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mardi 11 février 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 19

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

FESSEES DU MATIN CHAGRIN, FESSEES DU SOIR DESESPOIR

 Malgré le forfait des deux lanières, découpées par Robin, Gladys est bien décidée à mener la fessée à son terme. C'est à dire jusqu'à ce que ses fesses présentent une belle couleur écarlate parfaitement répartie sur toute la surface. Elle n'y est pas encore, mais elle sait comment s'y prendre pour y parvenir.   
Au bout d’un moment, Elle se dit pour elle-même, mais à haute voix, entre deux cinglées. :
« Il va falloir que j’achète un nouveau martinet ...celui-là a fait son temps. »
Sans réfléchir, Robin recroquevillé dans son fauteuil, laissa échapper.
« “ Comme celui de Régine...! »
Sa mère tout en continuant à manier le martinet sur les fesses enflammées de son mari lui jeta un regard interrogatif.  Il regretta presque ses paroles mais Gladys, concentrée sur la fessée qu'elle était en train d'administrer, n’avait rien entendu. Pas plus que Patricia, les oreilles emplies du claquement des fesses de son beau-père qui tressautaient sous les cinglées à quelques centimètres de son visage. La position choisie s'y prêtait.
Il ne voulait pas renoncer à son idée et bredouilla quand même, mais le plus bas possible, à l’adresse de sa mère.
« Ben ...c’est hierje crois que Régine en parlait ...elle disait que son martinet perdait ses lanières... mais …je ne sais pas si j’ai bien compris. 
Qu'est-ce que tu racontes ? Dit Patricia en réajustant la position d'Edouard qui commençait à glisser entre ses cuisses sous l'impact des coups de martinet.
– C'est bon comme ça maman. Je te présente bien ses fesses ?  Elles sont tendues comme tu veux ?
– Excellent chérie j'ai toute la surface à chaque fois. Tiens-le fermement je vais taper plus fort ! » 


une bonne fessée


Gladys semblait un peu interrogative mais, essentiellement occupée à bien ajuster les cinglées de martinet sur derrière de son mari, ne chercha pas à en savoir davantage sur les propos de Robin. Un peu faux jeton il s'efforça de montrer qu'il n’attachait aucune importance à ce qu'il venait de dire en se concentrant ostensiblement sur la fessée en cours ; Il se permis même un.
« Qu’est-ce qu’il prend comme fessée, comme pour montrer une flatteuse admiration devant le savoir-faire de sa mère ! »

Pendant que Edouard, solidement maintenu entre les cuisses de Patricia, continuait à recevoir sa fessée au martinet, moins deux lanières, qui lui faisait bondir son postérieur incandescent et brailler comme un gamin bien corrigé, Robin se dit que le hasard l’avait bien inspiré. Sa remarque sur le martinet de Régine lui était sortie de la bouche spontanément sans qu'il réfléchissemais il était certain que sa mère comme sa sœur   l'avait bien comprise, sans le montrer sur le coup, trop occupées par la fessée. Doncil y avait des chances, pour l’assouvissement complet de sa vengeance sur le beau-père, que celui-ci soit conduit chez le cordonnier pour se faire fabriquer un solide martinet sur mesure.
Si cela se vérifiait, il aurait atteint mon but sans trop de risques. Pour le moment, il était fier de mon habileté. S'il avait pu, il aurait expliqué à Rodolphe son plan, à lui... beaucoup plus subtil que ses fausses bonnes idées avec ses gros sabots. Il décida, par conséquent, d’en rester là.

Gladys, brusquement, arrêta de cingler le derrière de son mari sur lequel les traces cramoisies des lanières se croisaient, s’ajoutant les unes aux autres, se chevauchant, se superposant en quelque sorte, ce qui avait pour effet d’enfler le volume déjà si imposant de son postérieur en feu.
– « Tu peux le lâcher maintenant ma chérie, on a bien mérité une petite pause en attendant d'aviser pour la suite ! »
Patricia, se contente d'écarter les cuisses pour le laisser s'écrouler à genoux au sol, exposant toujours au mieux son gros derrière impitoyablement corrigé. Ses joues rougies par le frottement continu des bas nylon et marquées de l'empreinte de ses boucles de jarretelles, sont en parfaite harmonie avec son fessier, cramoisi par le cuir des lanières.

« Je crois que pour le moment, il a son compte. Dit-elle en contemplant avec satisfaction les deux fesses flamboyantes, bien corrigées, imprimées de superbes marques de lanières sur toute la surface, jusqu'au fond de la raie.
– Et puis tiens !... C'est la dernière fois qu'il sert ...  Ajoute Gladys en jetant le martinet par terre avec une moue dédaigneuse. Et à propos de servir, tu nous préparerais bien petit   thé... Il est encore un peu tôt pour le Whisky. » 

Edouard, qui attend docilement les ordres, n’a pas bougé. Il n’ose pas non plus dire quoi que ce soit et continue à sangloter bruyamment en jetant des regards implorants dans la glace où se reflète l'image de son postérieur incandescent. Gladys observe le résultat de la fessée qu’elle a interrompu.
– Tu vois chérie, dit-elle en s'adressant à Patricia, – il faut maintenant lui laisser suffisamment de temps pour qu’il ressente pleinement la cuisson de ses fesses.
­-- Oui, et qu'il tire bien la leçon de sa fessée.
– Voilà ! Par contre, les lanières du martinet laissent des stries qui ne me plaisent pasje veux que ses fesses soient d’une belle couleur bien uniforme partout.
– C'est vrai mais en même temps c'est la preuve visible que la fessée a été efficace...
– Mais pas encore assez... J’hésite entre une nouvelle fessée suffisamment longue à la main pour égaliser tout ça, ou la fessée avec la planche en bois sur laquelle on coupe le pain.
– Evidemment, approuve Patricia, voyant là, peut-être, l'occasion de s'offrir une bonne petite déculottée sur les fesses de son beau-père... Ça compenserait les lanières du martinet qui sont parties ! »
Edouard terrorisé se met à supplier.
« Oh non ! oh non ! pitié !!! pitié, chérie ! Redonne-moi le martinet si tu veux … Il cingle encore très bien, tu sais... Il est encore suffisant pour me corriger autant que tu veux. Je te promets, dès demain matin, j’irai en acheter un autre ...au bazar, ou non ...chez le cordonnier. Je dirai que c’est pour moi. Pour mon derrière, pour que tu me donnes les bonnes fessées que je mérite... ! »
Les deux femmes campées devant lui le toisent du haut de leurs talons aiguille. Elles se regardent en pouffant de rire.  Gladys fait semblant de s'apitoyer.
« Oh le pauvre chéri... Il est touchant tu ne trouves pas ?  Mais il faut assumer tes erreurs de comportement, mon ami. Tu n'arrêtes pas de te comporter comme un gamin et après tu crains pour tes fesses !
Patricia, claquant du talon vers la cuisine pour aller préparer le thé.
« Justement maman, il a raison de craindre pour ses fesses. Il a très bien compris qu'on n'en a pas encore terminé avec ! »
Le malheureux, à genoux aux pieds de l'inflexible épouse que rien n'attendrit, se balance d'avant en arrière en suppliant, le derrière tenu à pleines mains comme pour se prémunir de la menace de la fessée suivante. 
« Je t’en prie, Gladys, pas la planche en bois... s’il te plaît, je ferai tout ce que tu veux chérie... pas la fessée avec la planche... plutôt la fessée à la main ...ou encore au martinet avec une fessée à la main après... s’il te plaîtje demande pardon ! »

Gladys s'amuse à le faire mariner.
« On va voir ça, mon petit chéri... Pour le moment c’est l'heure du thé. Tu files au coin, les fesses en évidence, bien déployées. Et je ne veux pas t’entendre pleurnicher, sinon cette fois ci, c'est sur les genoux de Patricia que tu retournes immédiatement faire un tour pour une nouvelle fessée à la clé ! Et elle ne va pas se priver... N'est-ce pas ma chérie ?
– Oh que non ! Quand je vois ses belles fesses rouges danser comme ça, tu ne peux pas savoir comme la main me démange... J'en ai des frissons partout ! 
– Je sais ma chérie, je sais... Mais sa punition n'est pas terminée. Il faut qu'elle soit exemplaire pour qu'il s'en souvienne.  Il a le derrière assez solide pour s'en prendre encore une sévère. Promis, sa prochaine fessée c'est pour toi ! Tiens sers nous donc en attendant. 

La mère et la fille, naturellement complices dans l'exercice de la discipline, finissent tranquillement leur thé tout en contemplant le magnifique postérieur rutilant qu'Edouard prend bien garde de leur exposer du mieux qu’il peut. Elles s'amusent à regarder ses épaules, et surtout ses grosses fesses, secouées par les sanglots alors qu’il continue à pleurer, mais presque sans bruit. Elles prennent tout leur temps, les charmantes dames aux mains fermes, et dégustent leur thé à petite gorgées, le petit doigt en l'air, croquant du bout des dents les biscuits macarons qui l'accompagnent. Ça fait partie du rituel de la punition, de maintenir la victime dans l’attente anxieuse de la décision d'une nouvelle fessée qui, il le sait, va reprendre inévitablement.

 « Tu vois ma chérie, dit Gladys en posant sa tasse sur la table basse. Elle se tamponne délicatement la bouche avec une serviette en papier, faisant attention à ne pas enlever son rouge à lèvres. Je ne serais pas étonnée que Clarisse comme Régine soit en ce moment en train de flanquer le même genre de raclée à leur mari.
– C'est fort probable ... Ils sont tous les trois à la même enseigne ! 
– Sauf que je n'ai toujours pas compris comment Edouard a pu encourager Gilbert à accepter les avances de Bettina.  ... D'ailleurs c'est le moment d'en finir avec sa correction   A toi l'honneur de la fessée suivante ma chérie ! Mets-lui-en une cuisante, il la mérite. 
– Merci maman... avec plaisir ! S'exclame Patricia en se frottant les mains pour se les échauffer.  Edouard...  Viens ici ! »

Il obéit immédiatement et s’approche en gémissant et pleurnichant, le visage trempé de larmes, tenant son slip au milieu de ses cuisses d’une main et se frottant délicatement les fesses de l’autre. Patricia d'un doigt autoritaire désigne le sol entre ses jambes. Elle a déjà remonté sa jupe très haut sur ses cuisses pour les écarter suffisamment et dégager l'espace entre les deux. 
« Mets-toi à genoux ...devant moi !
Il s’agenouille, tête baissée. Le sermon et la mise en condition commencent sous le regard amusé de son épouse. Patricia jubile de le tenir ainsi à sa merci.
« Regarde-moi quand je te parle... alors... tu la sens bien ta fessée ?
– Oh oui Patricia... je la sens bien... c’est une très, très bonne fessée. Gladys fesse fort, elle est sévère, mais je le reconnais, c'est ce qu'il me faut, je l'ai mérité ;
– Tu as vu tes fesses ?
– Ben oui... ça cuit...elles sont toutes rouges...et tout enflées de coups de martinet.
– Tu trouves qu’elles sont belles comme çà ?
– Je ne sais pas Patricia...c'est vous qui savez, je veux direc’est à toi de décider ...moi je n’ai rien à dire. J'ai reçu une bonne fessée, c’est tout ce que je peux dire...
– Tu as reçu ? Tu parles comme si c'était fini !.
  Euh... non, pardon…tu es en train de me donner... je suis en train de recevoir une fessée ...je sais, une bonne fessée déculottée ...que je mérite »
Patricia se rejette en arrière sur le dossier du canapé avec un sourire narquois, un bras nonchalamment posés sur l'accoudoir, jouissant pleinement de ce moment de pouvoir à disposer de ses fesses à sa guise. La main frémissante d'impatience, elle lui glisse un regard lourd de menace, sous ses paupières fardées.
«  Ouiet bien moi ...j’aime te voir avec une belle et cuisante paire de fesses bien rouges. Tu le sais ? ».
Evidemment très mal à l'aise, car sans possibilité de contester quoi que ce soit en risquant le pire, il esquisse un petit sourire soumis en se dandinant sur ses genoux.
« Oui je sais Patricia. Tu fais ce que tu veux.
– Exactement, et je veux qu’elles soient bien lisses tes fesses, bien cuisantes et partout d’une même couleur rouge.
 Il hoche machinalement la tête en acquiesçant. Dans l'état où il est, il est prêt à accepter n'importe quoi pour en finir au plus vite.
«   Ouï .... Patricia.
Gladys qui suit la scène avec intérêt, ironise ;
« Monsieur fait moins le malin maintenant. C'est qu'on est tout de suite docile et obéissant après une bonne déculottée aux fesses ! La fessée ça calme hein ! »
Patricia, imperturbable, continue la petite séance de mise en condition de son puni.
« Alors maintenant je vais continuer ta fessée jusqu’à ce que tes fesses soient comme je veux ...tu comprends ? »
Il hoche de nouveau la tête en essuyant quelques larmes de la main et demande d'un ton inquiet.
Euh... la fessée... à la main ?
– Je me le demandece martinet avec ses lanières qui sont fichues le campla planchette à découper cela te ferait certainement du bien, je crois.

Edouard sursaute d'effroi sur ses genoux endoloris.
« Raaah non Patricia...pas çaet puis, ce n’est pas avec cette planche que tu pourras me faire des fesses bien lisses...au contraireet puis tu sais, le martinet même avec deux lanières en moins, ça cingle quand même comme il faut .... Je le sentirai pareil sur mon derrièrealors ... »
Le malheureux, est tellement effrayé à l'idée de recevoir cette nouvelle fessée à la planche à découper qu'il n'y a plus moyen de l'arrêter. Il est prêt à recoudre les lanières avec ses dents pour éviter la terrible déculottée au battoir. 
« Si tu trouves que la fessée au martinet n’a pas été suffisante ...tu peux m'en redonner une autre avec, pareille...  Et tu me flanqueras encore une fessée à la main après...comme ça, j’aurais une belle paire de fesses comme tu aimes ...et... etvous profiterez bien de mon gros derrière comme vous voulez et je ne recommencerai plus à comploter... et je serai bien obéissant ...et...et soumis … comme vous voulez...“
Gladys finit par éclater de rire.
« Le pauvre chéri, il ne sait plus quoi dire, alors il dit n'importe quoi ! De tout façon ce martinet est bon à jeter. Nous irons chez le cordonnier en acheter un autre. Claque lui sa fessée à la main ma chérie et qu'on n'en parle plus !  
– Tu as raison maman... il aura un martinet tout neuf. 
– Oh, mais pas que pour lui... Il servira aussi pour Robin !"

Le garçon qui suivait la conversation d'une oreille nonchalante, et finissait par s'engourdir écrouler au fond de son fauteuil, sursauta soudain en entendant son non. Ça ne lui plaisait pas trop quand sa mère et sa sœur l'employait dans une conversation orientée sur la fessée. Jusqu'ici son plan se déroulait comme il l'espérait. Mais il devait bien se douter que le nouveau martinet ne servirait pas uniquement sur le derrière de son beau-père.

Patricia se lève du canapé, remet Edouard debout en le tenant par l'oreille et le conduit ainsi jusqu’à la chaise à fessée. Elle s'y assied en tortillant du derrière pour bien le caler sur l'assise et remonte à nouveau sa pupe jusqu'aux attaches de ses jarretelles. 
« Allez beau papa, on vient se mettre à plat ventre sur mes genouxet on a intérêt à garder ses fesses bien présentées pendant toute la durée de sa fessée sinon je prends la planche !
Soumis à l'inflexible autorité des deux femmes. Edouard n'en mène pas large. Il craint surtout la rigueur des fessées de Patricia qui, à chaque fois qu'elle le corrige, compense par une extrême sévérité, le trop peu de punitions, qu'à son goût, sa mère l'autorise à lui administrer.  
Les jambes toujours entravées par son pantalon et son slip, baissés depuis sa première déculottée, il obéit aux ordres et se précipite vers elle à petits pas maladroits.

« Oui Patricia...Oui ! C'est toi qui décides de la fessée. . Alors tu feras comme tu veux... forte mais pas trop s’il te plaîtj’ai le derrière complètement en feu ! »
La jeune femme sourit en évaluant la rougeur écarlate du volumineux fessier qui vient docilement s'arrondir, sur ses cuisses, prêt à recevoir la nouvelle fessée qu'elle lui prépare. Non seulement la cuisson bien avancée du derrière qui s'offre à elle ne l'émeut pas le moins du monde, mais cela aurait même plutôt tendance à l'exciter davantage. Comme disent Clarisse et Bettina : Une bonne fessée ne commence vraiment que sur un derrière écarlate, bien préparé. Et c'est le cas présent.
« Ça suffit ! Dit-elle d'une voix autoritaire. Arrête de te plaindre et de pleurnicher comme une mauviette !  Occupe-toi plutôt de me présenter tes fesses comme il faut !  Tu vas prendre ta fessée, longue et sévère, et c’est tout ! »

Allongé, cette fois sur les genoux de Patricia, le slip à mi cuisses, le postérieur écarlate et luisant, bombé au maximum, le visage inondé de larmes au ras du sol, Edouard, en appui sur ses deux mains, se met en position réglementaire. Les genoux pliés et pieds levés, prêts à battre l’air, il attend, les yeux affolés et plein de repentir, les cuisantes claquées qui vont une nouvelle fois incendier son fessier déculotté sans défense !
Déjà sévèrement fessé, mais ayant réussi à échapper à la planche à découper, il s’est installé en s’efforçant de présenter son postérieur cramoisi parfaitement exposé.  Il lui faut   faire preuve de docilité pour recevoir la fessée à la main, destinée à égaliser les traces rouges que les lanières du martinet ont imprimées sur toute la surface de son derrière gonflé par les cinglées. 

Gladys qui commence à s'impatienter, stimule sa fille de la voix.

« Et bien Patricia... Il est prêt là... qu'est ce que tu attends pour lui mettre sa fessée? »

Elle répond par une sourire. Elle a décidé de prendre son temps pour savourer l’instant. Elle ajuste la position du derrière exhibé sur ses genoux. Elle surélève un peu sa cuisse droite de façon que la croupe de son puni soit nettement plus haute que sa tête et se présentent bien à sa main. Pas de jalouse, les deux fesses doivent s'en prendre autant l'une que l'autre.
Satisfaite, elle lève sa main droite très haut au-dessus de sa tête pour prendre le maximum d'élan et la fait claquer avec une sonorité éclatante sur le fessier bondissant ! L’effet persistant du Dolic ne faisant que s’accroître, les fesses redeviennent presque
’immédiatement rutilantes, comme s’il s’agissait d’un feu de braise dont on aurait voulu raviver les flammes avec un soufflet.

Malgré les contorsions effrénées de la croupe punie qui, par des mouvements saccadés incontrôlés, se rétracte, se soulève, se trémousse dans tous les sens, Patricia ajuste si bien les claquées qu'elles s’abattent à coup sûr en plein milieu de l’endroit visé. Le volume conséquent des globes fessiers et leur positionnement ne leur offrent aucune chance d’échapper aux claques dont le vacarme emplit la pièce et s’échappe au dehors par la fenêtre grande ouverte.  Portée par son enthousiasme à corriger le plantureux derrière enluminé, la jeune femme intensifie progressivement la fessée. Le claquement monumental couvre même les gros sanglots bruyants qui secouent le malheureux. La bouche grande ouverte, les yeux agrandis de douleur et de peur, il n’a manifestement plus aucune capacité à maîtriser son corps. C’est machinalement que ses fesses se contractent quand la main vigoureuse de sa correctrice s’abat, puis s’arrondissent de nouveau comme pour attendre la suivante qui les claque aussitôt après. Les larmes ruissellent à flot sur ses joues rouges, coulent dans sa bouche, le long de son cou jusqu'au sol.

Patricia de temps en temps le sermonne, sans faire de pause ni perdre la cadence.
« “ Tiens ! tiens ! une bonne fessée bien claquante sur le gros cul de monsieur ! Quand on a une pareille paire de fesses c'est exactement ce qu’il lui faut ! Il va falloir que tu files doux mon ami ! A te tenir convenablement et d'arrêter les petites combines avec tes amis Douglas et Gilbert !  Sinon les fessées vont claquer comme aujourd'hui, et toute la semaine ! N'est-ce pas maman ?
« Tout à fait ! Matin et soir... et le midi s'il le faut ! Une amie de Clarisse inflige même des journées fesses rouges'' à son mari, C'est, fessées toute la journée ! C'est dire s’ils peuvent en supporter.  Tape plus fort ma chérie, profite en bien, ses fesses peuvent en encaisser encore !  Aller, fais-moi claquer cette belle paire... bien fort ! Ça va lui apprendre à vivre ! »

Patricia n'avait pas vraiment besoin des encouragements de sa mère pour faire preuve de sévérité. Edouard arrivant à peine à prendre sa respiration, n’avait même plus la force ni la présence d’esprit de tenter la moindre plainte. 

Pendant que le beau-père recevait sa fessée et gigotait en braillant comme un gamin sur les genoux de sa sœur qui faisait claquer ses fesses avec enthousiasme, Robin, pas très à l'aise mais tout en ne perdant rien de la scène, avait préparé la table du salon pour l'apéritif. Il avait sorti les verres et le Whisky pur malt, bien à portée au cas probable où, après tant de dépense d'énergie les dames de la maison auraient soif. Il avait aussi, disposé les amuse-gueule dans des soucoupes, mis des petites serviettes en papier, des dessous de verre. Il ne manquait plus que les glaçons mais il préférait attendre que la fessée soit terminée pour les apporter. Au train où ça allait ils risquaient de fondre avant la fin de la séance. Il avait tout bien fait et s'était rendu irréprochable.

Les préparatifs terminés, il s'était rassis dans son fauteuil et regardait sagement la punition d'Edouard. Il se gardait de tout commentaire, mais pensait que cette magistrale fessée... c’étaitbien fait” pour lui.  Après tout il avait obtenu sa vengeance. Même si sa mère ne l’emmenait pas chez le cordonnier conseillé par Régine, l'achat d'un nouveau martinet était déjà un supplément de punition suffisant pour le beau-père. D'autant plus qu’il était évident que ce nouveau martinet servirait aussi sur son propre postérieur. Il était donc partagé entre l’envie qu'il éprouvait de voir la fessée d'Edouard se poursuivre et le désir de s’éclipser au plus vite. Il valait peut-être mieux éviter que sa mère ne le presse de questions sur la phrase qui lui avait échappé tout à l'heure, au sujet du martinet que Régine avait l'intention d'acheter pour son mari.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 18
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, le chapitre 20.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

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