QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LA PUNITION DE BETTINA ET GERALDINE. 1ère partie
Walter et Bettina étaient arrivés chez Margaret
en fin d'après-midi. La punition commune avec
Géraldine pour régler , une bonne fois pour toute, l'histoire de la fessée
administrée à Andrew, était prévue depuis le samedi précédent. La maîtresse de
maison les fit aussitôt entrer dans le salon. Sur la table basse, à côté de
l'Aberlour douze ans et des verres à Whisky, martinet, battoir en cuir, tube de
Dolpic et bâtons de gingembre, bien en vue, annonçaient une soirée cuisante et
inventive.
– « Ne perdons pas de temps, dit Margaret en approchant la chaise à fessée et un tabouret pour le même usage. Bettina, Géraldine, vous savez pourquoi vous allez être punies ensembles... »
Géraldine proteste une peu pour la forme. La
correction est prévue depuis longtemps, mais forte de son esprit rebelle, elle
veut montrer qu'elle n'est pas totalement résignée.
à son sort.
– « Mais maman... On a déjà été punies
avec une fessée tous les soirs !
– Et,
alors ! Justement, comme ça vous n'avez même pas besoin de préparer vos fesses, on vous les a
assouplies pendant toute la semaine ! »
Elle se tourne vers Sébastien sagement assis
dans un fauteuil près du canapé, prêt à se régaler du spectacle.
– « Toi tu ne bouges pas de là, tu restes
tranquille, et je ne veux pas t'entendre. Je t'ai autorisé à regarder pour que
ça te serve d'exemple. La prochaine fois ça pourrait bien être tes fesses à la place
des leurs. »
Géraldine, assise dans l'autre fauteuil, en
face de son frère attend maintenant
l'air indifférent, un petit sourire en coin, pour montrer, par bravade,
qu'elle ne craint pas la correction à venir. Il y aurait pourtant de quoi.
Walter a enlevé sa veste et commence à retrousser la manche. de sa chemise.
– « Vous avez raison, Margaret, ne
faisons pas attendre ces dames plus longtemps. Elles savent très bien pourquoi
on est là !
Il se tourne vers son épouse et lui ordonne
d'un ton sec qu'il n'a pas l'habitude d'employer.
– « Bettina, tes fesses tout de
suite ! »
Celle-ci fait semblant de ne pas
avoir entendu. Elle s'est postée devant la glace et soulève sa jupe pour
contempler ses plantureux volumes fessiers dont la rougeur de sa dernière, fessée est nettement visible sous la
transparence de son slip de nylon. Elle se déculotte carrément et les trémousse
vers l'assistance en s'amusant à jouer la victime d'un vilain mari fesseur. Ce
qui est loin d'être le cas
–
« Les voilà mes fesses, elles sont encore toutes rouges de la fessée
qu'il m'a mise juste avant de partir de la maison ! Et ça va
recommencer alors qu' on vient à peine d'arriver! »
Avec
un petit rire espiègle, elle se reculotte en faisant bruyamment claquer
l'élastique de son slip sur ses hanches.
–
« Comme ça elles n'auront pas eu le temps de refroidir... prêtes à
claquer ! Hi, Hi ! »
Géraldine ne peut s'empêcher de sourire,
Margaret se reteint, Walter ronge son frein. Sébastien se réjouit
intérieurement et se dit qu'à force de faire son petit numéro la Bettina va finir par s'en prendre une
monumentale... Et c'est d'ailleurs ce qu'elle cherche, et ça tombe bien, de
toute évidence, c'est ce qui est prévu.
Les préparatifs de la correction se déroulent
dans une atmosphère assez trouble, sans que les intéressées semblent, pour
autant, aussi impressionnées qu'elles devraient l'être. Ça sent pourtant la
fessée à pleine main, à défaut du plein nez. Bettina s'attendait à recevoir le maximum de fessées sévères et
Géraldine, contrairement à son attitude désinvolte, estimait en avoir besoin et
les mériter de la main maternelle. Elles avaient toutes les deux, l'avantage
d'un volumineux fessier, de parfaite rondeur, bien charnu et mobile dont elles
étaient fières, sans complexe. Elles aimaient le mettre en valeur et trouvaient
tout à fait naturel de s'appliquer à le faire, puisqu’elles pensaient qu’il
était juste et absolument nécessaire de se faire corriger quand elles le
méritaient. Surtout Bettina, pour les nombreuses désobéissances et “ bêtises”
qu’elle commettait !
Ce n'était pas la première fois que Sébastien
allait voir corriger sa sœur et il s'en réjouissait. Pas
autant, par contre, que de pouvoir enfin assister à une punition de
Bettina qu'il détestait cordialement. Il
s'amusait à comparer le physique des deux punies. Certes, Géraldine, avait sans
doute un volume de fesses légèrement moins important que celui de Bettina,
quoique tout de même très généreux, mais avec un tour de taille plus mince.
Bettina compensait cela avec de larges ceintures alors que Géraldine portait
des guêpières, non pas par nécessité, mais pour rendre sa croupe plus
provocante. Toujours est-il que soit grâce à un
artifice ou à la nature, les deux jeunes femmes offraient à égalité à sa vue,
deux magnifiques paires de fesses à claques, de forme plantureuse, bien
rebondies et charnues à souhait.
Bettina, même pas peur de la fessée, recommence son petit
numéro d’exhibition.
– « Pour ceux qui n'ont pas bien vu la première
fois ! »
Campée au milieu du salon, elle retrousse à nouveau sa
courte jupe sur ses reins et se met à tortiller du derrière devant tout le
monde. Il apparaît, enluminé d'un beau rouge éclatant, débordant d'un slip de
nylon transparent tendu à craquer et , manifestement, trop petit pour contenir la totalité des
volumineux hémisphères charnus.
– « Voyez comme mon Walter a déjà bien préparé mes
fesses ! S'exclame-t-elle par-dessus son épaule. Pour qu'elles soient prêtes
en arrivant ici ! J'ai bien dérouillé, ça a claqué fort, mais c'était bon ! »
Géraldine sourit devant la comédie de sa copine. Walter
n'apprécie pas la nouvelle provocation.
.
– « Attends un peu ! je vais te faire voir ! Tu vas
en avoir des fessées et je te garantis que ça va claquer !”
Bettina ne parut pas impressionnée. Remuant insolemment son
fessier enluminé, elle lui rétorque, par-dessus son épaule.
– « Oh oui ...une bonne fessée bien claquante sur mon
gros derrière, culotte baissée , c’est bien ce que je mérite …des bonnes fessées à la main et avec le
martinet comme tu veux …corrige
moi bien comme j’en ai besoin ! »
Et s’adressant à
Géraldine qui ne semblait pas vraiment affectée par cette cuisante
perspective.
– « A toi aussi, hein Géraldine ! C’est ce qu’il
te faut, des bonnes fessées bien claquantes sur tes belles grosses fesses
déculottées ! ? On les mérite bien , hein ? c’est ce qu’il nous faut à toutes
les deux ! Des bonnes fessées sans pitié …les fesses déculottées devant tout le
monde …à
la main ! au martinet ! avec tout ce qui punit bien ! »
Elle avait à peine fini son petit numéro de provocation,
destiné à mettre son mari en colère, qu'elle commençait déjà à presque le
regretter. C'est elle qui allait faire l'ouverture du bal des derrières avec la
première danse des fesses. Walter l'avait faite s'installer courbée en deux sur
le dossier de la chaise, son opulent fessier déculotté en l'air, bien déployé,
et lui introduisait déjà, sans trop de
douceur malgré sa supplication, une grosse racine de gingembre dans le
derrière. Elle pousse alors un cri
plaintif qui se prolonge en plainte larmoyante.
– « Aahrrrr chéri... déjà... tu aurais pu
prévenir... rooooaiiiié !!! vas y doucem... »
Walter, indifférent aux supplications, enfonce le rondin
plus profondément en le poussant de
l'index entre les deux grosses fesses ou il disparaît presque entièrement.
Seule l'extrémité plus épaisse, reste à
dépasser, manifestant la présence de la racine chauffante.
– « Avec ça dans le derrière, et la fessée au
martinet qui va avec, gronde – t-il, tu
vas peut-être moins faire ta fière et en rabattre un peu du caquet, ma
jolie ! »!
Maintenant, agenouillée, slip aux cuisses, sur la chaise,
les coudes en appui sur le dossier
Bettina tortillait son postérieur écarlate et s'était mise à pleurer en
gémissant.
– « Ooooh la, la... le Gingembre... ça brûle ! Ça brûle ! …Hoooou, ça chauffe dur ! »
Margaret avait choisi de déculotter Géraldine dans une
position humiliante, à genoux sur son tabouret, penchée en avant, la tête
coincée entre ses cuisses. Elle s'était laissé faire sans broncher, affichant
un petit sourire méprisant comme pour manifester son indifférence à la fessée,
qu'elle redoutait tout de même intérieurement . Elle accentua même
volontairement l'arrondi de son
postérieur pour faciliter le passage du slip sur ses volumineux
hémisphères, sans que cela impressionne pour autant sa mère, habituée à ce
genre d'attitude provocatrice. Elle y répond avec ironie.
– Et toi ma chérie, qu'est-ce que tu préfères pour recevoir tes
fessées, un bon gros rondin de gingembre ou le manche bien dur de ton martinet
dans le derrière ? »
Géraldine, tout en prenant appui des deux mains sur le sol,
répond d'une voix à demi étouffée d'entre les cuisses de sa mère .
– « Je m'en fiche ! Le martinet si tu veux, mais en
fait ...
ça m'est complètement égal ! »
Margaret, réplique, un brin cynique pendant qu'elle lui
descend son slip sur les cuisses.
– Je reconnais bien là ma petite vicieuse, toujours en
recherche de nouvelles sensations fortes ! Même si je pense que tu préfères le
manche du martinet plus long et plus épais. Comme je te comprends... Aller
mets-toi
en position sur mes genoux, et tends bien tes fesses ! »
Placé à bonne distance derrière son épouse, Walter avait
commencé à lui balayer les fesses d’un
grand coup de martinet, puis d’un autre coup en sens inverse qui lui avait
cinglé la totalité du postérieur en le prenant à revers. Il prenait son temps,
espaçant les coups afin qu'elle ait le
temps de bien déguster la cuisson des lanières sur ses fesses, déjà bien
sensibilisée par la fessée précédente.
Agrippée au dossier de la chaise, les dents serrées sous
les cinglées qui lui claquaient aux fesses, Bettina affichait déjà un peu moins
de morgue que quelques instants auparavant. Elle ponctuait même les cinglées de
quelques pleurs et gémissements pour
donner le change.
Le martinet, évidemment, tout droit sorti des ateliers
Delaniaires, avait été fabriqué sur mesure de façon que les lanières
enveloppent à chaque coup, toute la surface du derrière du bas de reins
jusqu’au haut des cuisses.
Sébastien, qui ne perdait pas une miette de la raclée, se disait que la voisine aurait bien du mal à
s’asseoir pendant plusieurs jours …Elle aurait le temps de regretter de
s'être mêlée de ce qui ne la regardait pas, en prenant l'initiative de corriger
elle-même
Andrew, avec la complicité de Géraldine, qui ne s'était pas fait prier.
Au moins elles reconnaissaient
mériter cette bonne séance de fessées. Il jubilait presque. Pour ces deux
petite garces, si fervente partisane de cette punition...c’était BIEN FAIT !
A sa grande déception Bettina, qui le déroutait de plus en
plus, ne réagissait pas comme il s'’y attendait . Bien calée sur sa chaise, son
fessier plantureux, mais de forme
parfaite tendu provocant sous les lanières, elle ne semblait pas du tout
redouter la fessée. Dans son hostilité à son égard il l’avait imaginée avec un
gros derrière mou sans muscles mais il était bien obligé de constater qu’elle
avait d’aussi belles fesses que Géraldine. Celle-ci allongée en travers des cuisses de sa
mère encaissait sa fessée dans une attitude semblable de relative inertie à la
correction. Du moins pour le moment.
Margaret, rageuse, avait entrepris de lui claquer sa fessée
de toutes ses forces , sa large main s’abattait rapidement sur les fesses
bondissantes avec des sonorités sèches et éclatantes qui semblait résonner dans
toute la maison. Sa large main n’était quand même pas suffisante pour couvrir
une seule des fesses charnues. Il fallait plusieurs allers et retours pour bien
corriger une seule fesse ! Mais la puissance des claques était telle que Sébastien, spectateur attentif, se doutais
bien que le volumineux fessier de sa sœur
allait devenir rapidement aussi cuisant que celui de la voisine, qui
tortillait le sien en cadence sous les cinglées de martinet.
Contrairement à Géraldine qui pleurait, sans rien dire,
Bettina poussait un gémissement sourd à chaque claque reçue et, comme à son
habitude, commentait bruyamment sa fessée
– « Oh la la ! la fessée …oohhr ! oohhrr! ça
claque dur, oohhrr ! oh oui ,chéri ! Tu me les claques bien mes
fesses déculottées ! ohhh oui ! C'est ça, fort ! Fort sur les fesses ! ,
comme je le mérite ! Roooaiiiiiie...la
fessée avec le gingembre, oh , la la la ! ça cuit ! Ça cuit dehors et ça chauffe
dedans ! ! »
– « Eh bien, en voilà une qui profite bien de
sa fessée, s'exclame Margaret entre deux claques bien sonores sur les fesses de
sa fille. Et qui le fait savoir en direct !
– Oui, elle est toujours comme ça ! Au moins on est au
courant du déroulement, répond
Walter en reprenant de l'élan pour une nouvelle cinglée.
Bettina la regarde
arriver par-dessus son épaule, les yeux écarquillés .
– « Ouille, ouille, ouille, mes fesses ! !
Elle va bien claqueeeeer celle làààààà !!! »
Sssslaaaaaac !... Effectivement elle claque fort.
Placées comme elles sont, chacune des deux punies a en vue,
presque sous le nez, le postérieur corrigé de sa voisine. Et l’une et l’autre
gardent les yeux fixés sur le derrière de l’autre .
Sébastien connaissait bien ce comportement : quand il
recevait la fessée en même temps que Gérôme, Rodolphe, ou Robin, à l'Institut,
quand Madame Defraisses les fessait
ensemble avec la Directrice, dans son bureau. Ils faisaient de même quand elles
les mettaient dans la même position pour bien les humilier pendant toute la durée de leur déculottée. Contraints de voir,
en gros plan à quelques centimètres du visage,
le derrière d’un autre prendre sa fessée, en sentir l'intensité de la
cuisson, rendait plus impressionnante celle qu’ils étaient en train de
recevoir. Ils avaient un aperçu de l'état de leurs propres fesses en voyant
rougir sous leurs yeux, le derrière du copain d'à côté. Ça leur donnait la
terrible impression d’être spectateur de leur propre fessée !
Il supposait qu’il en allait de même pour Géraldine et
Bettina. Celle-ci, intarissable, n’arrêtait pas de parler en s'adressant à
sa partenaire de punition, qui, tout en pleurant, savourait sa fessée malgré
l'atroce cuisson qui lui incendiait le derrière.
– « Et toi, Géraldine, tes fesses te cuisent aussi ? … Oh là là ! qu’est-ce qu’elles sont rouges ...On
n’aurait pas dû
punir nous-même Andrew, alors maintenant c’est notre tour ...On le mérite
bien , dis Géraldine ? »
Géraldine, les fesses tressautant sous la main de sa mère,
hoquette d'un Ouiiiii !!! plaintif.
entrecoupé de larmes.
…– « On la mérite !!! la bonne fessée ! Elle est bonne mais quand même… ça cuit, ça fait mal ! »
Bettina, que la fessée conjuguée avec la chaleur intense du
gingembre dans le derrière semblait manifestement exciter de plus en plus,
continuait à jacasser, tandis que Walter lui cinglait son gros derrière à toute
volée.
– « Oooooh Walter, ouiiii, continue ! Tu me la
mets bien ma fessée au martinet !
Tu me corriges comme il faut …et tu ne vas pas arrêter, hein ? Et toi aussi, Géraldine, tu en reçois une bonne
de fessée ... on est bien déculottées
toute les deux ... Oh là,
la, oui , c’est ce qu’il nous faut hein ! …et moi…rooooh qu'est-ce que ça cuit fort avec le gingembre ...»
Géraldine, concentrée sur la cuisson de ses fesses, encore
épargnée de la présence d'un manche de martinet planté entre les deux, commence
tout de même à ressentir de voluptueuses
sensations. Comme entraînée par le délire
de Bettina, elle s'épanche à son tour sans retenue.
– « Ouiiii …la fessée déculottée... Moi aussi je suis bien punie, ça cuit... Roooooh, ça
cuit bien, c'est bon comme ça
chauffe ! Elle fesse bien maman, elle claque fort ! La bonne fessée méritée, sur mes grosse
fesses déculottées !
Bettina continue, à moitié hystérique, stimulée par les
cuisantes cinglées de martinet et le rondin de gingembre vibrionnant, qui lui
chauffe la raie des fesses.
– « On recommencera pas hein Géraldine …on va être bien fessées …toute la soirée hein ? Mais on ne
recommencera pas !!! On sera obéissantes et bien dociles ! »
Géraldine, entre deux gémissements arrachés par les
formidables claques de sa mère sur son postérieur qui a rattrapé la couleur de
celui de Bettina.
– « Noooon ! ......siiiii ! … je sais pas …mais si... il faut la fessée …toujours .......sur mes grosses fesses
déculottées, ...c’est bien fait ...je le mérite…la fessée déculottée devant tout le
monde ! »
Bettina saute sur l’occasion
des propos irraisonnés et confus de sa copine. La voix hoquetante au rythme des
cinglées de martinet que Walter lui allonge sur les fesses, elle s’adresse
maintenant à Margaret qu'elle harangue sans retenue comme à son habitude.
– « AAAh Margaret, vous entendez, il faut lui
donner la fessée plus fort ...oohhhrrr .... plus fort ....aaaahhrrr
...elle mérite ....comme moi .....une bonne fessée ooohhhrrr
.....regardez son gros derrière ....ses grosses fesses déculottées ...aïeeeee !
Allez-y, plus fort.... la claquer plus fort !
aaaaahrrrrrrr ....! Elle vous obéis jamais ....s’en fiche des fessées ....faut
taper plus fort ....comme moi ....déculottée aaaahhhrrr ....la fessée ,la
fessée ! »
Margaret entend plus
qu'elle n'écoute. Sa main, infatigable, s'abat sans relâche sur les fesses de
Géraldine, qu'elle fait rebondir rageusement sur ses cuisses.
– « Vous entendez ça Walter, il paraît qu'elles
s'en fichent des fessées !
– Oui, bien sûr, elles disent toujours ça pour faire leur
intéressantes, mais quand elles commencent à avoir le cul bien rouge et
brûlant, c'est une autre chanson !
– C'est bien mon avis aussi, n'est-ce pas Géraldine ! Mademoiselle qui
ne veut jamais obéir et mérite les claquées sur ses grosses fesses ....je vais
te le mater,
moi,
ton derrière d'insolente ! »
La voix saccadée de Géraldine, dont les fesses commencent à
cuire sérieusement, émerge
difficilement, à moitié couverte sous le tonnerre de claques retentissantes.
– « Ouiiiii ! Nooooon, m'en fiche pas...Siiii je vais
obéir... rahhh oui, la fessée...déculottée Roooouiiii ....sur mes grosses
fesses ....toutes rouges !! »
Brusquement, sans un mot,
Margaret interrompt la fessée à la main
pour s'emparer du battoir en cuir posé sur la table basse. Elle
repositionne Géraldine sur ses genoux en passant la main sous son ventre pour
lui faire relever les fesses bien en l'air. Elle a à peine le temps de
réaliser, qu'une pluie de claques avec la palette en cuir s’abat sur sa croupe enflammée qui se
tortille en vain. Cette fois, fini les bravades, Géraldine se met à brailler...
sans espoir !
– Aaaah elle fait moins de manières maintenant,
l'arrogante, s'exclame la mère en claquant
chaque fesse l'une après l'autre avec ardeur. Finies les petites
provocations ! Tu la sens bien ta fessée là hein ! Et tu les entends
tes fesses comme elles claquent bien
avec le battoir !! »
Walter, qui trouve
la formule intéressante, décide de suivre l’exemple de Margaret, prend l'autre battoir, prévu pour la
circonstance , et s’en sert de toutes ses forces sur le derrière écarlate
de Bettina. Elle ne commente plus rien ....ses gémissements deviennent des
sanglots de plus en sonores ....et ça y est... les deux punies renonçant à
toute résistance pleurent à chaudes
larmes sans discontinuer.
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerDolpick Prods présente : "L'arrière train sifflera trois fois"! "Walt et Margie" ! (à l'instar de "Bonnie and Clyde" -1968- W. Beatty et F. Dunaway). les comptes vont être réglés et apurés.
Séb' savoure sa vengeance. "Men Power" ? Et mister Andrew (Mac Habane Ô'Kanada) que devient-il ?
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et de la fessée "Apéro", Bonjour,
RépondreSupprimerDécidément, tout est prêt pour servir l'apéro à Bettina et Géraldine ( qui rime avec Badine ). Trinquons à leur santé ! En attendant, c'est elles qui vont trinquer avec tous les instruments mis à disposition et qui vont être largement utilisé.
Avec le rondin de gingembre, la cuisson intérieure va produire ses effets. Ca cuit de façon équivalente exter/inter, comme un bon roastbeef ( et rien à voir avec Andrew... ).
Bettina et Géraldine s'est prenne une bonne quand même. CDAMF n'y vont pas avec le dos de la cuillère à pot pour corriger ces dames qui ne cherchent qu'à attiser le feu.
Après avoir fièrement entamé la fessée, les deux punis finissent par abandonner la partie et se laisser à pleurer comme deux gamines.
Finalement, la leçon aura surement porté ses fruits ( mais pas sûr ).
Allez, Walter et Margaret, un petit Aberlour pour reprendre des forces avant la seconde mi-temps ?
Amitiés.
Elena.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerAmbiance et références cinématographiques habituelles... Tous les chemins de croix de la discipline passent par ta filmographie!
Pour Bettina et Géraldine, les deux Bonnies sans clyde, en ce moment c'est plutôt: " Le pont de la lanière Ouaiiiiie! ..." Oui je sais , c'est un peu tiré par le manche, mais promis je ne recommencerai pas !
Quant à Andrew, il est cantonné dans sa chambre. Manquerait plus qu'il assiste à une séance de fessées dont il est finalement responsable, car à l'origine, sa beuverie au Pub!
Amicalement
Ramina
Fine lanière notre amie Elena .
RépondreSupprimerCommentaire tout en toucher. C'est que la fessée à la main à l'apéro constitue un excellent hors d'oeuvre avant le plat de résistance au martinet. En l'occurrence pour la suite, dessert flambé au battoir !
Après de nombreux chapitres consacrés à rougir d'abondance les fessiers de ces messieurs, il fallait bien un retour de martinet sur " Ces Dames Aux Fesses Fermes " Nos deux arrogantes, Bettina et Géraldine n'ont pas froid aux yeux et par conséquent encore moins aux fesses!
Walter et Margaret à la manœuvre vont se charger de clore la séance avec éclat. La seconde mi-temps s'annonce en effet pique, épique, et ratatame, sous le regard attentif d'un Sébastien revanchard! !
Amicalement
Ramina
Amis de la poésie et du bourre et bourre au dolpic et ratatame au battoir, bonsoir ( ça rime ).
SupprimerLa lectrice que je suis, attendait que ces dames aux fesses fermes s'en prennent une et carabinée, par un sniper de préférence... C'est ce que l'on pourrait appeler le jeu de la vie ( CHEVALIER et LASPALES n'auraient pas dit mieux ). Elle est changeante, incertaine ou fuyante, mais lorsque le vent est contraire, il faut s'apprêter à changer de cap avant que ça ne soit trop tard. Hissez haut matelots !
Dans le cas présent, punissez bas mesdames !
Amitiés.
Elena.