C'est la rentrée : alors les nouveaux élèves ont droit à une visite de l'école... Qui réserve parfois des surprises inattendues.
Afin d'éradiquer leurs désobéissances, négligences et comportements irresponsables, certains garçons et filles, surtout quand ils sont devenus grands, ont besoin de recevoir une sérieuse fessée déculottée. On n'est jamais trop âgé pour recevoir une bonne fessée et en tirer bénéfice. JLG
mercredi 28 février 2018
lundi 26 février 2018
SFID, la contravention - chapitre 10
La contravention
Un samedi j’étais seul à la maison sur le canapé du salon en
train de surfer tranquillement sur internet au coin du feu. Céline était allée
faire du shopping à Orléans et j’étais donc tranquille depuis le début
d’après-midi.
Vers 18 heures je l’entendis rentrer. Mais au lieu de venir
me dire bonjour et me raconter son après-midi elle monta dans la chambre
directement.
dimanche 25 février 2018
Chez Madame Anne Sophie - récit de Vincent
La série des visites chez Madame Anne Sophie continue. A combien en sommes-nous ? J'en perds le compte.
Après avoir consulté votre blog et lu tous les commentaires élogieux sur Madame Anne Sophie, je décide de franchir le pas. J'envoie un SMS à Madame Anne-Sophie,spécialiste en recadrage et punitions pour les adultes qui se comportent mal.
Après avoir consulté votre blog et lu tous les commentaires élogieux sur Madame Anne Sophie, je décide de franchir le pas. J'envoie un SMS à Madame Anne-Sophie,spécialiste en recadrage et punitions pour les adultes qui se comportent mal.
Immédiatement je reçois un SMS "Bonjour je suis Anne Sophie, l'institutrice qui donne la fessée. Appelle-moi dans 5 minutes"
Je ne sais pas à quoi m'attendre mais je suis rassuré par les témoignages lus sur le blog alors je me lance.
samedi 24 février 2018
Axel, élève à St Marie - chapitre 31
La pensée de la punition qui
m’attendait à l’internat occupa une place importante dans mes préoccupations pendant
tout le reste de l’après-midi. Je n’étais donc pas complètement concentré sur
le travail que j’avais à faire pendant les cours, ce qui faillit me valoir une
nouvelle fessée.
Sciemment, Mademoiselle Wilson
choisit de ne pas m’administrer la correction que j’avais méritée. Après la
récitation des leçons, elle se lança dans le cours du jour.
« Ouvrez votre livre à la
page quarante-huit. »
Ce genre de consignes faisait
l’objet d’un mouvement collectif. Dans un bel ensemble, chacun se penchait et
prenait l’objet demandé dans son cartable et feuilletait le livre pour trouver
la bonne page. Cela esquissait un ballet à peu près synchronisé. Si l’un des
participants ne suivait pas le mouvement, il se faisait immédiatement remarquer.
jeudi 22 février 2018
Christine - chapitre 19
Il était 19h30 ce vendredi soir, je me trouvais en compagnie de
mes camarades au réfectoire de Ste-Marie. Nous y étions toutes et tous
consignés pour le week-end afin d’y effectuer nos heures de retenue. C’était
l’heure du repas du soir qui se différenciait de celui du midi par l’absence du
verre de lait obligatoire et du fruit au dessert remplacé par un biscuit. Après
le repas nous fûmes invités à rejoindre notre dortoir où nous avions quartier
libre.
En période de vacances les garçons étant installés dans un
dortoir normalement dévolu aux filles pour de pures raisons pratiques, nous
devions partager les mêmes sanitaires. À ceci près naturellement que nous ne
ferions que nous y croiser. Si à Ste-Marie filles et garçons assistaient aux
fessées déculottées des uns et des autres sans distinction de sexe, l’intimité
était préservée pour tout le reste mais paradoxalement c’était une religieuse
qui encadrait les garçons à l’internat.
Libellés :
Au coin,
Bêtise,
Déculottée,
Education,
En public,
F/F,
Fiction,
Hygiène,
Main nue,
Pensionnat,
Professeur,
Punition,
Récit,
Religieuse,
St Marie
mercredi 21 février 2018
Mémoire d'un garnement de jadis - 9ème épisode
Par une belle matinée de Septembre, bagages en main, je me présentais à la grille d'un immense parc "à la française", ordonné comme à l'époque du Roi-Soleil. Je tirais sur la chaine d'une petite cloche et j'attendis que l'on vienne m'ouvrir. Une voix résonna dans l'interphone. "Qui êtes-vous ? Monsieur Bellebourge Gérome" répondis-je de ma plus belle voix. "Entrez. Je vous ouvre".
lundi 19 février 2018
SFID, l'inauguration - chapitre 9
Quelques
semaines après avoir commandé à Monsieur Marol
le menuisier l’aménagement du grenier de sa maison en salle de
correction, Céline les travaux terminés souhaitait l’inaugurer.
Elle
avait volontairement laissé le carnet de punition se remplir depuis quelques
jours afin d’avoir suffisamment de matière pour inaugurer en fanfare sa
nouvelle pièce dédiée à l’application de la discipline domestique enfin surtout
de sa discipline appliquée à ma personne.
samedi 17 février 2018
Axel, élève à St Marie - chapitre 30
Cette fessée reçue par Alyssa, me
parut emblématique de la place que tenait cette punition à St Marie. Chacun en
était le potentiel destinataire : les bons comme les mauvais élèves, les
grands comme les petits, les élèves comme les professeurs – je me souvenais de
ce qui était arrivé à Mathilde. C’était la punition qui plaçait chacun sur un
pied d’égalité avec son voisin. En quelque sorte une mise en application d’une
partie de notre devise républicaine. Cette observation était importante dans la
perspective de mon étude. Je la pris en note afin de l’utiliser dans mon
rapport.
Je ne perdais pas de vue la
raison première de ma présence dans ce lycée, même si, depuis le début de la
semaine, je n’avais pas eu l’occasion d’avancer sur le travail de rédaction du
document que je devais rendre dans un bon mois. Je n’avais pas pu soustraire
une seule minute au temps consacré à faire les devoirs et apprendre les leçons
pour me remettre à l’écriture du rapport.
Libellés :
Au piquet,
Déculottée,
Dessin,
Education,
En public,
F/F,
F/H,
Fiction,
Main nue,
Négligence,
Pensionnat,
Professeur,
Punition,
Récit,
Religieuse,
St Marie
jeudi 15 février 2018
Christine - chapitre 18
Vendredi, dernier jour de la semaine, et pourtant cette
semaine n’en était pas pour autant terminée pour moi à Ste-Marie. J’avais été
collée et pour purger cette retenue j’étais consignée pour le week-end.
Heureusement pour moi, après mes trois premiers jours à l’école j’étais en
phase de normalisation. Je m’intégrais au mieux et n’avais plus été punie. Il
m’avait fallu pour cela prendre sur moi mais cet effort ne me paraissait plus
insurmontable. Il me suffisait simplement d’être une élève sérieuse,
d’apprendre mes leçons et d’avoir l’humilité de demander lorsque je ne
comprenais pas bien. Il me fallait aussi être une femme à l’aise et bien dans
ma peau afin d’avoir la décontraction nécessaire à la réussite de mon projet. Ces
deux efforts jumelés garantiraient à n’en pas douter mon succès au Bac en juin
prochain.
Le troisième jour avait été marqué par un parcours
beauté/santé plutôt éprouvant où j’avais été châtiée corporellement chez la
coiffeuse puis chez la pédiatre. Ma voisine d’immeuble Christelle, par un
concours de circonstances était entrée dans le jeu et avait elle aussi goûté à
la fessée après m’avoir donné du martinet ; tout cela par l’entremise
machiavélique de ma belle-mère.
Libellés :
Au coin,
Déculottée,
Education,
En public,
F/F,
F/H,
Fiction,
Main nue,
Négligence,
Pensionnat,
Professeur,
Punition,
Récit,
St Marie,
Travail
mercredi 14 février 2018
Mémoire d'un garnement de jadis - 8ème épisode
Le pensionnat Claquemiche recelait encore bien des surprises pour Gérome. Les professeures n'étaient pas en reste en matière de fessées.
lundi 12 février 2018
SFID, la visite de clientes - chapitre 8
Comme
chaque année Sœur Marie Joseph et sœur Marie Gabrielle avait entrepris le
voyage pour se rendre à la SFID. Elles rapportaient avec elle plusieurs
martinets achetés quelques années plus tôt et dont les lanières étaient très
usées à force de fouetter des postérieurs d’élèves indisciplinés.
Déposés
à l’atelier à leur arrivée à l’usine, elles pouvaient les récupérer en partant,
équipés de lanières toute neuves et bien cinglantes. Cela leur coûtait beaucoup
moins cher que d’en racheter des neufs. Et en ces temps difficiles il n’y avait
pas de petites économies même en matière de discipline.
Libellés :
Canne,
Déculottée,
Dessin,
En public,
F/H,
Fiction,
Martinet,
Patronne,
Récit,
Religieuse,
St Marie
samedi 10 février 2018
Axel, élève à St Marie - chapitre 29
Quand Sœur Gabrielle nous
réveilla je passais ma main sur mes fesses. La sensibilité de ma peau avait
presque disparue. Il restait juste quelques endroits où, lorsque j’insistais,
une douleur résiduelle était encore présente.
« Debout tout le monde, et à
la douche. »
Sœur Gabrielle prenait en main
notre journée et j’en éprouvais un bref sentiment de reconnaissance que je
rejetais aussitôt. La pensée des fessées qu’elle m’avait administrées et de
celles qu’elle ne manquerait pas de me donner à l’avenir constituait une
impression désagréable, nettement relié à St Marie dans son ensemble et Sœur
Gabrielle en particulier.
jeudi 8 février 2018
Christine - chapitre 17
La soirée s’étirait tranquillement. Ma voisine Christelle, après
avoir dîné, avait quitté mari et enfant pour me rejoindre. Elle appliquait à la
lettre les recommandations de ma belle-mère, me surveiller. Mais cette
surveillance était douce et bienveillante même si Christelle avait son
caractère.
En fait et jusqu’à ce jour, je ne connaissais pas plus ma
voisine que ça, c'est-à-dire intimement. Nous nous croisions, nous nous
rendions quelques menus services et il nous arrivait de parler de la pluie et
du beau temps. Ce qui nous avait rapprochées, c’est surtout parce que nos fils
respectifs avaient le même âge et étaient souvent ensemble sans sortir de
l’immeuble. Tantôt c’était mon fils Tommy qui allait jouer chez Lucas, tantôt
c’était Lucas le fils de Christelle qui venait passer du temps avec Tommy.
mercredi 7 février 2018
Mémoire d'un garnement de jadis - 7ème épisode
Le dessin du mercredi arrive à l'heure. Pas de chance pour Gérome qui est envoyé en pensionnat chez les redoutables sœurs Claquemiche.
lundi 5 février 2018
SFID, l'inspection du travail - chapitre 7
Un
matin Julie la standardiste vit arriver une dame d’une cinquantaine d’année,
d’allure austère qui se présenta à elle comme Madame Pichon inspectrice du
travail. Elle lui mit sous le nez sa carte officielle barrée de bleu, blanc,
rouge et exigea de voir immédiatement la direction.
Julie
impressionné par le caractère officiel de la visiteuse appuya immédiatement sur
la touche du bureau de Madame Leroy sur son standard et lorsque celle-ci eu
décroché l’informa d’une voix tremblante de la requête et de la qualité de la personne qui l’attendait à l’accueil.
samedi 3 février 2018
Axel, élève à St Marie - chapitre 28
On aurait dit que tous les professeurs s’étaient donné le mot pour vérifier que mes leçons avaient été correctement apprises. Le lendemain, j’avais été interrogé au début de chaque cours. Je compris, par la suite, que c’était une tradition, à St Marie, de tester un élève qui avait failli, la veille. Les professeurs n’avaient pas eu besoin de se concerter.
La méthode de Sœur Gabrielle avait du bon. Je passais tous les tests haut-la-main. Elle avait mis la dernière touche à l’apprentissage de mes leçons le matin même. Pendant la douche, elle avait vérifié que mes fesses portaient encore les marques laissées par le martinet. Elle avait montré sa satisfaction.
vendredi 2 février 2018
Une nouvelle rubrique : les débats en cours
A la demande générale de Ramina qui largement contribué à ce blog par ses commentaires, une nouvelle rubrique fait son apparition sur le blog : une page consacrée aux débats. Partageons nos points de vue sur la fessée et la façon de l’administrer.
Vous la trouverez à cette adresse : les débats en cours
jeudi 1 février 2018
Christine - chapitre 16
"Christine, vous m’obligez à prendre des solutions
radicales !"
Par ces mots, ma belle-mère venait de conclure un après-midi
bien funeste pour mes fesses mais ouvrait une soirée qui ne s’annonçait ni
calme ni sereine. Nous quittions à peine le cabinet du docteur Wagner. Essayant
d’y reprendre mes esprits, je n’avais pas fait vraiment trop attention à ma
belle-mère qui s’occupa à ma place de régler les détails administratifs de ma
visite. Je ne la vis même pas aller dans la salle d’attente et en revenir.
J’étais absorbée à défaire l’emballage de la sucette que la pédiatre m’avait
donnée en guise de consolation ; cela me donnait au moins une certaine contenance.
Inscription à :
Articles (Atom)