corriger, ça se passerait
mieux pour vos fesses. Elle ajoute avec un air navré. Mais ça nous manquerait,
de ne plus vous flanquer aussi souvent, les fessées déculottées dont vous avez
besoin... C'est qu'on s'habitue au plaisir de vous claquer le derrière !
Walter est soudain redevenu petit garçon.
– Oui, mais
quand même, il y a des mo... ments ...
La fin de sa
phrase s'étrangle dans sa gorge, quand il voit Géraldine sortir du couloir qui
mène aux chambres et à la salle de bain. Cela faisait un moment qu'elle
attendait là, à l'abri des regards, en écoutant la conversation. Elle avait eu plusieurs fois du mal à ne pas
rire .
– Bonjour
Walter, dit-elle d'une voix suave. Je dérange, peut-être ?
Le sang de
Walter fait carrément demi-tour pour repartir dans l'autre sens. La bouche en
cul de poule, il roule des yeux étonnés, comme s'il venait de voir apparaître
le fantôme de Bernadette Soubirou en porte jarretelles, flottant au-dessus du
canapé, un martinet dans une main, un tube de Dolpic dans l'autre.
– C'est...
c'est vous Géraldine... mais qu'est-ce que vous fichez ici, nom de Dieu ?
Géraldine n'est
pas du genre à se laisser impressionner. Elle connaît le caractère soupe au
lait de Walter et sait comment retourner ce genre de situation à son avantage.
– Oh c'est tout
simple, je suis là parce que Bettina m'a invité à venir.
Il agite
plusieurs fois la main devant ses yeux comme pour chasser des mouches qui
n'existent pas. Son regard hagard, passe plusieurs fois de Bettina à Géraldine
puis à Andrew, toujours debout entre les
cuisses de sa femme. Le pantalon sur les chevilles, les fesses en exposition,
il attend sa deuxième fessée. Walter semble reprendre ses esprits.
– Enfin qu'est-ce qu'il se passe
ici ? Bettina, tu peux m'expliquer
ce que cet Andrew de mes paires, fabrique ici le cul à l'air, avec
Géraldine ! Vous êtes en train de lui filer une raclée c'est ça, ici, dans
le salon ? Et je peux savoir pourquoi ?
Bettina pas
plus impressionnée que ça, très à l'aise même, se décide à déculotter son puni
qui, après l'exploration impromptue de son intimité anale, gémit de honte.
– Bravo Walter,
tu as deviné, il s'agit bien d'une raclée, et une bonne encore ! dit-elle en faisant bruyamment claquer
l'élastique du slip de l'anglais au milieu de ses cuisses. Parce que maintenant
c'est la fessée déculottée, et j'ai même invité Géraldine à venir y assister.
– Oui je vois
ça, et pendant que j'avais le dos tourné, évidemment ;
– Parfaitement,
je vais me gêner ! Les fessées
c'est quand on veut où on veut et aussi souvent qu'on le veut. N'est-ce pas
Géraldine ?
– Tout à fait, et le plus souvent
possible ! Il n'y a pas mieux pour les garçons indisciplinés.
– Exactement ! Maintenant mon ami, pour satisfaire ta
curiosité, sache que cette punition est
amplement méritée et que ce ne sera pas la seule. Ce petit monsieur a fait un scandale au Pub
samedi dernier, après s'être empiffré de bière avec des amis anglais, Ça te dit quelque chose à toi, hein ?
– Vous voyez,
c'est pas plus compliqué que ça, ajoute Géraldine, en tendant négligemment le
tube de Dolpic et le martinet à son amie. Elle a un sourire vicieux. A mon
avis, c'est l'occasion idéale d'expérimenter la fessée avec le manche dans le
derrière.
Elle s'assied d'autorité
sur la chaise à fessées pour assister au spectacle, pendant que
Bettina couche
Andrew à plat ventre sur ses cuisses et lui fait arrondir les fesses en bonne
position.
– Excellente
idée ! Dit-elle. Et s'adressant à Walter de plus en plus énervé.
– Tu peux
rester y assister toi aussi, si tu veux. Je ne suis laissé dire que les fesses d'Andrew claquent à merveille. On
pourrait comparer avec les tiennes...Elles ont l'air à peu près aussi bien
rebondies . Qu'en dis-tu mon chéri ?
Géraldine, fait
sa pétasse et insiste en croisant haut les jambes pour lui offrir un petit solo
de jarretelles. Le nylon de ses bas, crisse sur ses cuisses.
– Oui Walter,
qu'en dites-vous ? On se régale mieux à plusieurs devant une belle paire
de fesses en train de s'en prendre une sévère… Vous ne trouvez pas ?
Walter est stupéfait de l'aplomb des deux
femmes. Venant de la sienne, il connaît, mais de la fille Delaniaires... Une
telle morgue, une assurance pareille, ça sort de son entendement.
Rien de plus
redoutable qu'un nonchalant soudain furieux. C'était le cas de Walter quand il
se sentait dépassé par les événements. Capable de piquer de grosses colères
lorsque Bettina parvenait à le déstabiliser. Ou alors, réunions de famille ou
autres, il flanquait tout le monde dehors quand les invités commençaient à trop
lui casser les pieds, pour s'excuser après, parce qu'il en avait un coup dans
le nez .
En
l'occurrence, il était encore à jeun, malgré les trois tournées de bière à
l'Olympic, en attendant Aristide . A la frustration de n'avoir pu faire sa
partie de cartes, s'ajoutait l'imbroglio de situation avec cet Andrew, qui
commençait à lui taper sérieusement sur les nerfs. Planté au milieu du salon,
il se mit à tonitruer comme un beau diable en faisant des grands gestes, devant
les deux jeunes femmes, qui avaient du mal à se contenir de rire .
– Bon, Bettina,
ton cirque ça suffit ! Je vois bien ce que tu es en train de fabriquer
avec ta copine, hurle-t-il en désignant Géraldine d'un doigt menaçant. Elle regarde le plafond, comme si de rien
était, en se dandinant sur ses hauts talons, alors qu'il s'adresse directement
à elle. .
– Elle est au
courant votre mère, que vous êtes en train de dérouiller ce garçon, ici, chez
moi ?
– Pas vraiment, mais elle va le savoir, répond
l 'intéressée en levant les yeux au ciel. De toute façon, qu'est-ce que ça
peut faire, il l'a mérité sa fessée et Margaret lui en mettra une encore plus
sévère à la maison.
– Oui ! s'empresse d'ajouter Bettina. On était juste
en train de lui préparer un peu le derrière ! Je sais comment fesse Margaret,
elle nous remerciera même ! Je dis
toujours que la vrai fessée commence toujours sur des fes...
– Ça
suffit ! tonne Walter excédé. Géraldine, vous rentrez chez vous, avec
votre étudiant machin, là ! Tout de suite ! Je vais avertir votre
mère de ce qui s'est passé ici et vous réglerez ça avec elle.
Il se tourne
vers sa femme soudain toute sage sur son tabouret. Elle entend l'annonce avec
un petit sourire provocateur.
– Toi Bettina,
tu peux préparer tes fesses ! Depuis le temps que tu me serines à réclamer
de la fessée, et bien tu vas en avoir. Ça va claquer, c'est moi qui te le
dis !
Elle rebondit
du derrière sur son tabouret en repoussant Andrew par terre.
– Rooooh oui
chéri, tu as raison, la fessée ! Une bonne fessée ! Je le mérite
parce que j'ai été insolente avec toi. C'est vrai mon biquet, je t'ai manqué de
respect.
Elle se lève, et creuse les reins en lissant, à deux
mains, sa jupe, déjà moulante, sur ses volumineuses rondeurs fessières
– Une bonne
grosse fessée, sévère, bien claquée sur les fesses !
Andrew en profite pour mettre les siennes à
l'abri. Il recule vers le mur, hors de portée de fessée. Mais il n'a pas le
temps d'en profiter, que Géraldine le saisit par le col de sa veste.
– Et bien Andrew on va où comme ça ? .Par
ici mon ami, on rentre ! On dirait
que Monsieur Walter est de mauvaise humeur. Mais vous ne perdez rien pour
attendre, c'est Margaret qui va s'occuper de vos fesses à la maison. A mon avis
vous allez regretter Bettina.
Il fait le geste de remonter son pantalon.
– Non Andrew,
non ! Je ne vous ai pas donné l'autorisation de vous reculotter. Vous
restez comme ça, en tenant votre pantalon baissé. Je tiens à ce tout le monde
voit de vos fesses pendant le trajet.
Elle le soulève
par la ceinture élastique de son slip pour le lui rentrer entre les fesses et
le fait avancer vers la porte en le tenant fermement dans cette inconfortable
position. Il est presque obligé de
marcher sur la pointe des pieds.
– Voilà, en
route, on rentre à la maison ! Tenez
votre pantalon baissé, et tortillez bien vos fesses rouges pour qu'on
les remarque. Ils sortent.
– By, by, bon
retour l'ami au pair! Claironne joyeusement Bettina avec un petit geste amical
de la main en direction d'Andrew qui était resté totalement muet depuis
l'arrivée du mari. Elle ajoute avec un clin d'œil. Et surtout, bonne fessée ! Sans
l'arrivée de... qui vous savez... c'est moi qui aurais eu le plaisir de vous
...
Elle n'a pas le
temps de finir sa phrase que, furieux
de la nouvelle provocation de son insolente épouse, Walter la saisit par le
bras et la fait décoller du tabouret .
– Sans
l'arrivée de qui ? Hein ? Je vais t'en fiche moi des ''by, by Andrew !'' Attends un peu ! je vais te faire voir ! Tu
vas la recevoir ta fessée et je te garantis que tu vas la sentir passer !
Mais Bettina, pas impressionnée du tout,
dégage son bras et remue insolemment son derrière dans une attitude de défi.
Elle lui rétorque dans une ultime provocation.
– Oh
oui chéri...une bonne fessée, bien
claquante sur mon gros derrière déculotté. C’est bien ce que je mérite… des bonnes fessées, slip aux cuisses,
d’abord à la main et avec le martinet après et tout ce que tu veux… corrige moi bien comme j’en ai besoin …
Debout
devant lui, qui a pris sa place sur le tabouret à fessées, elle lui tourne le
dos, retrousse d'elle-même
sa courte jupe et se déculotte en fléchissant les jambes pour bien arrondir son
provocant fessier. Elle le tortille sous son nez, pendant la descente de son
slip jusqu'au milieu des cuisses.
– Les
fesses de Madame sont prêtes pour la fessée ! Dit-elle d'un ton enjoué.
– Et
bien puisque tu en veux, tu vas en avoir ! Répond Walter hors de lui.
Elle a
réussi à le mettre vraiment en colère. Il la saisit par le poignet et l'attire
à lui. Elle se laisse faire avec un sourire insolent. Bien installée sur ses
genoux, les reins cambrés pour faire
ressortir au maximum son plantureux
fessier aux formes parfaites, elle ne semble pas du tout redouter la fessée
....
Walter
a entrepris de la lui claquer de toutes ses forces. Sa large main s’abat
rapidement sur les fesses bondissantes avec des sonorités sèches et éclatantes
qui emplissent tout l'espace sonore du salon. Malgré la taille de sa main, elle
n'est quand même pas suffisante pour couvrir entièrement toute la surface du
derrière. Il faut au moins trois ou quatre claques pour bien couvrir une seule
fesse ! Mais les claques de Walter sont si vigoureuses et si rapprochées l’une
de l’autre, qu’à peine cette fessée commencée , il est évident que le derrière
de Bettina va devenir, rapidement, au moins aussi cuisant que celui d' Andrew,
tout à l'heure quand elle le corrigeait.
Mais contrairement à lui qui pleurait comme un gamin, elle se contente
d’un gémissement rauque à chaque claque reçue et de commenter.
– Oh là là ! la fessée… oohhr ! oohhrr! Ça claque fort !!! oohhrr ! oh oui
,chéri ! Tu les claques bien mes grosses fesses déculottées ! ohm oui ! fort ! fort ! je le mérite
! oohhhhrrr la fessée ! oh , là là là ! çà cuit !
La main
de Walter s'abat sans relâche.
– Ah tu
te fiches des fessées ! Ah tu te fiches de moi, tu ne veux jamais obéir ! J'en
ai par-dessus la tête de tes petites combines avec tes
copines ! Tu mérites les volées sur
tes grosses fesses… je
vais te les mater moi !
La voix
de Bettina, saccadée par le rythme des claques qui lui soulève le derrière à
chaque aller et retour, résonne au niveau du
sol carrelé de la pièce.
– Ouiiiii
! Nooooon, chéri, m’en fiche pas… oh oui la fessée ! Non m’en fiche
pas ! Roaiiiiie, la fessée déculottée .ouiiii ...Bien claquée sur mes
grosses fesses ...toutes rouges “
Brusquement
Walter décide de repositionner ses fesses pour taper encore plus fort. Il la
forcer à les remonter et en augmenter l'arrondi en la faisant basculer
plus bas, la tête en avant au ras du
sol. C'est alors une averse de claques
qu'il abat de toutes ses forces sur le derrière écarlate qu'elle
tortille en l'air, frénétiquement .
La
cuisson commence à devenir difficilement supportable. Bettina ne commente plus
rien …ses
gémissements deviennent des sanglots de plus en plus sonores …et enfin ça y est. Renonçant à toute provocation,
elle pleure à chaudes larmes sans discontinuer,
et promet tout dans le désordre.
– Rahhhh
, oui, je suis bien punie, ça claque dur ! Ouille ouille ouille ça cuit
...la fessée méritée, sur mes grosses fesses déculottées. Oh oui chéri, tu
fesses bien, tu fesses fort ! , je ne recommencerai pas ! Tu vas me
fesser toute la soirée, sans pitié ! Mais, juré, je serai respectueuse et
bien docile !
– C'est
ça oui, je vais te croire ! Dès que tu as le cul en feu, c'est la même
ritournelle !
D'une
dernière salve bien appuyée il cesse enfin de lui claquer le derrière, la
relève et lui, ordonne de se reculotter. Elle le fait avec difficulté en
grimaçant ...
n’osant pas le demander, mais elle
aurait sans doute préféré rester les fesses à l'air. C'est inutile, il la redéculotte aussitôt, et d’une claque bien sonore
en travers des fesses, qui la fit sursauter,
lui ordonne d’aller au coin . Elle se hâte d’obéir, le slip tendu en
travers de ses cuisses , traversant la pièce en frictionnant avec précaution
ses grosses fesses en feu. Nez au mur, les reins cambrés sur ses talons
aiguille, elle tend au maximum son imposant fessier cramoisi, bien exhibé comme
elle savait devoir le faire, pour témoigner de la cuisante fessée reçue et en
ressentir la honte.
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerUn vrai match de tennis ! On joue en binôme, en trinôme, on change de camp ! Coup droit... revers... set et match.
"Ici Peter Panpan, en direct du cours Arnold Rogras pour cette demi-finale du Grand Master qui oppose Walt Maindefer- 1 m 70 - 65 kgs - Droitier et à ma droite Bettina Belleclaque - 1 m 74 - 60 kgs - droitière. Les adversaires s'observent, se jaugent, discutent avec leur entraineur et font des grands gestes. Chacun espère décrocher la Raquettàfécé d'or, tant convoitée depuis plusieurs années et... ah voilà qu'ils rejoignent leurs cours respectifs... Voilà un match qui restera inscrit dans les annales...".
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et du jeu de cartes debout, bonjour !
RépondreSupprimerDans cet épisode, Aristide ne jouait pas du piano debout mais je pense qu'il aurait préféré au lieu d'avoir droit à la fessée, un manche de martinet planté dans les fesses. Le choux fleur a du lui cuire durant un petit moment ! Et en écoutant, c'est Andrew qui est dans tous ses états en s'imaginant à la place de ce pauvre homme.
On en apprend de belles sur le couple Walter-Bettina. Ils sont l'un et l'autre tantôt fesseur, tantôt fessé. Un peu à la "chéri, fesse-moi, si tu peux" !
J'adore le fait qu'Andrew va faire une promenade, les fesses à l'air, histoire de lui apprendre les bonnes manières françaises.
Bettina a un sacré tempérament. Désireuse de se faire rougir les fesses pour un maximum de sensations, peut-être un préliminaire à autre chose ?
Comme dit Peter, un vrai match de tennis avec les fesses en guise de balle.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena, Peter Pan Pan, et...tout les lecteurs qu'on ne connaît pas, mais qu'on aimerait bien .
RépondreSupprimerAh Peter ! On se lâche de plus en plus et de mieux en mieux! la "Raquettàféçé!!" et "Armold Rogras" !! Il y aurait du "Rolande Lagrosse" la dedans que ça ne m'étonnerait pas! La fessée tennistique, comme sport favori. N'a plus qu'à utiliser le manche de la raquette comme celui du martinet ! Oups... Bonjour les coups droits le long de la raie !! Sur le court match Walter/Bettina, en deux set fessées gagnants . La fessée inspire et stimule l'imagination. Quand l'esprit vient aux fesses c'est qu'on a la tête dans le cul! Hi hi j'ai pas résisté !
Ah, Elena, et le goût du choux fleur, qui multiplie les pirouettes d'écritures . Ben oui Walter/ Bettina c'est le marché commun de la fessée, sauf que madame exporte plus que monsieur... et l'allusion au préliminaire à autre chose, ne manque pas de fondement! Fine mouche notre rebelle préférée.
Quant à Andrew, vous avez aimé la ballade anglaise, les fesses à l'air, vous allez adorer la suite pleine de rebondissements fessiers, bien sûr, et pas forcément de celui qu'on croit...
Ah ma pôv Dame, la vie est pleine d'imprévus et ne fait pas de cadeaux comme disait le Père Noël, après son accident de traineau!
Amicalement
Ramina