A La Villeneuve sur
Horto, petite ville moyenne française entourée d’une campagne agricole, depuis
que Tatie Nathalie a montré comment il convenait de punir les adultes
désobéissants et que Madame André, la cheffe de magasin du supermarché local, a
emboité le pas, l’usage de la fessée se répand comme une traînée de poudre.
Tout se passe comme s’il
avait suffi de leur donner l’exemple pour que des parents, des sœurs, des
responsables en tout genre ou même des voisins adoptent cette méthode si
efficace. La plupart des corrections sont, bien entendu, administrées au
domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une adulte, culotte baissée,
recevant une fessée dans des lieux les plus divers, est devenu une situation commune.
Ce récit est
l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont retrouvées soumises à ce
régime disciplinaire… pour leur plus grand bien.
Madame Caroni tenait Béatrice par le bras en sortant du
bâtiment dans lequel la cheffe de bureau venait de lui confier la responsabilité
de punir la jeune femme quand la qualité de son travail aurait mérité une
correction dans la journée.