LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
FESSEES DU MATIN CHAGRIN, FESSEES DU SOIR DESESPOIR
Au bout d’un moment, Elle se dit pour elle-même, mais à haute voix, entre
deux cinglées. :
« Il va falloir que j’achète un nouveau
martinet ...celui-là a fait son temps. »
« “ Comme celui de Régine...! »
Sa mère tout en continuant à manier le martinet
sur les fesses enflammées de son mari lui jeta un regard interrogatif. Il regretta presque ses paroles mais Gladys,
concentrée sur la fessée qu'elle était en train d'administrer, n’avait rien
entendu. Pas plus que Patricia, les oreilles emplies du claquement des fesses
de son beau-père qui tressautaient
sous les cinglées à quelques centimètres de son visage. La position
choisie s'y prêtait.
Il ne voulait pas renoncer à son idée et
bredouilla quand même, mais le plus bas possible,
à l’adresse de sa mère.
« Ben ...c’est hier …je crois que Régine en
parlait ...elle disait que son martinet perdait ses lanières... mais …je ne
sais pas si j’ai bien compris.
– Qu'est-ce que tu racontes ? Dit
Patricia en réajustant la position d'Edouard qui commençait à glisser entre ses
cuisses sous l'impact des coups de martinet.
– C'est bon comme ça maman. Je te présente bien ses
fesses ? Elles sont tendues
comme tu veux ?
– Excellent chérie j'ai toute la surface à
chaque fois. Tiens-le fermement je vais taper
plus fort ! »
Gladys semblait un peu interrogative mais,
essentiellement occupée à bien ajuster les cinglées de martinet sur derrière de
son mari, ne chercha pas à en savoir davantage sur les propos de Robin. Un peu
faux jeton il s'efforça de montrer qu'il
n’attachait aucune importance à ce qu'il venait de dire en se concentrant
ostensiblement sur la fessée en cours ; Il se permis même un.
« Qu’est-ce qu’il prend
comme fessée, comme pour montrer une flatteuse admiration devant le savoir-faire
de sa mère ! »
Pendant que Edouard, solidement maintenu entre les cuisses
de Patricia, continuait à recevoir sa fessée au martinet, moins deux lanières,
qui lui faisait bondir son postérieur incandescent et brailler comme un gamin
bien corrigé, Robin se dit que le hasard l’avait bien inspiré. Sa remarque sur
le martinet de Régine lui était sortie de la bouche spontanément sans qu'il
réfléchisse …mais
il était certain que sa mère comme sa sœur
l'avait bien comprise, sans le montrer sur le coup, trop occupées par la
fessée. Donc …il
y avait des chances, pour l’assouvissement complet de sa vengeance sur le beau-père, que celui-ci soit conduit chez le cordonnier pour se
faire fabriquer un solide martinet sur mesure.
Si cela se vérifiait, il aurait atteint mon but sans trop de risques.
Pour le moment, il était fier de mon habileté. S'il avait pu, il aurait
expliqué à Rodolphe son plan, à lui... beaucoup plus subtil que ses fausses
bonnes idées avec ses gros sabots. Il décida, par conséquent, d’en rester là.
Gladys, brusquement, arrêta de cingler le derrière de son
mari sur lequel les traces cramoisies des lanières se croisaient, s’ajoutant
les unes aux autres, se chevauchant, se superposant en quelque sorte, ce qui
avait pour effet d’enfler le volume déjà si imposant de son postérieur en feu.
– « Tu peux le lâcher maintenant ma chérie, on a bien
mérité une petite pause en attendant d'aviser pour la suite ! »
Patricia, se contente d'écarter les cuisses pour le laisser
s'écrouler à genoux au sol, exposant toujours au mieux son gros derrière
impitoyablement corrigé. Ses joues rougies par le frottement continu des bas
nylon et marquées de l'empreinte de ses boucles de jarretelles, sont en
parfaite harmonie avec son fessier, cramoisi par le cuir des lanières.
« Je crois que pour le moment, il a son
compte. Dit-elle en contemplant avec satisfaction les deux fesses
flamboyantes, bien corrigées, imprimées de superbes marques de lanières sur
toute la surface, jusqu'au fond de la raie.
– Et puis tiens !... C'est la dernière fois qu'il
sert ... Ajoute Gladys en jetant le martinet par terre
avec une moue dédaigneuse. Et à propos de servir, tu nous préparerais bien
petit thé... Il est encore un peu tôt
pour le Whisky. »
Edouard, qui attend docilement les ordres, n’a pas bougé.
Il n’ose pas non plus dire quoi que ce soit et continue à sangloter bruyamment en jetant des
regards implorants dans la glace où se reflète l'image de son postérieur
incandescent. Gladys observe le résultat de la fessée qu’elle a interrompu.
– Tu vois chérie, dit-elle en s'adressant à Patricia, – il faut
maintenant lui laisser suffisamment de temps pour qu’il ressente pleinement
la cuisson de ses fesses.
-- Oui, et qu'il tire bien la leçon de sa fessée.
– Voilà ! Par contre, les lanières du martinet
laissent des stries qui ne me plaisent pas …je veux que ses fesses soient d’une
belle couleur bien uniforme partout.
– C'est vrai mais en même temps c'est la preuve visible que
la fessée a été efficace...
– Mais pas encore assez... J’hésite entre une nouvelle
fessée suffisamment longue à la main pour égaliser tout ça, ou la fessée avec
la planche en bois sur laquelle on coupe le pain.
– Evidemment, approuve Patricia, voyant là, peut-être,
l'occasion de s'offrir une bonne petite déculottée sur les fesses de son beau-père... Ça compenserait les lanières du
martinet qui sont parties ! »
Edouard terrorisé se met à supplier.
– « Oh non ! oh non ! pitié !!! pitié, chérie ! Redonne-moi le martinet si tu veux … Il cingle
encore très bien, tu sais... Il est encore suffisant pour me corriger autant
que tu veux. Je te promets, dès demain matin, j’irai en acheter un autre ...au bazar, ou non ...chez le cordonnier. Je dirai
que c’est pour moi.
Pour
mon derrière, pour que tu me donnes les bonnes fessées que je mérite... ! »
Les deux femmes campées devant lui le
toisent du haut de leurs talons aiguille. Elles se regardent en pouffant de
rire. Gladys fait semblant de s'apitoyer.
« Oh le pauvre chéri... Il est touchant tu
ne trouves pas ? Mais il faut
assumer tes erreurs de comportement, mon ami. Tu n'arrêtes pas de te comporter
comme un gamin et après tu crains pour tes fesses !
Patricia, claquant du talon vers la
cuisine pour aller préparer le thé.
« Justement maman, il a raison de craindre
pour ses fesses. Il a très bien compris qu'on n'en a pas encore terminé avec !
»
Le malheureux, à genoux aux pieds de
l'inflexible épouse que rien n'attendrit, se balance d'avant en arrière en
suppliant, le derrière tenu à pleines mains comme pour se prémunir de la menace
de la fessée suivante.
« Je t’en prie, Gladys, pas la planche en bois...
s’il te plaît, je ferai tout ce que tu veux chérie... pas la fessée avec la
planche... plutôt la fessée à la main ...ou encore au martinet avec une fessée
à la main après... s’il te plaît …je demande pardon ! »
Gladys s'amuse à le faire mariner.
« On va voir ça, mon petit
chéri... Pour le moment c’est l'heure du thé. Tu files au coin, les fesses en évidence,
bien déployées. Et je ne veux pas t’entendre
pleurnicher,
sinon cette fois ci, c'est sur les genoux de Patricia que tu retournes
immédiatement faire un tour pour une nouvelle fessée à la clé ! Et elle ne
va pas se priver... N'est-ce pas ma chérie ?
– Oh que non ! Quand je
vois ses belles fesses rouges danser comme ça, tu ne peux pas savoir comme la
main me démange... J'en ai des frissons partout !
–
Je sais ma chérie, je sais... Mais sa punition n'est pas terminée. Il faut
qu'elle soit exemplaire pour qu'il s'en souvienne. Il a le derrière assez solide pour s'en
prendre encore une sévère. Promis, sa prochaine fessée c'est pour toi !
Tiens sers nous donc en attendant.
La mère et la fille, naturellement complices
dans l'exercice de la discipline, finissent tranquillement leur thé tout en contemplant le
magnifique postérieur rutilant qu'Edouard prend bien garde de leur exposer du
mieux qu’il peut. Elles s'amusent à regarder ses épaules, et surtout ses
grosses fesses, secouées par les sanglots alors qu’il continue à pleurer, mais
presque sans bruit. Elles prennent tout leur temps, les charmantes dames aux
mains fermes, et dégustent leur thé à petite
gorgées, le petit doigt en l'air, croquant du bout des dents les biscuits
macarons qui l'accompagnent. Ça fait partie du rituel de la punition, de
maintenir la victime dans l’attente anxieuse de la décision d'une nouvelle
fessée qui, il le sait, va reprendre inévitablement.
« Tu
vois ma chérie, dit Gladys en posant sa tasse sur la table basse. Elle se
tamponne délicatement la bouche avec une serviette en papier, faisant attention
à ne pas enlever son rouge à lèvres. Je ne serais pas étonnée que Clarisse
comme Régine soit en ce moment en train de
flanquer le même genre de raclée à leur mari.
– C'est fort probable ... Ils sont tous
les trois à la même enseigne !
– Sauf que je n'ai toujours pas compris comment
Edouard a pu encourager Gilbert à accepter les avances de Bettina. ... D'ailleurs c'est le moment d'en finir
avec sa correction A toi l'honneur de
la fessée suivante ma chérie ! Mets-lui-en une cuisante, il la
mérite.
– Merci maman... avec plaisir ! S'exclame
Patricia en se frottant les mains pour se les échauffer. Edouard...
Viens ici ! »
Il obéit immédiatement et s’approche en
gémissant et pleurnichant, le visage trempé de larmes, tenant son slip au
milieu de ses cuisses d’une main et se frottant délicatement les fesses de
l’autre. Patricia d'un doigt autoritaire désigne le sol entre ses jambes. Elle
a déjà remonté sa jupe très haut sur ses cuisses pour les écarter suffisamment
et dégager l'espace entre les deux.
« Mets-toi à genoux ...devant
moi !
Il s’agenouille, tête baissée. Le sermon et la
mise en condition commencent sous le regard amusé de son épouse. Patricia
jubile de le tenir ainsi à sa merci.
« Regarde-moi quand je te parle...
alors... tu la sens bien ta fessée ?
– Oh oui Patricia... je la sens
bien... c’est une très, très bonne fessée. Gladys fesse fort, elle est sévère,
mais je le reconnais, c'est ce qu'il me faut, je l'ai mérité ;
– Tu as vu tes fesses ?
– Ben oui... ça cuit...elles sont toutes
rouges...et tout enflées de coups de martinet.
– Tu trouves qu’elles sont belles comme çà ?
– Je ne sais pas Patricia...c'est vous qui savez, je veux dire …c’est à toi de décider ...moi
je n’ai rien à dire. J'ai reçu une bonne
fessée, c’est tout ce que je peux dire...
– Tu as reçu ? Tu parles comme si c'était
fini !.
– Euh...
non, pardon…tu es en train de me
donner... je suis en train de recevoir une fessée ...je sais, une bonne fessée
déculottée ...que je mérite »
Patricia se rejette en arrière sur le dossier
du canapé avec un sourire narquois, un bras nonchalamment posés sur
l'accoudoir, jouissant pleinement de ce moment de pouvoir à disposer de ses
fesses à sa guise. La main frémissante
d'impatience, elle lui glisse un regard lourd de menace, sous ses paupières
fardées.
« Oui …et bien moi ...j’aime te
voir avec une belle et cuisante paire de fesses bien rouges. Tu le sais ? ».
Evidemment très mal à l'aise, car sans possibilité
de contester quoi que ce soit en risquant le pire, il esquisse un petit sourire
soumis en se dandinant sur ses genoux.
« Oui je sais Patricia. Tu fais ce que tu
veux.
– Exactement, et je veux qu’elles soient bien
lisses tes fesses, bien cuisantes et partout d’une même couleur rouge.
Il hoche
machinalement la tête en acquiesçant. Dans l'état où il est, il est prêt à
accepter n'importe quoi pour en finir au plus vite.
«
Ouï .... Patricia.
Gladys qui suit la scène avec
intérêt, ironise ;
« Monsieur fait moins le malin
maintenant. C'est qu'on est tout de suite
docile et obéissant après une bonne déculottée aux fesses ! La
fessée ça calme hein ! »
Patricia, imperturbable, continue la petite séance
de mise en condition de son puni.
« Alors maintenant je vais
continuer ta fessée jusqu’à ce que tes fesses soient comme je veux ...tu
comprends ? »
Il hoche de nouveau la tête en essuyant
quelques larmes de la main et demande d'un ton inquiet.
– Euh... la fessée... à la main ?
– Je me le demande …ce martinet avec ses
lanières qui sont fichues le camp …la planchette à découper
cela te ferait certainement du bien, je crois.
Edouard sursaute d'effroi sur ses genoux
endoloris.
« Raaah non Patricia...pas ça …et puis, ce n’est
pas avec cette planche que tu pourras me faire des fesses bien
lisses...au contraire …et puis tu sais, le martinet même avec deux
lanières en moins, ça cingle quand même comme il faut .... Je le sentirai pareil sur mon
derrière …alors ... »
Le malheureux, est tellement effrayé à l'idée
de recevoir cette nouvelle fessée à la planche à découper qu'il n'y a plus
moyen de l'arrêter. Il est prêt à recoudre les lanières avec ses dents pour
éviter la terrible déculottée au battoir.
« Si tu trouves que la fessée au martinet n’a
pas été suffisante ...tu peux m'en redonner une autre avec, pareille... Et tu me flanqueras encore une
fessée à la main après... …comme ça, j’aurais une belle paire de
fesses comme tu aimes ...et... et …vous profiterez
bien de mon gros derrière comme vous voulez et je ne recommencerai
plus à comploter... et je serai bien obéissant ...et...et soumis … comme vous voulez...“
Gladys finit par éclater de rire.
« Le pauvre chéri, il ne sait
plus quoi dire, alors il dit n'importe quoi ! De tout façon ce martinet
est bon à jeter. Nous irons chez le cordonnier en acheter un autre. Claque lui
sa fessée à la main ma chérie et qu'on n'en parle plus !
– Tu as raison maman... il aura un martinet
tout neuf.
– Oh, mais pas que pour lui... Il servira aussi
pour Robin !"
Le garçon qui suivait la conversation d'une
oreille nonchalante, et finissait par s'engourdir écrouler au fond de son
fauteuil, sursauta soudain en entendant son non. Ça ne lui plaisait pas
trop quand sa mère et sa sœur l'employait dans une conversation orientée sur la
fessée. Jusqu'ici son plan se déroulait comme il l'espérait. Mais il devait
bien se douter que le nouveau martinet ne servirait pas uniquement sur le
derrière de son beau-père.
Patricia se lève du canapé, remet Edouard
debout en le tenant par l'oreille et le conduit ainsi
jusqu’à la chaise à fessée. Elle s'y assied en tortillant du derrière
pour bien le caler sur l'assise et remonte à nouveau sa pupe jusqu'aux attaches
de ses jarretelles.
« Allez beau papa, on vient se
mettre à plat ventre sur mes genoux …et on a intérêt à garder ses
fesses bien présentées pendant toute la durée de sa fessée sinon je prends la
planche !
Soumis
à l'inflexible autorité des deux femmes. Edouard n'en mène pas large. Il craint
surtout la rigueur des fessées de Patricia qui, à chaque fois qu'elle le
corrige, compense par une extrême sévérité, le trop peu de punitions, qu'à son
goût, sa mère l'autorise à lui administrer.
Les jambes toujours entravées par son pantalon
et son slip, baissés depuis sa première déculottée, il obéit aux ordres et se
précipite vers elle à petits pas maladroits.
« Oui Patricia...Oui ! C'est toi qui décides de la
fessée. . Alors tu feras comme tu veux...
forte mais pas trop s’il te plaît …j’ai le derrière
complètement en feu ! »
La jeune femme sourit en évaluant la rougeur
écarlate du volumineux fessier qui vient docilement s'arrondir, sur ses
cuisses, prêt à recevoir la nouvelle fessée qu'elle lui prépare. Non seulement
la cuisson bien avancée du derrière qui s'offre à elle ne l'émeut pas le moins
du monde, mais cela aurait même plutôt tendance à l'exciter davantage. Comme
disent Clarisse et Bettina : Une bonne fessée ne commence vraiment que sur
un derrière écarlate, bien préparé. Et c'est le cas présent.
« Ça suffit ! Dit-elle d'une voix autoritaire.
Arrête de te plaindre et de pleurnicher comme une
mauviette ! Occupe-toi plutôt de me présenter tes
fesses comme il faut ! Tu vas
prendre ta fessée, longue et sévère,
et c’est tout ! »
Allongé, cette fois sur les genoux de Patricia,
le slip à mi cuisses, le postérieur écarlate et luisant, bombé au maximum, le
visage inondé de larmes au ras du sol, Edouard,
en appui sur ses deux mains, se met en position réglementaire. Les
genoux pliés et pieds levés, prêts à battre l’air, il attend, les yeux affolés
et plein de repentir, les cuisantes claquées qui vont une nouvelle fois
incendier son fessier déculotté sans défense !
Déjà sévèrement fessé, mais ayant réussi à
échapper à la planche à découper, il s’est installé en s’efforçant de présenter
son postérieur cramoisi parfaitement exposé.
Il lui faut faire preuve de
docilité pour recevoir la fessée à la main, destinée à égaliser les traces
rouges que les lanières du martinet ont imprimées sur toute la surface de son
derrière gonflé par les cinglées.
Gladys qui commence à s'impatienter, stimule sa
fille de la voix.
« Et bien Patricia... Il est
prêt là... qu'est ce que tu attends pour lui mettre
sa fessée? »
Elle répond par une sourire. Elle a
décidé de prendre son temps pour savourer l’instant.
Elle ajuste la position du derrière exhibé sur ses genoux. Elle
surélève un peu sa cuisse droite de façon que la croupe de son puni soit
nettement plus haute que sa tête et se présentent bien à sa main. Pas de
jalouse, les deux fesses doivent s'en prendre autant l'une
que l'autre.
Satisfaite, elle lève sa main droite
très haut au-dessus de sa tête pour prendre le
maximum d'élan et la fait claquer avec une sonorité éclatante sur le fessier
bondissant ! L’effet persistant du Dolic ne faisant que s’accroître,
les fesses redeviennent presque
’immédiatement rutilantes, comme s’il s’agissait d’un
feu de braise dont on aurait voulu raviver les flammes avec un soufflet.
Malgré les contorsions effrénées de la croupe
punie qui, par des mouvements saccadés incontrôlés, se rétracte, se soulève, se
trémousse dans tous les sens, Patricia
ajuste si bien les claquées qu'elles s’abattent à coup sûr en plein milieu de
l’endroit visé. Le volume conséquent des globes fessiers et leur positionnement
ne leur offrent aucune chance d’échapper aux claques dont le vacarme emplit la
pièce et s’échappe au dehors par la fenêtre
grande ouverte. Portée par son
enthousiasme à corriger le plantureux derrière enluminé,
la jeune femme intensifie progressivement la fessée. Le claquement
monumental couvre même les gros sanglots bruyants qui secouent le malheureux.
La bouche grande ouverte, les yeux agrandis de
douleur et de peur, il n’a manifestement plus aucune capacité à maîtriser son
corps. C’est machinalement que ses fesses se contractent quand la main
vigoureuse de sa correctrice s’abat, puis s’arrondissent de nouveau comme pour
attendre la suivante qui les claque aussitôt après. Les larmes ruissellent
à flot sur ses joues rouges, coulent dans sa bouche, le long de son
cou jusqu'au sol.
Patricia de temps en temps le sermonne, sans
faire de pause ni perdre la cadence.
« “ Tiens ! tiens ! une bonne fessée
bien claquante sur le gros cul de monsieur ! Quand on a une pareille paire
de fesses c'est exactement ce qu’il lui faut ! Il va falloir que tu
files doux mon ami ! A te tenir convenablement et d'arrêter les petites
combines avec tes amis Douglas et Gilbert ! Sinon les
fessées vont claquer comme aujourd'hui, et toute la semaine ! N'est-ce pas maman ?
« Tout à fait ! Matin et soir... et le midi
s'il le faut ! Une amie de Clarisse inflige même des journées fesses
rouges'' à son mari, C'est, fessées toute la journée ! C'est dire s’ils
peuvent en supporter. Tape plus fort ma chérie, profite en bien,
ses fesses peuvent en encaisser encore !
Aller, fais-moi claquer cette
belle paire... bien fort ! Ça va lui apprendre à vivre ! »
Patricia n'avait pas vraiment besoin des
encouragements de sa mère pour faire preuve de
sévérité. Edouard arrivant à peine à prendre sa respiration, n’avait même
plus la force ni la présence d’esprit de
tenter la moindre plainte.
Pendant que le beau-père recevait sa fessée et
gigotait en braillant comme un gamin sur les genoux de sa sœur qui
faisait claquer ses fesses avec enthousiasme, Robin, pas très à l'aise mais
tout en ne perdant rien de la scène, avait préparé la table du salon pour
l'apéritif. Il avait sorti les verres et le Whisky pur malt, bien à portée au
cas probable où, après tant de dépense d'énergie les dames de la maison
auraient soif. Il avait aussi, disposé les amuse-gueule dans des soucoupes, mis
des petites serviettes en papier, des dessous de verre. Il ne
manquait plus que les glaçons mais il préférait attendre que la fessée soit
terminée pour les apporter. Au train où ça allait ils risquaient de fondre
avant la fin de la séance. Il avait tout bien fait et s'était rendu irréprochable.
Les préparatifs terminés, il s'était rassis
dans son fauteuil et regardait sagement la punition d'Edouard. Il se gardait de
tout commentaire, mais pensait que cette magistrale fessée... c’était “bien fait” pour lui. Après tout il avait obtenu sa vengeance. Même
si sa mère ne l’emmenait pas chez le cordonnier conseillé par Régine, l'achat
d'un nouveau martinet était déjà un supplément de punition suffisant pour le beau-père. D'autant plus qu’il était
évident que ce nouveau martinet servirait aussi sur son propre postérieur. Il était donc partagé entre
l’envie qu'il éprouvait de voir la fessée d'Edouard se poursuivre et le désir de s’éclipser au
plus vite. Il valait peut-être mieux éviter que sa mère ne
le presse de questions sur la phrase qui lui avait échappé tout à l'heure, au
sujet du martinet que Régine avait l'intention d'acheter pour son mari.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 18
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
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