QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
AVANT L'HEURE C'EST PAS L'HEURE, APRES L'HEURE C'EST LA FESSEE!
Après
ce court instant de réflexion, Géraldine se décida à entrer dans le magasin et
d'affronter sa tante. Elle allait, évidemment, estimer que son retard
inacceptable justifiait une sévère punition. Elle connaissait par cœur,
l'intransigeance d'Astrid sur la ponctualité, et sa promptitude à sévir en cas
de manquement à la règle ou pour n'importe quelle autre raison. Ce n'était donc
pas la première fois qu'elle allait se prendre une fessée dès le matin et
commencer sa journée le derrière cuisant au fond de son slip. Elle avait
d'ailleurs commencé à préparer mentalement ses fesses en sortant de chez elle.
Déterminée
à assumer la situation, elle entre en ouvrant grande la porte qui déclenche un
signal sonore, comme il en existe dans la plupart des magasins, pour avertir de
l'arrivée d'un client. A la différence près, que celui-ci était pour le moins
original. Au lieu des quelques notes de musique habituelles, Astrid, avait fait
enregistrer le claquement d’une fessée déculottée qui retentissait joyeusement
à chaque fois que quelqu'un entrait dans sa boutique. Ça créait tout de suite
une ambiance de discipline si émoustillante que Claridge De Blagnac, voulait
faire installer le même système dans sa boutique de lingerie. Inutile de préciser... si quand même... que
c'est les fesses de Géraldine qui régalaient les oreilles de la clientèle.
Une
clientèle, d'ailleurs, presque exclusivement féminine. Les rares Messieurs qui
s'aventuraient à franchir la porte du magasin, étaient ceux que leur femme
envoyait chercher, soit une commande de martinets pour leur propres fesses, un
nouveau modèle de slips à fessée ou se réapprovisionner en Dolpic. Très
souvent, à la demande de l'épouse, un mari puni pour faute grave, devait se
faisait mettre une sévère déculottée par la patronne, réputée pour l'efficacité
de sa force de frappe. Au retour à la maison, les fesses rouges et cuisantes, Monsieur
avait droit à un deuxième service,
assuré par madame qui se faisait un devoir de tester la qualité des nouveaux
instruments de discipline.
Astrid,
s'affaire autour de ses présentoirs. Elle accroche une assortiment de battoirs
en cuir qui viennent de sortir de l'atelier de son mari. Sans prendre la peine
de se retourner, elle interpelle Géraldine d'une voix posée, presque neutre.
–
Ah ! Te voilà enfin Géraldine... Tu as vu l'heure ?
–
Oui ma tante, neuf heures vingt !
Répond l'intéressée sans se démonter, Elle se dirige nonchalamment vers
le comptoir pour y poser son sac d'où
dépasse le manche cannelé d'un martinet. Mais votre pendule avance de deux
minutes.
Astrid
lui fait volteface. Le ton monte aussitôt.
–
C'est ça, commence à répondre ! Tu ne manques pas de culot ma petite,
alors que tu arrives avec plus d'un quart d'heure de retard ! Tu sais
pourtant que je suis très à cheval sur les horaires.
–
Oui tantine, c'est pas la peine de crier, je sais, mais c'est pas ma faute.
–
Non bien sûr, ce n'est pas ta faute !
Tu as eu un accident de talon aiguille ? Filé un bas ? Ta mère
t'a mis une fessée avant de partir ?
--
Non, tantine, c'était pas loin, mais c'est elle qui...
–
Je vois, c'est la faute de ta mère ! Tu commences bien ta journée tiens ! Tu sais ce qui attend tes fesses ?
–
Oh oui ma tante, je connais le programme,
trois démonstrations de fessées au martinet,
–
Oui, mais ça c'est prévu ! Tu vas déjà
t'en prendre une, pour sanctionner ton retard.
Géraldine
ne discute pas, elle sait que négocier une fessée avec sa tante est aussi
impossible que se déculotter sans les mains. Au fond d'elle-même, elle
reconnaît l'avoir méritée. Elle n'a rien
fait pour l'éviter. Et puis, ça ne lui déplaît pas d'entamer sa journée par une
bonne séance d'échauffement pour préparer son derrière ce qui l'attend .
Alors, elle provoque, comme pour montrer qu'elle n'est pas soumise à sa
situation.
–
Oui ma tante. Je me déculotte tout de suite ?
–
Non ! Tu ne veux tout de même pas que je me prive du plaisir de le faire moi-même ?
. Je vais d'abord te fesser à travers ton slip. Un derrière ça se prépare, et
pour ça le nylon est parfait pour activer la cuisson. Le tien, c'est comme un
diesel, il lui faut un bon préchauffage pour d'obtenir du rendement .
Géraldine,
même pas peur ! Sourire provocant aux lèvres, clin d'œil malin, elle passe
les mains sous sa jupe, et se caresse le derrière en lissant son slip dessus.
–
Comme si je ne savais pas. C'est pas une première . Vous les voulez dans
quelle position mes fesses tantine?
–
C'est ça, fais ta maline... Profite en ma mignonne, parce que ça ne va pas
durer. Tu vas commencer ta journée par une bonne fessée au tabouret... sur mes
genoux ! Et comme c'est ta punition pour ton retard, ça sera en plus des
autres.
Géraldine
proteste sans conviction en se dandinant sur ses talons aiguille.
–
Oh ma tante...Quand même... je vais prendre cher, pour pas grand-chose ...
– Comment ça cher ? Fait semblant de s'indigner
Astrid. De quoi tu te plains ? Au
contraire, tante Astrid t'offre un
supplément fessée gratuit ! C'est cadeau !
Géraldine, prise à son propre jeu, fait une petite moue
dubitative. Astrid, ravie de lui avoir, pour une fois, cloué le bec, coupe court à la conversation.
– .Maintenant assez discuté, amène-moi tes fesses !
Forte de son autorité, Astrid, roulant de hanches, se
dirige vers le tabouret à fessée qui trône au milieu du magasin. Les reins
cambrées par la hauteur de ses talons aiguille, elle tortille sa croupe
puissante, étroitement moulée dans une jupe de tailleur pleine à craquer. Elle
la retrousse jusqu'au revers noir de ses bas nylon pour fesser à l'aise, et
s'assied, en arrondissant son volumineux postérieur dans une attitude
provocante. Le siège en bois, écrasé sous la lourde masse fessière, émet
quelques craquements significatifs, comme des soupirs de protestation à devoir
supporter un tel poids.
– Aller tourne toi d'abord et montre-moi comment sont tes fesses ce matin. Je
pense que ta mère a dû te flanquer une déculottée hier soir. Fais-moi voir ça, avant que je t'en mette une à
mon tour.
– Oui ma tante, mais... mais pas trop forte s'il vous plaît !
– Ça ma petite, c'est moi qui décide... je fesse comme je
veux, aussi fort que je veux !
Aller présente-moi ton derrière , et dépêche-toi.
A moins que tu préfères prendre ta fessée devant les premières
clientes ?
Géraldine, hausse
les épaules, et réplique avec aplomb.
– Oh vous savez tantine, j'ai l'habitude. La plupart des
fessées que je reçois ici c'est devant des clientes.
Elle se plante, de dos, devant sa tante, retrousse sa
courte jupe sur ses hanches, et creuse les reins pour bien faire ressortir son
derrière. Puis, d'un geste naturel, elle passe un doigt sous les élastiques et dégage son slip des
profondeurs de sa raie pour le repositionner normalement sur ses fesses. Cela
faisait un triangle de nylon noir lui séparant les fesses en diagonale mais
n’en couvrant qu’à peine la moitié. Ce slip étroit et très serré semblait
insuffisant pour contenir les volumes rebondis débordant des élastiques, prêts
à s’en échapper... Le temps passant depuis les fessées précédentes, les belles
fesses rondes présentaient une peau lisse, de couleur rose pâle, un peu
nacrée. Seulement visibles par endroits,
subsistaient des petites traces rouges laissées par l’extrémité des lanières,
pendant la fessée au martinet que sa mère lui avait flanqué la veille au soir.
Astrid, se sachant maîtresses de la situation, reste
impassible devant l'attitude de sa nièce, décidément incorrigible, ou inconsciente,
qui continue de la provoquer en tortillant du derrière devant elle. Pure
bravade, car le souvenir des fessées
administrées la veille devait être
normalement si cuisant, qu'une personne, normalement sensible du derrière, ne
pouvait envisager sans crainte la perspective d’affronter une nouvelle séance
le lendemain.
Pourquoi donc, ne
pouvait-elle pas se maîtriser ? Pourquoi fallait-il toujours que son
tempérament provocateur prenne le meilleur sur elle ? Il eût été tellement plus
simple d’obtempérer à un reproche sur un retard inconsidéré ou une négligence
dans son travail, et de répondre '' oui ma tante'' à l'annonce d'une fessée
méritée. Eh bien, non, pas Géraldine, c'était plus fort qu'elle. Il
fallait qu'elle affirme sa personnalité par des mouvements d'humeur ou de
rébellion. Encouragée en cela par une endurance aux fessées hors norme et
l'excitation à ressentir la cuisson de ses fesses.
Perchée sur ses haut
talons, la jupe retroussée sur ses reins, Géraldine continue à se trémousser au
milieu du magasin encore désert. A travers la porte de l'atelier on entend
le cliquetis de la
machine à coudre le cuir. Norbert est déjà au travail, stimulé par la
fessée que lui administre sa femme
chaque matin pour lui donner du cœur à l'ouvrage.
– Alors tantine, ça vous
va ? Je vous les présente bien mes fesses … Elles vous plaisent comme
ça ? S'exclame Géraldine avec un petit rire mutin.
– Je vais te montrer
comment elles me plaisent tes fesses !
Dit Astrid d'un ton ferme et déterminé. Elle se
lève, la saisit par le bras et la ramène vers le tabouret à fessée où elle se
rassied lourdement.
Géraldine, comme
d'habitude proteste pour la forme, par jeu, histoire d'agacer sa tante un peu
plus.
– Non, tantine... pas maintenant la fessée... pas maintenant... s'il
vous plaît !
– Continue, ma chérie, continue, tu ne me
déçois jamais. A fesser sans résistance on corrige sans plaisir. Il est si
excitant de ramener une jeune femme insolente sur le droit chemin. Ta mère et
moi nous sommes d'accord, tu as besoin de sévères corrections, et souvent. Ce
n'est certes pas moi qui t’en priverai.
Aller, allonge-toi sur les cuisses de tantine. Tu sais comme elles sont confortables.
Elle tire par le bras
Géraldine qui résiste en reculant.
– Ah ! Mademoiselle
résiste, j'adore ça! Et de toute
façon c’est inutile, je suis plus forte que toi. Là, te voilà bien en place, ni tes pieds ni
tes mains ne touchent plus le sol.
– Raaah, ma tante !
Vos jarretelles, ça frotte sur le ventre !
Ça fait mal ...
– C'est une des raisons
pour lesquelles j'en porte ma chérie. Et cesse de te plaindre, tu en as aussi quand tu fesses ! C'est pire pour les garçons, avec
leur sexe au garde à vous;
– Ah oui, mais quand
même... ça irrite.
– Allons, tu es si touchante dans cette position, ta
magnifique paire de fesses à ma merci.
Je regrette seulement de ne pas pouvoir voir ton visage qui doit être déjà bien
rouge de colère. Mais je vais te faire reluire le derrière d'un rouge encore
plus éclatant, pour faire bonne mesure.
– Mais je ne suis pas en
colère ! Juste un peu énervée, c'est tout ! Vous m'avez programmé
trois autres fessées aujourd'hui.
–. Chaque chose en son
temps. Je vais justement te préparer le derrière avec celle-là.
Et puis, tu n'avais qu'à
arriver à l'heure. Quinze minutes de
retard, c'est quinze
minutes de fessée... Aller tend tes fesses... Mieux que ça ! .
Géraldine
obéit en grommelant. Elle prend appui sur ses mains posées à plat sur le sol, et poussant sur les bras, cambre les
reins au maximum, pour déployer son derrière en l'air, arrondi le plus haut
possible. Astrid, qui lui claque pourtant les fesses tous les jours, et
plusieurs fois par jour, ne se lasse pas de contempler le splendide postérieur
étalé sur ses genoux. De vraies fesses à claques !
– Tu vois ma chérie, j'ai
bien fait de ne pas te déculotter pour cette première correction. Ce
serait dommage de ne pas profiter d'un de ces superbes slips à fessées qui
épouse si bien les formes de ton imposant derrière et le rend si excitant à
regarder. Elle émet un petit rire nerveux. D'ailleurs je crois bien que je
suis déjà en train de mouiller le mien de slip.
La tête au ras du sol,
Géraldine, pour une fois, se retient de commenter. Elle n'est pas vraiment pas
en posture de le faire. Astrid regarde
l'heure à la pendule du magasin. Il est temps de commencer. Elle parle à voix
haute pour augmenter la pression sur sa victime .
– Alors, où vais-je
placer ma première claque ? Sur la fesse droite ou la gauche ? Je ne voudrais
pas faire de jalouse . Tu préfères laquelle ? Aller, commençons par la
droite ! Puis la gauche ! Puis
la droite ! Oh, je les sens bien tes fesses ce matin, ça va claquer fort !
Et la fessée commence,
terriblement cuisante car Astrid a l'habitude de taper très fort immédiatement.
Surtout quand le derrière étroitement serré dans le nylon présente une surface
plus ferme et plus résistante sous la main. Géraldine encaisse, pour le moment
sans broncher. Astrid se régale et se
félicite du retard de sa nièce qui lui donne l'excellent prétexte de cette crépitante
fessée matinale.
– Une bonne fessée dès
le matin, c'est une journée qui commence bien ! '' A-t-elle l'habitude de
déclarer en déculottant son mari pour
lui mettre la sienne, chaque jour, en arrivant au magasin. Et d'ajouter dix
minutes après en le reculottant . Des fesses bien rouges, ça
stimule ! Aller Norbert, au travail maintenant !»
La fessée de Géraldine
continue, sous les sarcasmes de sa tante qui prend un malin plaisir à
accompagner, les vigoureuse claquées, de remarques acerbes.
– Hummmm...Ma chérie,
ton derrière est vraiment en pleine forme ce matin. On voit que ta mère la bien
corrigé hier soir. Entends-tu comme il crépite à travers ton slip, avec ce
claquement de fesses bien sec et régulier, un peu comme celui de la machine à
coudre de Norbert dans son atelier. Le sens de la régularité... c' est important pour bien claquer un postérieur.
Une bonne fessée ne se peut concevoir sans un bon sens du rythme . C’est
lui qui permet ensuite d’improviser et de varier l’effet des claquées pour les
rendre efficaces... plus cuisantes .
Géraldine ne veut rien
répondre au propos pervers de sa tante. Surtout ne montrer aucune faiblesse
malgré l'atroce cuisson qu'elle inflige à ses fesses. Elle serre les dents, se
mord les lèvres pour ne pas crier mais garde son arrogant derrière tendu à
fond, comme pour provoquer les claques qui retentissent dessus en rafales. Car
elle tape fort tantine, elle fesse dur, à pleine main, elle adore ça. Elle
fesse toujours sans pitié, sans états d'âme, car selon elle, une fessée, pour bien corriger,
ça doit faire mal au derrière , très mal. Un coup d'œil à la pendule entre deux
aller et retours, les quinze minutes ne
sont pas écoulées. Elle continue avec la même intensité. Les fesses enluminées
de Géraldine rebondissent de plus en plus haut sur ses cuisses et retentissent
si fort dans le magasin que les lanières des martinets en frémissent sur
les présentoirs.
Elle jubile Tantine.
Encore une journée qui commence bien.
– Alors, tu la sens bien
ta fessée là, hein ? Je suis sûre que demain, tu seras là, pile à l'heure.
Et la cadence, tu la suis la cadence ?
Comme cela par exemple : Fesse Droite– fesse gauche! Fesse gauche –fesse
Droite – fesse droite – encore fesse droite –et re-fesse Gauche. Gardes les
bien tendues s'il te plaît, tantine aime les fessées très claquantes. Ça
chauffe bien à travers le nylon hein? Et comme ça avec le slip tiré entre les
fesses ? Presque autant qu'une fessée déculottée. Tu ne trouves pas ?
Géraldine enrage, les
larmes aux yeux, elle résiste toujours à la douleur et se mord les doigts pour
ne pas pleurer. Provocante, elle confirme, comme si elle appréciait.
– Rooaaaah !! Pour
ça oui tantine... ça chauffe dur ! Vous fessez tellement fort !
Crier, hurler, pleurer
ça fait partie du rituel de la fessée, mais elle ne veut pas céder et donner ce
plaisir à sa tante, qui n'attend que ça et continue à ponctuer les claquées de
commentaires bien humiliants.
– Ah Géraldine chérie,
quel plaisir de voir ton gros derrière se tortiller comme ça sur mes cuisses et
de le régaler d'une solide fessée comme celle-là. Je le sens frétiller sous ma
main à chaque claque. C'est qu'Il aime ça les grosses fessées bien cuisantes de
tante Astrid ! Bien sûr, qu'il les
aime, longues et sévères. Et bien celle-là, c’est la fessée surprise,
impossible de savoir sur quelle fesse je vais taper! Tu attends la claque sur la fesse
gauche...Vlaaaa!! Je te la mets sur la droite ! Tu l’attends cette fois fesse
gauche, Elle chantonne. Perduuuu ! Je te la remets fesse droite! Ouillou-ouille,
ça cuit hein ! Et celle-là... elle
va tomber où ? Attention... ouiiii, en plein milieu, sur la raie !!
Formidable comme ça résonne entre les deux fesses ! Le slip n'amortit même pas, il est
complètement enfoncé dedans, c'est drôle, comme un string. C'est pratiquement
une fessée déculottée, sans déculotter . Ça claque encore mieux
évidemment. Attentioooon, devinette, ça
va repartir sur quelle fesse? Un doublé peut être...ou une série d'aller et retour
sur chaque fesse... Surprise, surprise, j’adore l’effet de surprise ! Pas
toi ?
Géraldine, le souffle
court, encaisse tout. Son fessier toujours tendu, en position, semble renvoyer
les claques dont elle accompagne chaque retombée d'un petit halètement.
Comme un sportif rythme sa respiration pendant l'effort pour tenir la
distance. Elle a l'habitude des sarcasmes de sa tante qui soutien, aussi,
qu'une fessée n'est pas vraiment efficace si on n'y ajoute pas une bonne dose
d'humiliation.
- « Non mais tu
entends ça ma chérie ! Je dois taper plus fort que d'habitude sans m'en
rendre compte, ma main n'a jamais fait claquer tes fesses aussi fort !
Aaaah comme c’est excitant de cuire et rougir une aussi belle
paire! Même tes jambes se mettent à battre
en cadence. Une vraie fessée de meneuse de revue. Et on continue, en rythme :
et un et deux, fesse droite- fesse gauche, et trois et quatre, claquante en
plein milieu et cinq et six, cuisante sur les deux fesses en même temps ! »
Ces derniers mots
s’accompagnèrent de trois allers et retours successifs plus appuyés qui
résonnèrent dans un claquement d'enfer sur les fesses écarlates de Géraldine.
Son derrière, chauffé au rouge, avait atteint un tel niveau sonore qu'il
couvrait le bruit de la machine à coudre de Norbert. Sans autorisation de sa
sévère épouse, il n'avait pas osé sortir
de son atelier pour assister à la joyeuse raclée de sa nièce. Pas question de
prendre ce risque , alors que ses fesses lui chauffaient encore de la
déculottée qu'elle lui avait mise en arrivant pour le mettre au travail. Une
belle fessée d'ailleurs, très spectaculaire, administrée slip aux cuisses,
devant la vitrine du magasin, les fesses en l'air, tournées vers la rue. Les
passants étaient ainsi informés que Madame Delaniaires procédait à l'ouverture
du magasin.
Astrid ordonna à
Géraldine de se relever. Ce qu'elle fit péniblement, en reniflant tout de même
quelques larmes qui lui avaient échappées, malgré sa détermination à les
retenir.
Les fesses en feu, mais
la tête haute elle défie sa tante d'un regard furieux.
– C'est malin ! S'exclama-t-elle,
en se tenant le postérieur à pleine main. Mon maquillage est foutu, je suis
sûre que mon rimmel a coulé.
Elle se précipite vers
le miroir, près des présentoirs et se
penche en avant pour voir son visage, arrondissant du même coup son cuisant
fessier qui déborde de dessous sa jupe.
Elle ne semble pas
troublée outre mesure, malgré la magistrale fessée qu'elle vient de recevoir.
– Voilà, qu'est-ce que
je disais ! Même mon rouge à lèvres a bavé.
Astrid, se lève tranquillement du tabouret en
savourant le résultat de sa brillante prestation. Les grosses fesses de sa
nièce sont déjà écarlates dès le matin.
– Et bien je peux te
dire que le rouge que je t'ai mis aux fesses, lui, ne bave pas. Il est
parfaitement réparti sur toute la surface. Elles sont magnifiques !
– Très drôle tantine...
Très drôle ! Maintenant, il va falloir que je me remaquille si vous voulez
que je sois présentable devant les clientes.
– De toute manière, ce
sont tes fesses que tu vas leur montrer.
Maintenant que je te les ai bien rougies, elles sont tout à fait présentables.
– Oui bien sûr, mais
vous n'étiez pas obligée de taper si fort.
– Ça ma petite, je te
l'ai déjà dit. Tu serais arrivée à l'heure, je n'aurais pas été obligée de te
punir! Et ce n'est pas, pour toi, une
découverte. Quand je fesse, je fesse toujours fort ! C'est la marque de
fabrique de la famille ma mignonne.
Géraldine se regarde
encore une fois dans la glace.
– Oui, et bien en tous cas, tantine, vous avez
vu la tête que j'ai ? J'ai du noir partout sur les joues... Par votre
faute !
– Ce n'est pas grave, tu
as les fesses rouges... ça compense ! ironise Astrid en rajustant ses
jarretelles, détendues pendant la correction. Et je croyais que tu ne pleurais
pas pendant les fessées. Aller, prends ce mouchoir et essuie ton visage tout
barbouillé, tu as raison, il va falloir te remaquiller.
Géraldine reste debout devant le miroir à se frotter
le derrière qu'elle regarde par-dessus son épaule, sourcils froncés, une petite
moue contrariée, sans plus. Elle vient pourtant, de s'en prendre une sévère. Sa
somptueuse paire de fesses irradie d'un magnifique rouge écarlate, savamment
réparti sur toute la surface que le petit triangle noir du slip, enfoncé dans
la raie, met encore davantage en valeur. Elle l'en extirpe encore pour bien se
reculotter.
–
Oula la... tantine, vous me l'avez encore bien claquée celle-là ! Qu'est-ce que
vous fessez dur !
–
Manquerait plus que ça! Et justement tiens, maintenant
répète après moi : Merci ma tante pour cette bonne fessée...
– C'est ça oui... en
attendant la prochaine !
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 1 La suite, c'est très bientôt.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerAstrid : le retour !!!!
Epilogue : acte 1 : tendres retrouvailles : l'échoppe - Astrid - Géraldine...
Ca démarre très fort sur les chapeaux... de fesses ! Voilà une belle introduction. Et si notre "étudiant au pair " entrait à la boutique, bagages en main, à quelle pittoresque ambiance "so French" il assisterait ! Ach !!! Ein kolossale Zuchtigung ! On trépigne d'impatience. Acte 2 : l'arrivée de l'étudiant...
Amicalement. Peter.
Hello Peter,
RépondreSupprimerAh ben non raté sur ce coup là ! Mais, ça aurait pu cependant...Il y a bien une arrivée de l'étudiant à l'acte 2 mais pas chez tante Astrid.... Voyons voyons... chez qui ça pourrait bien être ?
Amusant ton langage cinématographique...
Tendres retrouvailles. Ah ah,la trouvaille! je lui en ficherais moi de la tendresse. Va se faire attendrir les fesses oui, le garçon !
Attendrisseur, attendrisseur! Est ce que j'ai une gueule d'attendrisseur?
Amicalement
Ramina
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerLaisses-moi deviner... euh... chez... chez Tante Gladys... qui étrennera avec un peu d'avance... un excellent Pur malt de 20 ans d'âge de chez Mac-Have. Rires. A moins que ce ne soit chez Mam'e Térèze ? J'en doute. Quoique...
Amicalement. Peter.
Amis de la fessée Diéselisée... Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerRien de tel qu'un préchauffage pour préparer la vraie cuisson vapeur. C'est une dure à cuire, la Géraldine. Mais avec tantine, elle a trouvé à qui parler. Quant à Norbert, il doit oeuvrer pour satisfaire sa femme, car la fessée du matin pourrait être bien pire, s'il ne mettait pas du coeur à l'ouvrage, et oui, la réputation de la maison est à ce prix. Que dire des porte jarretelle qui rajoute un peu de piment à l'exercice. Ces jeunes gens doivent en prendre pour leur grade. Astrid serait une parfaite recrue à Ste CROIX pour fesser les étudiants qui ne suivent pas les consignes...
Rien de telle qu'une bonne fessée pour bien commencer la journée et de procéder à la réouverture des commerces.
Amitiés.
Elena.
Elena, bonjour;
SupprimerEt bienvenue dans le cercle des amis des poètes de la fessée, qui, non seulement n'a pas disparu mais, s'agrandit. Poésie toujours bien rythmée s'il en est.
Un bon point pour la diéselisation,(joli trait d'humour!) ou le préchauffage indispensable pour un bon rendement des fessées déculottées.
Eh oui Géraldine (avec Bettina qu'on devrait retrouver bientôt), dure à cuire du derrière, fait partie de celles qui ne cachent pas leur plaisir à se le faire chauffer. A "St Croix" ( Doux Jésus, Marie Joseph!)!) ce sont surtout les spectateurs ( trices) qui s'en régalent. La fessée comme thérapie disciplinaire à la morosité ambiante.
Eh oui, on a la déculottée sophistiquées chez CDAMF, avec leur côté glamour, porte jarretelles et bas nylon, qui restent les éternels accessoires érotisant propre à esthétiser les séances de punition.
Et puis... Si vous avez aimé Astrid, vous allez sans doute adorer sa soeur Margaret, et leur délicieux esprit de famille bien percutant!
Allez savoir si elles feraient des prestations supplémentaires à Ste Croix...
Amicalement
Ramina
Amis de la poésie et de la bonne répartie, bonsoir,
SupprimerJe tente d'être à votre niveau, sans vraiment y arriver. L'ascension va être compliquée je sens, pour n'arriver qu'à votre cheville.. .
Amitiés.
Elena.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerM'enfin, la réponse est dans le premier chapitre, déjà oublié dès le deuxième ,fichtre, diantre, palsambleu! C'est qui, qui fait venir le jeune homme au pair ?
Bon c'est vrai qu'il commence à y avoir une galerie de portraits assez fournie et parfois ça se bouscule au portillon... Moi même je suis obligé de prendre des notes pour m'y retrouver ! C'est qui dèjà, le mari de machine là? Et le nom du frère de la soeur...(rire)
J'adore le 20 ans d'âge Mac-Have!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerEn effet, je crois que ça commence à étoffer la galerie et je vais prendre des notes moi aussi. Mais bon, laissons nous porter par cette intrigue passionnante et passionnée... Qui va chauffeeeeeeeer !
Amicalement. Peter.
Bonsoir Elena,
RépondreSupprimerAh non, vous n'allez pas commencer à vous péter un complexe !!! Surtout que vous ne connaissez pas la hauteur de ma cheville ! Alors pourquoi,présupposer ne pas arriver au même niveau; (rire)!
Franchement j'adore vos petits traits d'humour et je vous suppose suffisamment tenace pour ne pas lâcher prise et persister en serrant les dents et la plume ... Enfin les touches du clavier...
Si, si, j'insiste!
Amicalement
Ramina