Justine se relève péniblement.
- Non tu ne te
passes pas la main sur tes fesses, tu les poses sur ta tête, allez plus vite
que ça.
En parfaite fesseuse, elle a agrémenté sa remarque d’une bonne claque sur le fessier qui semble fumer, tandis que nous découvrons le visage ravagé de sa victime, le maquillage de ses yeux a coulé sur ses joues, elle renifle, n’ose pas se moucher, ni essuyer ses larmes, mâtée, elle ne bronche pas quand elle découvre la caméra que tient ma cousine qui immortalise le spectacle de sa déchéance, elle a compris qu’il ne fallait pas céder, il aurait fallu qu’elle se sauve, tant pis, ses parents auraient été informés de ses manquements, c’était un mauvais moment à passer, rien de plus, quelques sanctions peut-être, mais rien de comparable avec ce qui l’attend à présent. Non seulement, nous n’en avons pas fini avec ses fesses, mais les deux harpies et moi dans une moindre mesure, avons désormais définitivement barre sur elle avec cette vidéo que l’on pourra menacer de diffuser le plus largement possible.
Les filles ne
l’ont pas laissé languir très longtemps au piquet, juste le temps qu’elle calme
ses sanglots, je la contemplais avec ravissement, les mains croisées sur sa
tête, sa culotte tombée sur ses chevilles graciles, ses jolies jambes
légèrement écartées aux fins de se donner la fausse impression de calmer la
chaleur de ses fesses, tu parles que je connaissais la musique, cette fois
c’est moi qui la pris en photo, j’avais demandé à un pote de me prêter son
appareil en prévision de cette après-midi que j’espérais fructueuse. Cela fit
se marrer les filles.
- Attends, on va
la faire mettre de face, ce sera tout de même plus savoureux.
Et c’est ce
qu’elles ont fait, Justine, décidemment domptée et avec encore des larmes plein
les yeux ne fit nulle difficulté pour se retourner et se prêter à mes
entreprises photographiques.
- Allez,
approche-toi, on n’a pas toute la nuit, tu vas avoir droit à une deuxième
tournée, c’est Lucie qui va s’occuper de tes fesses, c’est l’offensée et tu
peux t’attendre à du sérieux ma chérie.
- Non, je ne veux pas, c’est terminé, vous êtes
une bande de sadiques.
- C’est comme tu
voudras ma jolie, tu as dû remarquer que Lucie t’a d’ores et déjà filmé dans
une situation intéressante, sans compter les photos qu’a prises Fabien pour son
album personnel, on peut envoyer l’ensemble à tes vieux ou les faire circuler à
droite à gauche, tu pourras toujours aller raconter qu’on t’a forcée, mais ce
n’est pas gagné d’avance, surtout que tu n’avais pas l’air de trop te défendre,
c’est toi qui vois.
Justine hésite,
elle a toujours les fesses à l’air et son slip sur les chevilles, j’en profite
pour prendre quelques nouvelles photos, finalement elle cède.
- Bon d’accord,
mais moins fort que tout à l’heure.
- Ça c’est moi
qui décide, reprend Lucie qui vient remplacer sa copine sur sa chaise.
- Allez, bouge
tes fesses petite garce, je vais te les arranger, crois-moi.
Ce n’était pas
une promesse en l’air et Justine a payé au prix fort ses trahisons vraies ou
fausses, Lucie était une des meilleures fesseuses que j’ai connues, hélas au
grand détriment de mon fessier. Elle tapait fort, faisant prendre de l’élan à
son bras, de sorte que quand sa main qu’elle arrondissait pour que l’impact sur
la chair en soit plus significatif, tu prenais cher et elle poursuivait ne te
laissant aucun répit, sans précipitation, même si c’était bien moins ordonné
que chez Corinne, elle préférait te massacrer d’abord une fesse, pousser sa
victime à bout, dès qu’elle percevait qu’elle avait atteint son but,
c’est-à-dire que les premiers sanglots se pointaient, succédant aux gémissements
et aux cris de douleur, elle s’attaquait à l’autre fesse avec non moins de
vigueur. Quand elle avait pris à son tour la couleur de la tomate bien mûre,
elle recommençait à tanner le premier hémisphère.
Justine n’en
pouvait plus, ses fesses avait pris la couleur de la groseille écrasée, on ne
l’entendait presque plus piauler, Fabien connaissait bien le phénomène, la
donzelle se trouvait quasiment en état d’apnée, un truc qui ne trompait pas et
démontrait qu’elle était désormais à bout, elle remuait les jambes de bas en
haut, les décollant du sol alternativement.
Corinne en
profitait pour filmer la scène consciencieusement, enregistrant au passage les
cris et les supplications de la « parturiente ».
Enfin, alors
qu’elle commence à avoir le front et le nez couverts de petites gouttes de
transpiration tant elle s’est employée, ma cousine constate qu’elle est
parvenue à ses fins, sa victime brisée, ne remue presque plus et ne crie pas
davantage, se contentant de lourds gémissements accompagnés de gros sanglots
qui font trembler ses épaules.
Elle en est
arrivée au point où toute fessée bien menée doit te faire parvenir, ses fesses
sont cuites à point et de nouvelles claques n’apporteront plus grand-chose de
plus, sauf à utiliser un instrument, ce qui changera la donne et remettra les
pendules à zéro.
Ce ne semble pas
entrer dans les intentions de Lucie, qui se reprend quelques secondes, caresse
l’intégralité du fessier cramoisi de sa main libre, fais écarter aux maximum
les jambes de la pauvrette qui n’en peut mais et ne résiste pas, ouvrant au
maximum le compas formé par ses gambettes et prenant bien son élan, abat sa
main au cœur du sujet, c’est-à-dire sur ses deux ouvertures parfaitement
dégagées, las, comme on le sait, elle ne s’est pas faite complètement épilée en
dépit de mes demandes.
Justine ne s’y
attendait pas et elle se cabre en hurlant retrouvant de nouvelles forces et la
voix qui va avec.
- Tout doux ma
jolie, tu te calmes et tu te remets en place pour que je finisse ma partition,
sinon tu auras droit au martinet ou à la règle, je ne sais pas encore, tu vas
voir que tu vas nous chanter une autre musique.
Justine se
résigne à rester la plus immobile possible tandis que Lucie en remet une couche
visant spécialement sa chatte et son anus, Justine ne peut pourtant tant ça
doit lui faire mal, s’empêcher de se tordre sous les coups. Enfin, cela cesse,
ma cousine s’est employée et comme sa copine transpire, elle c’est plutôt sous
les aisselles que ça se manifeste, elle prend son temps pour relâcher sa proie,
lui caressant les fesses en effectuant de petits ronds de ses doigts fins et
pour finir les introduisant dans le vagin de la poulette. C’est devenu sa
spécialité à cette chipie, je me souviens que lors d’une des dernières fessées
qu’elle m’a administrées, elle s’était également intéressée à ma rondelle, sans
parler des fois où elle s’était saisie de ma verge et de mes bourses, avec une
fille c’est spécial, Lucie deviendrait-elle subitement bi-sexuelle ?
Je ne le crois
pas une seconde, mais sait-on jamais, j’ai cru comprendre que les filles le
sont toutes plus ou moins à des degrés divers. Elle est davantage dans le désir
d’humilier le plus possible sa victime, qui une fois anéantie par la
correction, doit se résigner à ce qu’aucune de ses ouvertures intimes ne puisse
être pénétrée, j’allais écrire violée.
- Tu mouilles
hein cochonne, ça te plait que je te tanne les fesses ou c’est juste quand je
t’ai claqué la moule et le trouduc ? Réponds-moi chienne ou tu vas avoir
droit à un supplément, je suis un peu fatiguée, mais pas suffisamment pour ne
t’en recoller une, sans parler de ton fiancé Fabien qui attend son tour, c’est
bien normal qu’il ait envie de te rôtir les fesses puisque tu t’es régalé à le
faire avec les siennes.
Justine marmonne
un truc inintelligible que sa correctrice veut bien prendre pour une
approbation.
- Puisque tu
aimes ça, je vais t’en remettre une louche.
- Non pardon
Lucie, j’ai trop mal, c’est horrible, je t’en supplie.
- Tu vas bien en
supporter autant que j’en ai pris de ta copine Anaïs.
Et c’est reparti
pour une sarabande de claques sur le fessier incandescent, mais Comme déjà dit
plus avant, Justine est au bout de ses souffrances et les dernières volées de
ma cousine ne lui arrachent plus que quelques gémissements et des mouvements de
jambes que j’estime parfaitement ridicules.
- Bien, ça ira
pour moi, tu vas aller te mettre au piquet et ravaler tes larmes de morue, tu
peux te préparer pour le final avec ton ex fiancé, mais d’abord tu vas me
remercier pour avoir bien voulu m’occuper de tes fesses, allez, relève-toi, tu
crois pas que tu vas passer la soirée à plat ventre sur mes cuisses, allez, à
genoux, la tête baissée et tes mains croisées dans le dos et sans te caresser
les fesses, sinon je te colle un supplément à la règle, je te garantis que tu
vas voir la différence.
Justine s’exécute
péniblement, elle n’est plus elle-même, sa pudeur est depuis longtemps évanouie
et elle ne fait nulle difficulté quand Corinne lui ordonne de se mettre
complètement nue, elle ôte ton tee-shirt et son joli soutien-gorge assorti à sa
culotte, à croire qu’elle était venue à mon rencard pleine de bonnes
intentions, prête à remettre notre liaison sur les bons rails, cela me donne
quelques fugaces instants de regret, vite chassés, cette gonzesse n’est pas fiable
et je n’aurais eu que des mécomptes avec elle, c’était en tout cas l’opinion de
Lucie dès le départ.
- Comment tu peux
espérer quelque chose d’une minette qui accepte de te filer une fessée devant
ta cousine pour des conneries, c’est une garce, je te le garanti sur facture.
La suite et son
attitude pour le moins équivoque lors de la fameuse soirée m’avait conforté
dans cette opinion.
- Eh bien, elle
ne s’emmerde pas la donzelle, n’est-ce-pas Lucie, c’est pour charmer Fabien que
tu t’étais mise en frais ou c’est ta tenue de habituelle ? Je ne sais pas
si ça ne justifierait pas un petit supplément, mais on verra après, en
attendant, tu vas te refringuer entièrement et te dépoiler lentement, sans pour
autant t’essayer à un strip-tease qui te rendrait encore plus ridicule, allez,
bouge-toi, oui, je sais le jeans sur un fessier que l’on vient de peindre en
rouge, c’est compliqué, je m’en fous, je te signale que je suis en train de te
filmer.
Justine s’est
bien entendu exécuté en grimaçant, reniflant et se mouchant, nous dévoilant une
figure ravagée par le maquillage de ses yeux qui s’étalait sur ses joues, elle
a réussi à passer son pantalon, que Lucie l’a autorisé à ne pas boutonner
jusqu’en haut, tant cela la faisait souffrir, le reste a été plus facile, avant
de nous refaire la partie à l’envers, je me régalais de la vision de ses
petites doudounes que j’avais trouvées parfaitement à mon goût, fermes et
haut-placés, juste un peu moins ronds et pleins que celles de ma cousine qui
restait pour l’heure, mon maître étalon en la matière.
- Allez au
piquet, accroupie, ton cul bien cambré, qu’on voit bien l’ampleur de la fessée
que tu deviens de déguster.
C’était
exactement la position que madame Leblanc avait fait prendre à Lucie après sa
terrible correction juste avant de la frotter aux orties, c’était sans doute
une façon de sublimer sa mortification en l’imposant à une autre victime.
- Allez, mieux que ça, les cuisses écartées au
maximum, montre-nous bien ta cramouille et ton trou de balle, voilà, c’est mieux
et tu me remercie de t’avoir mis le feu aux fesses.
On a entendu, un
tout petit merci.
- Mieux que ça «
merci mademoiselle Lucie pour cette bonne fessée bien méritée », je
t’écoute.
La pauvre Justine
s’y est reprise à deux fois, mais a enfin réussi à satisfaire Lucie qui a
chaque fois lui envoyait deux grandes claques sur ses fesses incendiées, qui la
faisait hurler.
Là, elle nous en
mettait véritablement plein la vue et je la plaignais presque, oublieux de ce
qu’elle m’avait fait subir, ce fut un peu trop quand pour corser la chose,
Lucie s’approchât un thermomètre rectal à la main et qu’elle entreprit de
l’introduire dans le fondement de la punie. Elle lui introduit au préalable
deux phalanges dans le vagin en exultant.
- Elle est
trempée la morue, je savais bien que c’était une sale vicieuse, tiens
prends-toi ça dans le troufignon, je ne suis pas sûre que Fabien ait inauguré
cette ouverture, c’est un peu dur à entrer, mais ça va y aller, qui disait
« où il y a la volonté, il y a le chemin » ?
Effectivement,
question sexe, j’en étais encore au basique et je n’avais même jamais songé aux
prétendus délices de la sodomie, Justine allait y goûter pas plus tard que
maintenant, ce qui me confirmait que ma cousine était bien une sacrée coquine,
bien plus délurée au final que je ne l’aurais supposée.
- Non, je ne veux
pas, je me plaindrai, c’est trop dégoûtant, tu n’as pas le droit, aie !
- Je le prends ma
chérie, quand on le feu au cul comme toi, il faut bien en mesurer la
température précise. Tu as aimé quand je t’ai fessée, la preuve tu as la chatte
trempée, allez- réponds petite peste.
- Je ne sais pas,
je comprends pas, ça vient tout seul.
- Eh oui, ça
vient tout seul pour les vicieuses dans ton genre.
- Aie, pas si
profond, tu me fais trop mal, tu vas me blesser.
Lucie impitoyable
a enfoncé le thermomètre jusqu’à la garde, je me souviens que j’y avais eu
droit en son temps et cela avait été très désagréable.
- Je vais
attendre dix minutes, il faut bien ça pour que la mesure soit fiable. Tu vas
rester dans la même position, tourner la tête vers nous et nous faire un joli
sourire, histoire que Corinne immortalise l’instant. A moins que tu ne préfères
que je te tanne le cul à la ceinture, c’est toi qui choisis, sauf que si tu te
rebiffes, tu auras les deux, le thermomètre dans le troufignon et la rouste,
voilà c’est mieux, tu deviens raisonnable, allez encore une autre pour Fabien,
voilà, finalement tu es une bonne petite.
Et ça dure, je
regarde le cratère de Justine élargie par la pénétration qui se crispe.
- Ne t’avise pas
de l’expulser, il t’en cuirait.
- Allez, arrête,
ça suffit comme ça Lucie, elle a assez payé.
- Comme tu
voudras cher cousin, tu es trop bon avec cette chipie, je lui mettrais bien une
bougie à la place et tu pourrais la garder en souvenir, tu veux toujours lui en
flanquer une dernière pour la route ?
- Oui, une bonne
fessée, mais tes histoires de mettre des trucs dans les fesses, tu ne te rends
pas compte, mais c’est une sorte de viol.
- Oh voilà qu’il
fait sa chochotte à présent, je te rappelle cependant que c’est moi, la
principale offensée.
- Il a raison,
Lucie arrête tes conneries.
C’est Corinne qui
est venue à mon secours, une fois n’est pas coutume, tu n’as pas eu droit à ça,
non ?
- C’est juste, si
vous vous mettez tous les deux contre moi, c’est bon, débrouillez-vous.
C’est moi qui ai
été retiré le thermomètre de l’œillet de Justine qui étrangement très crispé me
résiste quelques secondes.
- Tu vois, ça lui
a plu, elle ne veut plus s’en séparer, fais-moi voir à combien il est monté,
presque trente-huit tout de même, vous voyez bien qu’elle a le feu au derch,
bon tu la finis Fabien, elle aurait mérité que je lui envoie le manche du
martinet dans le cul, je suis sûre qu’elle aurait aimé cette petite vicieuse,
il est temps qu’on puisse passer à autre chose, avec Corinne, nous avons
d’autres projets.
Je me demandais
si ces projets comportaient une fessée de cette morue de Corinne, comme il en
avait, certes vaguement, été question dans mes conversations avec ma cousine, à
moins que je ne prenne mes désirs avec la réalité. Pour l’heure, c’était de
Justine que j’allais devoir m’occuper st spécialement de son joli petit popotin
qu’elle nous exposait dans toute sa splendeur et en totale impudeur depuis une
dizaine de minutes. C’était comme pour ses tétés, je préférais bêtement celui
de Lucie, peut-être à cause de son épilation totale, il me semblait légèrement
plus rebondi et puis pourvu de deux délicieuses petites fossettes.
J’ai été relever
Justine de son honteuse position, elle a voulu m’embrasser mais je l’ai
repoussée.
- On verra tout à
l’heure ma belle si tu es aussi empressée quand je me serais à mon tour occupée
de tes fesses.
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