Dehors, le temps, cette année, est relativement clément et de ce fait, nous nous promenons le long de la plage, allons dans notre bar préféré (LE BARBEROUSSE) pour prendre une boisson chaude et pour papoter entre amis et rigoler. La soirée avance et Lisendro nous propose de prendre l’apéritif, car le café et le chocolat chaud ne sont plus d’actualité à cette heure. Nous validons ce choix, histoire de nous mettre un peu plus dans la fête.
En aparté entre filles,
j’avoue la sévère fessée non méritée reçue avec ma cousine Yulia chez tata
Darya pour cette fête improvisée. Je dois l’avouer, car certains amis russes
présents à la fête connaissent Ekaterina, Olga et Iourievna et les trois sœurs
ont été informées de notre mésaventure. Bien évidemment, elles ne se sont pas
privées de me demander plus amples explications avec tous les détails
possibles. Je suis vexée qu’elles le sachent et je dois leur expliquer les
raisons et les conditions dans lesquelles ma cousine et moi avons été
fouettées, entièrement nues et en public. J’aurais préféré que ça reste secret,
mais pour ce genre d’infortune, les nouvelles vont très vites, surtout que des
photos ont été prises et bien diffusées. Les filles me plaignent, mais je
devine qu’elles auraient aimé être présentes pour se délecter de cet excitant
spectacle. Je ne leur en veux pas, car je n’aurais pas refusé d’assister à
l’une de leur fessée pour les entendre hurler de douleur, les voir gigoter sous
les claquements sonores des lanières sur leur chair et contempler leurs fesses
zébrées et bien rouges sous les cinglées...
Nous commandons des cocktails
à base de whisky, vodka ou tequila. L’alcool nous euphorise rapidement et nous
rigolons pour un rien, jusqu’au moment où le barman vient nous demander de
sortir, car l’heure de la fermeture est arrivée. C’est avec regret que nous
partons, après avoir payé les multiples consommations. Lorsque nous sommes
dehors, nous nous demandons où terminer la soirée et Lyana nous indique le nom
d’un dépôt d’alcool où nous pourrons acheter en toute légalité quelques autres bouteilles.
Nous nous dirigeons avec entrain
vers le magasin et en arrivant, nous découvrons le paradis des bouteilles où nous
achetons pour l’équivalent de trois litres d’alcool fort. Tout en nous
promenant, nous buvons en chantant, en criant et en chahutant dans les rues de
notre ville, tout en nous moquant des gens alentour qui nous regardent en
biais. Tout en déambulant dans les rues, l’alcool aidant, nous vociférons et
nous faisons les pitres. Certaines personnes viennent à leur fenêtre et nous
ordonnent de faire moins de bruit, mais nous leur répondons par des insultes et
des gestes peu courtois. Ce n’est pas que nous soyons vulgaires, mais avec l’alcool,
nous nous maîtrisons de moins en moins.
Un peu plus loin, Lisendro et
Théo nous proposent d’acheter des feux de Bengale et des pétards. Nous trouvons
que c’est une bonne idée de fête et c’est avec joie que nous allons dénicher
les articles dans une boutique. Le vendeur nous propose certains modèles et
nous recommande les mesures de sécurité, afin de ne pas nous blesser. Nous écoutons
d’une oreille distraite, plus occuper à choisir plutôt qu’à mémoriser ce qu’il
nous dit. Nous payons et nous sortons, bien décidés de nous amuser et faire du
bruit.
Les premiers pétards explosent
dans la rue avec un gros vacarme. Les deux garçons ont les pétards les plus
imposants, les DEMON. Lorsqu’ils explosent, une grosse gerbe de fumée et un
effet blast accompagnent la détonation. Nous nous amusons comme des petits
fous.
En passant près de belles
maisons, nous envoyons les pétards dans les jardins et nous nous sauvons en
courant avant que les propriétaires ne nous voient. Satisfaits de nos
« exploits », nous continuons à pétarader dans le quartier voisin du nôtre.
Lisendro tente une expérience,
il prend des objets trouvés dans la rue, place un pétard en dessous et attend
la détonation. Sous l’effet de celle-ci, l’objet est projeté en l’air, ce qui
nous fait beaucoup rire, sans compter que l’objet est totalement déformé.
Forts de cette première
expérience, nous cherchons d’autres objets à projeter en l’air, jusqu’à ce
qu’un homme, surement un riverain qui nous a vu faire, vient nous réprimander
pour nos actes irréfléchis et qui peuvent, de surcroît, être dangereux pour
nous et pour les autres. Nous l’envoyons paître et nous continuons nos
amusements.
Au bout d’un moment, lorsque
tout ce qui nous passait sous la main a été pulvérisé, Lyana et Moana se
dirigent vers les poubelles d’un lotissement et jettent des pétards dedans.
Presque aussitôt, nous entendons une explosion et nous voyons que la poubelle
se renverse.
Enthousiasmés par ce nouvel
amusement, nous jetons nos pétards dans les autres poubelles qui se trouvent à
notre portée. Les effets sont multiples en fonction de la hauteur de la
poubelle.
A cours de petits pétards, Lyana
et Moana empruntent des DEMON et les jettent dans des poubelles. La poubelle en
plastique fait un sacré bond et se déchire littéralement. Les trois autres
poubelles font de même sauf qu’en plus de se déchirer, les poubelles
s’enflamment. Leur contenu étant comburant, le feu prend rapidement et s’étant
aux poubelles voisines.
Le bruit des explosions mêlées
aux flammes alerte les habitants qu’il se passe des choses anormales au dehors.
Certains viennent à leur fenêtre pour voir, d’autres sortent pour mieux être au
cœur du problème. Voyant tout le monde sortir, nous prenons la fuite car nous
sentons le vent tourner et les incendies se propageant, il est temps de mettre
toutes voiles dehors.
La ville étant petite,
certains jeunes sont identifiables sans trop de difficulté et Lyana et Moana
font parties de ceux-là. De peau noire, avec leur coiffure afro les rendent
reconnaissable de suite.
Les plaintes des riverains pleuvent
à la gendarmerie. Une rapide enquête et nous sommes arrêtés puis interrogés au
poste. Tout le monde nie en bloc les actes qui nous sont reprochés. Nous ne
sommes pas identifiés formellement, à part de fortes présomptions pour Lyana et
Moana.
Les deux jeunes femmes passent
la nuit au poste tandis que les autres sont relâchés, faute de preuves
suffisantes. Nous rentrons à la maison avec la trouille au ventre, car la garde
à vue a été sévère et il a fallu garder tout son calme pour répondre aux
multiples questions et ne pas craquer devant les gendarmes.
Magali A., la mère des deux
jeunes femmes, va voir ses filles au poste de gendarmerie, lors de sa
convocation. Les deux jeunes femmes sont en cellule et toutes tremblantes
d’avoir été arrêtées et incarcérées. Lyana et Moana sont ravies de voir leur
mère et se jettent dans ses bras. Dans un premier temps, heureuse de trouver
ses filles en bonne forme, mais les retrouvailles terminées, Magali A. se
montre ferme et furieuse envers ses deux filles qu’elle juge irresponsables.
Leurs actes auraient pu être beaucoup plus graves si les pompiers n’étaient pas
intervenus assez rapidement, car des voitures commençaient à s’embraser.
Maître Virginie B., l’avocate
commis d’office des deux jeunes femmes, arrive sur ses entrefaites. Elle
souhaite avoir des précisions sur les faits afin d’établir une sérieuse
défense.
Durant une bonne heure, Maître
Virginie B. interroge Lyana et Moana et toutes trois tombent d’accord sur une
ligne de défense, c’est-à-dire qu’aucun témoin ne peut formellement les
identifier, car il faisait noir et accuser simplement des filles parce qu’elles
sont noires et avec une coiffure afro est discriminatoire. Nulle accusation ne
peut retenir ce fait pour une inculpation, car tout doute profite forcément à
l’accusé.
Seule Magali A. est convaincue
que ses filles sont coupables, car elle les connait bien et elle sait voir
lorsqu’elles mentent, cependant, elle n’en dit rien aux enquêteurs, protégeant
ainsi ses deux filles. Lyana et Moana sont assez fortes moralement pour ne pas
dénoncer elles et leurs complices, car les témoins ont dit qu’il y avait au
moins une dizaine de jeunes impliqués dans les incendies de poubelles, sans
plus de précisions.
Vers cinq heures du matin,
Magali A. et son mari sont autorisés à récupérer leurs filles et à rentrer à
leur domicile. Durant tout le voyage du retour, Magali A. fait des reproches à
ses filles, car elle sait qu’elles sont coupables. Lyana et Moana ne pipent
mot, elles sont tête basse, préférant se murer dans le silence, l’esprit encore
tout embrumé par les vapeurs d’alcool et pas très fières de ce qu’elles ont
fait, même si elles laissent rien paraître.
Lorsque j’arrive à la maison,
Papa vient me voir et me passe un savon, car il est très tard et j’avais promis
de rentrer beaucoup plus tôt. Je m’en sors avec un gros mensonge pour expliquer
ce retard. Avec mes frasques chez ma tante en Russie, cet hiver, mes parents
m’ont à l’œil et toute dérive sera punie sévèrement. Le sachant, je ne souhaite
pas être prise en défaut. J’espère que personne ne viendra contredire mon
mensonge, car là, ce sera la fessée assurée et une sévère de surcroît. Plus
tard elle arrivera, mieux se sera, car certaines parties de mon corps sont
encore sensibles de la correction reçue chez ma tante.
Lors de leur arrivée à la maison,
Magali A. prend à partie ses deux filles et leur dit qu’elles ne les croient
pas lorsqu’elles affirment n’y être pour rien dans les incendies. Magali A. les
somme de dire la vérité, car dans le cas contraire, elles aggraveront leur cas.
Lyana et Moana restent muettes. Magali A. leur dit qu’elle va rassembler
quelques voisines et devant le « conseil des mères », elles seront
jugées, car il est temps que les jeunes du quartier se tiennent à carreaux et
apprennent à respecter les règles. Les familles en ont marre que leurs enfants
fassent ce que bon leur semblent en faisant fi des principes de base.
Après un appel auprès des
voisins, Magali A. réussit à réunir quelques mères de famille, qui seront les
jugent des jeunes qui dérivent du droit chemin :
Répondent favorablement à la
création d’un « conseil des mères » : Magali A. la mère de Lyana
et de Moana, Marian R. la mère de Lisendro, Almira Q. la mère de Lucia, Cassendra
B. la mère de Gloria, Nadejda E. ma mère et Irina S. la mère d’Ekaterina, d’Olga
et de Iourievna. Magali A. tentera de convaincre d’autres mères d’adhérer au
conseil.
Les mères sont censées juger
et délibérer autour des cas de Lyana et de Moana, car celles-ci ont été
arrêtées, mais de grosses présomptions pèsent sur les autres jeunes.
Magali A. recrute également Sœur
Marie-Zénaïde, une religieuse roumaine de trente-huit ans, appartenant à l’OPUS
DEI (organisation qui promeut la sainteté
dans le monde, aussi bien pour les laïcs que pour les religieux). La
religieuse a l’habitude d’aller dans les prisons pour femmes pour faire se
repentir les prisonnières et les accompagner durant leur détention. Elle est
réputée pour sévir et remettre les délinquantes dans le droit chemin. Sœur
Marie-Zénaïde est toujours accompagnée de son fouet de discipline (martinet à neuf longues et épaisses lanières
de cuir), dont elle se sert pour soumettre les femmes et les remettre dans
le droit chemin, ce qui ne l’empêche pas de s’en servir sur elle-même
lorsqu’elle juge qu’elle le mérite.
Dans le groupe du conseil des
mères, Sœur Marie-Zénaïde fait sensation, autant pour sa compassion envers les
autres, mais aussi pour sa capacité à punir durement lorsque les bornes sont
franchies. Sœur Marie-Zénaïde exhibe son fouet qui impressionne les mères de
famille présentes. Magali A. confie le rôle de punisseuse à Sœur Marie-Zénaïde,
car n’étant aucunement liée de près aux jeunes du quartier, elle ne se laissera
surement pas attendrir par leurs jérémiades. Un aspect important est qu’elle
sache manier le fouet avec dextérité. Les jeunes qui passeront entre ses mains,
passeront un sale quart d’heure et retiendront la leçon un grand moment. Sœur
Marie-Zénaïde dit à l’auditoire que son fouet n’est pas seulement
impressionnant, mais il fait hurler les victimes dès la première cinglée. Sœur
Marie-Zénaïde accepte ce rôle et se réjouit également de punir les garçons,
activité toute nouvelle pour elle, mais elle ne s’en laissera pas compter et
les jeunes mâles n’auront qu’à bien se tenir, car elle ne leur fera aucun
cadeau.
Pour ce premier conseil des
mères, c’est Lyana et Moana qui vont être jugées et selon le verdict qui sera
pris par vote, la décision sera appliquée sur le champ.
Magali A. fait entrer ses deux
filles et décris les faits. Elle précise que des témoins les ont reconnus, il
faisait sombre et leur visage n’a pas été formellement identifié, cependant
leur silhouette et leur coupe afro les ont trahies.
Lyana et Moana tentent de se
disculper en disant qu’elles se trouvaient loin de cet endroit, avec des amis. Sœur
Marie-Zénaïde tente de savoir avec quels amis elles se trouvaient, mais les
deux jeunes femmes ne veulent pas répondre, car ce serait les
« vendre » si elles parlaient et dans ce cas, leurs amis seraient
punis de la même façon qu’elles et de ce fait, elles seraient exclues du groupe
par représailles, ce qu’elles ne veulent pas.
Cassendra B. pense qu’il
aurait fallu les identifier formellement, car il y a surement d’autres jeunes
femmes qui leur ressemblent dans la ville et la seule vue de la silhouette ne
suffit pas à les rendre coupable, car de plus, elles sont connues dans le
quartier pour leur bonne tenue et leur politesse, ce à quoi Marian R. réplique
qu’il y a un début à tout et les mères de familles sont là pour éviter toute
dérive de leurs jeunes, car les bêtises se multiplient depuis un certain temps
et il est temps que ça cesse.
Verdict pour Lyana et Moana à
la première session :
·
Six femmes pensent qu’elles sont
coupables : Magali A., Marian R., Almira Q., Nadejda E., Irina S. et Sœur
Marie-Zénaïde.
·
Une femme pense qu’elles sont innocentes :
Cassendra B.
Sœur Marie-Zénaïde, représentante
des mères de famille envoie les deux filles dans une autre salle en attendant
le verdict. Celui-ci tombe assez vite et elles sont reconnues coupables des
feux de poubelles dans le quartier. Les mères de famille décident d’une
correction de soixante coups de martinet sur les fesses, les cuisses et sur le
dos. Les deux jeunes femmes devront être entièrement nues pour recevoir leur
punition, afin qu’elles se repentent et qu’elles se rendent compte que leurs
actes auraient pu faire des blessés.
A leur retour, Sœur
Marie-Zénaïde leur annonce la décision et aussitôt, Lyana et Moana éclatent en
sanglots, car elles savent ce qui va suivre. Elles demandent pardon et tentent
de se disculper encore une fois, mais Magali A. gifle Lyana et lui impose de
dire la vérité. Contraintes, Lyana et Moana confessent leurs actes, mais
refusent toujours de dénoncer leurs amis. Sœur Marie-Zénaïde leur annonce
qu’elles auraient pu voir leur correction diminuer, mais dans ces
circonstances, elles recevront l’intégralité des soixante coups de fouet. Devant
la sévérité du verdict, Moana est toute proche de révéler l’identité des autres
jeunes, mais sa grande sœur Lyana lui ordonne de se taire.
Sœur Marie-Zénaïde déshabille
les deux jeunes femmes, comme des petites filles, ce qui fait rougir nos deux
punies, se sentant rabaissées au rang de gamines. Lorsqu’elles sont nues, les
deux jeunes femmes se cachent les parties intimes, mais d’une main ferme, Sœur
Marie-Zénaïde leur retire afin que leur intimité soit exhibée. Magali A. se
moque de sa fille aînée, car étant naturiste, elle devrait être moins
pudique ! Lyana se tait mais pense que les conditions ne sont pas les
mêmes, lorsqu’elle se bronze, elle est nue avec d’autres personnes dans la même
tenue alors que là, elle est sa sœur sont les seules à être dévêtues. Le fait
que les autres mères les regardent en souriant les humilient, d’où leur réflexe
de protection de leur intimité.
Sœur Marie-Zénaïde constate
que Moana porte une toison et déclare qu’elle va devoir la raser. Magali A. et Sœur
Marie-Zénaïde emmènent Moana à la salle de bain, lui écarte largement les
cuisses, lui étale du savon à barbe et à l’aide d’un coupe choux, Sœur
Marie-Zénaïde la rend glabre en quelques passages de lame.
Avant leur sévère correction, Sœur
Marie-Zénaïde réunie Lyana et Moana et leur demande de se repentir et de prier
avec elle. A genoux toutes les trois, elles récitent quelques prières, après
quoi, Sœur Marie-Zénaïde leur dit qu’elles seront soulagées d’avoir payé leur
dette.
Sœur Marie-Zénaïde fait se
pencher les deux jeunes femmes, en appui sur une chaise, cuisses écartées et
les fesses bien tendues. Dans cette position, les spectatrices peuvent admirer
l’intimité largement visible des deux jeunes femmes. Sœur Marie-Zénaïde cingle
alternativement les fesses et les cuisses de l’une puis l’autre des deux sœurs,
qui hurle et trépignent à chaque volée. A plusieurs reprisent, Lyana et Moana tombent
à genoux ou se retournent pour tenter de demander pardon et d’abréger leurs
souffrances, mais Sœur Marie-Zénaïde les remet en position et continue son
travail de pénitence.
C’est en sanglots et toutes
tremblantes que Lyana et Moana terminent de recevoir leurs quarante premiers
coups de martinet sur le bas du corps. Elles ont l’impression que des fers rouges
ont été posés sur leur chair, tant la cuisson est ardente.
Sœur Marie-Zénaïde demandent à
des mères de les maintenir fermement pour la fin de leur correction, car la
flagellation de leur dos va être assez éprouvant. Les deux sœurs tentent de se
dégager mais les femmes sont plus rapides qu’elles et les maintiennent à
genoux, le torse plaqué sur la chaise, tandis que Sœur Marie-Zénaïde leur
cingle le dos. Les deux jeunes punies poussent de longs hurlement et reprennent
à peine leur souffle entre deux cinglées en se débattant, tentant vainement de
se dégager des étreintes.
N’en pouvant plus, elles se
laissent aller à uriner sur le sol. C’est Moana, la plus jeune qui urine la
première ne pouvant plus contrôler ses sphincters. Lyana se lâche un peu après.
Lorsque les deux jeunes femmes
ont reçu leurs soixante cinglées, elles sont relâchées et leur mère les relève
et les accompagne à la salle de bain, pour qu’elles prennent une douche, ce qui
leur fera du bien, car elles ont transpiré et ont besoin de se laver. Toujours
en pleurs, le corps en feu, Lyana et Moana se lavent, se sèchent tant bien que
mal en criant lorsque le tissu traîne sur une partie sensible.
En sortant de leur douche,
Magali A. prend congé des dernières mères qui quittent l’assemblées, ravies d’avoir
assisté à ce bon spectacle et heureuses d’avoir participé au fait que des
jeunes ont eu ce qu’ils méritent.
Sans ménager ses deux filles,
Magali A. leur ordonne de laver à l’eau de Javel l’urine sur le sol et que tout
soit propre ! Elle leur dit qu’elles resteront nues tout le weekend, de
cette façon, elles réfléchiront à leurs actes.
Lorsque la salle de séjour est
propre, elle emmène ses filles à la cuisine pour préparer le repas du soir. Les
deux filles se murent dans le silence, encore sous le choc de leur correction.
Elles grimacent en gémissant lorsqu’elles doivent faire des mouvements ou se
pencher, car leur corps est toujours brûlant.
En rentrant, leur père trouve
ses deux filles, nues et le corps bien marqué. Magali A. lui dit qu’elles ont été
corrigées par Sœur Marie-Zénaïde, sur décision du conseil des mères. Il approuve
de suite la sévérité de la punition donnée à ses filles.
Lorsque le repas est terminé
et que la table est débarrassée, le père des filles les envoie toutes les deux
mettre les sacs poubelles dans le bac sur le bord de la route. Inutile de dire
que les deux filles se dépêchent pour ne pas être vues par les voisins. Même
avec les cuisses en feu, Lyana et Moana courent pour aller déposer les ordures
et rentrer, puis il les envoie chacune dans un coin du séjour, à genou, les
mains sur la tête. Elles resteront ainsi durant toute la durée du film et ce
n’est qu’à la fin qu’elles auront l’autorisation d’aller se coucher.
Durant la durée du weekend,
Magali A. leur pose une serviette mouillée ou leur applique une crème pour
calmer la cuisson, bien que l’effet tarde à se faire sentir.
Les deux punies reçoivent des
coups de fil de leurs amis pour savoir si elles ont parlé, car avec ce qu’elles
ont pris, nous nous attendions à être dénoncés, passés en conseil des mères et
être punis de la même manière. Nous sommes rassurés d’entendre qu’elles n’ont
pas balancé les autres. Nous les en remercions vivement.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 24
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que de fessées
RépondreSupprimerAndré,
RépondreSupprimerPuis-je vous inviter à envoyer des commentaires un peu plus explicite ? Les vôtres sont laconiques. Je ne les publie pas tous car ils ne proposent qu'un retour peu clair pour les auteurs.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Merci Jossip. En effet, je ne sais pas comment répondre...
SupprimerAmitiés.
Elena.
Bonjour à tous...
RépondreSupprimerRécit toujours aussi troublant de réalisme !
La tournée des pétards tourne à la pétarade fessière !!!! Notre chère Elena se surpasse ! Ca ne rigole pas pour ces demoiselles.
Et si les religieuses se chargent de ramener dans le droit chemin ces deux brebis égarées dans leurs errances ludiques...
Sœur Marie-Zénaïde est aussi inflexible avec l'obéissance et la morale que Mère Marie-Tatiana avec Gérome !!!
On en tremblerait presque pour elles. "A tout péché, miséricorde ?".
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter.
SupprimerHeureuse de vous lire après mes retards de publication. Un grand merci pour votre commentaire. En effet, le fait que ce soit une religieuse de l'OPUS DEI qui officie n'est pas le fruit du hasard, les mères l'ont recrutée pour son intransigeance. Ces demoiselles ou messieurs doivent rentrer dans le rang et le conseil des mères y veillera. Les jeunes du quartier donnent le tournis à leurs parents et cela doit cesser. Il est vrai que Marie-Tatiana pourrait être un symbole pour les autres ecclésiastiques.
Amitiés.
Elena
Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerOn s'y croirait. Cette bande de jeunes en goguette - et en route vers l'inéluctable - est décrite avec infiniment de réalisme. elles y regarderont désormais à deux fois avant de se laisser aller à "l'inspiration du moment." Une mention toute particulière pour sœur Marie-Zénaïde, spécialiste es fouettées expérimentée qui rêve secrètement d'exercer désormais ses talents sur des croupes masculines. Gageons que ses vœux les plus chers vont bientôt pouvoir se réaliser.
Amicalement.
François