Louison sursautait à chaque fois que retentissait la petite sonnerie qui indiquait qu’un client venait de franchir le pas de la porte de la boulangerie. Sans s’en rendre compte, elle tétanisait tous ces muscles, mais elle ne bougeait pas de la position que sa patronne lui avait ordonné de tenir.
Elle ne pouvait pas percevoir toutes les réactions des personnes qui la découvrait, debout au coin, la culotte baissée et le jupe relevée. Il devait y avoir des réactions de surprise, voire même de recul et la boulangère dut rassurer quelques personnes.
« N’ayez crainte,
entrez ! Ce n’est pas parce que cette petite péronnelle insolente a eu la
fessée et qu’elle est au coin que cela doit vous empêcher d’acheter votre
pain. »
Beaucoup des clients demandaient
des explications qu’ils obtenaient facilement. La boulangère était assez
diserte sur les méthodes qu’elle employait pour maintenir la discipline. Elle
expliquait volontiers que si Louison était au coin après avoir reçu une fessée,
ce n’était ni la première fois, ni la dernière.
« Oui, dans la boutique,
c’est la première fois, mais elle n’avait encore jamais été aussi directement
insolente avec une cliente. J’ai décidé d’être sévère. Dorénavant, toutes les
bêtises commises dans la boutique finiront dans ce coin, après une bonne fessée
donnée devant tout le monde, cela va de soi. Ça lui mettra du plomb dans la
tête ! »
Cela annonçait des heures
sombres. Louison savait que la boulangère tiendrait ses promesses. Elle
connaitrait bientôt par cœur cet endroit où les deux murs se rejoignaient et
qu’elle avait à quelques centimètres des yeux.
« Ah, je vois que nous avons
là une jeune fille qui n’a pas été sage, dit une voix dans son
dos ! »
Cette personne venait d’entrer et
elle fut accueillie chaleureusement par la boulangère.
« Madame Caroni ! Comme
vous le voyez, j’ai suivi vos conseils. Je dois avouer que je ne m’attendais
pas à autant d’efficacité. Je ne vous remercierai jamais assez. »
Louison sentit la cliente
s’approcher d’elle, puis une main se poser sur ses fesses et les épousseter,
comme pour en enlever la poussière. Louison ne bougea pas. La cliente finit son
geste par une petite tape sur les fesses.
« Cette jeune fille semble
avoir compris ce que signifiait d’être punie. Elle est bien obéissante. Votre
autorité semble bien établie. »
Une nouvelle fois la boulangère
raconta ce qui avait conduit Louison au coin. Les trois personnes approuvèrent
clairement sa décision et l’encouragèrent à continuer. Toutes les personnes qui
s’exprimèrent, quasi uniquement des femmes convinrent que la fessée et la mise
au coin dans la boutique étaient une punition tout à fait adaptée pour
sanctionner le comportement de Louison. Il y devait y en avoir certains qui
gardaient le silence, mais Louison ne savait pas qu’ils étaient présents, sauf
quand ils se faisaient interpeller.
« Je n’avais pas pensé à
utiliser cette méthode, mais elle est drôlement efficace. Je crois que je vais
m’y mettre, n’est-ce pas Aurélien ? »
Le Aurélien, ainsi questionné, se
garda bien de donner son opinion. Dire oui, c’était se placer lui-même
prochainement dans une situation de jeune homme fessé, dire non, c’était s’exposer
à une démonstration sur le champ.
La petite musique de la porte
d’entrée résonna une nouvelle fois. La conversation sur la fessée et ses avantages
se poursuivit. Dans un premier temps, Louison n’entendit pas la personne qui
venait d’entrer participer à la conversation. Il n’y avait que des voix qu’elle
avait déjà entendues. Elle finit par profiter d’un moment de silence pour
prendre la parole.
« N’y a-t-il que les jeunes
filles qui peuvent recevoir la fessée ?
– Que voulez-vous dire ?
– Qu’en est-il des jeunes
garçons ? »
C’est la femme qui avait
interpellé Aurélien qui répondit.
« Bien sûr que non. Il n’y a
pas de raison que les garçons ne profitent pas des bienfaits de la fessée eux
également.
– Eh bien, justement, c’est à ce
sujet que je suis venue. »
C’était une grand-mère, assez
menue et plutôt petite. Elle semblait résolue et ce qu’elle avait entendu
l’avait confortée dans son projet.
« Que penseriez-vous d’un
jeune homme qui, hier soir, m’a bousculé pour monter dans le bus avant
moi ? Heureusement que je suis encore assez solide sur mes jambes.
– De nos, jours, les jeunes gens
ne respectent plus les personnes plus âgées qu’eux.
– Non seulement, poursuivit la
grand-mère, il a forcé le passage devant moi, mais en plus, quand je lui en ai
fait la remarque, il s’est montré très désagréable et plutôt extrêmement
impoli. Il a prétendu, qu’à mon âge, on ne devait plus sortir de chez soi. Je
vous le dis en termes correct, son langage était plus fleuri.
– C’est une honte ! »
Toutes les personnes présentes
s’accordèrent pour réprouver un tel comportement.
« Il y a des fessées qui se
perdent, dit l’une.
– Si c’était le mien, je sais
bien ce qui lui arriverait, dit une autre. »
La boulangère se taisait. Elle
attendait la suite.
« Dommage que nous ne
l’ayons pas sous la main, dit une troisième. Nous lui apprendrions la
politesse !
– Oh, mais je sais où le trouver,
reprit la vieille dame. Je l’ai reconnu. D’ailleurs, une fois dans le bus, j’ai
été le voir pour lui dire que je savais où il travaillait et que je n’en
resterai pas là. J’ai tout de suite vu que je marquais un point. Il a été beaucoup
moins arrogant, il a filé à l’autre bout du bus et il est descendu à l’arrêt
suivant.
– Vous savez donc où le trouver,
demanda la boulangère ?
– Mais bien sûr, c’est
ici ! »
La boulangère avait compris
depuis une petite minute pourquoi cette dame, une cliente qui fréquentait
régulièrement la boutique, était venue raconter son histoire dans sa
boulangerie.
« Je l’ai vu plusieurs fois
quand je viens chercher mon pain. Je l’ai reconnu tout de suite quand je l’ai
vu à l’arrêt de bus. C’est votre ouvrier ! »
La boulangère disparut dans
l’arrière-boutique. Quand elle revint, elle tenait François par l’oreille. Il
était sur le point de partir quand sa patronne l’avait rattrapé. Il la suivait
docilement. Il se contentait de supplier doucement.
« Aïe, mon oreille, aïe.
Vous me faites mal, aïe ! »
La boulangère l’amena devant la
dame qui était venue se plaindre de son comportement.
« Connais-tu cette
dame ? »
François avait gardé en mémoire
le visage de la dame qui lui avait promis des conséquences suite à leur
altercation dans le bus. Il avait craint de la voir arriver à la boulangerie.
C’était chose faite. Que fallait-il faire ? Nier l’évidence, reconnaître
ses torts ?
Il n’eut pas beaucoup de temps
pour hésiter. Une claque sur le fond du pantalon lui rappela que sa patronne
attendait une réponse. Le pantalon avait amorti la vigueur de la fessée, mais
il l’avait reçue en public devant au moins six personnes qu’il ne connaissait
pas. C’était vexant, d’autant plus qu’il ne pouvait pas protester. Chacun comprenait
que donner la fessée faisait partie des prérogatives de la boulangère. Les
fesses nues de Louison au coin étaient là pour le confirmer.
« J’attends que tu me dises
la vérité. Tu sais que je n’aime pas les mensonges. »
Il n’y avait plus le choix.
« Si Madame, je l’ai
rencontrée, mais je ne connais pas son nom.
– Et quand l’as-tu vu pour la
dernière fois ?
– Hier soir, sans doute.
– Et où ça ?
– A l’arrêt de bus. Je crois.
– Cette dame dit que tu l’as
bousculée et que tu as été très impoli. Est-ce exact ? »
François hésita. Avouer c’était
se condamner lui-même et il en connaissait les conséquences, mentir, ce serait
pire. Dans les deux cas, il était bon pour une fessée. Une nouvelle claque sur
les fesses le ramena à l’urgence d’une réponse.
« Peut-être un peu. Je n’ai
pas fait ex… »
Le regard noir que lui jeta sa
patronne lui interdit de finir sa phrase. C’était un mensonge qu’il s’apprêtait
à dire.
« Je ne le ferai plus, je le
promets.
– J’espère bien que tu ne
recommenceras plus. Une bonne fessée va d’ailleurs t’aider à t’en
convaincre. »
François en était arrivé là où il
redoutait d’être amené. Il y avait maintenant six nouvelles personnes qui
savaient que sa patronne lui donnait la fessée. Aucune d’entre elles n’avaient
perdu une miette de la conversation. François se dandinait d’un pied sur
l’autre. Tout le monde avait remarqué qu’il n’avait ni protesté ni considéré
cette annonce comme négligeable. Cela donnait de la consistance à la promesse
d’une fessée.
La boulangère se tourna vers la
plaignante.
« C’est vous qui avez été
molestée et insultée par ce jeune homme. Je trouverai normal, si vous en êtes
d’accord, que ce soit vous qui le punissiez. La leçon n’en sera que plus
profitable. Qu’en pensez-vous ? »
François eut l’impression que les
battements de son cœur s’arrêtaient.
« C’est bien volontiers que
je corrigerai ce jeune homme. Je suis d’accord avec vous. S’il sait qu’il peut
être puni par la prochaine personne avec qui il se comportera mal, il sera plus
prudent. C’est une très bonne idée.
– Quand j’évoquais une punition,
je voulais parler d’une bonne fessée, culotte baissée.
– Cela me paraît tout à fait
adapté. Si tous les jeunes gens irrespectueux de leurs aînés en recevaient une
à chaque insolence, nous n’en serions pas là. »
François aurait volontiers
protesté. Ce qui se préparait était humiliant au possible, mais donner son avis
serait pris comme une tentative pour se soustraire à une correction méritée et
il ne voulait pas en prendre le risque. Les préparatifs continuaient.
« Attendez, je vous amène
une chaise. Ce sera plus facile que d’avoir ce grand jeune homme sous votre
coude. Il est un peu grand pour vous ! »
La cliente s’assit sur la chaise.
« Je vous laisse
faire ?
– Pas de souci. Je pense que je
vais me débrouiller. »
Elle se tourna vers François et
prit un air sévère.
« Viens ici, mon garçon,
pour recevoir ta fessée ! »
François ne bougea pas. Il
regarda la boulangère. Il n’y avait pas d’aide à attendre de ce côté.
« Si je suis obligée de te
le redire, je demanderais à ta patronne de te faire fesser par une cliente, en
pleine boutique, tous les jours pendant une semaine. Est-ce ce que tu
préfères ? »
Les pieds de François avancèrent
sans qu’il en ait pris la décision.
« Vas-tu me faire des
histoires, mon garçon, pendant que je vais te déculotter ? »
François n’arrivait pas à
articuler un mot. Sa bouche était sèche et sa langue collait à son palais. Il
était tout pâle et ses genoux tremblaient. Il réussit, après un effort
considérable, à secouer la tête. Heureusement, la cliente prit cela pour une
réponse.
« Je pense que tu vas
bientôt retrouver ta langue. La fessée va y aider. »
François portait un pantalon de
jogging. Elle examina comment il était tenu. Elle trouva le cordon et en tira
sur le bout, le dénouant. Elle prit à pleine mains le pantalon à hauteur des
cuisses et elle tira vers le bas. Le pantalon de François chiffonné sur les
chevilles, elle le regarda pour juger de son obéissance. François était en
apnée. Il était tout rouge. Elle lui donna une forte claque sur le haut de la
cuisse nue.
« Ne fais donc pas tant
d’histoire. Tu as mérité une bonne fessée, ce n’est pas la mort ! »
Le cri que François poussa fut le
bienvenu. Il avala une goulée d’air en même temps qu’il exprimait sa surprise
de sentir la vigueur de la main de cette personne qu’il avait traitée de sénile
la veille au soir. Ce n’était pas exactement ce mot qu’il avait utilisé, mais
il préférait l’oublier.
François essayait de penser à
autre chose pour se persuader que cette situation n’était pas réelle. Il
regardait au loin, à travers la vitrine, sur le trottoir d’en face. C’était un
cauchemar dont il allait se réveiller. La sensation de sa culotte glissant le
long de ses cuisses la ramena à la réalité. Six paires d’yeux le fixaient,
passant de son visage à son bas-ventre. Des larmes noyèrent ses yeux. Il plaça
ses deux mains devant son sexe.
« François ! Tes mains,
gronda la boulangère ! »
L’habitude d’obéir fut plus forte
que sa honte.
« Si tu ne veux pas te
retrouver les fesses nues devant tout le monde, tu dois te comporter comme une
grande personne. Pour l’instant c’est loin d’être le cas.
– Sur mes genoux, ordonna la
cliente, nous n’y verrons plus que tes fesses ! »
Elle amena François entre ses
deux jambes et indiqua à François de se mettre à genoux. D’une main posée sur
le dos du garçon, elle le coucha sur sa cuisse gauche. Elle passa son bras
autour de sa taille et elle le serra contre son flanc. François se sentait pris
en charge. Il était immobilisé, laissant ses fesses à disposition de la main de
la cliente. Il ne voyait plus rien de ce qui se préparait dans son dos, mais
seulement les pieds du cercle de personnes qui s’était formé autour de la
chaise. Il n’y avait aucune hésitation dans les gestes de la cliente.
« Dites-moi, demanda la
boulangère, vous semblez avoir l’habitude de donner la fessée. Vous savez
comment vous y prendre.
– Cela m’est arrivé plus d’une
fois. J’ai fait toute ma carrière comme enseignante et c’était à l’époque où
donner une fessée à un enfant n’était pas mal vu des parents. Je ne baissais
pas souvent la culotte tant que j’ai enseigné en primaire, mais une bonne
claque sur les fesses remettait les récalcitrants dans le droit chemin. J’ai
fini mon parcours professionnel à St Marie, une institution privée que s’est
fait une spécialité de remettre dans le droit chemin les élèves qui avaient
pris de mauvaises habitudes scolaires. J’avais des classes dans lesquelles il y
avait presque que des jeunes adultes. Ceux-là étaient déculottés et fessés au
moindre écart. J’ai fait ma part du travail. J’ai donc une certaine expérience.
– Cela se voit !
– D’ailleurs, je me demandais si
vous aviez un instrument quelconque qui permettrait de renforcer la sévérité de
la punition. Avec l’âge, j’ai perdu un peu de la force de mon bras.
– Ne bougez pas. J’ai ce qu’il
vous faut ! »
La boulangère revint avec la
palette à fesser. La cliente l’examina en connaisseuse.
« Que voilà un ustensile
fort utile ! Sert-il souvent ? »
François subissait les affres de
l’attente. D’un côté il était bien content que la fessée ne soit pas encore
commencée, cela retardait d’autant le moment où ses fesses feraient la
connaissance de la palette, mais de l’autre, il se sentait exposé, indécent
sous les regards de tous et ce n’était pas la main de la cliente qui tapotait
doucement ses fesses qui lui permettait de trouver une contenance. Mais qu’y
pouvait-il ? La correction viendrait bien assez tôt. Les deux femmes
continuaient leur conversation. Elles ne semblaient pas pressées.
« Je n’ai pas encore eu
l’occasion d’en faire un usage fréquent. Je la réserve pour les situations
exceptionnelles. En général, ma main suffit à leur faire comprendre quelle
erreur ils ont commis.
– Ces deux jeunes gens ont de la
chance de vous avoir. Ils ne s’en rendent pas forcément compte maintenant, mais
ils en conviendront plus tard. Croyez-en mon expérience. C’est souvent
difficile de faire ses premiers pas dans la vie sans un soutien attentif. Je
vois que vous jouez ce rôle avec compétence.
– Je me sens quelques
responsabilités éducatives vis-à-vis d’eux, un peu comme si j’étais une Maman
de substitution. Une Maman sévère et attentionnée.
– Continuez comme ça, vous faites
œuvre très utile. »
Puis, reportant son attention sur
le garçon allongé sur sa cuisse.
« Vérifions si je sais
encore faire comprendre à un garçon de… quel âge as-tu mon garçon ? »
François ne suivait plus la
conversation. Il ne prit pas cette question pour lui. Un coup de la palette en
travers de ses fesses le ramena à la réalité.
« Je t’ai demandé ton âge.
– Aïe ! Vingt-quatre ans,
Madame.
– Et à Vingt-quatre ans, tu as
encore besoin de la fessée pour savoir comment te tenir ? Je t’aurais cru
plus jeune, mais cela ne fait rien. Bah, cela arrive plus souvent que tu ne le
crois. Parfois, il faut persévérer bien au-delà de vingt-cinq ans et donner la
fessée à des garçons ou des filles bien plus âgés que toi..
– J’en ai quelques-uns qui sont
bien plus âgés que ça, assura Madame Caroni.
– Je n’en suis pas étonnée. Voyons
si je sais encore me servir efficacement de ça. »
Il ne fallut pas longtemps à
François et aux spectatrices pour se convaincre que l’ancienne enseignante
n’avait rien perdu de son savoir-faire. La palette à fessée claquait
régulièrement sur les fesses, alternant d’un côté, puis de l’autre. Elle
laissait des marques rectangulaires qui barraient les fesses de haut en bas.
Elles avaient, au début la largeur de l’instrument quand il venait de
s’abattre, puis elles s’élargissaient en pâlissant lentement. Il ne fallut pas
longtemps pour que les parques rouges se rejoignent pour faire une large tâche
rouge. L’insistance de l’ancienne enseignante permit alors d’en renforcer la
couleur.
Les réactions de François étaient
à la hauteur de la cuisson que la palette provoquait sur ses fesses. il se
trémoussait entre les jambes de sa fesseuse, sans réussir à éviter que la
palette trouve sa cible et, qu’une nouvelle fois, la cuisson de ses fesses ne
devienne un peu plus difficile à supporter à chaque fois que la palette
trouvait ses fesses.
La cliente ne se déclara satisfaite
que lorsqu’elle eut entre les jambes un garçon qui donnait tous les signes de
repentance.
« Bien, je pense que tu as
compris. Dois-je l’envoyer au coin, comme cette jeune fille ?
– C’est sa destination naturelle
après une fessée.
– Je vous approuve. Il faut
toujours leur laisser un peu de temps pour réfléchir après une fessée. Ça leur
est profitable. »
La boulangère trouva un autre
coin de libre dans la boutique pour François. Curieusement, une fois en place,
il n’intéressa plus personne. Le commerce reprit ses droits et la boulangère
servit les six clientes qui avaient attendu la fin de la fessée du jeune homme.
Il y a une suite ?
Oui, bien sûr, ça va venir. En attendant, si vous avez loupé l'épisode précédent : chapitre 7. Et pour ceux qui voudraient reprendre au début : le premier chapitre
Amis de la poésie et de la palette à fessée sur les miches, en boulangerie... bonjour.
RépondreSupprimerBonjour JLG.
On est gâtés, trois épisodes successifs ! De quoi se partager une gros gâteau.
Bousculer une prof' en retraite dans le bus, c'est risquer un ticket de transport sur ses genoux pour une fessée de rattrapage en guise de punition. Pas de chance pour François, la déculottée a lieu dans la boulangerie, sur son lieu de travail, et devant les clientes.
Comme d'hab', fessée éducative pour apprendre à respecter les anciens dans les transports en commun, lieux privilégiés d'incivilités. Direct dans le bus ça serait peut être encore plus efficace (?)
Cela n'étonne personne dans la boutique, bien au contraire. La boulangère fière de sa méthode de discipline par la fessée, vante les bienfaits de la cuisson d'un derrière à la palette comme la cuisson du pain au feu de bois! Cela donne des idées à ces Dames et les fesses d'un certain Aurélien pourraient bien reprendre du service à cette occasion.
On y retrouve une madame Caroni en pleine forme, toujours là où il y a de la fessée dans l'air et prête à mettre la main à la pâte... fessière. Louison, le nez à l'endroit où deux murs se rejoignent, ( on aime bien l'expression !) serre ses fesses en exposition...
Au passage, petit retour référentiel à Ste marie, lieu d'exercice de l'ancienne instit' fesseuse. Paraît que tous les chemins mènent à Rome... à la fessée aussi !
Cordialement
Ramina