vendredi 31 août 2018

Consultation es fessée - Sonia et Michel

Une consultation par courriel, la première de celles qui sont publiées sur ce blog, avec l'autorisation des protagonistes..
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.


De: "XXXXXX Michel" <michel.XXXXXX@gmail.com>

À: "josip legall" <josip.legall@laposte.net>

Envoyé: Vendredi 24 Août 2018 16:49:14
Objet: contact


 BJR. Je suis un adulte de 40 ans,capricieux et indiscipliné. Sur les conseils d’une amie autoritaire, mon épouse Sonia a décidé de me corriger comme un gamin désobéissant en me flanquant régulièrement une bonne fessée.

jeudi 30 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 47


« La rumeur de votre sévérité courrait à travers la ville depuis quelques temps. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle aille aussi loin !
– Si cela vous pose problème…
– Ne vous méprenez pas ! Depuis le temps que je pensais que la fessée règlerait bien des problèmes que nous pose cette donzelle. Imbue d’elle-même, autoritaire, impolie, refusant de reconnaître ses erreurs, mentant sans vergogne, dépensière au-delà de ses moyens… j’en passe et des meilleures.
– Je reconnais bien là la Catherine que nous côtoyons tous les jours.

mardi 28 août 2018

Une rencontre chez Madame Anne Sophie

Cela faisait longtemps que nous n'avions pas eu de témoignage de l'activité disciplinaire de Madame Anne Sophie. En voici un nouveau rédigé par Marc.
Si vous voulez le contacter directement, envoyez-moi un courriel, je ferai suivre.

Bonjour,
Je tenais et comme promis à Anne-Sophie écrire mon témoignage de ma rencontre avec cette fesseuse hors pair !
J’ai 42 ans et j’ai toujours, depuis mon plus jeune âge, été fasciné par la fessée. Je l’ai reçue et donnée à de nombreuses reprises au cours des années passées.
Je suis tombé sur internet sur son annonce. Après avoir pris contact par SMS, Anne-Sophie m’a rappelé au téléphone pour me demander une photo de moi et quelles bêtises ou fautes je commettais régulièrement.

lundi 27 août 2018

Recadrage professionnel

Je ne comprends pas vraiment de quoi vous vous plaignez, Benoit. Je ne pouvais pas indéfiniment vous faire des promesses et ne jamais les tenir, vous ne croyez pas ? Qu'auriez-vous pensé de moi si cela avait été le cas ? J'aurais sans doute perdu toute crédibilité à vos yeux et vous auriez eu raison.
Tandis que maintenant, vous savez que ce que je vous dirai, sera suivi d'effet. C'est beaucoup plus clair, non ? Je comprends que vous puissiez protester sur le délai entre la première fois que je vous en ai parlé et sa concrétisation. J'aurais sans doute dû vous donner ce que vous méritiez beaucoup plus tôt.

dimanche 26 août 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 34ème tableau

Ma chère cousine Delphine se vengea à sa manière. Ainsi, elle m'imposa de faire un devoir de vacances. Et pour me persuader d'obéir, elle commença mon devoir par une mise en route cuisante. Ses deux sœurs entrèrent alors à l'improviste et ne manquèrent pas de commenter l’événement... 

samedi 25 août 2018

Axel en famille - chapitre 58


« Julie, tu finis tout ce qu’il a dans ton assiette ! »
C’est cette simple remarque qui a mis le feu aux poudres.
La matinée s’était déroulée sans anicroche, ce qui signifie que je n’avais pas reçu d’autre fessée. J’avais fait attention au travail qui m’avait été donné. J’avais trouvé Julie moins exigeante à mon égard lorsqu’elle était venue vérifier ce que j’avais écrit. Je l’avais trouvée même un peu distante, moins concernée.
Je la sentais pensive. Il me semblait qu’elle était plongée dans une profonde réflexion qui monopolisait son attention et l’empêchait d’être totalement à ce qu’elle faisait. Je ne m’en plaignais pas. Tatie Nathalie supervisait tout ce qui se passait et je l’avais vue froncer les sourcils en observant l’attitude distante de Julie à mon égard.

vendredi 24 août 2018

Consultation es fessée - Madame ?


Là où l’expertise se révèle primordiale.
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.

Jeudi 23 août 2018 - 15h17

« Allô, Docteur ?
– Docteur Jeanine Legendre. Bonjour. Que puis-je pour vous, Madame ?
– Docteur, j’ai besoin de vos conseils.
– C’est tout naturel. Expliquez-moi ce qui vous amène.
– Il faut d’abord que je vous explique la situation.
– Faites ! Et prenez votre temps. Il est essentiel que je comprenne.

mercredi 22 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 46


En quelques minutes, Madame Raveneau avait résumé la situation dans laquelle s’était mise Béatrice et sa collègue. Le recours à la fessée avait été présenté comme une évidence et comme une fleur qui était faite à Béatrice, l’alternative étant une sanction officielle qi conduirait à son licenciement. Placée devant ce dilemme, Béatrice avait choisi la fessée, en sachant qu’il s’agirait alors d’un régime définitivement adopté par la direction de l’entreprise, le même que celui qui était appliqué à ses des collègues. Madame Raveneau parlait évidemment de Magali et de moi.

lundi 20 août 2018

Une mise au point devant la voisine

Vois-tu, mon chéri, je tiens à ce que les choses soient claires avec notre nouvelle voisine. Comme elle devient une habituée de la maison, elle doit comprendre comment fonctionne notre couple. Il serait malvenu qu'elle en arrive à la conclusion que les impolitesses vont de soi sous notre toit, tu ne crois pas ?
Cela fait vingt-sept ans que nous sommes mariés et je pense que notre couple est fait pour durer. Nous avons passé beaucoup des difficultés de la vie parce que j'ai toujours appliqué la méthode que j'avais mis au goût du jour des nos premières rencontres, bien avant que je ne t'épouse. Tu ne voudrais pas que nous en changions ?

dimanche 19 août 2018

Mémoires d'un garnement de jadis - 34ème tableau

Je leur jouais un nouveau tour et cette fois ma cousine Delphine en fit les frais... Et bien sûr la suite pour moi fut cuisante encore une fois !  La fin des vacances approchait et me rendait nerveux. J'appréhendais le retour à la maison. Tante Mado allait naturellement mettre Maman au courant de mes dernières frasques estivales... Pour moi, " les carottes semblaient archi-cuites " !
Je humais déjà le parfum du martinet maternel graissé à l'huile de lin... 

samedi 18 août 2018

Axel en famille - chapitre 57


La mère de Julie me conduisit par l’oreille auprès du canapé. Elle s’y assit et je basculais en travers de ses genoux. Elle n’avait pas besoin de me baisser la culotte, elle l’avait fait avant de m’envoyer au coin. Je pus entrapercevoir Julie, avant que ma vision ne soit obstruée par les coussins sur lesquels reposait mon visage. Elle sanglotait doucement, au coin, la culotte baissée.
La mère de Julie, Tatie Nathalie comme elle voulait désormais que je l’appelle, avait déroulé sa stratégie progressivement tout au long de la journée. Elle avait maintenant la haute main sur la discipline de tous les enfants de la maison, ce m’incluait bien entendu, mais ce qui comprenait également Julie.
Tout avait commencé dès le matin …

jeudi 16 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 45


La règle claqua sur mes fesses. Tous les muscles de mon corps tressaillirent. Un cri. Madame Raveneau avait gardé le rythme et la force qu’elle avait mis dans la fin de la fessée qu’elle avait administrée à Catherine. Elle n’avait pourtant pas besoin d’insister autant pour que j’extériorise mon repentir. Je n’avais aucune prétention à feindre l’indifférence pour garder un zeste de fierté. Cela faisait longtemps que je savais que c’était inutile.
« Aïe ! »
La règle continuait son implacable travail sur mon postérieur. Courbé sous son bras, je ne voyais pas ce qu’elle faisait, mais je n’en avais pas besoin. Il n’était attendu de moi que de laisser mes fesses à disposition de ma directrice afin qu’elle puisse y appliquer la règle aussi longtemps et aussi fermement que nécessitait l’expiation de mon mensonge.
« Aïe ! »

mercredi 15 août 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 12


Les bienfaits de la fessée.

Sans attendre qu’on le lui propose, Edwige  pose son sac par terre près du fauteuil et s’y installe en croisant haut les jambes. Ses bas nylon, bruissent sur ses cuisses qu‘elle découvre davantage pour se mettre à l’aise en retroussant sa jupe jusqu’aux boucles de ses jarretelles. La pétulante créature est sans aucun complexe, à l’aise partout, en toutes circonstances, avec n’importe qui. La mine réjouie, son regard passe successivement de Gladys à Patricia.
« Et bien mes chéries, on dirait que j’arrive au bon moment ! »
Elle soulève son opulente poitrine d‘un soupir de satisfaction. Son bustier en dentelle semble avoir des difficultés à la contenir.
 « Hummm, ça sent la fessée ici ! »

lundi 13 août 2018

A nouvelle demeure, nouvelles règles familiales.

Et bien, non, décidément, je ne vois pas ce que vous y trouvez d'étonnant, mon garçon. étant mon gendre, vous faites partie de la famille. Je vous considère donc comme mon propre fils. depuis que vous vivez avec ma fille c'est bien normal.
Vous ne voudriez tout de même pas que je n'ai pas les mêmes attentions avec vous que celles que j'ai avec mes autres enfants ? Il est normal que je vous traite de la même façon qu'eux. Votre avenir m'importe tout autant que celui de mes propres enfants.

dimanche 12 août 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 33ème tableau

 Nos bonnes Mamans admettaient que nous grandissions et devenions des adultes mais à leurs rythmes.
Et cela excluait pour elles l'entrée des "revues vicieuses",  comme elles disaient, à la maison. Revues qui devenaient
si nécessaire à présent à notre "éducation... intime". En cela Mamie Bernadette se montrait plus tolérante et  nous comprenait. "Vous oubliez, mes chéries, qu'ils deviennent des hommes. Ils ont besoin de... connaitre les choses de la vie. Cessez donc pour une fois de jouer les vieilles bigotes  !"

samedi 11 août 2018

Axel en famille - chapitre 56

La vie chez la Maman de Julie, à La Villeneuve sur Horto, prit son rythme de croisière. Pour moi, il n’y avait pas de changement notable. Dès le premier après-midi, Julie me mit au travail sur mes fiches de lecture.

Je n’étais pas vraiment concentré sur mon travail. Mon séjour dans cette nouvelle maison perturbait toutes mes habitudes et, compte tenu de la façon dont Julie me punissait, j’avais plutôt besoin de discrétion. Je ne tenais pas à ce que d’autres personnes que Julie sachent que j’étais régulièrement fessé.

vendredi 10 août 2018

Consultation es fessées - Madame GXXX


Il faut parfois forcer la main pour que les responsabilités soient assumées.
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.

Lundi 6 août 2018 - 17h44

 « Allô, Docteur ?
– Docteur Jeanine Legendre. Bonjour. Que puis-je pour vous, Madame ?
– Madame GXXX. Bonjour Docteur. Je vous remercie de me prendre. C’est un appel urgent. Je dois me décider tout de suite. Qu’en pensez-vous ?

jeudi 9 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 44


Catherine fit son apparition dans l’encadrement de la porte. Madame Raveneau la tenait par l’oreille sur laquelle elle tirait pour faire avancer la femme qui la suivait le visage grimaçant. Le pinçon sur son oreille ne lui donnait pas le choix.
Catherine traînait des pieds, au sens littéral du terme. Elle se tordait le cou pour diminuer la tension que Madame Raveneau produisait sur son oreille. Elle avançait le plus vite qu’elle pouvait tout en ne faisant que les petits pas que lui permettait son pantalon autour de ses chevilles. Sa culotte glissait à chaque pas, passant en dessous de ses genoux, puis elle descendit encore jusqu’à ce que le haut de son pantalon l’arrête.

mercredi 8 août 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 11

Edwige, la visiteuse du soir,

La pause est de courte durée. Le programme des punitions n’est pas entièrement terminé. Pas de mise au coin immédiate, les deux femmes maintiennent les fesses d’Edouard et Robin à portée de mains en cas d‘urgence. La moindre plainte ou le plus petit sanglot mal réprimé, déclenche immédiatement une nouvelle fessée.
En attendant, ils sont en pénitence, à genoux, déculottés fesses en l’air, aux pieds de leurs correctrices. Elles se sont  réinstallées, l‘une à côté de l‘autre dans le canapé. Détendues, sereines, les mains délicieusement  piquantes d’avoir claqué si fort sur les derrières. Elles apprécient  du regard le résultat de leur travail et remettent un peu d’ordre dans les petits détails de leur tenue, malmenée pendant les corrections. Patricia rajuste une jarretelle pendant que Gladys lisse ses bas nylon sur ses cuisses. Elle évalue du regard, le niveau de cuisson des postérieurs gonflés de claques sous les fessées, et commente sur un ton ironique.

lundi 6 août 2018

Beaucoup trop grande !

Je suis tout à fait d'accord avec toi : quand on a une jeune fille de vingt-quatre ans, cela signifie qu'on a affaire à une adulte et qu'on doit se comporter avec elle comme avec une égale, même, et surtout, si on est sa mère.
Je suis tout à fait d'accord avec toi : on doit voir des égards pour sa fille quand elle est devenue une jeune femme qui gagne sa vie, même si elle vit encore sous le toit familial.
Elle est beaucoup trop grande pour être traitée comme une petite fille. Ne sois pas inquiète, je n'ai nulle intention de le faire.

dimanche 5 août 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 32ème tableau

Mes plaisanteries parvinrent aux oreilles  de ma tante Madeleine. Son sens limité du comique  se résuma à un recadrage éducatif à mon égard. Mon cousin Phil n'échappait pas lui non plus, épisodiquement, aux terribles sautes d'humeur de ma chère tante... Quelle famille. Mais bon, c'était ma tante, malgré tout...

samedi 4 août 2018

Axel en famille - chapitre 55


Julie était le portrait craché de sa mère avec une bonne vingtaine d’année de moins. Cette dernière était une femme dans la force de l’âge qui donnait l’impression d’être en peine possession de ses moyens. Il n’était jamais question du père de Julie et, questionnée par Marc au début de notre cohabitation, elle nous avait fait comprendre sans détour qu’elle ne souhaitait pas aborder le sujet. Je ne sais pas pour quelle raison, mais ce n’était pas un souvenir agréable.
Julie tomba dans les bras de sa mère. Il y avait visiblement une grande affection entre ces deux-là. Leur embrassade dura un petit moment puis elles se séparèrent. Julie se tourna vers moi.
« Dis bonjour ! »

vendredi 3 août 2018

Consultations es fessées - Maria


Il suffit parfois de peu de chose pour être rassuré.
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.

Mardi 31 juillet 2018 - 17h32

 « Allô, Docteur ?
– Docteur Jeanine Legendre. Bonjour. Que puis-je pour vous, Madame ?
– Bonjour Docteur.
– Dites-moi ce qui vous amène.
– Docteur, je vis depuis plusieurs mois une situation qui m’inquiète.

jeudi 2 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 43


L’atmosphère fut lourde, studieuse et silencieuse pendant tout le début de l’après-midi. Chacun attendait avec anxiété le retour de Madame Raveneau. Tous craignaient ses décisions. Pour Catherine et Béatrice, cela se comprenait. Elles étaient en faute et notre directrice n’était pas femme à passer sur de tels agissements. Il y aurait des conséquences.
Nous apprîmes plus tard comment Madame Colas avait pu surprendre Catherine et Béatrice en plein exercice. La sonnette qui se déclenchait à l’ouverture de la porte était hors service. Notre cheffe de bureau était arrivée sans que nous ayons pu nous en apercevoir.
Catherine tentait de faire bonne figure, mais son angoisse était malgré tout palpable. Sa tentative de connivence avec Madame Colas qui avait lamentablement échouée n’était pas de bon augure. Béatrice laissait ouvertement voir sa crainte. Des larmes coulaient épisodiquement sur ses joues et elle regardait Madame Colas, prenant un air suppliant qui laissait celle-ci de marbre.

mercredi 1 août 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 10

Sous les fessées : l’obéissance

Après le claquement des deux fessées en simultané qui avaient généreusement retenti dans toute la maison, un calme, tout à fait provisoire, était revenu dans le salon. Un silence relatif y régnait, seulement troublé par les sanglots et reniflements difficilement réprimés d’Edouard et Robin. Leur fesseuse respective les avaient envoyés se positionner au coin en pénitence, chacun à son mur d’angle, déculotté, chemise relevée au-dessus de leurs fesses écarlates.
Gladys et Patricia, la main délicieusement piquante, encore imprégnée de la chaleur des fesses qu‘elles venaient de claquer à plusieurs reprises, dégustaient leur whisky pur malt, en profitant du réjouissant spectacle. Un moment de contemplation, bien gagné,
 Les deux paires de fesses flamboyantes, gonflées sous les claques,  leur renvoyaient la récompense de l’énergie qu’elles avaient déployée à leur administrer les fessées méritées pour sanctionner leurs écarts de comportement.