Mes chères sœurs Bérénice et Nathalie répétaient un extrait d'une petite pièce de théâtre dont l'action se passait "au temps des châteaux forts et des dames du temps jadis". Elles s'étaient réservé le passage du boudoir et du page voyeur. Naturellement, cela flattait leurs tempérament de belles fesseuses ! Ah les grandes sœurs...
Afin d'éradiquer leurs désobéissances, négligences et comportements irresponsables, certains garçons et filles, surtout quand ils sont devenus grands, ont besoin de recevoir une sérieuse fessée déculottée. On n'est jamais trop âgé pour recevoir une bonne fessée et en tirer bénéfice. JLG
dimanche 30 juin 2019
samedi 29 juin 2019
Reprise en mains maternelle - chapitre 4
Clotilde et Chantal sirotaient
leur jus de fruit autour de la table basse. Laure et Denis se tenaient
silencieux dans leur coin. Les marques de la dernière fessée étaient encore
largement visibles. L’heure était à l’organisation.
« Dites-moi Chantal, il
serait nécessaire que nous nous organisions afin de garder un œil le plus
souvent possible sur ces deux garnements.
jeudi 27 juin 2019
Les rebelles - chapitre 7
Une fois
par quinzaine, les élèves de Ste CROIX vont à la piscine municipale pour une
séance de natation avec leur professeur d’EPS, Philippe M. Comme dans tous les
établissements, la pratique de plusieurs activités sportives est une composante
importante de l’enseignement. Comme on dit, un esprit sain dans un corps sain.
L’école Ste CROIX est équipée d’un stade et d’un gymnase, par contre, il faut
avoir recours à d’autres structures lorsque celles-ci sont très spécifiques
comme par exemple la natation, l’équitation, les sports nautiques, le tennis…
Etant en
fin de trimestre, les conseils de classe entérinés, les élèves « lèvent le
pied » et se relâchent et le chahut gagne progressivement les rangs des
élèves, qui n’ont soit plus à perdre soit plus rien à gagner.
Libellés :
Bêtise,
Ceinture,
Déculottée,
Education,
En public,
F/F,
Fiction,
Main nue,
Maman,
Professeur,
Punition,
Récit
mercredi 26 juin 2019
Deux grandes filles à éduquer - chapitre 1
A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée
d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il
convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la cheffe de
magasin du supermarché local, a emboité le pas, l’usage de la fessée se répand
comme une traînée de poudre.
Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que
des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins
adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien
entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une
adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, devient
un spectacle commun.
Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont
retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien et
celui de leur entourage.
Teva fit entrer, dans
l’appartement, Maeva qui montrait ouvertement sa mauvaise humeur. Teva avait
tenu à ouvrir elle-même la porte et Maeva avait dû lui en remettre la clé que
Teva avait ensuite empochée. Sa grande sœur prenait son rôle très au sérieux.
Elle tenait Maeva par le coude et celle-ci savait qu’elle ne pourrait lutter contre
Teva. Physiquement, elles n’avaient pas hérité du même parent.
Libellés :
Au coin,
Déculottée,
Désobéissance,
Education,
En public,
F/F,
Fiction,
Main nue,
Punition,
Récit,
sœur
mardi 25 juin 2019
Ces dames aux mains fermes, en image - saison 1 - scène 1
Plutôt que de laisser dormir dans des fichiers (maintenant on ne dit
plus cartons) les illustrations des saisons 1 et 2 , nous avons décidé avec JLG de les republier, chapitre par
chapitre, accompagnées, à chaque fois,
d'une brève présentation afin de les resituer dans le récit. Pour une relecture
complète, voir les saisons 1 et 2.
Souhaitons que cela plaise aux fidèles lecteurs et aux nouveaux qui n'ont peut être pas eu l'occasion d'en profiter lors de la première parution,
Un clin d’œil au passage à notre ami Peter Pan. Ses petites chroniques illustrées hebdomadaires m'ont inspiré l'idée de cette forme de compilation. Je laisse ces dessins, libres d'utilisation à la communauté du Blog,
Cordialement,
Ramina,
Souhaitons que cela plaise aux fidèles lecteurs et aux nouveaux qui n'ont peut être pas eu l'occasion d'en profiter lors de la première parution,
Un clin d’œil au passage à notre ami Peter Pan. Ses petites chroniques illustrées hebdomadaires m'ont inspiré l'idée de cette forme de compilation. Je laisse ces dessins, libres d'utilisation à la communauté du Blog,
Cordialement,
Ramina,
lundi 24 juin 2019
Des traditions à maintenir
Quand tu t'es mariée à mon fils, je t'avais dit que tu embrassais en même temps toutes nos traditions familiales. En devenant ma belle-fille, tu es maintenant l'une de mes filles ou peu s'en faut. Ce n'est pas parce que tu as eu trente ans cette année et que tu es mère de deux de mes petites filles que cela change quoi que ce soit. J'ai maintenant les mêmes devoirs envers toi que ceux que j'ai envers mes propres filles et cela ne changera pas tant que je serai vivante.
Je sais que dans ta famille, les enfants quand ils deviennent majeurs considèrent qu'ils sont les égaux de leurs aînés. C'est un aberration. Chez nous, ils doivent le respect et l'obéissance à leurs aînés quel que soit le lieu ou le moment où on se trouve.
dimanche 23 juin 2019
Mémoires d'un garnement de jadis - 75ème tableau
Mes talents de caricaturiste n'étaient pas du goût de mes belles enseignantes et leur écho parvint jusqu'au bureau de la Directrice qui convoqua Maman pour 18 heures le soir même. Et vous connaissez la suite, bien sûr...
samedi 22 juin 2019
Reprise en mains maternelle - chapitre 3
Poussée par sa belle-mère, Laure
fit son entrée dans le séjour. Elle rougit en croisant le regard de sa mère
devant laquelle sa belle-mère la conduisit.
« J’ai cru comprendre qu’une
grande fille n’avait pas été sage. Qu’en dis-tu ? »
Laure aurait volontiers disparu
dans un trou de souris, mais il n’y en avait pas de disponible à proximité.
Qu’en dire ? Elle ne savait pas.
« Il me semble qu’il y a eu
une grande fille qui a reçu une fessée ! »
Laure baissa la tête. Elle avait
honte d’avoir été punie et honte que cela se discute ouvertement.
jeudi 20 juin 2019
Les rebelles - chapitre 6
Le voyage
jusqu’en Russie dure deux jours pleins, car il faut aller jusqu’à PARIS en TGV,
prendre l’avion de ROISSY Charles de GAULLE jusqu’à l’un des trois aéroports
internationaux de MOSCOU puis reprendre un train pour arriver à ROSVA, banlieue
d’une ville de trois cent mille habitants, située à deux cent kilomètres au
Sud-Ouest de MOSCOU.
mercredi 19 juin 2019
Une nouvelle maison pour Clara - chapitre 5
Clara et Stanislav se placèrent
là où ils étaient avant que Madame Gorevski les emmène faire le tour de
l’appartement. Celle-ci ne reprit pas sa place sur le canapé. Elle se mit à
tourner autour des deux jeunes adultes.
« Dégagez-moi correctement
vos fesses. Je n’en ai pas fini avec elles ! »
C’était une mauvaise nouvelle,
mais c’en aurait été une encore plus mauvaise de savoir si Madame Gorevski les
taxait de désobéissance. La jupe et la chemise remontèrent bien haut au-dessus
de la taille.
Libellés :
Au coin,
Belle-mère,
Brosse,
Déculottée,
Education,
En public,
F/F,
F/H,
Fiction,
Main nue,
Maman,
Négligence,
Propreté,
Punition,
Rangement,
Récit
lundi 17 juin 2019
Mesures disciplinaires radicales
Comment ça "ce n'est pas juste" ? C'est peut-être moi qui ai gâché la soirée en me disputant avec Mylène ? Tu ne lui as pas laissé une minute de répit. Tu as poussé la goujaterie jusqu'à lui faire remarquer la tâche de sauce qu'elle a faite sur son chemisier.
Chaque fois que je l'invite à la maison, c'est la même comédie. Tu ne peux t'empêcher de la provoquer. Qu'est-ce qui te gêne chez elle ? Sa réussite en tant que professeure universitaire qui commence à se faire une réputation internationale ? C'est ça ? Tu te sens dépassé par la pertinence de ses analyses ? Le brillant de ses propos ?
Il faut qu'à chaque fois tu tiennes des propos sans queue ni tête. T'es-tu entendu prétendre qu'il n'était pas certain que la terre soit ronde ? Ou que si les pauvres sont pauvres, c'est à cause de leur paresse ? La pompon a été quand tu as douté que les femmes soient les égales des hommes.
dimanche 16 juin 2019
Mémoires d'un garnement de jadis - 74ème tableau
A 17 h 30 tapante, Maman m'attendait à l'arrêt du bus. Je descendais et saluais Robin. Je pensais déjà à la discussion houleuse qui allait s'ensuivre après la signature de Maman... et ses conséquences. Mazette !
samedi 15 juin 2019
Reprise en mains maternelle - chapitre 2
Maman était toujours aussi fâchée
après moi quand nous arrivâmes à mon domicile. Elle n’avait pas quitté une
seconde son rôle de mère exaspérée par le comportement de son enfant. Elle ne
me laissait pas un mètre de liberté. Elle me faisait sentir que j’étais sous
son contrôle. Tôt au long du trajet qui menait de sa voiture à mon appartement,
elle me tenait par le bras. Deux fois, alors que je marquais une hésitation à
obéir à l’une de ses directives, elle me claqua les fesses. Ma jupe les
recouvrait. Cela ne me fit pas grand mal, mal c’était dans un lieu public où je
risquais de rencontrer des voisins qui me connaissaient.
jeudi 13 juin 2019
Les rebelles - chapitre 5
Afin de
se faire de l’argent de poche, tous les mois de Juillet, depuis trois ans, Iourievna,
sa sœur Olga et ses deux amies Mylène et Margaux participent à la cueillette
des nectarines, des pêches et des prunes dans l’exploitation de Pierre et
Evelyne M. Les deux mois d’été sont propices pour trouver un emploi saisonnier.
La
cueillette est un moment particulier de l’année, car c’est l’occasion de revoir
les habitués des années précédentes, car ce sont souvent les mêmes qui
réalisent les ramassages de fruits, des étudiants pour la plupart et des gens venus
tout spécialement, dans cette région du sud de la France.
mardi 11 juin 2019
Une nouvelle maison pour Clara - chapitre 4
Madame Gorevski ne se lassait pas
de contempler ses deux enfants dans leur coin. Elle était submergée par des
bouffées de tendresse envers eux. Elle n’avait jamais connu cela. C’était sans
doute ce qu’on appelait de l’amour maternel. Elle avait envie de les serrer
tous les deux dans ses bras pour leur dire que leurs bêtises étaient
pardonnées.
Elle regarda l’heure. Un bon
quart d’heure au coin, c’était insuffisant. Ils avaient encore besoin de penser
aux dangers que représenteraient désormais les mensonges.
« Je ne peux pas partir
avant qu’ils aient fini leur temps au coin. Je dois patienter encore un
peu. »
lundi 10 juin 2019
Un réveil en pleine nuit
Désolée, ma chérie, mais c'est ainsi. J'ai le sommeil léger et j'entends le moindre bruit la nuit, même quand je dors. Je t'avais prévenue quand nous avons décidé de partager cet appartement, n'est-ce pas ?
Remarque, même avec un sommeil de plomb, il était difficile de rater ton retour à la maison à... quelle heure est-il ? Quatre heure du matin ! Avec tout le raffut que tu as fait tu aurais réveillé n'importe qui.
Et qu'as-tu renversé dans la cuisine ? Je crois qu'il y a eu de la casse. Par contre, je ne t'ai pas entendue ramasser les morceaux. Je pense que je vais tout trouver par terre demain matin.
Et que je mette de la musique, et que je claque les portes, et que je rigole comme une folle avant de rentrer dans ma chambre... Tu te croyais sans doute toute seule ?
Et que je mette de la musique, et que je claque les portes, et que je rigole comme une folle avant de rentrer dans ma chambre... Tu te croyais sans doute toute seule ?
dimanche 9 juin 2019
Mémoires d'un garnement de jadis - 73ème tableau
Mon insatiable curiosité (déplacée dirait Maman) me piégeait à chaque fois. Ma sœur Nathalie, et ma cousine Natacha, en visite chez nous pour la fête de l'Ascension, me surprirent et me firent la "leçon de bonnes manières" à leurs façons. Elles frappaient raides, les gourgandines ! Mazette ! Quelles claqueuses !
samedi 8 juin 2019
Reprise en mains maternelles - chapitre 1
A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée
d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il
convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la cheffe de
magasin du supermarché local, a emboîté le pas, l’usage de la fessée se répand
comme une traînée de poudre.
Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que
des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins
adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien
entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une
adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers,
est devenu un spectacle commun.
Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont
retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien.
Laure était pressée. Cela faisait
quinze minutes qu’elle avait quitté son travail et il ne lui en restait plus
que cinq pour arriver dans le délai que sa Maman lui avait fixé. La peur sourde
de ne pas arriver à l’heure la ramenait vingt ans en arrière. Sa mère avait
toujours été très exigeante sur les horaires auxquels elle devait rentrer à la
maison. Laure, jusque dans son adolescence, ne traînait pas avec les copines et
encore moins avec des copains. Quand il lui arrivait d’avoir un petit retard,
il devait être justifié et quand ce n’était pas le cas, les cris et les
reproches de sa mère étaient interminables.
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Au coin,
Déculottée,
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Education,
F/F,
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Insolence,
Main nue,
Maman,
Punition,
Récit
jeudi 6 juin 2019
Les rebelles - chapitre 4
Clément,
vingt ans, est étudiant à l’école St CROIX. Avec deux ans de retard dus à des
redoublements, il peine à suivre les cours. Des conseillers d’orientation lui
ont suggérés les études courtes, mais ses parents l’ont maintenu dans une
filière longue.
Clément
est dans la même section qu’Olga et Iourievna. D’ailleurs cette dernière n’est
pas indifférente à son charme, ils passent du temps à discuter dans les
intercours, parfois même en dehors de l’école, au sein d’un groupe d’étudiants,
mais leur relation n’est jamais allée plus loin.
mercredi 5 juin 2019
Une nouvelle maison pour Clara - chapitre 3
« Venez-ici, mes deux petits
menteurs ! »
Le premier regard que jeta Clara,
une fois le nez sorti du coin, ce fut à Stanislav qui, lui, la regardait
également. Ils rougirent de honte d’être vus dans cette posture. Certes, ils
s’étaient déjà contemplés sans aucun vêtement, mais la tenue de ce soir n’avait rien à
voir. Quand ils se regardèrent, l’un l’autre, ils virent juste un et une puni
qui se dirigeaient lentement vers la personne qui détenait une autorité
suffisante pour les corriger quand elle le décidait. La part adulte de leur
personnalité était mise entre parenthèses.
lundi 3 juin 2019
Et à l'école également !
Ta baby-sitter a raison. Nous ne pouvons pas laisser passer un tel comportement sans réagir. Ce n'est pas parce que ta tutrice est absente pendant quelques jours que tu peux tout te permettre.
Dans cette institution, nous nous sommes fait une spécialité de ramener, dans le droit chemin, les jeunes gens récalcitrants dans ton genre. St Marie a une réputation. Je n'ai pas l'intention de la laisser se dégrader, surtout pour un jeune homme paresseux comme toi.
dimanche 2 juin 2019
Mémoire d'un garnement de jadis - 72ème tableau
Ce Dimanche pluvieux de printemps, Tante Mado invita une jeune professeure fraîchement arrivée au pensionnat Claquemiche. C'était naturellement pour ma terrrrible parente la belle occasion de faire connaissance et de narrer à cette jeune femme mes aventures trépidantes dans son école. Je devinais que l'ambiance de ce thé de 16 heures 30 n'allait pas être morose...
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samedi 1 juin 2019
La Tatie de Dorothée – chapitre 2
Heureusement, l’appartement de
Tatie Jacqueline était situé au quatrième et dernier étage de l’immeuble.
L’ascenseur ne montait que rarement tout en haut, seulement pour y déposer les
habitants des deux appartements qui y étaient situés. Personne n’étant attendu
chez Tatie Jacqueline, il n’y avait que l’arrivée des voisins de palier qui
pouvait amener des visiteurs à cet étage.
Dorothée guettait les bruits
d’ascenseur. A chaque fois qu’ils indiquaient qu’il était appelé, elle se
crispait. Il s’arrêtait toujours à l’un des étages en dessous de celui où elle
patientait au coin. Alors elle se détendait. Ce n’était pas encore pour cette
fois-ci.
« Tatie Jacqueline va bien
finir par venir me délivrer de ma pénitence. »
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