Le Lundi matin qui suit notre chevauchée fantastique et la très sévère fouettée qui s’en est suivie, nous retournons aux services techniques de notre Mairie, puisque notre premier stage n’est pas encore terminé.
En arrivant, Loïc L., notre tuteur de stage, voit bien que notre
entente n’est pas au top :
« Alors, les filles ! Ça va pas, ce matin ? Vous avez l’air toutes chagrinées et vous avez une drôle de démarche, que se passe-t-il ? »
« Oh, Samedi, nous
sommes allées nous promener à cheval dans la campagne et Iourievna n’a pas
trouvé mieux que de faire emballer son cheval et de nous faire tomber et du
coup, nous avons mal partout ! »
ment Olga, pour ne pas avouer que nous nous sommes fait corriger.
« Ah, je vois, faire
une chute de cheval fait toujours souffrir, surtout si le cheval est
grand ! »
« Ouais, c’était des
juments, mais de grands gabarits et lorsque ça nous est arrivé, nous étions
presque au galop, ce qui a amplifié les chocs lorsque nous sommes
tombées »
« Je vous plains, les
filles. Je suppose que vous allez passer la journée au bureau ? »
« Oui, le fait de
marcher réveille les courbatures que nous avons »
« Je comprends mieux la
soupe à la grimace que vous faite à Iourievna... C’est de sa faute ce qui
est arrivé ! »
« Elle a pas intérêt à
trop la ramener durant quelques temps, sinon elle va se faire secouer » dis-je, en colère, pour lui rappeler les reproches. A cause
d’elle, nous avons passé le weekend, couchées, avec des brulures sur tout le
corps et deux nuits presque blanches dues à la douleur lancinante.
A ma réflexion, Iourievna, qui n’en mène pas large, baisse la
tête et rougit, le nez sur son ordinateur. Elle sait qu’elle a fauté et que sa
sœur et son amie ont payé pour sa grosse bêtise.
Pour travailler, nous allons devoir rester assises durant tout
le temps et nos fesses et l’arrière de nos cuisses vont nous faire un mal de
chien !
Pour ma part, je n’ai même pas mis de culotte, tant le contact
avec le tissu serré me chauffe l’entrecuisse et les fesses. Avec ma robe
longue, le fait que je sois les fesses nues ne se verra pas. Je serais plus à
l’aise comme ça. Mes amies ont aussi des vêtements amples, ce qui en dit long
sur ce qu’elles ressentent et sans leur poser la question, je me doute que leur
sous-vêtements sont restés à la maison...
Soudain, Nathaniel T., toujours les fesses et la saucisse à
l’air, entre dans le bureau pour récupérer des formulaires qu’Amélie B. lui a
demandé.
« Bonjour
Mesdemoiselles ! Avez-vous passé un bon weekend ? » nous lance-t-il.
« Bonjour
Nathaniel » nous contentons nous de
répondre, sans vraiment prêter attention à lui.
« Ben alors, ça va
pas ? » s’étonne-t-il
« Bon, Nathaniel, c’est
vraiment pas le jour. Fiche-nous la paix ! Prend ton document et va-t’en !
» lui répond Iourievna qui a besoin de passer
ses nerfs sur quelqu’un.
« Ouh la la ! Elles
ont leurs règles, les trois stagiaires ? » se contente de dire Nathaniel T. en regardant Loïc L. qui ne
répond pas à son interrogation, puis Nathaniel quitte la pièce.
« Vous êtes pas sympa
avec lui ! il voulait juste vous demander si ça allait ! Je vous
ai déjà connu plus aimables » dit Loïc
L.
« Eh ben, on n’est pas
d’humeur... ! » dit sèchement Olga.
Loïc L. ne relève pas ce que dit Olga, voyant que l’atmosphère
est déjà très électrique.
Dans le bureau d’à côté, nous entendons Timothée C. de V., le premier
adjoint au Maire, qui demande des comptes à Jean-Bernard V., sur des
platebandes de fleurs représentant le blason de la ville et en fait, l’harmonie
des couleurs n’est pas respectée, on ne reconnait pas du tout l’emblème de la
ville.
« Mais qu’est-ce qu’ils
fabriquent, vos jardiniers ? »
s’emporte Timothée C. de V., hors de lui.
« En effet, le blason
de la ville n’est pas du tout respecté dans les tons et même la forme n’est pas
symétrique. Je vais arranger ça, avec la responsable du motif ! Amélie,
amenez-moi Gwénola S., j’ai deux mots à lui dire ! Et qu’elle
rapplique au plus vite ! » s’emporte
Jean-Bernard V., le directeur des services techniques.
Dix minutes plus tard, Gwénola S. se présente chez le directeur.
« Bonjour Monsieur,
vous m’avez fait appeler ? » demande
poliment Gwénola S., sans se douter de ce qui l’attend.
« Regardez ces photos,
il n’y a rien qui vous choque, Mademoiselle ? »
« Euh, si, c’est
l’entrée de la ville, mais le blason, c’est n’importe quoi ! »
« Exactement, c’est du
n’importe quoi ! Vous vous fichez de moi, avec votre composition florale
! »
« C’est mon apprenti
qui a géré la plantation et je n’ai pas revérifié derrière lui, mais par
rapport à ce qu’il m’avait dit, il n’avait pas eu de problème
particulier... » tente de se disculper Gwénola
S.
« Le résultat, c’est
que je viens de me prendre une soufflante de la part du premier adjoint !
C’est inadmissible que vous ne recontrôliez pas le travail de vos
subordonnés ! »
« Oui mais même,
l’erreur ne peut se voir qu’au moment de la pousse, à la semence, les graines
sont toutes pareilles et les erreurs ne peuvent pas être décelées ! » renchérit Gwénola S., bien décidée à ne pas endosser la
responsabilité et sauver ce qui peut encore l’être.
« J’en ai rien à faire,
le résultat est que le parterre de fleurs est à refaire entièrement !
» hurle le directeur.
« Ne vous inquiétez
pas, je m’en charge personnellement »
promet Gwénola S.
« Mais avant, jeune
femme, vous et votre apprenti allez recevoir une correction que vous allez
retenir, c’est moi qui vous le dis ! »
« Mais ! Monsieur
le directeur, vous ne pouvez pas faire ça, l’erreur est humaine et il y a
tellement de chose à faire que mon employé a fait selon le temps qu’il lui
était imparti... »
« Je vais me
gêner ! Amélie ! Sortez-moi les lanières, elles vont servir. Et vous
Gwénola, amenez votre satané employé, car il va s’en prendre une
aussi ! Vous serez fouettés tous les deux, entièrement nus, dans la
cour devant les autres employés »
« Je suis une femme et
je ne peux pas être mise toute nue devant tout le monde ! Déjà que les
fois passées, tout le monde a vu mes fesses et mon sexe... » se plaint Gwénola.
« Et ben là, tout le
monde verra vos nichons, en plus ! La prochaine fois, vous contrôlerai
mieux ! »
Assez en colère contre elle de n’avoir pas su contrôler le
travail de Luis M., son jeune apprenti de vingt-deux ans, elle va le chercher
dans la salle de pause.
« Eh ! Gamin,
viens ici, j’ai deux mots à t’dire ! »
« Oui ! Qui a-t-il,
cheffe ? » s’inquiète Luis M., voyant
sa responsable en colère.
« T’as vachement merdé
sur la plantation du blason de la ville, sur la place de la
république ! Elle est toute moche. De plus, les couleurs sont pas
respectées, qu’est t’as foutu, p’tit trou du’c »
« Ah bon, j’ai pas
vu ! » s’étonne Luis M.
« On va s’faire
fouetter, par ta faute ! Et à poil, dehors, devant tout le monde »
« Se faire fouetter ? vous
blaguez, cheffe ! »
« Tu vas me le payer,
ça, crois-moi. En attendant, met toi à poil, ils nous attendent
dehors ! »
« Je peux pas me
déshabiller, ça se fait pas, ça ! »
« Ah ouais !
T’étais bien content de m’voir vu me faire fesser !
Hein ? Maintenant, c’est ton tour, p’tit con ! Allez, à
poil ! »
Gwénola S. et Luis M. se déshabillent dans le vestiaire. Luis M.
est déjà tout rouge de honte, mais il sait qu’il n’a pas le choix, car en cas
de refus, ce sera la porte et le chômage à suivre, avec peu de perspective de
retrouver un travail comme celui qu’il a. Quant à Gwénola S., qui n’en est pas
à sa première correction, elle se retrouve nue la première, mais n’est pas plus
à l’aise pour autant.
Lorsque Luis M. est nu, Gwénola S. lui dit :
« Prend la tondeuse et
rase tout ça, car si tu ne le fais pas ici, ce seront les fesseuses qui le
feront, dehors et devant tout monde »
« Mais, je vais
ressembler à un petit garçon ! »
« Justement, c’est ce
qu’elles veulent, idiot ! »
Contraint et forcé, sous la supervision de sa cheffe, Luis M.
prend la tondeuse et se rase entièrement les poils, acte qui le fait rougir
davantage, car il s’imagine déjà comme ça, devant tous ses collègues, dont
certaines sont des femmes et ça va le ridiculiser pour un bon moment.
« Alors, vous êtes
prêts ? Dépêchez-vous ! Quand vous sortirez, mettez les mains
sur la tête et si j’en vois un qui se cache, c’est dix coup de martinet
supplémentaire, vous êtes prévenus. Et vous, Luis, retroussez votre peau, vous
défilerez le gland à l’air, ça vous apprendra » ordonne Amélie B., qui sort du vestiaire pour reprendre sa
place avec les autres spectateurs.
Iourievna, Olga et moi, sommes aux premières loges pour assister
à la correction. Avec notre corps qui nous fait encore souffrir de notre
récente fouettée du weekend, nous plaignons presque les deux punis qui vont
être corrigés devant nous. Mais malgré tout, une certaine excitation nous
envahie toutes les trois, heureuses de voir les deux employés se faire cingler,
et surtout que ça ne soit pas nous.
Devant obéir aux ordres d’Amélie B., les deux punis sortent du
bâtiment, les mains sur la tête, ce qui exhibe largement leur nudité. Devant los
moqueries et les rires des spectateurs, Gwénola S. et Luis M. sont en pleurs.
L’humiliation fait que luis M. se trouve en érection et nous voyons les tétons
de Gwénola S. se dresser, ce qui rend les deux punis encore plus ridicules. Par
contre, aucun des deux punis ne baissent les mains pour cacher son intimité.
Nous les trouvons assez courageux, car les spectateurs ne sont pas avares de
quolibets avec eux.
« Regarde sa longue
saucisse ! Ça ressemble à un long champignon ! » Raille Olga.
« Ah ouais, t’as
raison, c’est encore plus ridicule comme ça. Sa copine doit être explosée de
rire à chaque fois qu’elle le voit à poil. Et pis, la Gwénola, avec ses longues
tétines, elle n’est pas mieux, non plus ! » dis-je.
« Elle manquera pas de
lait, celle-là ! » Rajoute
Iourievna
« T’as vu les tiens,
Ioura ? Toi non plus, tu manqueras pas de lait et pis quand t’es corrigée,
tes tétines sont pas moins dressées qu’les siennes ! » dis-je sur un ton de reproche, car la colère de sa dernière
bêtise, qui nous a impactée, Olga et moi, n’est pas encore retombée. On finira
par lui pardonner, mais pour le moment, ce n’est pas encore le cas. Quand on
peut la rabaisser, nous ne nous en privons pas.
« Je suppose que tout le monde sait
pourquoi vos deux collègues sont là aujourd’hui ! Il y a eu une faute qui
ne pourra être corrigée qu’après une replantation totale du parterre à l’entrée
de la ville. En attendant, Monsieur le maire, ici présent réclame une punition
exemplaire, car le blason de la ville ne sera pas disponible pour la fête
du printemps » annonce Amélie B. qui laisse de
longues minutes Gwénola S. et Luis M. face à nous, totalement exhibés et rouge
de honte.
Totalement épilé, Luis M., seulement vingt-deux ans, a vraiment
l’air d’un petit garçon...
Comme à son habitude, la femme du maire, Sandrine R., est à la
première place pour bien profiter de cet excitant spectacle. Etant première
Dame de la ville, elle est entourée de courtisanes qui gloussent en regardant
les deux punis, en piteuse situation. Leurs réflexions méprisantes n’ont rien à
envier à celles des ouvriers municipaux.
Même Nathaniel, les fesses encore à l’air car sa période de
pénitence n’est pas finie, se moque de ses deux collègues, qui n’en mènent pas
large. Pour un coup que ce n’est pas lui qui va être corrigé devant tout le
monde, il en profite pleinement.
Gwénola S. et Luis M. sont attachés, de façon à ce qu’ils ne
puissent pas se protéger, les bras au-dessus de la tête et les cuisses écartées.
Leur corps est offert aux longues lanières de cuir des martinets de discipline
de chez DELANIAIRES, martinets réputés pour infliger des souffrances à la
hauteur des fautes commises. Rien que leur vue provoque l’angoisse chez les
punis.
Deux hommes doivent attacher Luis M., tant celui-ci se débat en
suppliant, affolé à l’idée de se faire fouetter, tandis qu’Amélie B. et Agathe
S. sont à l’œuvre pour la correction des deux jardiniers municipaux.
Les deux fesseuses s’en donnent à cœur joie pour corriger les
fesses et les cuisses deux employés. Comme à son habitude et avec grand
courage, Gwénola S. reçoit les fouettées sans broncher, on la voit serrer les
poings et les dents tout de même, tandis que Luis M. hurle comme un damné en se
secouant dans tous les sens, ce qui provoque des moqueries de la part des
spectateurs qui lui reprochent son manque évident de courage. Ses contorsions
lui font ballotter son long pénis, à notre plus grande joie.
« S’il continue à se
tortiller comme ça, il va s’en prendre une sur la queue ! » dis-je à Olga, car on voit les lanières s’enrouler autour des
hanches des deux punis et l’extrémité venir cingler le bas ventre.
La première à pousser un long gémissement aigue est Gwénola S.,
car elle vient de se prendre quelques cinglées appuyées sur le pubis et avec
ses cuisses écartées, aucun moyen de le protéger. C’est bien la première fois
qu’on l’entend émettre un son lors d’une fessée... Mais vu la façon dont elle trésaille
et transpire, on sait qu’elle en bave.
Le second à pousser un hurlement strident est Luis M., qui vient
de s’en prendre une sur la verge. On le voit secouer son sexe pour tenter
d’apaiser la douleur, ce qui n’empêche pas les fesseuses de continuer et à
force de se contracter ses fesses et son bas ventre, il finit pas éjaculer à
deux reprises.
« Waouh ! regarde Olia, quels jets il a fait,
celui-là ! » Dis-je à mon amie.
« Ce sera un bon étalon !
... Il devait avoir les testicules bien remplis pour gicler comme
ça ! » me répond Olga.
Lorsque l’un et l’autre ont reçu quarante coups de martinet, Amélie
B. et Agathe S. les laissent récupérer quelques minutes, avant la seconde
partie qui sera donnée sur les dos des punis.
« Alors, jeune
gens ! Qu’en dites-vous de cette première partie ? » ironise Amélie B.
Le bas du corps en feu, Gwénola S. et Luis M. ne répondent rien,
ils reprennent leur souffle. Luis M. est en pleurs, tout tremblant.
« Amélie, ne nous
faites plus languir, continuez... Vous voyez bien que tout le monde
souhaite voir ces manants se faire punir comme ils le méritent » réclame Sandrine R., la femme du Maire.
Amélie B. vient examiner le pénis de Luis M., qui porte quelques
traces rouge sombre, ce qui prouve que les cinglées reçues ont été
douloureuses. Elle en profite pour bien lui palper et se régale en le faisant.
« Avec ça, tu pourras
plus honorer qui que ce soit durant quelques temps... » Raille Amélie B.
Reprenant sa place, Amélie B. et Agathe S. décochent chacune une
cinglée sur le dos de Gwénola S. qui se raidie, surprise par l’intense douleur.
Elle se maitrise avec peine et réussit à ne pas hurler. Quant à Luis, il pousse
un hurlement déchirant dès la première fouettée reçue. De belles traces se
forment sur le dos des punis.
« Par contre, on peut
pas dire qu’il soit super courageux, le Luis. Ecoute le brailler, le gars ! » Me fait remarquer Olga
« S’il braille à la
première cinglée, qu’est-ce que ça va être à la quarantième ? »
Nous voyons les punis se contorsionner à chaque fouettée et
réagir assez fortement lorsque les lanières les cinglent.
Voyant que Gwénola S. encaisse bien les fouettées, Amélie B.
décide d’enrouler ses lanières autour du buste de la jeune femme, pour aller
lui cingler les seins et voir sa réaction, car l’absence de cris la vexe, car
elle a l’impression que Gwénola S. la nargue.
En effet, lorsque Gwénola S. reçoit la première cinglée du bout
des lanières sur la poitrine, Gwénola S. s’abandonne et lâche un hurlement de
douleur.
« Eh bien, voilà, elle
la quand même fait hurler, cette greluche ! » Dit une amie de Sandrine R.
Voyant le résultat encourageant, Amélie B. et Agathe S.
enchainent les cinglées au niveau de ses seins et Gwénola S., qui ne cherche
plus à résister, se met à hurler autant que Luis M., ravissant tous les
spectateurs que l’on entend acclamer les fesseuses.
Lorsque les deux femmes cessent les cinglées, elles laissent les
deux punis, en larmes et en sueur, pleurnichant de douleur.
« J’espère que vous
aurez retenu la leçon, jeunes gens ! » Demande Amélie B. aux deux punis qui ne répondent rien, se
contentant de pleurer.
L’assistance est heureuse d’avoir entendu Gwénola S. hurler, car
ses deux fessées précédentes avaient été reçues sans un seul cri. Maintenant, Amélie
B., la responsable de Gwénola S. sait comment s’y prendre pour la faire
brailler et contenter les spectateurs.
« Elle nous avait
habitué à mieux, cette garce de Gwénola, mais je suis ravie d’avoir entendu sa
voix mélodieuse... » Ironise Sandrine R.
Les deux punis sont détachés et menés à la douche, car ils sont
couverts de marques et trempés de sueur. Marchant les cuisses écartées, les
deux punis disparaissent dans les vestiaires.
Le directeur des services techniques demande à Amélie B. de
remettre les deux jardiniers au travail le plus rapidement possible et de
réparer les erreurs qu’ils ont fait et cette fois, sans fausse note, sinon, la
punition sera pire, car en plus de la correction, il y aura une période de
nudité complète.
Après la correction publique, Iourievna, Olga et moi rentrons
dans notre bureau, l’entrecuisse mouillé de l’excitation procurée en regardant
les deux ouvriers se faire corriger et même Loïc L., notre tuteur de stage est
dans un état d’exaltation.
En passant, nous voyons que Nathaniel T. a clairement une
puissante érection d’avoir vu Gwénola S. se faire corriger. Sans pantalon, son
excitation ne passe vraiment pas inaperçue !
Dans l’après-midi, Gwénola S. et Luis M., toujours nus, sont
convoqués chez le directeur pour définir les modalités de réparation des
préjudices subies par la ville.
Durant quinze jours, dès que leur journée en ville sera
terminée, les deux ouvriers devront se présenter au bureau du directeur, nus et
les mains sur la tête et faire un compte-rendu complet de leurs activités.
Cette étape d’humiliation a pour but de les faire réfléchir avant de fauter. Le
directeur ayant été mis en demeure de reprendre son personnel en main.
Une série écrite par Elena
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Amis de la poésie et de la fessée municipale... bonjour,
RépondreSupprimerBonjour Eléna.
Bon, on ne sait pas si cette charmante petite ville figure sur les guides touristiques des sites à visiter, en tous cas, les amateurs de numéros de claquettes sur les fesses devait y faire un petit séjour. La municipalité, très dynamique, propose un programme d'animation pas piqué des hannetons, avec des représentations pas loin de concurrencer le festival d'Avignon. Il n'y a pas de pont, mais on y danse des fesses dans la cour de la mairie.
Spectacle de nu artistique intégral avec la participation des employés municipaux sans culotte, fessés en public devant les conseillés du même nom, madame la première Dame, bille en tête... de noeud! Décors Roger Hard Spanking , costumes, il n'y en a pas, les acteurs se font étriller à poil à coup de martinet. Concert de cris et lamentations, sponsorisé par la maison DELANIAIRES des martinets qui ne s'usent, même quand on s'en sert.
Une petite ville qui honore son blason florale en faisant flanquer des dérouillées aux responsables du non respect des couleurs! Résultat des festivités , deux salariés hauts en couleur, rouge, tout partout même sur les parties géniales. Concours éjaculatoire réservé aux participants mâles. Les dames se débrouillent toutes seules sous la jupe en regardant les saucisses, chauffer au larde-cul à coup de lanières. Que des numéros exceptionnels !
Mais où va t elle trouver des petites villes aussi pittoresques...Eléna... dans le guide Michelin du châtiment dernier, pardi!
Amicalement
Ramina
Amis de la poésie ... Bonjour,
SupprimerIl est clair que dans ce canton, il ne fait pas bon fauter car on se fait fouetter. Nos rebelles qui n'ont pas la vie belle, même s'ils n'habitent pas AVIGNON se font astiquer le trognon !
Même en dehors de Ste CROIX, les corrections sont distribuées de fort belles manières à coups de lanières.
Pour désengorger les prisons et autres tribunaux, la discipline corporelle doit être solennelle pour être dissuasive mais surtout pas évasive et agressive pour éviter la récidive.
Mes idées puisées dans le Michelin, pourquoi pas ou dans le GAULT et MILLAU, pour plus de brio !
Amitiés.
Elena.