Dans les lycées, les jeunes professeurs peuvent être tentés par des rapprochements avec les élèves de type amitié, voire plus, ce qui peuvent déraper et mener à des situations proscrites par les règlements intérieurs.
Notre professeure d’informatique appliqué, Sandrine P., trente et un ans, est une femme assez libre et joviale avec ses élèves. A contrario de ses collègues de Ste CROIX, elle n’hésite pas à faire copain-copain avec ses étudiants. D’ailleurs on peut la voir discuter de tout autre chose que d’enseignement lors des intercours ou bien venir avec nous pour prendre une boisson à la cafète de l’établissement.
Nous sommes plusieurs à nous
réunir avec elle pour papoter et ça devient récurrent de la voir parmi ses
élèves plutôt qu’avec ses collègues en salle des professeurs.
La proviseure de Ste CROIX, Fabienne
D., l’a déjà prévenue :
« Attention
Sandrine, à force de faire copain-copain avec vos élèves, ils vont finir par
vous marcher sur les pieds et vous n’aurez plus aucune autorité sur eux ! Et
vous savez que l’autorité est une partie importante de notre éducation, afin de
construire des adultes responsables dont nous pourrons être fier lorsqu’ils
intégreront de prestigieuses entreprises »
« Vous
avez raison, Madame la proviseure, mais on peut avoir de l’autorité et ne pas
les opprimer ! S’il n’y a aucune raison de les brimer, ne le faisons
pas » Réplique Sandrine P.
« Faites
comme vous le sentez, Sandrine, mais ne venez pas vous plaindre après, car dans
ce cas, il sera beaucoup plus compliqué de les faire revenir dans le droit
chemin » lui répond Fabienne D., pas du tout convaincue
par ses perceptions des choses.
« Ne
vous inquiétez pas pour ça, la seule vue du martinet de discipline suffira à
les rendre dociles et si besoin, une bonne fouettée pour l’exemple sur un
meneur, ça soumettra les autres. Je sais de source sûre qu’ils ne sont pas fans
de se retrouver nus devant tout l’établissement... »
Au cours de nos bavardages,
Adilson, le beau latino s’est particulièrement rapproché de Sandrine P. et elle
l’a remarqué. Tout d’abord, assez flattée qu’un beau mâle s’intéresse à elle,
nous les voyons de temps en temps, à part, rigoler ensemble.
Bien évidemment, des bruits se
répandent assez vite dans l’établissement, surtout chez les filles qui le
trouvent séduisant. Pour ma part, son charme ne me touche pas, car nous avons
des contentieux tous les deux, qui ne sont pas prêt à se dissiper, mais je peux
comprendre que certaines filles se laissent charmer par son corps assez musclé
et les beaux traits de son visage. C’est le parfait stéréotype du surfer que
l’on peut voit à la télévision sur les plages, en tout cas, il fait tout pour
en avoir l’air.
Depuis quelques semaines, le
soir, on peut les voir prendre le bus tous les deux. Certains diront que le
hasard fait bien les choses, d’autres, au contraire, jaloux diront qu’il y a
anguille sous roche et ils n’ont pas tort, car Adilson et Sandrine P.
s’arrêtent au même arrêt et le jeune homme entre au domicile de sa professeure
pour y passer de tendres moments.
Les ragots vont bons train
dans l’établissement, par contre, aucune remontrance n’est faite ni à l’un ni à
l’autre, comme si les potins n’étaient pas allés jusqu’aux oreilles de la
proviseure, à croire qu’en dehors de l’établissement, tout était permis sans
répercussion dans l’enceinte de l’école.
Nous voyons que les notes
d’Adilson ont notablement évoluées dans le bon sens, comme si cette bonne
entente entre lui et sa professeure l’avait fait progresser en peu de temps.
Certaines mauvaises langues diront que vu leur très bonne entente, Sandrine P.
a boosté ses notes. Je me plais à dire que ses notes sont le reflet des
performances sexuelles qu’il doit faire, même si je n’en ai pas la preuve. Sandrine
P., ravie d’atteindre le septième ciel, le remercie en lui faisant monter sa
moyenne... Comme beaucoup de jeunes femmes, je suis un peu envieuse de son
succès soudain.
Comme mes amies, pour
atteindre les mêmes résultats, je dois travailler dur et pas seulement
m’ébattre dans un lit comme il doit le faire !
Lorsqu’on lui pose la
question, Adilson nie en bloc, toute les insinuations que l’on fait sur sa
relation. De très rare personnes sont véritablement au courant de ses
relations, le reste n’est que pure imagination.
En cette période confinement
et d’alternance école / cours à la maison, la relation entre Adilson et Sandrine
P. est moins visible jusqu’au jour où Camille les surprend tous les deux, main
dans la main au supermarché. Du coup, leur relation ne fait plus l’ombre d’un
doute.
Camille, assez pipelette se
fait un plaisir d’aller colporter ces informations croustillantes, preuves à
l’appui, auprès de ses copines dont Olga fait partie et celle-ci ne rate pas
l’occasion d’en faire des gorges chaudes auprès de sa sœur jumelle, Théo et
moi.
« J’en
reviens pas de ce qu’elle nous a dit, Camille à propos de Mademoiselle P. et
d’Adilson » s’exclame Théo.
« Remarque,
on s’en doutait un peu, quand même » lui répondis-je.
« Elle
s’envoie en l’air avec un élève. Si la proviseure le savait, ça chaufferait
cinq minutes pour leur matricule, à ces deux-là ! » dit
Iourievna.
« Qu’est-ce
qu’on fait ? On le dit à Léa ? »
Demande Olga sur le ton de la plaisanterie, sachant que Léa se fera un malin
plaisir de flinguer les deux tourtereaux.
« Allez
chiche ! » dis-je, ravie de jouer un mauvais tour à
Adilson.
« Par
contre, si on le fait, Mademoiselle P. va morfler aussi et on l’aime bien
! » répond Théo, pas vraiment insensible à son charme.
« Eh
ben, tant pis pour elle. S’afficher avec un élève, c’est pas déontologique,
ça ! » répond Iourievna
« T’as
raison, Ioura. Et si le Adilson peut se faire convoquer dans le bureau de la
proviseure, et bien, tant mieux, ça lui rabattra son caquet ! »
répondis-je, ravie du tour pendable que nous pourrions jouer à Adilson, mon
rival.
Le lendemain, Olga met une
lettre anonyme dans le casier de Léa, au bureau des délégués de classes. Dans
l’enveloppe se trouve une photo où on reconnait Sandrine P. et Adilson, enlacés.
Le piège est en place et nous allons voir comment ça va se passer.
Tout excitée d’avance, j’en
pouffe toute seule en imaginant ce que Léa pourrait faire de cette information
croustillante. Par contre, il existe une possibilité qu’elle n’en fasse rien et
que notre dénonciation fasse long feu.
Par chance pour nous, Léa,
trop contente de jouer la justicière et de se faire mousser auprès de Fabienne
D., va la voir et lui rapporte qu’une professeure « fricote » avec un
élève.
« Alors
là, je n’en reviens pas que Mademoiselle P. s’affiche avec
Adilson ! » s’étonne Fabienne D.
« Je
voulais vous avertir de ce fait, car les notes d’Adilson se sont
mystérieusement améliorées. Je me demandais si ça n’avait pas un
rapport ? » complète Léa.
« Vous
avez raison, Léa, je vais tirer cette affaire au clair ! »
Fabienne D. demande à voir Sandrine
P. Au cours de l’entretien, en présentant les preuves de sa relation avec un
élève met Sandrine P. très mal à l’aise. Celle-ci bafouille, cherche ses mots,
donne des explications des plus hasardeuses et elle finit par reconnaitre les
faits lorsque la proviseure la pousse dans ses derniers retranchements.
« Je
vous avais prévenu que cette proximité avec vos élèves pouvait mal se passer.
C’est chose faite avec cette relation. Mais enfin, qu’est-ce qui vous a pris de
lier une relation avec Adilson ? Le règlement interne interdit tout acte
amoureux au sein de cet établissement ! »
s’emporte Fabienne D.
« Mais
cette photo n’a pas été prise au sein de l’établissement. Il n’y a donc pas
faute et Adilson est majeur, donc libre de faire ce qui lui plait et moi
aussi ! » tente de se défendre Sandrine P.
« Exact,
par contre, on m’a rapporté que ses notes s’étaient améliorées comme par magie,
et ça, c’est répréhensible ! Vous me montrerez ses relevés de notes
et nous allons comparer, car de tels progrès en si peu de temps, ça demande
éclaircissement ! » la contredit Fabienne D.
« J’ai
voulu lui donner un certain encouragement... »
s’empresse de révéler Sandrine P., se voyant prise au piège.
« C’est
ce que l’on appelle de la discrimination par rapport aux autres et ce n’est pas
parce qu’il vous fait montrer aux rideaux que ses notes doivent suivre... »
Sandrine P. rougit en entendant
la comparaison, mais elle reconnait que sa responsable a vu juste et qu’elle
est très perspicace. Avec Adilson, elle se sent tellement transportée qu’elle
lui a accordé des faveurs particulières.
« Puisque
vous ne niez pas, et cela est tout à votre honneur de reconnaitre vos erreurs,
ce sera cinquante coups de palette à fessée pour vous et Adilson et en
public » la condamne Fabienne P.
« Mais
Madame, je suis professeure, vous ne pouvez pas me faire fesser comme les
élèves ! » proteste Sandrine P., saisie de frayeur.
« Je
vais me gêner et ce sera sur les fesses nues... Etes-vous épilée ? »
« Euh, non, mais ils sont
coupés courts ! Je ne suis quand même pas une petite fille ! »
dit Sandrine P. en rougissant de devoir révéler des détails de son intimité.
« Vous
savez que pour les fessées, je fais épiler complètement les élèves pour qu’ils
soient rabaissés au rang de gamins. Pour le personnel enseignant, c’est la même
chose. Après ça, vous porterez un autre regard sur vos élèves. La punition aura
lieu vendredi midi, au centre de la cours »
« Dehors ? Il
ne fait pas chaud... » s’étonne Sandrine P.
« Ô,
rassurez-vous, Mademoiselle P., avec ce que vous allez prendre tous les deux,
vous allez vous réchauffer assez vite. Vous pouvez disposer... »
« Je
vous présente toutes mes excuses, Madame la proviseure ! »
implore Sandrine P., espérant un geste de clémence de la part de Fabienne D.,
mais celui-ci ne vient pas.
« Et
estimez-vous heureuse de ne recevoir que cinquante coups de palette à fessée,
car si vous aviez été prise dans l’établissement, ça aurait été quatre-vingts
coup de martinet sur tout le corps et entièrement nue. A présent,
déguerpissez ! »
Des larmes de honte dans les
yeux, Sandrine P. sort du bureau et croise Adilson qui arrive chez la
proviseure pour sa notification de comparution au conseil de discipline, qui se
tiendra le soir même et qui tranchera, assez vite, pour le même type de
correction corporelle, mais Adilson ne recevra que trente coups de palette à
fessée. Le conseil statue sur le fait que les notes majorées ne sont pas de sa
responsabilité et que seule Sandrine P. doit payer pour ces majorations, par
contre, tous les deux doivent être punis pour des relations intimes non
conformes à l’éthique de l’établissement.
Durant les quelques jours qui
nous séparent de la punition, Sandrine P. et Adilson ne se voient plus. Nous
les sentons très angoissés, car la nouvelle s’est propagée à grande vitesse à
travers les classes de Ste CROIX. Avec le confinement et les cours en semi
présentiel, les occasions de voir des punitions corporelles sont limitées. Les
élèves présents ce Vendredi ne seront donc pas aussi nombreux que d’habitude.
Par bonheur, Iourievna, Olga et moi, serons présentes à Ste CROIX pour nos
cours appliqués, sur les consoles de programmation qui ne sont pas accessibles
via Internet et dans ce cas, le présentiel est requis.
Sur leur passage, les élèves
se retournent et les deux tourtereaux sentent bien que des messes basses les
éclaboussent. A part Adilson, qui s’énerve contre les élèves qui gloussent,
Sandrine P. fait profil bas, pour ne pas en rajouter. Avec son rôle
d’enseignante, elle doit ne pas se laisser l’ascendant des élèves prendre le
pas sur son autorité, car ses cours s’en ressentiraient et ce n’est pas ce
qu’elle cherche à faire. Pour son cas, la grande majorité des élèves qui
l’aiment bien, n’en font pas des gorges chaudes.
Fabienne D., assez à cheval
sur les règles de l’établissement, convoque Mère supérieure Jolanta O. et Sœur
Weronika S., les deux religieuses de l’établissement d’obédience chrétienne et
fesseuses lors des punitions :
« Ma
Mère, ma Sœur, ce Vendredi, nous allons devoir corriger Sandrine P. et Adilson
qui se sont rendus tous les deux coupables d’écarts vis-à-vis du règlement et
des bonnes mœurs, ce qui a semé le trouble dans toute l’école ! Pour
corriger ça, il est indispensable de les reprendre en main et de leur faire
retrouver le droit chemin »
« Entendu,
Madame D. Nous allons veillez à ce qu’ils ne s’égarent plus »
Répond Mère supérieure, déjà toute frissonnante à l’idée de corriger un garçon.
« La
correction devra être administrée à la palette à fessée, de façon exemplaire.
Veillez à ce qu’on les entende hurler dans toute l’école. Ça doit servir d’avertissement
pour ceux et celles qui voudraient suivre ce mauvais chemin » complète
Fabienne D.
« Nous
allons bien graisser les palettes à fessées de sorte qu’elles claquent de façon
plus sonores sur les fesses de ces deux brebis égarées. Ils brailleront et
regretteront leurs actes, nous vous le promettons »
précise la mère supérieure.
Vers midi, après les cours et
juste avant la punition comme à chaque fois qu’une correction doit être donnée,
les punis se rendent chez Fabienne D. qui leur ordonne de retirer le bas de
leurs vêtements et de les accompagner chez Mère supérieure et Sœur reçoivent
les punis pour l’absolution de leurs pêchers, en sachant que celui-ci ne sera
totalement pardonné qu’après la correction corporelle. Les deux punis ont les
mains attachées dans le dos afin de ne pas pouvoir se cacher les parties
intimes et que l’humiliation agisse au maximum.
Assez humbles, Sandrine P. et
Adilson se présentent, l’un auprès de la Mère supérieure et l’autre auprès de
la Sœur, pour leur confession.
Seul garçon devant des femmes,
Adilson, honteux, ne peut contenir une érection qui offusque faussement les
religieuses, trop heureuses de voir le membre viril d’un homme se lever devant
elles.
« Ah,
alors ça, vous allez le payer, grossier personnage, il va vous en cuire d’avoir
ce genre de réaction devant des femmes d’église ! Comment osez-vous ?
»
s’emporte faussement Mère supérieure, qui l’emmène à l’isoloir.
Mère supérieure fait
agenouiller le repentant et le force à lui révéler ses pêchers. Adilson, tout
penaud, se confesse et demande pardon pour tout ce qu’il a fait et promet de
s’amender à l’avenir.
Après la confession, Mère
supérieure lui enduit les fesses et les cuisses d’eau bénite, sensée purifier
les zones de pêchés. De gestes assez délicats, elle lui enduit le pénis qu’elle
décalotte avec délectation, ce qui renforce l’érection d’Adilson, qui ne peut
rien faire, dans la mesure où ses mains sont attachées dans le dos.
Après s’être confessés, à
travers les couloirs, le cortège arrive à la cour où la sortie est du plus
humiliant pour les deux punis, qui voient tous les regards et les moqueries se
diriger vers eux, ce qui les fait rougir.
Fabienne D. doit pousser un
grand coup Sandrine P., tétanisée, pour qu’elle avance :
« Ne
jouez pas la gamine, Sandrine, quelle image donnez-vous de vous-même ? »
Le visage en pleurs, les deux
punis sont menés au centre de la cour sous les huées des élèves. L’un et
l’autre ont la tête baissée, tant ils sont honteux de se retrouver dans
pareille situation, puis face aux élèves et au corps enseignant, la proviseure
les présente et détaille bien la raison de leur présence, puis ils sont
attachés solidement, penchés en avant et les cuisses écartées.
« Alors
Lena, heureuse ? » me demande Olga.
« Ah,
ouais, voir cet abruti d’Adilson en mauvaise posture me transporte de joie.
J’espère qu’elles vont le faire brailler ! Et puis regarde sa grosse queue
dressée et son gland déjà tout rouge, comment il est ridicule, comme ça, cet
abruti ! » Me moquais-je de mon rival.
« Dommage
qu’elles n’utilisent pas les martinets de discipline, car il y aurait surement
eu des - accidents - avec les longues lanières qui s’enroulent sur
les hanches et elles lui auraient cinglé sa queue. Ça arrive souvent, ça ! »
complète Iourievna.
« Ah
ouais, t’as raison, Ioura ! Ça, c’est ma hantise quand on me fouette au
martinet, c’est de m’en prendre sur le pubis et sur les grandes lèvres ou que
je m’en prenne sur les nichons quand on me fouette le dos, ça fait super mal ! !
»
confiais-je à mes amis.
« A
tous les coups, ceux qui tiennent le martinet font exprès de déraper... » conclue
Théo.
Tout en discutant, nous nous
frayons un chemin pour être mieux placer. De là où nous sommes, nous pouvoir
voir les testicules d’Adilson et la fente entrouverte de notre professeure et
l’auréole sombre de leur anus découvert.
Les deux religieuses
commencent à cingler les deux tourtereaux. Les palettes à fessées claquent sur
les fesses des punis. Ceux-ci se raidissent en tressaillant, preuve que ça
commence à leur chauffer l’épiderme. De belles traces bien rouges se dessinent
sur les croupes offertes.
Les spectateurs surexcités
encouragent les religieuses à appuyer leurs coups de façon à faire rugir les
punis. Personnellement, je les incite à faire hurler Adilson, car je trouve
qu’elles ne le corrigent pas suffisamment.
Au fur et à mesure de la
fessée, les fesses et les cuisses des punis sont de plus en plus rouge et les
premiers hurlements se font entendre. Sandrine P. ne les retient même plus,
abandonnant le peu de dignité qui lui reste.
Adilson, le gland à l’air, ne
peut retenir une éjaculation due à ses contractions frénétiques. Nous voyons
couler le sperme le long de son membre dressé.
« Ça
y est, t’es contente Lena... elles l’ont fait gicler le Adilson, c’est la
preuve qu’il en bave un max ! » me dit Olga
« Ouais,
c’est super génial de le voir comme ça ! Il la ramènera moins,
maintenant ! Dommage qu’il en reçoive pas plus ! Que trente
coups de palette, c’était pas cher payé » lui répondis-je.
« Regardez
Mademoiselle P., elle dégouline aussi ! Elles ne la ratent pas, les deux
religieuses ! » nous dit Théo.
En effet, sa fente et
l’intérieur de ses cuisses sont luisants de cyprine !
« Après
ça, elle ne pourra plus s’assoir durant un moment ! »
complétais-je.
Lorsque les punitions sont
terminées, les religieuses détachent les deux punis et la proviseure vient pour
leur dire que leur punition n’est pas vraiment terminée, car ils devront rester
les fesses à l’air pour le restant de l’après-midi. Ils ne pourront se
rhabiller qu’en toute fin de la journée, après une ultime sermonnée dans le
bureau de Fabienne D.
Notre infirmière les examine
sommairement et conclue rapidement que tout va bien pour eux. Les belles rougeurs
s’estomperont d’ici quelques jours et les forceront à réfléchir à leur
comportement.
Adilson et Sandrine P. se
relèvent, le visage inondé de larmes et les mains effleurant leurs fesses
bouillantes, et rentrent, en boitant, dans le bâtiment principal sous les huées
et les moqueries des spectateurs, car les cours vont reprendre.
Sandrine P. a juste le temps
de se passer un peu d’eau sur la figure et de se recoiffer avant son cours dans
lequel elle enseigne à des élèves de seconde. Durant tout son cours, Sandrine
P., rouge de honte et le bas du corps en feu, ose à peine regarder ses élèves,
les voyant pouffer de rire. En plus, sur l’estrade, elle offre une vue directe
sur son intimité, malgré le fait qu’elle tente de masquer son pubis lorsqu’elle
est face aux élèves. Certains osent même lui dire que ce n’est pas la peine de
se cacher car elle en a déjà montré, tant et plus, durant sa correction.
Quant à Adilson, qui n’en mène
pas large dans l’amphi, il ne peut même pas se faire oublier, car son
professeur l’a positionné debout au premier rang, sachant qu’il ne pourrait pas
s’assoir.
« Mon
pauvre Adilson... toi qui te vante souvent d’être super viril, t’as pas giclé
très loin... » Lui dit Léa, en se moquant.
Adilson, qui n’hésite jamais à
insulter ses camarades qui lui font des remontrances, ne trouve rien à lui
dire, tant la réflexion de Léa l’a dégradé et remis à sa place.
Le dernier cours de la semaine
est une séance d’éducation physique, où les différents Mastères sont regroupés.
Jessica T., notre coache
sportive, ayant vu Adilson se faire fesser, lui ordonne de rester les fesses à
l’air durant tout le cours.
« Eh,
regardez, Adilson est sur le stade, il va courir avec nous... et la saucisse
à l’air, en plus ! » me dit Iourievna.
Ravie, je m’arrange pour qu’il
me voit pouffer de rire en lui regardant le pénis, histoire de continuer à bien
l’humilier. Rouge écarlate de honte, Adilson baisse la tête, piteusement, lui
qui en principe tient tête à tout le monde et surtout aux femmes qu’il juge
inférieure à lui !
Pendant qu’il trottine plus
qu’il ne court, car chaque foulée réveille ses brulures, nous voyons ses
attributs masculins ballotter, renforçant notre fou rire.
« Mesdemoiselles,
veuillez rester concentrées sur votre course, sinon, je vous fais déshabiller
entièrement et on verra si vous êtes plus à l’aise que lui ! »
menace Jessica T.
L’intimidation de notre coache
nous aiguillonne et nous accélérons la foulée, car l’idée de nous retrouver toutes
nues ne nous enchantent guère.
A la fin de la séance, notre
performance est très correcte et notre coache est satisfaite de nous avoir fait
peur avec ses menaces, car nous nous sommes dépassées... Surtout moi, qui
n’aurais surtout pas voulu être nue comme Adilson, pour un coup que j’ai de
l’ascendant sur lui...
Durant les semaines qui suivent cette correction, Adilson et Sandrine P. se font discrets, car tous les regards moqueurs sont dirigés vers eux lorsque les élèves les reconnaissent. C’est beaucoup plus fréquent pour Sandrine P. qui une large majorité d’élèves dans ses cours.
Une série écrite par Elena
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Amis de la poésie et de la fessée, saucisse partie... Bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Eléna, encore une fois déchaînée, qui n'y va pas avec le dos du goupillon avec les principes religieux. A Ste Croix, c'est pas ce que tu crois... Chantons avec elle, ''Elles sont toutes belles, belles, belles, belle ... !
Il n'y a pas à tortiller (du derrière) la morale catholique et chrétienne à l'institut, se prend un sacré coup d'encensoir dans le tabernacle! Le petit Jésus doit s'en retourner sur sa croix.
Dans cet épisode éjaculatoire en diable (vade retro bananas!) on retrouve en fait une belle brochette de vicelards, faux jetons, délateurs, tricheurs, manipulateurs, complotistes, pervers, voyeurs, sadiques... tous bon pour les flammes de l'enfer!
Sauf que, en attendant le jugement du petit dernier, dans la cour de l'école, ce sont encore les fesses des misérables pêcheurs et cheresses qui flambent sous la palette à fessée. Après, c'est nouveau ça vient de sortir, purification à l'eau bénite, des parties géniales prises en flagrant délit de fornication! Soeur fesseuse Wéronika, la main sur le manche, reprend du service à s'en éclabousser la cornette, tout à sa joie de châtier le couple maudit, vautré dans le stupre et la luxure! Beuuuurkkk !
Non Sandrine P. (comme: Piton de la fournaise!) On ne fricote pas avec son élève, même latino bellâtre, dont on fait monter les notes en même temps que son saucisson de Morteau! Du coup, Adilson... le glas de sa relation crapuleuse avec Sandrine P. honteusement dénoncée dans une lettre anonyme par les Camille, Olga, Lena et compagnie dignes héritière de la collaboration !
Pas une pour rattraper l'autre, tout le monde mérite de s'en prendre plein les fesses, dans ce 57è chapitre des aventuriers des fessées culs nus! Manque plus, pour ces possédés du démon, qu'un exorcisme à coup de battoir à linge avec un cierge béni dans le derrière ! Prends ma couronne, je te la donne, au ciel tu verras, on te l'arrangera... (cantique d'avant la Covid)
Amicalement en attendant le jugement dernier, qui ne devrait plus tarder.
Ramina
Amis de la poésie et de la gaudriole entre copains, Bonjour,
SupprimerVous avez tout à fait lu entre les lignes. A Ste CROIX, on ne plaisante pas avec les règles inscrites sur le règlement sacré en plus des bonnes moeurs.
Adilson, qui a quelques compte à régler avec notre chère écrivaine, en prend pour son grade dans cet épisode. En fait, tout est bon, pour le faire punir.
Sandrine P. ( comme Païenne ) devra expier ses péchés avec la Palette à fessée, de quoi lui faire chauffer le côté face comme Adilson lui a chauffé le côté pile.
Comme d'hab, les beaux jeux de mot judicieusement éparpillés dans les commentaires en font une pièce de musée.
Amitiés.
Elena.