Camille désignait la porte ouverte sur la cage d’escalier,
puis ses fesses et ses jambes nues.
« Ne fais pas tant d’histoire. Ce n’est pas parce qu’on
risque d’apercevoir un coin de tes fesses, le temps que tu montes au quatrième
étage, qu’il faut en faire tout un plat. Les personnes qui les verront n’en
seront pas aveuglées. Crois-tu que ce soit aussi surprenant et inhabituel
qu’une de mes pupilles se déplace les fesses nues dans la cage
d’escalier ?
– Mais non, je ne peux pas.