Plus personne ne s’intéressait à Yann. Il lui semblait qu’il était là depuis… il en savait plus estimer depuis combien de temps il était au coin. Au début, il avait prêté l’oreille à la conversation entre la menuisière et les sœurs Johanson.
Tous les détails de son séjour avaient été réglés en quelques phrases, sans qu’il ait eu son avis à donner : le loyer qu’il aurait à payer, mais également l’heure à laquelle il devrait se rendre à la menuiserie le matin, les questions de propreté et d’hygiène corporelle que les trois femmes s’étaient réparties, les points d’attention qu’elles partageraient comme la politesse, le langage utilisé ou le respect dû aux grandes personnes, mais également tout ce qui concernait le contrôle du travail qu’il devait fournir pour passer ses examens théoriques.
On parlait de lui comme s’il
n’était pas là, tout en sachant qu’il entendait tout ce qui se disait. C’était
étrange comme sensation. Comme si c’était d’autres personnes qui décidaient
pour tout ce qui le concernait. Il rectifia dans sa tête. Ce n’était pas
« comme si ». En fait il s’était rendu compte que, dorénavant, la
plupart des décisions seraient prises soit par sa patronne, soit par les sœurs
Johanson.
Les trois femmes avaient ensuite
embrayé sur leur conception de la discipline d’où il ressortait un principe qui
s’appliquait pour toutes les situations : une bonne fessée déculottée
résolvait toutes les situations délicates. Il avait alors cessé d’écouter.
« Je pense, affirma Madame
Olga, que nous devrions organiser un tuilage avant de vous ne partiez. Une
sorte de passage de relais. Afin que votre apprenti comprenne bien que nous
procédons de la même autorité.
– Euh oui, pourquoi pas. Comment
imaginez-vous procéder.
– Il me semble qu’il serait
pertinent que je lui administre une fessée en votre présence. Je pourrai alors
le remettre au coin et vous pourriez regagner votre domicile en le laissant à
notre charge. Il lui sera alors d’autant plus facile, étant en pénitence, de
reconnaître notre autorité sans avoir recours à la vôtre.
– Cela me paraît une excellente
idée, mais il y a une condition.
– Une condition ? Et
laquelle ?
– Je ne crois pas pertinent de
punir Yann s’il n’y a pas de raison, y compris s’il s’agit d’organiser un
tuilage. Cela ne me semble pas une raison suffisante. La fessée doit rester une
punition.
– Je vois que nous partageons les
mêmes vues sur la fessée. Il ne sera jamais question, dans ma maison, de punir
qui que ce soit sans une raison évidente.
– Vous me rassurez. J’ai eu, un
instant, peur d’avoir placé Yann dans de mauvaises mains. Mais quel sera donc
la raison pour laquelle vous pensez le punir ?
– Ne croyez-vous pas qu’il en
existe suffisamment pour conduite Yann tous les soirs de cette semaine en
travers de mes genoux ?
– Vous avez sans doute raison.
Mais il faut que Yann comprenne pourquoi il est puni.
– Bien entendu ! Si je ne me
trompe pas, vous l’avez puni pour la colère qu’il a faite.
– C’est exact.
– Je pense que la désobéissance à
vos ordres en mérite tout autant. Je ne laisserai jamais passer un tel
comportement de l’un de mes pupilles, qui plus est sous mon toit, sans que ses
fesses en ressentent les conséquences.
– Cela donne une bonne idée du
niveau d’exigence qui sera le vôtre. Je crois que je ne me suis pas trompée en
choisissant votre pension. Vous êtes exactement les personnes qu’il faut à Yann
pour veiller sur lui. Je n’ai plus rien à rajouter. Je vous laisse prendre la
main. »
Madame Olga approuva d’un signe
de tête.
« Yann, viens
ici ! »
Yann regarda par-dessus son
épaule. Il interrogea la menuisière du regard, mais celle-ci resta sans
réaction. Il hésita, incertain sur ce qu’il devait faire.
« Faut-il que j’aille te
chercher ? Je te promets que si tu m’y obliges, tu le regretteras. »
Le ton de la voix de Madame Olga
était devenu sec. Il fit l’effet d’un coup de fouet. Yann fit demi-tour et se
dirigea vers la personne qui l’avait convoqué. Il était à mi-chemin quand il se
rendit compte que son pénis et ses testicules étaient de nouveau exposés à tous
vents. Il plaça ses mains devant son sexe, sans cesser d’avancer. Dès qu’il fut
près de Madame Olga, il reçut une claque sur les fesses.
« Où t’a-t-on dit que
devaient se trouver tes mains ? »
Malgré une deuxième claque, il ne
bougea pas ses mains.
« Je vois que tu as décidé
de désobéir. Nous allons régler cela. »
Madame Olga plaça Yann debout
entre ses jambes et elle emprisonna ses jambes entre ses cuisses. Maintenant
placé de profil, ses fesses étaient bien plus accessibles. Madame Olga les
claqua une première fois et Yann laissa échapper un cri entre ses lèvres. Il
avait été surpris de la force que sa logeuse y avait mis. La fessée continua,
mais il retint les cris qu’il aurait dû laisser aller.
« Je n’arrêterai cette
fessée que quand tes mains seront là où elles devraient être ! »
Les claques devenaient de plus en
plus fortes. Yann arrivait à ravaler ses cris, mais il dut se rendre à
l’évidence : il ne tiendrait pas très longtemps. Mais il ne pouvait pas
non plus exposer son sexe au regard de ces trois personnes étrangères. Il ne
savait plus comment faire.
« Attendez, aïe…attendez
Madame, aïe… je vais enlever, aïe… enlever mes mains, aïe… si vous arrêtez,
aïe… la fessée, aïe… »
Madame Olga n’arrêta pas la
fessée pour lui répondre.
« Ici, mon garçon, ce n’est
pas comme ça que ça marche. Quand tu auras obéi, tu pourras te dire que la fin
de cette fessée approche, mais ce ne sera pas pour tout de suite. »
Ce fut une série de claques que
Madame Olga lui donna au même endroit qui décida pour Yann. Il poussa un cri
quand il ne put en supporter plus et ses mains se portèrent sur ses fesses pour
les protéger de la main punitive. Madame Olga prit alors le haut de ses cuisses
pour cible.
« Ça, c’est interdit !
Nous en reparlerons plus tard. Tes mains ne sont toujours pas à leur
place ! »
Yann finit par céder.
« Aïe ! Aïe, pardon,
aïe ! »
Il mit ses mains sur sa tête.
Toute honte bue, il ne pouvait tenir plus longtemps. La fessée continua malgré
tout. Il se mit à geindre tout en assurant Madame Olga de son obéissance
future. Quand la fessée cessa, il se crut au bout de sa peine.
« C’est désobéissance sur
désobéissance ! Refuser d’obéir à un ordre explicite, c’est inadmissible. Il
va falloir que tu apprennes qu’ici ce n’est pas possible. Nous verrons cela
après le dîner. Contentons-nous, pour l’instant, de punir cette première
désobéissance. Tu verras ce soir ce qu’il en coûte de s’opposer à une fessée
que j’ai décidé de te donner. »
Madame Olga le replaça face à
elle et elle posa une main de chaque côté de ses hanches. Elle y appuya vers le
bas.
« A genoux,
ordonna-t-elle ! »
Yann avait compris qu’il était
préférable d’obéir. Il tomba à genoux entre ses pieds. Aussitôt Madame Olga
entoura son buste de son bras, l’obligeant à se courber sur la cuisse gauche de
sa logeuse. Elle le souleva légèrement jusqu’à ce que son ventre soit bien en
équilibre sur l’étroite plateforme sur laquelle elle l’avait allongé. Il n’y avait
plus que ses pieds qui touchaient le sol. La position dégageait parfaitement
ses fesses. Elle ne lui disait rein qui vaille.
« François, dans la salle de
bains, au rez-de-chaussée, sur le petit meuble à côté du lavabo, tu vas trouver
une brosse à cheveux en bois qui a un dos bien plat. Tu me la ramènes. »
Elle asséna une formidable claque
sur les fesses de Yann.
« Quant à toi, mon garçon,
je te conseille de tenir ta main éloignée de tes fesses »
Yann comprenait l’urgence à
respecter cette consigne. Il ne maîtrisait plus rien de la situation et il se
doutait qu’il était loin d’être au bout de la punition que Madame Olga avait
décidé de lui administrer. Sa voix lui laissait penser qu’elle était
profondément fâchée contre lui et ses fesses nues à disposition de sa main
allaient en payer le prix.
La fessée commença à main nue. La
petite pause dont il avait bénéficié ne lui avait pas permis de récupérer de la
cuisson de la première correction. Madame Olga n’eut pas besoin de plus de
trois ou quatre claques sur les fesses pour qu’il ait retrouvé la douleur
intacte, qui était encore imprimée dans ses terminaisons nerveuses.
Chercher à subir la fessée sans
émettre la moindre plainte lui sembla quelque chose de déraisonnable. Il avait
besoin d’extérioriser la douleur, même si ses cris avaient peu d’effet sur la
cuisson de son épiderme. Il cria de tout son saoul. Il eut un bref espoir, vite
déçu, quand il y eut un arrêt de la correction.
« Merci mon garçon. »
Yann hurla. Ce n’était plus la
main de sa logeuse qui venait de frapper ses fesses, mais un objet bien plus
dur, appliqué avec plus de force. Une deuxième fois, le même objet vint claquer
sur ses fesses. il ne pouvait en supporter plus. Il tenta de se relever mais il
fut bloqué par le bras de Madame Olga et il n’osa pas aller plus loin, les
mouvements de ses jambes lui faisant perdre ses appuis.
La brosse tombait sur ses fesses
encore et encore, cherchant des endroits qu’elle n’avait pas encore marqués et
qu’elle transformait, en quelques coups appliqués au même endroit, en une zone
d’où n’émanait plus que des signaux de douleur. Il pleurait depuis bien
longtemps quand il sentit des larmes couler le long de ses joues et tomber sur
le sol, au pied de la chaise.
Il n’avait plus la force de
supplier ni de se relever. Ses jambes réagissaient encore quand la brosse
trouvait un endroit qu’elle avait insuffisamment meurtri. Il commençait à
sentir un fourmillement constant qui englobait toute la surface de son
postérieur et dont émergeait de temps en temps une douleur brève mais aigue qui
parcourait ses fesses sans logique identifiable, quand la fessée cessa.
Il continua à pleurer sans bouger
de la position dans laquelle il avait été placé. Ce n’était plus seulement la
douleur et le désespoir de ne jamais connaître la fin de la fessée qui faisait
couler ses larmes. Certes, la fournaise qui emportait son postérieur était
difficile à supporter, mais il était reconnaissant à Madame Olga d’avoir mis
fin à sa punition.
Yann ne souhaitait pas bouger. Ce
n’était pas que la position soit particulièrement confortable. Plié en deux sur
la cuisse de sa fesseuse, il devait contracter ses abdominaux pour que ses
hanches ne reposent pas trop douloureusement sur la jambe de Madame Olga. Mais
là où il se trouvait, il était à peu près certain de ne pas pouvoir contrevenir
aux ordres de sa logeuse. Bien que ses fesses soient en parfaite position si la
correction devait reprendre, il s’y sentait plus en sécurité que s’il devait de
nouveau prendre décider par lui-même, avec la crainte de faire de mauvais choix
qui amènerait de nouveau Madame Olga à le punir.
« Retourne te mettre au
coin ! Prends-y le temps de réfléchir à l’attitude que tu devras adopter
lors de ta prochaine fessée. Tu sais que ce sera ce soir et qu’elle sera
sévère, encore plus que celle que je t’ai donnée. »
Yann n’avait pas vraiment le
temps de penser aux implications de ce que Madame Olga venait de lui dire. Il
était surtout soucieux de se conformer au plus vite à la consigne qui lui avait
été donnée et de montrer sa bonne volonté à obéir. Il se dépêchait de rejoindre
le coin qu’il n’avait quitté que peu de temps auparavant. Dans sa
précipitation, il en oubliait que ses organes génitaux brinqueballaient entre
ses jambes à la vue de tout le monde. Cela ne lui paraissait plus avoir autant
d’importance qu’avant.
Il cala son nez dans le coin, remonta
son sweat-shirt et son polo et croisa ses bras dans son dos. Ce n’était que la
deuxième fois où il se trouvait dans cette position, mais il anticipait déjà la
honte de montrer ses fesses nues et l’ennui de devoir y rester aussi longtemps
que ce que Madame Olga déciderait.
Il avait enfin le temps de
souffler. Malgré ses fesses qui le brûlaient, il avait l’impression d’un calme
qu’il n’avait pas ressenti depuis qu’il était parti de chez ses parents pour se
rendre à La Villeneuve sur Horto. C’était surtout l’incertitude d’un nouveau
départ qui lui avait pesé. Il ne savait pas où il allait quand il avait quitté
le domicile familial.
Il ne voulait pas retomber dans
les ennuis dans lesquels son oisiveté l’avait conduit. Il avait conscience
qu’en l’envoyant à La Villeneuve sur Horto, ses parents lui avaient donné une
dernière chance de repartir pour une nouvelle vie. Il ne voulait pas la gâcher.
L’autorité qu’il rencontrait
depuis qu’il était arrivé lui pesait. Il avait bien trop l’habitude de disposer
de son temps comme bon lui semblait, sans contrainte puisque ses parents
assuraient sa subsistance, bien qu’il ne travaillât point. Pour la première
fois de sa vie, il devait gagner de quoi subvenir à ses besoins. C’était
nouveau et inconfortable. L’incertitude que représentait le lendemain avait été
une source d’angoisse depuis que ses parents lui avaient annoncé les nouvelles
dispositions qu’ils avaient prises. Il était venu à La Villeneuve sur Horto
sans savoir ce qui l’y attendait, mais en craignant le pire.
Il aurait voulu y trouver la
liberté d’action et d’inaction qu’il avait connue jusque-là, tout en sachant que
cette époque était révolue. Il voulait cette absence de contrainte, tout en
sachant que c’était elle qui l’avait conduit là où il était. Il voulait les
avantages de la situation, sans ses inconvénients, c’est ce que sa mère
appelait ses attitudes puériles et c’était justement ce qu’elle voulait
éradiquer en l’envoyant vivre sous la responsabilité de la menuisière.
Il avait mollement protesté quand
sa mère lui avait annoncé que, comme elle, sa nouvelle patronne aurait le droit
de le corriger. Il avait argué de son âge, argument que sa mère avait balayé en
faisant état de son comportement qui laissait supposer un nombre d’années bien
inférieur à celui qui était inscrit sur sa carte d’identité.
« Tu seras traité en
fonction de la façon dont tu te comportes, pas en fonction de ton âge. »
La menuisière avait tout de suite
mis les choses au point.
« C’est à cette heure-ci que
tu arrives ? »
Il n’y avait pas eu un mot de
bienvenue avant que ne tombât le premier reproche. Il songea que c’était un peu
exagéré.
« Si elle s’arrête à ce
genre de détails, songea-t-il, elle n’a pas fini de rouspéter. »
Il n’avait qu’un peu plus de
vingt minutes de retard sur l’horaire prévu. Ce n’était donc rien. Il devait le
lui faire comprendre dès le premier jour, autrement, ce serait des sujets de
discussion qui reviendraient tous les jours. Il n’avait pas l’intention de
s’astreindre à des horaires précis. Il ne l’avait jamais fait.
« Oui, c’est vrai, je suis
un peu en retard. Ce n’est pas si grave que ça. Tu ne vas pas en faire un plat
pour si peu ! »
Les yeux de sa patronne avaient
lancé des éclairs.
« Tout d’abord, tu vas me
dire « vous ». Ici, tu es un apprenti, tout en bas de l’échelle. Tu
dois le respect à tout le monde. Il n’est pas question que tu te permettes la moindre
familiarité avec qui que ce soit et encore moins avec moi. La prochaine fois,
tu en seras puni. Est-ce bien compris ? »
Il s’était contenté d’un vague
grognement qui pouvait passer pour un assentiment. La menuisière ne s’était pas
contentée de cette désinvolture.
« Je t’ai posé une question.
Tu me réponds poliment ! »
Il s’était dit que ça commençait
bien mal, mais il avait choisi de ne pas ouvrir les hostilités.
« Oui Madame, c’est compris.
Je vous vouvoierai. »
Il y avait un petit ton ironique
qui pointait derrière le sérieux apparent du ton.
« Je l’espère bien. En ce
qui concerne ton heure d’arrivée, vingt-cinq minutes, ce n’est pas un peu de
retard, c’est un retard scandaleux que je ne peux pas laisser passer sans
réagir. »
Yann se dit qu’elle avait un peu
tendance à de l’exagération. Un peu plus de vingt minutes qui venaient de se
transformer en vingt-cinq !
« Oui, bon, mais j’avais des
choses à faire ce matin. »
En réalité, il s’était tout
simplement levé à son heure habituelle, ce qui ne lui avait pas permis d’être à
l’heure.
« Des choses plus
importantes que d’arriver à l’heure pour travailler ?
La conversation ne prenait pas la
tournure qu’avait prévue Yann. Il hésita sur ce qu’il devait répondre. La
menuisière avait déjà pris sa décision.
« Eh bien, je vais te monter
ce qui arrive ici aux apprentis qui ne savent pas consacrer toute l’attention
nécessaire à leur travail. »
Elle l’avait pris par le bras et,
pour la première fois, il avait pu mesurer la force de sa poigne. Les doigts de
la main de la menuisière s’étaient refermés sur son biceps et il aurait été
bien en peine s’il avait voulu s’en défaire. Quand elle avait tiré sur son
bras, il s’était senti emporté par une force à laquelle il n’avait pas pu
résister. Il serait tombé si elle ne l’avait pas soutenu quand la soudaineté du
déplacement qui lui était imposé l’avait fait trébucher.
Elle l’avait relâché trois pas
plus loin alors qu’il n’eût retrouvé qu’un équilibre approximatif, mais ce fut
pour déboucler sa ceinture.
« Mais que faites-vous ? »
Il avait mis ses mains sur les
siennes, mais cela n’évita pas que la ceinture défaite libérât l’accès au
bouton qui retenait son pantalon sur ses hanches.
« Que crois-tu que je
fasse ? Je te baisse la culotte pour te fesser. Ce sera comme ça à chaque bêtise »
Elle avait fait sauter le bouton
du pantalon et elle le tira vers le bas. Quand Yann réussit à attraper le haut
du pantalon pour empêcher qu’il ne descendît plus bas, il était déjà à
mi-fesses. Sa culotte était bien apparente. La menuisière tira d’un coup sec et
le pantalon descendit. Quand Yann se baissa pour le relever, il reçut une
claque sur le haut de la cuisse. Sur la peau nue, cela claque très fort et une
intense brûlure enflamma son épiderme.
« Tu laisses le pantalon là
où il est ! »
Il sentit qu’il y avait une
sérieuse menace derrière cette phrase prononcée d’une voix sèche. Elle dégageait
une telle assurance, et elle l’avait amenée là où elle le souhaitait avec une
telle facilité que Yann devait reconsidérer l’opinion qu’il avait d’elle. C’était
une personne à prendre au sérieux.
« Je conçois que ce n’est
pas facile d’être déculotté à plus de quarante ans pour prendre une fessée. Il
va cependant falloir que tu t’y habitues. Tant que tu seras sous ma
responsabilité, ce sera comme ça. Que j’aie une petite dizaine d’années de
moins que toi n’y change rien. Ce n’est ni ton âge, ni le mien qui comptent. Ta
mère m’a donné la mission de te remettre dans le droit chemin et de t’apprendre
un métier, c’est ce que je vais faire. »
Yann ne trouvait rien à répliquer
à ce qui apparaissait comme une évidence. Se tenant le pantalon aux chevilles
et la culotte au vu de sa patronne, ne l’aidait pas à trouver des arguments
pertinents. La menuisière ne lui en laissa pas le temps. Ce n’était pas une
discussion avec lui qu’elle entamait, mais elle lui expliquait les nouvelles
réalités auxquelles il devrait se conformer.
« Je me suis mise d’accord
avec ta mère. Comme elle, je n’hésiterai pas à recourir à la fessée pour que tu
comprennes bien quand tu as fait une bêtise. Tu vas recevoir ta première fessée
de ma main tout de suite. »
Yann aurait dû s’insurger, mais
il y avait une telle certitude dans les propos de la menuisière qu’il n’osa
pas. La référence à l’autorité de sa mère acheva de vaincre ses dernières
résistances.
« Pour bien te faire
comprendre que ton comportement n’est pas celui d’un adulte, je te baisserai la
culotte à chaque fois, et tu me laisseras le faire. Tu dois faire le choix
maintenant. Si tu t’y opposes, je te renvoie chez toi immédiatement. »
Yann voulut ouvrir la bouche pour
convaincre sa patronne de changer d’avis. Elle ne lui en laissa pas le temps.
« Non ! Tu écoutes et
tu te tais ! »
Une claque sur la cuisse finit de
le convaincre que l’obéissance était la meilleure attitude à adopter.
« Tu n’as pas besoin de
parler. Je vais te baisser la culotte maintenant. Soit tu me laisses faire,
soit tu t’en vas. »
Joignant le geste à la parole,
elle prit le bas de la culotte entre ses doigts. Elle laissa quelques secondes
à Yann pour réfléchir, puis elle tira vers le bas. Les doigts de Yann se
resserrèrent sur l’élastique de son sous-vêtement.
« Yann, gronda la
menuisière ! »
Il lâcha la culotte qui descendit
le long de ses cuisses. Son sexe était érigé et il le cacha précipitamment de
ses deux mains.
Il y a une suite ?
Oui, bien sûr, ça va venir. En attendant, si vous avez loupé l'épisode précédent : chapitre 13. Et pour ceux qui voudraient reprendre au début : le premier chapitre
Amies des pension de famille, bonsoir ! Que de débuts prometteurs et de succulentes fessées, la boulangère, son mari, Solveig, la menuisière, Olga...
RépondreSupprimerQue de fessées en perspective et j'espère que ca va claquer fort. Continuez c'est parti sur de bonnes bases !