LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
L'APRENTISSAGE DES BONNES LANIERES.
Cette histoire de lanières coupées taraudait
le garçon. S'il ne regrettait pas d'avoir mis son idée à exécution,
il s'inquiétait cependant de la réaction de sa mère, si elle le questionnait
ouvertement à ce sujet, quand la fessée d'Edouard serait
terminée ou même seulement interrompue. Si elle se rendait compte de ce qu'il
avait fait, elle risquait de le lui faire paye rocher. Il s'était montré imprudent
en évoquant le remplacement du martinet.
Plus la correction d'Edouard durait et plus il
se disait qu'il aurait dû se taire puisque, de toute façon, sa vengeance était
accomplie sans cet éventuel achat chez le cordonnier
plutôt qu'au bazar.
La séance de fessées lui paraissait
interminable. Evidemment, le beau-père devait penser la même
chose... s'il était en mesure de penser. Connaissant, par son expérience
personnelle, ce genre de situation, il savait que ce n’était pas absolument
certain... Patricia, en pleine euphorie d'en avoir une si belle paire à
disposition sous la main, ne faiblissait pas et s'en donnait à cœur joie. Robin
voyait toujours danser le gros derrière écarlate, la peau luisante, sa rondeur
tentante le transformant en mappemonde incendiée. Pour compléter cette
excitante chorégraphie, ne manquait ni la musique sonore des claques ni le
chant désespéré du puni dont les supplications brouillées de sanglots
résonnaient dans toute la maison.
Enfin, Patricia, la poitrine débordante perlée
de sueur, fait claquer rageusement sa main une dernière fois, en plein milieu
des deux fesses solidement corrigées.
« Et voilà, il est servi beau papa... et bien
servi! Il a eu sa fessée du soir, avec une nuit de récupération avant celle de
demain matin. S'exclame-t-elle, en se levant et, sans
s'en soucier, le faisant tomber sur le sol à ses pieds. Et
quel plaisir de claquer ces belles fesses ! Et pour claquer, elles claquent
vraiment bien... On ne s'en lasse pas !
– Tout à fait ma chérie, et ce n'est
pas par hasard, tu le sais bien. Un fessier comme celui-là, ça s'entretient. Il faut
des séances de fessées régulières pour obtenir ce claquant bien
sec et retentissant si agréable à entendre.
– Je sais maman, je sais, répond Patricia en
frottant sa paume brûlante, c''est pour ça que je ne
demande qu'à participer à l'entretien.
Pour le derrière de Robin, c'est déjà le cas, mais il y a aussi les
fesses de celui-là »
Elle oblige Edouard à se relever, en le
saisissant par une oreille, et l'envoie au coin d’une nouvelle claque
vigoureusement assénée qui fait sauter une nouvelle fois ses grosses fesses
écarlates. Il pousse un cri de douleur et s'y précipite à petits pas, aussi
vite qu'il le peut, au risque de faire craquer les élastiques de son slip tendu
entre ses cuisses.
« Tu vois maman, moi aussi je sais me
faire obéir !
– Mais ma chérie, je n'en doute pas une
seconde, dit Gladys en se penchant vers la table basse pour saisissant la
bouteille de Whisky. Aller... viens prendre un verre pour te détendre… On vient
d'avoir une fin de journée épuisante ! Regarde comme il est
serviable aujourd'hui notre grand garçon, il s'est occupé de nous préparer
l'apéritif... Il a juste oublié les glaçons.
Robin, servile jusqu'au bout, saute de son
fauteuil et se précipite vers la cuisine.
« J'y vais maman ! J'y vais tout de
suite ! ».
Sa sœur le regarde s'agiter avec un sourire en
coin.
« Qu’est-ce qu'il lui prend, lui,
tout d'un coup. Il n'est pas comme ça d'habitude. Voodoo...Il a sûrement quelque
chose à se reprocher. Et puis... Un oubli... c'est la fessée,
non ?
– Voyons Patricia, tu viens à peine d'en finir
avec celle de ton beau-père...Dit Gladys en souriant
affectueusement. Détends-toi un peu la main ma chérie,
des fessées il y en aura d'autres !... Regarde ton frère, le voilà qui
revient avec les glaçons... »
Patricia, contrariée, ne répond pas et s'assied
en croisant nerveusement les jambes. Sa mère toujours souriante lui tend son verre pour trinquer.
« Aller, aux cuisantes fessée à
venir ! Son ton se fait plus ferme. Mais si tu commences à bouder comme ça
ma mignonne, la prochaine c'est pour tes fesses ! Elles ne sont à l'abri de rien tu sais...Ça
fait un petit moment que je ne t'ai pas déculottée pour t'en mettre une
bonne... Je déteste te voir jouer les petites filles
capricieuses ! »
Robin, même s'il n'est pas concerné, sent que
le temps s'assombrit encore avec une météo orageuse en alerte rouge sur des
ballons fessiers. Gros risque d''averse de claques. Il décide de monter dans sa
chambre.
« Je crois que je vais aller
dormir maman !
– Maintenant ? Mais tu n'as pas
mangé !
– Je n'ai pas faim maman. Et je suis un peu fatigué.
– Comme tu veux mon chéri. Tu mangeras mieux
demain ! »
Il embrasse sa mère, fait juste un signe de la
main à sa sœur et monte l'escalier rapidement
en se disant que finalement qu'il se n’en
sortait plutôt pas mal. Ouf !! Il était soulagé... Il avait
échappé à toute question embarrassante et il était effectivement assommé
de fatigue du fait de cette journée riche en événements
Il ne s’endormit cependant pas immédiatement…
Il se me mit à penser à Gilbert, le mari de Régine, qui devait être emmené le
lendemain, acheter son martinet pour prix de son infidélité... Douglas aussi, complice avec Edouard... et pourquoi pas Bettina, après tout, à
l'origine de toute cette histoire abracadabrante? Puis il se dit
que selon toute vraisemblance,
Douglas devait avoir, lui aussi commencé à payer l'addition et
certainement reçu le même genre de fessée qu’Edouard... Qu'il était peut-être
encore en train de tortiller son fessier bien rouge sur les genoux de Clarisse,
elle aussi très généreuse sur la distribution des fessées. Il l’imaginait son cul ...tout rouge ...et
plus remuant que jamais. Rassuré de ne pas être mêlé à cette pitoyable
embrouille, et d'avoir pour une fois gardé ses fesses intactes, il s'endormit
soudainement.
Le lendemain matin, Robin se réveilla plus tard
que d’habitude, sans doute fatigué par les événements de la veille. Il entendit
que son beau-père père était sur le point de
partir. Il se leva en catastrophe et descendit en pyjama, mal réveillé. Le
spectacle ne manquait pas de piquant. Edouard de dos, courbé en deux, retenant
à deux mains son pantalon baissé, était en train de se faire reculotter par sa
mère. Consciencieusement, elle lui ajuste son slip, tellement tendu sur le
derrière que les élastiques lui rentrent profondément dans la raie avec, pour
effet, de faire ressortir presque entièrement les deux fesses. Elles donnent
l'impression d'être passées à travers le nylon. Leur rougeur éclatante est
encore mise en valeur, par contraste avec le blanc de ce qui reste encore
visible du slip.
Robin
comprend alors qu'il avait dû être réveillé par le claquement de la fessée du
matin, quotidienne, comme celle du soir, depuis le début de la semaine.
« Tu peux remonter ton pantalon
maintenant mon chéri... »
Dit suavement Gladys en lui redressant la tête
afin d’échanger un baiser, pendant qu’elle
lui claque, fermement les fesses, encore à l'air, du plat de son
autre main. Il pousse un petit gémissement.
« Là, ça se voit que tes fesses
ont bien claqué ! Lui murmure-t-elle à l’oreille
en l'aidant à se reculotter, pour bien lui ajuster son pantalon
moulant sur les fesses. Elle ironise. La
fessée du matin, c'est comme la cigarette... c'est la meilleure. Quoique tu es
gâté, celle du soir n'est pas mal non plus !
– Oh Gladys tu es vraiment sévère avec moi,
grince Edouard alors qu'elle finit de
boucler elle-même sa ceinture.
– Eh oui mon ami, je suis sévère... peut-être
même pas encore assez... Sévère, mais juste ! Tu ne mériterais pas autant
de fessées si tu te comportais en adulte responsable. Au lieu de ça, monsieur
va jouer les entremetteurs avec ses petits copains en allant mettre son nez
dans les affaires des autres.
– Oui mais chérie, c'est dur, une fessée matin
et soir pendant toute la semaine...
– Bien au contraire mon cher ça va te faire le plus
grand bien. D'ailleurs vous l'avez amplement mérité, les Douglas, Gilbert et
compagnie ! Et ensuite tu devrais nous remercier Patricia et moi de
prendre autant soin de tes fesses ! Et à ce propos... je n'ai encore
rien entendu ; Tu n'oublies rien avant de partir ?...
Edouard n'en sort pas et cumule les oublis, les
erreurs, les entorses au règles les plus élémentaires de la discipline
conjugale... comme de faire preuve de gratitude après une fessée. Il vient de
s'en prendre une et se retrouve encore pris en défaut. Il bredouille en se
dandinant d'un pied sur l'autre. Ce qui ravive la cuisson de ses fesses au
frottement de l'une contre l'autre.
– « Mer... Merci chérie pour cette...
cette bonne fessée...
-- Bonne ?... C’est tout ?
– Euh... Cuisante aussi.... Et sévère... Bonne et cuisante
fessée ...
– Alors... tu la sens bien la cuisson de tes
fesses ?
– Ah oui je la sens... Tu tapes tellement fort
à chaque fois, que ça dure longtemps !
– Mais c'est bien pour ça que je tape fort mon
chéri. Pour que tu ressentes l'effet de la fessée le plus longtemps possible.
Et quand je vais te déculotter ce soir
j’espère bien trouver dans ton slip une belle paire de fesses encore un
peu rouge de la fessée que tu viens de recevoir... pour une nouvelle encore
plus cuisante... !
-
Le malheureux effondré, enfile sa veste et
saisit son attaché case ;
« Il faut que j'y aille Gladys.... Je
vais être en retard...
– C'est ça oui... alors qu'est-ce que tu attends ! Au moins je sais que tu penseras à ta femme
chérie quand tu vas t'asseoir à ton bureau le derrière encore cuisant, bien,
serré dans ton slip ! Un peu comme si
tu sentais encore ma main claquer sur tes fesses. Tu te rends compte de la
chance que tu as ! »
Et elle le pousse dehors en riant.
« A tout à l'heure mon chéri !
Rentre immédiatement et prépare bien tes fesses ! J'aurai eu le temps de
me reposer la main pour ta punition du soir...
Robin avait assisté à la scène sans rien
dire. Il embrassa sa mère en lui disant bonjour, elle lui caressa les
cheveux en lui disant de s’installer pour déjeuner. Il eut ainsi la confirmation
qu’elle ne se doutait de rien et ignorait donc que c'était lui qui avait saboté
le martinet. Il prit son petit déjeuner,
rassuré, et retourna dans sa chambre mettre autre chose que son pyjama et faire
son lit.
Quelqu’un sonna à la porte. C’était Clarisse
qui revenait de ses courses en centre-ville et, le plus naturellement
du monde, passait échanger des nouvelles sur le déroulement des punitions. Rapidement, sans attendre, elle entama le sujet
pour lequel elle était venue.
« Dis donc Gladys, je suis passée devant
chez toi hier soir, qu’est-ce que ça claquait fort... et longtemps ! Ce sont les fesses d'Edouard qui claquaient
comme ça ?
– Bien
sûr ! On lui a mis une sacrée déculottée avec Patricia...En fait trois fessées
les unes après les autres dont une au martinet
! Et de première main. Il en avait encore les fesses cuisantes
quand je lui ai flanqué celle de ce matin !
– C'est ce qu'il leur faut, à ces
petits salopards ! Non mais... tu ne vois pas le cirque qu'ils nous ont
fait ! Je te garantis que les fesses de Douglas n'ont pas, non plus, le
temps de refroidir. Cette idée de fessées matin et soir est excellente.
– Oui, mais pourquoi tu n'es pas entrée pour
assister à celles d'Edouard ? Tu sais bien que c'est encore mieux en
public !
– C'est vrai mais je ne voulais pas perturber
la séance. Moi je sais, par exemple que je n'aime pas être interrompue quand je
fesse. Ça fait perdre le rythme.
– C'est bien dommage, tu te serais régalée.
– Ah mais, c'est en rentrant chez moi que je me
suis régalée. D'entendre claquer comme ça les fesses d'Edouard, ça m'a
tellement stimulée qu'après sa fessée, Douglas avait le derrière si cuisant
qu'une fois à table, il ne tenait pas en place sur sa chaise. Amah, Je te l'ai calmé tout de
suite... Retour sur mes genoux et deuxième fessée déculottée ! Et là...
Traitement radical, il a terminé le
dîner les fesses écarlates, mais assis correctement,
comme tout le monde.
– Tu as raison Clarisse c'est comme ça qu'on
les dresse... en leur mettant la pression sur le derrière ! Et il a fini comment ton Douglas ?;
– Et bien
comme je lui interdit de se reculotter et que je le fais asseoir sur
une chaise cannelée, il est ressortit de table les fesses entièrement
quadrillées en rouge vermillon. C'était
très amusant, mais pas vraiment esthétique. Alors je lui ai remis une troisième
fessée pour égaliser tout ça avant de l'envoyer au lit... je ne te
raconte pas l'état de ses fesses ce matin quand il est parti au bureau après
sa première raclée de la journée !
–
Et tu déculottes à chaque fois ?
– Bien sûr voyons ! Tu le sais bien, une
vraie fessée ne se conçoit pas autrement que déculottée. Mais au début de
chaque séance je lui prépare toujours le derrière avec une solide séance
d'échauffement à travers le slip...
C'est comme ça que je fais aussi avec Rodolphe. Celui-là... il commence à avoir une
paire de fesses qui a besoin d'une bonne préparation pour bien claquer.
– Et tu leur fais porter les slips à fessée...
Ceux de chez Coleridge ?
– Naturellement, ils sont conçus pour ça … Avec
un nylon transparent très solide, qui entretient
merveilleusement bien la cuisson
– Et qui rend les fesses plus
fermes... Ensuite quand elles sont prêtes, tu déculottes pour
la fessée suivante...
– Evidemment, la fessée déculottée... la vraie
fessée quoi ! Mais dis-moi... Pourquoi tu as
l'intention d'aller acheter un nouveau martinet à ton mari. Le tien n'est tout
de même pas déjà usé ? »
-
Comme d’habitude Robin s’était posté à l’abri des regards,
sur le palier, en haut de l’escalier. Cette question de Clarisse sur le
pourquoi de l’achat d’un nouveau martinet ne lui plaisait pas du tout. Sa mère était en train de lui expliquer que
pendant qu’elle flanquait sa fessée à son mari, deux lanières s’étaient
détachées et qu'elle avait finalement décidé de l’emmener en acheter un neuf chez le
cordonnier... Clarisse eut un petit rire.
« C’est Bettina qui t'a parlé de ce fabricant de martinet
artisanal, il n'y a pas longtemps ? Elle est ce qu'elle est, mais sur ce
point, elle a tout à fait raison. ...Il faut toujours avoir un bon martinet à
la maison ...pour le derrière de nos maris et celui de nos garnements de fils... c’est absolument
indispensable.
– Je suis bien d'accord. Vu leur comportement, on en a
besoin très souvent.
– Moi, à ta place,
j’en achèterai même deux. Un pour Edouard et un pour Robin ...à leurs mesures à
chacun ! Pour les maris, il en faut
quand même un avec des lanières plus longues et plus nombreuses... Ils ont des
plus grosses fesses que les garçons. Quoi que, à force de recevoir des fessées,
Rodolphe commence à en avoir une sacrée paire.
– C'est ce que je constate aussi à propos des fesses de
Robin... Pour profiter, elles profitent... Elles sont presque aussi endurantes que celles de son beau-père.
– Les fessées sont plus longues et plus sévères voilà
tout... Dit Clarisse en riant... On ne va tout de
même pas s'en plaindre.
Elle continue,
« Mais dis donc …deux lanières parties le même jour,
pendant la même fessée, comment c’est possible ? Je sais qu'il faut taper fort
mais quand même.
Gladys jeté un regard amusé à son amie.
– Voyons Clarisse, ce n'est pas à toi que vais apprendre
ça...Un martinet c'est fait pour servir. Et ici, comme chez toi. Il sert souvent.
Tous les jours, souvent même, plusieurs fois par jour... sur les fesses
de mon gamin ...et encore plus sur celles d'Edouard, et elles sont de plus en
plus dures ! »
– Oui …mais
bon ...ils sont toujours déculottés quand tu les corriges !... Je sais bien qu'ils ont les fesses
dures... les miens c'est pareil, mais ils n'ont tout de même pas le derrière en
bois !
– Ah pour ça non ! Je peux le dire, ça reste bien
souple. »
Les deux amies papotaient tranquillement sur la fessée
comme s'il s'agissait d'un sujet tout à fait banal qui faisait partie de leur
quotidien. Un petit sourire complice au
bord des lèvres Clarisse s'enfonça dans le fauteuil en croisant très haut les
jambes. Le crissement de ses bas nylons sur ses cuisses lorsqu'elle les
décroisait, était sa manière de signifier à son puni qu'il devait venir s'y allonger pour présenter ses
fesses. Cela faisait partie de cette multitude de petits gestes d'intimidation que ces
dames utilisaient pour conditionner leurs victimes à se soumettre à leur autorité. Elle poursuivit en tendant la main avec
nonchalance.
« Dis-moi chérie, tu veux bien me le montrer ce
martinet …comme
ça …pour
voir... Même si je sais que tu les choisis toujours très soldes.
Robin, toujours en l'écoute en haut de l'escalier, sent sa
gorge se nouer et ses jambes flageoler. Jusqu'ici il n'est pas venu à l'idée de
sa mère que le fameux martinet ait pu être saboté. Si elle l'avait examiné, elle aurait tout de
suite remarqué les coupures nettes du cuir entamé au cutter. Le coupable
n'étant pas difficile à trouver, elle aurait été capable de lui faire sauter le
reste des lanières intactes, une à une, sur les fesses.
Heureusement il l'entend répondre.
« Désolée Clarisse... j'ai demandé à Patricia de
le jeter, après la séance de fessées d'hier.
Et je ne sais pas où. De toute façon je vais en acheter un autre dès aujourd’hui… Ou
demain. »
Robin, rassuré sent retomber ses cheveux qui s'étaient
dressés sur sa tête.
– Moi,
je sais ma petite Maman, mais je ne vais pas te le dire ! Patricia l’a jeté dans la
poubelle …et
la poubelle, c'est Edouard qui l’a sortie dans la rue comme tous les matins
avant de partir... Ouf ! Pour une fois... merci sœurette ! Si tu savais quelle bonne idée
tu as eu.
Je suis sûr que Clarisse aurait bien trouvé que les lanières étaient
tailladées.
Pendant que Robin s'auto- congratulait, ces Dames
confortablement installées dans le canapé, qui ne servait pas qu'à distribuer
des fessées, poursuivaient tranquillement leur conversation. Elles décidèrent
d'aller ensemble, avec leur mari chez le fameux artisan cordonnier pour l'achat
des martinets sur mesure. Et ce dès le lendemain.
« Ce n'est pas la peine d'attendre plus longtemps
dit Gladys. On ne peut pas se passer de martinet. Les fessées en ce moment,
c'est deux fois par jour.
Clarisse confirme.;
– « Oui, et on n'est qu'au milieu de la semaine. Les
fessées à la main c'est très bien, mais leurs grosses fesses ont besoin aussi
de sentir cingler de bonnes lanières !
Gladys proposa un café, qu'elle rapporta de la cuisine deux
minutes après.
– « Je ne sais pas ce que tu en penses, mais je me dis qu'on devra leur préparer le derrière avant.
– Tu as raison, c’est normal qu'ils arrivent dans le magasin les
fesses bien rouges pour choisir un
autre martinet !
– Et surtout les tester sur place. Il faudra bien en
essayer plusieurs avant d'en adopter un ».
Les deux femmes étant d'accord sur la mesure, il ne restait
plus qu'à en fixer les modalités.
« Si tu veux dit Clarisse, on les prépare toute les deux ensembles. Tu me
rejoins à la maison avec Edouard. On leur met à chacun une bonne fessée et, on
les emmène tout de suite chez le cordonnier tant qu'ils ont les fesses bien
rouges. Quitte à leur mettre un deuxième service en arrivant si elles ont perdu
de la couleur.
Gladys n'hésite pas une seconde.
– Ça me
va ! Je te retrouve chez toi demain
en tout début d'après-midi avec Edouard. Il aura le derrière encore sensible de sa
fessée du matin... Comme Douglas je suppose,
– Tout à fait! »
Satisfaite de sa visite, Clarisse se levé du canapé. Elle, prend son sac,
embrasse son amie et sort en tortillant outrageusement du derrière. Etroitement
moulé dans sa courte jupe serrée, il apparaît encore plus provocant.
« J'ai hâte d'être à demain... La journée s'annonce
particulièrement excitante ! »
Robin, toujours à l'écoute en haut de l'escalier, n'en
croit pas ses oreilles. Tout se déroule comme il le souhaitait. Au-delà même de ses espérances. Douglas va
faire partie de l'expédition... La grosse rigolade ! Il doit absolument prévenir Gérôme et surtout
Rodolphe. D’une
part pour lui montrer que son plan, à lui, fonctionne à merveille, mieux,
certainement, que son idée foireuse de couper toutes les lanières. Et aussi
que, grâce à lui, son beau-père va bientôt hériter d'un nouveau martinet... sur
mesure. Dans l’euphorie de son succès, il a oublié que les
instruments de discipline, flambant neuf, flambant étant le mot juste,
allaient, probablement aussi, servir sur leurs fesses.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 19
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour, vos histoires sont toujours passionnantes et très détaillées comme les dessins qui sont formidables. Je suis un lecteur assidu des aventures de Gladys et de sa petite troupe. Je trouve l'insertion de nouveaux personnages très en lien avec l'histoire. Continuez à écrire pour "Ces Dames" car je pense qu'il peut y avoir encore pleins de nouveaux sujets à explorer en matière de fessée. Amicalement
RépondreSupprimerBonjour Ramina,
RépondreSupprimer"les déesses de la Vengeance" !!! Talaaam !
Quel suspense !! Robin l'a échappé belle mais... ça ne semble que partie remise. Si Maman Gladys connaissait la vérité ????
Ca chaufferaaaaaaaait !!!! Mais attendons la suite avec fébrilité...
Rires.
Amicalement. Peter.
Bonjour Anonyme,
RépondreSupprimerMerci pour ces commentaires encourageants. Gladys et ses amies vous en sont reconnaissantes... Elles se donnent tant de mal à bien éduquer ces messieurs! Dans ce récit à tiroir il est intéressant de faire vivre plusieurs personnages avec des personnalités assez différentes, propices, comme vous dites, à une exploration tout azimut du phénomène de la fessée.
Merci aussi pour les dessins, j'ai la chance de pouvoir donner vie en images aux personnages que je mets en scène dans mes histoires. Il faut dire que j'y passe beaucoup de temps... mais ça vaut le coup! Je m'amuse beaucoup à représenter ces personnage au gros derrière... Ah fantasmes quand ils nous tiennent!
Amicalement
Ramina
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerC'est assez drôle de savoir que tu suis les aventures croisées de ces garçons turbulents , ( et de ces Dames évidemment) comme s'il s'agissait des " Pieds Nickelés" "Bibi Fricotin","Gaston Lagaffe"ou autres personnages de bandes dessinées... Ou de Gérôme et sa famille d'impayables! La fessée en plus! Et ça m'arrive d'y penser quand j'écris! (Et toi t'écris quand ?)
Et oui le gars Robin passe à travers pour le moment... Qu'est ce qu'il va -t-il donc se passer maintenant ? Vous le saurez en lisant le 21è épisode de notre ...
Amicalement
Ramina