Je me relève comme je peux, j'ai juste
le temps de m'essuyer les yeux, avant de poser mes mains sur ma tête et
d'exhiber en passant devant Justine d'abord "mon attirail" comme disait
la tante Maud en se moquant, je suis tellement effondré par ce qui vient de
m'arriver, que mon sexe est au repos complet, un spaghetti quasi, puis mes
fesses cramoisies, avant d'aller me placer face au mur dans une position qui
m'est hélas habituelle.
Une heure, elle n'y va pas de main morte
ma mother, encore heureux, qu'elle ne m'ait pas obligé à me mettre à genoux. Je
suis au fond du trou, je ne pense plus à rien, Justine fera bien ce qu'elle voudra,
de toutes façons, elle aurait été mise au courant un jour ou l'autre, tu penses
bien que ma chipie de cousine n'y aurait pas manqué. Je songe avec horreur, qu’elle
a toujours barre sur moi, avec la vidéo de mon abaissement total qu'elle a
toujours en sa possession, il faudrait que je les récupère, mais ce serait
inutile, elle a dû en faire des copies, au moins une en tout cas qu'elle aura
confié à Corinne.
Je n'ai plus qu'à filer doux, faute de
quoi, tous mes copains et mes copines profiteront du spectacle de mes fessées
par les deux filles, plus les mises au piquet.