Quand on m’a enfin délivré, Lucie m’a insulté.
- Regarde moi ça, petit salopard, il y a
sali le martinet, tu vas aller me nettoyer ça illico, tu as de la chance que je
ne te le fasse pas lécher, je savais que j’aurais dû te donner un lavement.
- Ne t’énerve pas Lucie, ce sera pour la prochaine fois, mais je pense que cela justifie une petite correction, comme ça Fabien pourra aller se coucher avec les fesses bien chaudes, il parait que c’est un excellent somnifère, je veux bien m’en charger.
- Bien volontiers ma chérie, allez
presse toi, je veux que tu me rendes le martinet nickel.
Effectivement, l’instrument de mes souffrances
avait recueilli au « passage » un peu de matière fécale et aussi du
sang, preuve que ma cousine ne m’avait pas ménagé. Je n’ai guère eu de difficulté
à nettoyer l’engin et Lucie à qui je l’ai remis, à genoux s’il vous plait, dans
une sorte d’offrande dont elle a bien voulu s’en contenter, avant de m’envoyer
faire un tour sur les genoux de son amie.
Et c’était reparti pour un tour, Corinne
frappait moins fort que Lucie, mais je ressentais encore les séquelles du
martinet et surtout, cette sodomisation en direct live m’avait fracassé le
moral. Je me sentais plus mortifié que jamais par le spectacle qu’on m’avait
imposé et dans lequel mes fesses jouaient le rôle principal et surtout par le
fait que tout cela avait été immortalisé, Dieu sait l’usage qu’elles en feraient.
J’étais désormais complètement dépendant
de leur bon vouloir, une sorte d’esclave moderne, du coup je me mis à sangloter
dès les premières claques infligées par Corinne.
– Eh bien, il pleure déjà alors que tu
lui à peine caressé les fesses, il devient de plus en plus douillet notre
Fabien, j’aurais pourtant cru qu’il s’endurcirait, je crois que je le ménage
trop, s’esclaffe Lucie.
C’est vrai que je me suis complètement
lâché, trop c’est trop, je suis au bout et je sanglote comme le grand bébé que je
suis devenu entre leurs mains.
Sans doute troublée, Corinne n’a pas prolongé
très longtemps la fessée, au grand courroux de son amie.
– Tu arrêtes déjà, il a à peine les fesses
rouges,
– Oui, mais regarde comme il pleure, il
me fait de la peine.
– Eh bien, ce n’est pas mon cas, tu es trop
sensible, il m’en a trop fait subir, garde ta pitié pour d’autres causes, laisse-moi
ta place, je vais le finir.
Je me suis agenouillé, juste le temps
pour les filles d’alterner leur position et de me passer la main sur mes
paupières pour évacuer quelques larmes.
Lucie a pris tout son temps, elle a commencé
par faire le tour du propriétaire, me massant légèrement les fesses, afin de
bien vérifier qu’elles étaient cuites à point, puis elle m’a fait écarter les jambes
au maximum, dégageant bien mes attributs que sans vergogne elle a pris à pleines
mains, déclanchant aussitôt une jolie érection.
– Regarde-moi ça Corinne, soi-disant
qu’il est au bout du rouleau et regarde comme il en profite pour bander dès que
je lui touche un peu les burnes ! Tu ne crois pas que ça mérite qu’on prolonge
la correction ?
Elle n’a pas attendu la réponse de son amie
et elle s’est mise à claquer mon fessier meurtri, elle tapait plus fort que Corinne
et avec une sorte de rage, ce qui m’a immédiatement déclenché une nouvelle crise
de larmes, certes c’était largement moins douloureux que la brosse ou le martinet,
mais j’avais bien trop subi ces dernières heures et mes fesses étaient d’une extrême
sensibilité, sans compter mon ego largement mis à mal tout au long de cette
terrible journée.
Je me suis même abaissé à supplier ma cousine
de cesser de me battre, lui disant, je ne sais plus trop quoi, globalement que
je ferais tout ce qu’elle voulait pourvu qu’elle cesse de me martyriser le cul.
Je braillais vraiment et elle a fini par
m’entendre, elle s’est mise à me parcourir les fesses, frôlant au plus près mes
bourses, passant son doigt sur ma raie à plusieurs reprises, me déclenchant à
nouveau un début de bandaison.
Elle s’est même enhardie jusqu’à m’enfoncer
son majeur dans le rectum, j’ai été si surpris qu’alors que mes pleurs commençaient
à s’apaiser, j’ai poussé un cri.
– Oh ça va, tu ne vas pas faire un drame
pour un petit doigt dans ton trou de balle, tu t’es déjà pris bien plus gros, que
ce soit avec le manche du martinet ou la canule du lavement et même le thermomètre
qui allait bien plus profond !
J’entendais Corinne qui se marrait.
– Eh bien, tu ne lui auras rien épargné,
il ne manque pas plus que tu le fasses venir avec une bonne branlette, on essaye ?
Ma cousine s’amusait à effectuer des
allers retours dans mon anus, introduisant même un second de ses doigts et me
le taraudant, ce qui me fit pousser un hurlement, plus de mortification et de
surprise que de vraie douleur, même si la pénétration du martinet m’avait fortement
irrité le conduit anal.
– Là, c’est un peu plus important, je
comprends que tu le sentes passer mon salop. Et puis quoi encore Corinne, nous
sommes là pour le dresser définitivement, en faire notre carpette et pourquoi pas
notre esclave, pas pour lui donner du plaisir en le masturbant. Mais tu me donnes
une idée, on pourrait l’obliger à le faire devant nous, ce pourrait être amusant,
n’est ce pas Fabien ?
Elle complétât sa question par quelques
vigoureuses claques sur mon derrière en feu, qui me fit gémir de plus belle, à
présent, Lucie n’avait plus de retenue, non seulement, elle me fessait d’importance
avec différents instruments, m’obligeait à sortir en ville fort bizarrement
accoutré, me faisait circuler tout nu dans l’appartement, mais à présent, elle
s’en prenait à mes parties honteuses, s’en amusant comme une sorte de jouet, pour
finir par me sodomiser de diverses façons !
– Alors Fabien, j’attends ta réponse, tu
veux bien te faire jouir devant nous ?
– Je ferai ce que tu voudras.
– A la bonne heure, te voilà
parfaitement soumis et docile. Corinne, tu veux toi aussi lui mettre un doigt ?
– Non merci, c’est dégoûtant.
– Tu as raison, le mien pue un peu, la
prochaine fois, il aura droit à un bon lavement auparavant, c’est dommage, je
n’ai pas le matériel, n’est ce pas ?
Elle ponctue sa question par de nouvelles
claques vigoureuses sur mes cuisses qui me tirent de nouveaux cris, je n’en
peux plus, trop, c’est trop, la rouste et ses pénétrations sauvages m’ont ramené
au rang d’objet, je n’ose même pas songer aux abominables photos qu’a pris
Corinne et à l’usage que mes bourrelles peuvent en faire, je suis brisé, je n’existe
plus, je ne suis plus qu’un corps nu, inerte dont elles peuvent à présent me faire
tout ce qu’elles veulent.
– Oui Lucie, comme tu voudras, pitié, je
n’en peux plus !
–Oh, arrête de pleurnicher, tu nous fatigues,
tu vois, quand je te disais qu’il est douillet, on l’a à peine fessé et il ne
s’arrête plus de brailler, allez vas au coin et ferme ta bouche, sinon, tu
retournes sur mes genoux.
Je m’empressais d’obéir et de m’installer
à l’angle des deux murs, les mains croisées sur la tête et toujours dans le
plus simple appareil, j’ai réussi à tarir mes pleurs, pour l’heure j’avais
échappé à la séance de masturbation publique, mais je me doutais bien que mes
tourments n’étaient pas terminés.
Les filles m’ont laissé une bonne demi-heure
à me morfondre dans mon renfoncement, à telle enseigne que mes bras commençaient
à me tirer sérieusement ce qui ajoutait au reste de mes souffrances, j’avais
une folle envie de me passer les mains sur mon fessier qui s’il me cuisait moins,
était toujours aussi irrité, la peau de mes fesses semblaient dure comme du
carton, tandis que celle de mes cuisses me grattait terriblement. Je résistais
bien sûr sachant que toute infraction à l’immobilité exigée me vaudrait immédiatement
de nouvelles misères. Les deux morues papotaient dans leur coin, elles
parlaient bas et je ne pouvais pas très bien suivre leur conversation. Elles se
mirent à rire et Lucie s’approcha de moi.
– Il ne faut pas te braquer, je vais te
faire du bien, ne bouge pas et laisse-toi faire.
Quand elle glissât sa main entre mes cuisses
et se saisit de ma verge, je compris vite où elle voulait en venir. Elle se mit
à me triturer les bourses, plutôt adroitement avant que prendre ma queue dans
son autre main, passant cette fois par devant, tu parles que j’ai eu
immédiatement une belle érection.
Cela faisait déjà quelques temps que je
ne m’étais pas soulagé et elle était plutôt adroite, à croire qu’elle ne me
racontait pas des craques quand elle prétendait avoir une jolie expérience sexuelle,
ce qui fait que j’ai assez rapidement éjaculé.
– Ah, il m’en a mis plein les mains, tu
me paieras ça dégoûtant ! Va te prendre une douche et tu te remets au coin.
J’en avais plus que marre du coin et du
reste, mais je ne sais pas pourquoi, j’étais anéanti, elles étaient parvenues à
leur fin, à force de brimades et de corrections, je n’avais plus envie de me rebeller,
elles m’avaient véritablement brisé.
Une fois lavé, ce qui m’a fait grand bien,
même si ça n’a pas suffit à remonter un moral au plus bas, je suis retourné dans
le coin, les mains sur la tête, toujours nu tel le ver.
Elles m’y ont laissé encore presque une
heure, ça me tirait un max dans les épaules, mais je ne me hasardais pas à changer
de position, sachant pertinemment que cela vaudrait immanquablement un nouveau
séjour sur les genoux des filles.
Elles papotaient tranquille, ne me donnant
pas plus d’importance qu’à un meuble.
Enfin, alors que je ne pouvais
véritablement plus, elles m’on libéré et enjoint de mettre la table tandis
qu’elles préparaient le dîner.
Lucie s’est approchée de moi et a baissé
mon prépuce.
– Comme ça, tu seras vraiment nu mon coco.
Je n’ai pas moufté, au point où j’en étais,
n’est ce pas, ça a fait marrer Corinne qui pouvait constater que ma soumission était
désormais totale. Elles m’ont obligé à les servir comme le bon petit esclave
que j’étais devenu, j’étais supposé finir les restes.
Les filles profitaient de mes passages
pour me toucher les fesses, toujours très sensible, Lucie les tapotant longuement
tout en devisant avec son amie, comme pour bien me faire sentir mon
insignifiance, j’étais désormais sa chose et elle faisait de moi tout ce
qu’elle voulait.
Tandis que je subissais ses attouchements,
je songeais que ma situation ces dernières semaines s’était abominablement dégradée.
Il n’y avait pas si longtemps que
j’avais fessé Lucie et assisté aux corrections que lui avait infligées la tante
Maud et pourtant il me semblait qu’il y avait un siècle que cela s’était déroulé.
A présent, je n’étais plus qu’un jouet entre
ses mains ; elle me fessait quand ça lui prenait, à la main ou à l’aide de divers
instruments, m’habillait ou me déshabillait à son gré, quitte comme à présent à
me laisser durant des heures entièrement nu, pis, désormais elle avait pris le
contrôle de mon anus, on avait commencé par l’intromission de thermomètre, des
lavements extrêmement humiliants, sous de vagues prétextes médicaux, pour conclure
comme tout à l’heure par une véritable sodomisation avec le manche du martinet,
plus ses doigts qu’elle n’avait pas hésité à introduire à plusieurs reprises dans
mon sphincter. Le fait est que de tourments en tourments et de mortifications
en soumissions, je trouvais la situation presque normale, elle avait brisé ma résistance,
j’admettais désormais sa pleine autorité sur moi ; cela ne m’empêchait pas
de garder dans ma tête qu’un jour ou l’autre, toutes ces misères auraient une fin
et que je pourrais alors exercer ma vengeance.
Néanmoins, j’étais tellement écrasé par son
pouvoir sur moi, que je n’envisageais nul scénario à ce sujet, à peine si j’espérais
un secours de Madame Leblanc, mais cette dernière avait largement contribué par
le passé à me dresser, sans parler de ma mère ou de la tante Maud. Les deux dernières
à l’origine de la domination de Lucie sur ma personne auraient bien du mal à se
dédire et tout ce que je raconterais, non seulement ne serait pas forcément
cru, tant c’était gros, mais pourrait se retourner contre moi et me valoir de nouvelles
avanies.
En l’état, j’essayais de me consoler en me
disant que toutes ces affronts m’avaient tout de même permis de progresser dans
nombre de domaines et notamment dans celui de mes études où mes notes étaient
désormais très convenables.
J’ai poursuivi mon service, entre deux
plats, je me tenais juste à côté de Lucie, les mains croisées derrière le dos
et les filles faisaient semblant de trouver naturel qu’un mec plus vieux
qu’elle soit en train de les servir complètement nu et les fesses très endolories.
D’ailleurs, il n’y avait pas que mon fessier qui me faisait mal, l’intromission
plutôt violente du martinet dans mon fondement, au-delà de la terrible humiliation,
ne m’avait pas fait du bien et je souffrais encore.
J’avais mon sexe toujours décalotté à hauteur
de la table et de temps à autre une des deux s’amusait à le prendre négligemment
en mains, le faisant grossir et l’abandonnant ensuite, à moins qu’elles ne
soupèsent mes burnes tout en continuant de discourir mine de rien.
Enfin mon supplice a pris fin, elles
m’ont autorisé à finir leurs restes, il y avait largement de quoi me nourrir,
mais ces épreuves m’avaient coupé l’appétit, le peu que j’ai mangé, je l’ai
fait debout, mon arrière-train me faisait trop souffrir, dedans et dehors. Quand
j’ai fini de ranger méticuleusement la cuisine aux fins d’éviter une nouvelle
correction, je suis allais me présenter quasiment au garde à vous devant les
deux filles.
Elles s’amusaient avec les photos qu’elles
avaient prise de ma déchéance en riant de toutes leurs jolies dents, faisant
comme si je n’étais pas planté devant elles à attendre leur bon vouloir,
j’avais pris soin de décalotter à nouveau mon gland, ça n’avait l’air de rien,
mais c’était très pénible à supporter sur la durée et j’avais remonté mon prépuce
discrètement pendant que je faisais la vaisselle.
Corinne a fini par lever les yeux sur
moi.
– Alors qu’est-ce qu’on en fait à
présent de notre petite soubrette.
– Elle a bien travaillé et on va pouvoir
l’envoyer au dodo, à moins qu’on ne lui inflige une dernière petite fessée, les
fesses rouges c’est bien meilleur qu’un Lexomil pour trouver le sommeil. Je ne sais
pas si tu sais mon chéri, mais on a préparé un choix de photos pour Justine, un
véritable diaporama, j’en connais une qui va être ravie de te contempler dans
toutes ses positions avantageuses, comme tu t’en doutes, les plus belles sont
celles où tu as le manche du martinet dans le cul, une vraie petite tapette.
– Vous n’allez pas faire ça, c’est pas
possible !
– On va se gêner ! Allez, toi tu
vas au lit.
– Mais il n’est que neuf heures.
– C’est déjà bien tard pour un gosse à
qui on est obligé de claquer le cul pour l’éduquer. Dépêche-toi, demain ta journée
risque d’être rude. Fais-nous une petite révérence avant d’aller te pieuter.
– Une petite révérence ?
– Oui, comme le font les gamins quand ils
donnent un bouquet de fleurs par exemple et applique toi, sinon tu es bon pour
une nouvelle fessée.
Au point où j’en étais arrivé, je n’en étais
pas à une humiliation près, je me suis donc exécuté du mieux que j’ai pu, toujours
en tenue d’Adam, j’ai dû m’y reprendre à trois pour les satisfaire et obtenir
l’autorisation d’aller me coucher.
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