"Je décidais avec Phil Hochard de me venger de la cuisante fessée des mes sœurs, reçue quelques jours plus tôt. Danny, le hamster, allait entrer en piste... Mais... damned ! Je fus démasqué et... la suite ! ".
Afin d'éradiquer leurs désobéissances, négligences et comportements irresponsables, certains garçons et filles, surtout quand ils sont devenus grands, ont besoin de recevoir une sérieuse fessée déculottée. On n'est jamais trop âgé pour recevoir une bonne fessée et en tirer bénéfice. JLG
"Je décidais avec Phil Hochard de me venger de la cuisante fessée des mes sœurs, reçue quelques jours plus tôt. Danny, le hamster, allait entrer en piste... Mais... damned ! Je fus démasqué et... la suite ! ".
Je crois que Monsieur a du mal à comprendre des choses qui sont pourtant simples et que j'ai déjà précisées à Monsieur bien des fois. A mon grand regret, je dois constater que redire à Monsieur les mêmes consignes plusieurs fois par jour n'a aucun effet. C'est comme si je passais mon temps à peigner la girafe !
Troisième fois cette semaine, et nous ne sommes que mercredi, que je dis à Monsieur que, quand il rentre à la maison, il doit enlever ses chaussures de sport et mettre des chaussons. Particulièrement quand il a marché dans de la terre, là où Monsieur va courir. Rien n'y fait !
Vu l’état des fesses d’Elena et de Britanny, il était totalement hors de question qu’on se rende sur notre plage naturiste. Ni sur l’autre d’ailleurs. La textile. Parce que les marques leur avaient largement débordé sur le haut des cuisses.
‒ On n’est
pas suicidaires.
Oui, mais on
n’allait quand même pas rester enfermées. Avec le temps qu’il faisait…
Ekaterina avait peut-être une solution. Une petite crique à l’écart de tout où elle se rendait parfois pour bronzer, avec des copines.
Patricia toute guillerette, légère et court vêtue, descendait la rue pour rentrer chez elle. Sa main droite fourmillait agréablement d'avoir tant claqué sur les fesses de Gérôme , dont elle ressentait encore la chaleur sur la paume. Elle prenait, toujours, beaucoup de plaisir à corriger les belles rondeurs bien fermes de son volumineux arrière train, tout en mettant un point d'honneur à remplir sa mission éducative, au demeurant correctement rémunérée. Que pouvait-on espérer de plus réjouissant, pour une fervente claqueuse, que d'être invitée, moyennant finance, à administrer, fessées à volonté et pour la bonne cause, sur un postérieur si bien disposé à en recevoir. Thérez Bellebourges savait reconnaître les compétences à leur juste valeur.
Dans le cadre de notre mastère où nous devons faire l’équivalent de neuf mois en entreprise, Olga, Iourievna et moi avons eu une réponse positive de la Mairie pour des postes au sein des services techniques. Avec notre spécialité informatique, nos compétences sont recherchées et durant les deux années que dure notre mastère, nous serons amenées à développer des projets au sein de notre société, pour la soutenance finale qui comptera pour notre diplôme.
A notre arrivée dans le bâtiment, nous sommes présentées à nos responsables, tout d’abord le directeur Jean-Bernard V., qui supervise tous les services et ensuite la secrétaire Gabrielle L., Agathe S. du service sécurité et Amélie B., notre responsable directe.
" Mes soeurs Anna et Bérénice nous avaient surpris à l'étage et nous dissuadèrent à leurs manières de désobéir aux ordres maternels. Au moment même où la famille Tapefort, presque au complet, nous rendait une visite amicale..."
On s’était retrouvées à tout un groupe de filles, là, à discuter à une terrasse de café. Il y en avait de Sainte-Croix. Et d’autres non. Il y avait aussi deux ou trois vacancières dont on avait fait la connaissance, comme ça, au gré de nos allées et venues. Et la conversation avait fini par tourner autour de la question du port du soutien-gorge. Parce qu’il y avait beaucoup de femmes qui, avec le confinement, avaient pris l’habitude de ne plus en mettre quand elles étaient à la maison. Et même les rares fois où elles sortaient.
« On se
sent tellement mieux sans !
On était toutes d’accord.
Les nombreuses séances de fessées qui rythmaient ses heures de cours du lundi, finissaient par avoir raison de la paresse naturelle de Gérôme avec une double conséquence. La nette amélioration de sa connaissance de la langue et une meilleure capacité d'endurance de ses fesses. Patricia y trouvait la juste récompense de sa méthode pédagogique, et le meilleur des prétextes à rougir toujours plus sévèrement les fesses de son élève en augmentant, la fréquence et la durée des fessées. La moindre petite erreur ou insignifiante faute de prononciation, était, immédiatement sanctionnée de la plus claquante manière, par une magistrale fessée déculottée, administrée sans prise en compte de la cuisson des précédentes. Gérôme consommait chaque lundi, autant de nourritures intellectuelles que son derrière encaissait de fessées.
Lentement et toute rouge de honte, je retire ma robe et mon string, ce qui me fait être toute nue devant tout le monde. Je cache mes seins et mon pubis avec mes mains.
« Retire
tes mains, de toute façon, on va les voir tes nichons et ta fente ! » me
lance un gendarme.
Avec l’extrême émotion dans laquelle je suis, je sens que mes tétons se dressent et que mon entrecuisse s’humidifie, ce qui augmente mon humiliation.
Cette nuit-là, je me rêvais en metteur en scène dirigeant une troupe composée des membres de nos deux familles respectives où chacun tenait son rôle... à merveille ! Mama Térèze et Tante Gladys jouaient les deux "Soeurs Pastafiole", comédiennes hors-paires ! Patricia était la script-girl et Géraldine tenait la caisse...
Elle m’a regardé d’un air tout à fait pathétique, complètement nue, les cheveux emmêlés, sa mignonne frimousse dévastée par les larmes qui séchaient à peine, elle était véritablement dressée, vaincue, restait les bras ballants, ne cherchant plus à rien dissimuler de son intimité, comprenant intuitivement que c’était vain, tant elle n’avait plus de secret pour notre trio.
- Pitié Fabien, j’ai déjà trop mal, ça me brûle, tu ne peux pas savoir.
Et Britanny par ci ! Et Britanny par-là ! Elena n’avait plus que cette Britanny, qui devait venir passer quelques jours de vacances avec elle, chez elle, comme seul et unique sujet de conversation. Il y en avait beaucoup parmi les filles, surtout celles qui avaient été en stage linguistique en Angleterre avec elle et avaient vu quel plaisir cette fille avait pris à la fouetter sauvagement, qui ne comprenaient pas trop.
Nos entrevues se limitent à leur plus simple expression : Visite chez l’une ou l’autre, séries télévisées et promenades. En fait, rien de bien folichon ! Bref, on s’ennuie à mourir, mais nous voulons profiter d’Alyson avant qu’elle ne reparte avec sa troupe, dans d’autres régions de France et lorsque ce sera possible dans d’autres pays. Le carnet de commande de la revue est plein, il ne reste plus que les autorisations à valider pour voyager.
Maman Térèze invita une de ses cousines éloignées : Tante Nathalie, à venir passer la fête de la Chandeleur avec nous. Dès son arrivée, elle imposa sa "marque" de fabrique. Quelle maitresse femme ! Mazette !
Justine se relève péniblement.
- Non tu ne te
passes pas la main sur tes fesses, tu les poses sur ta tête, allez plus vite
que ça.
En parfaite fesseuse, elle a agrémenté sa remarque d’une bonne claque sur le fessier qui semble fumer, tandis que nous découvrons le visage ravagé de sa victime, le maquillage de ses yeux a coulé sur ses joues, elle renifle, n’ose pas se moucher, ni essuyer ses larmes, mâtée, elle ne bronche pas quand elle découvre la caméra que tient ma cousine qui immortalise le spectacle de sa déchéance, elle a compris qu’il ne fallait pas céder, il aurait fallu qu’elle se sauve, tant pis, ses parents auraient été informés de ses manquements, c’était un mauvais moment à passer, rien de plus, quelques sanctions peut-être, mais rien de comparable avec ce qui l’attend à présent. Non seulement, nous n’en avons pas fini avec ses fesses, mais les deux harpies et moi dans une moindre mesure, avons désormais définitivement barre sur elle avec cette vidéo que l’on pourra menacer de diffuser le plus largement possible.
Et ça a enfin été les vacances d’été. Que je n’ai pas abordées, il faut bien le dire, dans les meilleures conditions. J’avais en effet une épée de Damoclès constamment suspendue au-dessus de la tête : la fessée que maman m’avait promise et dont je devais moi-même choisir la date. Ce qu’il aurait fallu, j’en étais bien consciente, c’était m’en débarrasser au plus vite. Qu’on n’en parle plus. Mais j’en étais incapable. Je reportais. Je n’arrêtais pas de reporter et je savais bien, tout au fond de moi, que je ne pourrais prendre la décision qui s’imposait qu’au tout dernier moment. Quand je ne pourrais plus faire autrement.
C’est le moment qu’elles guettaient pour lever leur main droite et l’abattre sans ménagement en plein milieu des fesses de leur punis. Ils poussèrent un cri en ruant dans un bel ensemble, comme s'ils avaient répété une chorégraphie. Norbert s'agrippa au tabouret pour ne pas tomber et Aristide, la tête coincée entre les cuisses de sa femme, souleva son corps, sans pouvoir le faire bouger en poussant un cri .
Dans l’après-midi, alertés par Andrée D., la directrice de la revue, Antoine K. et Séverine K., les parents d’Alyson, viennent chercher leur fille, au théâtre où a lieu les répétitions et la future représentation, pour la ramener chez eux et terminer ses soins, en attendant le jour du spectacle.
Le trajet en voiture est des plus pénibles, car Alyson se sait plus comment se positionner sur la banquette arrière, pour ne pas souffrir. Elle pousse des plaintes lorsque la voiture passe sur un défaut de la route.