Lentement et toute rouge de honte, je retire ma robe et mon string, ce qui me fait être toute nue devant tout le monde. Je cache mes seins et mon pubis avec mes mains.
« Retire
tes mains, de toute façon, on va les voir tes nichons et ta fente ! » me
lance un gendarme.
Avec l’extrême émotion dans laquelle je suis, je sens que mes tétons se dressent et que mon entrecuisse s’humidifie, ce qui augmente mon humiliation.
Olga, les fesses zébrées de
marques très rouges, en pleurs, est détachée et ses parents la soutiennent pour
l’emmener vers une autre salle. Olga, la chemise froissée, portant des auréoles
de sueur, marche comme sur des œufs, les cuisses écartées. Je frisonne de cette
vue, car mon tour va arriver. Je me dis qu’elles ne l’ont pas épargnée.
« SUIVANTE ! MADEMOISELLE
ELENA E. ! » crie une gradée, responsable des fessées.
Je suis étonnée d’être déjà la
prochaine ! Intérieurement, j’espérais que quelque chose viendrait me
sauver, mais je suis seule face à mon destin. Même mes parents, présents, ne
peuvent rien pour moi.
« NON ! Papa, Maman, ne les
laissez pas m’emmener, je ferai tout ce que vous voudrez, s’il vous plait, je
serai la meilleure et la plus gentille des filles, je vous le promets ! Ne les
laissez pas m’emmener ! NOOON ! PAS LA FESSEE ! NOOON ! » implorais-je
en paniquant.
« Ne
faites pas la gamine, Mademoiselle, venez de votre plein gré ou ça va mal se
passer ! Je ne le répèterai pas ! » me
dit une des gendarmes, à priori lassée de devoir trainer les punis vers le
chevalet.
Deux femmes gendarmes me
prennent chacune par un bras et m’entrainent de force vers le chevalet où
manifestement un tas d’autres sont passés avant moi, car dans le caniveau central
prévu à cet effet, se trouve de l’urine et certainement que des garçons ont également
dû éjaculer.
Les gendarmes m’attachent les
chevilles, penchée en avant, cuisses écartées, et les poignets au-dessus de la
tête. Entravée de cette manière, je suis incapable de me soustraire ou de me
protéger des cinglées qui vont s’abattre sur le bas de mon corps. Je vais être
offerte aux lanières... Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine, avec
l’imminence de ma correction. J’ai la chair de poule !
« S’il
vous plait, épargnez-moi ! » je supplie les femmes qui
m’attachent.
« Regarde
comment elle mouille déjà, cette petite chiennasse ! »
commente une femme gendarme qui me sangle les poignets.
Sa collègue dit : « Oui, j’ai vu et ses tétines sont bien
dressées. T’as la trouille, hein, la greluche ? On va te mettre le
feu au cul, ma cocotte ! Tu vas la sentir passer, crois-moi ! »
« Dommage
qu’on ne lui fouette pas les mamelles ! J’aurais aimé les voir gigoter et
être marquées »
« Ô,
vu comment elle va se trémousser, ça va ballotter, tout ça, c’est sûr ! »
Les remarques très déplacées et
particulièrement salaces des deux femmes gendarmes m’humilient, car j’aurais pu
espérer de la compassion de leur part. Mes larmes coulent et je tremble sans
que je n’y puisse rien faire.
« Bon
courage, ma grande ! Montre-nous un beau spectacle ! »
ironise une des fesseuse en me tapotant la croupe, comme on complimente une
jument.
Les deux fesseuses se
munissent de leur martinet de discipline à longues lanières de cuir.
« Pour
trente coups de martinet : UN ! ... DEUX ! ... »
ordonne la Lieutenante Helga K. aux deux femmes.
Les fouettées s’enchainent. Je
serre mes liens et les dents, en grognant, car les brulures des cinglées
irradient déjà mes fesses et mes hanches. Je suis totalement soumise et les
fesseuses ne me ménagent pas. Les cinglées claquent sèchement, enflamment et
rougissent ma chair.
Peu avant la dixième cinglée,
n’en pouvant plus, je pousse un hurlement de douleur en gesticulant dans tous
les sens, faisant balloter mes seins, faisant fi de donner un pitoyable
spectacle. Les brulures me font perdre la tête et je m’agite comme une damnée,
comme si je voulais arracher mes liens et me détacher par moi-même. Les
claquements continuent et je hurle toujours autant.
La Capitaine médecin Cindy B.,
voyant le regard stupéfait de mes parents, leur dit :
« Ne
vous inquiétez pas, elle braille fort, la cocotte, mais ça n’est pas bien
méchant. Elle aura les fesses et les cuisses en feu durant un moment et au bout
de quelques jours, il n’y paraitra plus rien »
« Elle
a l’air de terriblement souffrir, notre fille » lui
dit Maman.
« Je
sais, Madame, c’est votre fille et c’est normal que vous vous inquiétiez pour
elle, mais ses réactions sont normales. Et puis, elle n’en est pas à sa
première fessée et j’ai lu sur son dossier qu’elle a connu bien pire que ça » dit
la Doctoresse.
« Oui,
tout à fait, dans son école à Ste CROIX, en Angleterre et même de notre part !
Nous ne la ménageons pas lorsqu’elle le mérite, on sait la corriger » Lui
répond Papa.
Pendant la conversation de la
doctoresse avec mes parents, j’appelle Maman au secours, car mes fesses et mes
cuisses ne sont que brasiers et cette fessée me semble ne plus s’arrêter. Je ne
sais plus comment me positionner pour supporter les embrasements de ma chair.
Ma cyprine coule et un filet dégouline de mon vagin ouvert.
La femme lieutenant crie « TRENTE ! »
Le dernier coup de martinet
m’est donné. Je suis livide, toute tremblante et inondée de sueur. Même avec
l’arrêt des cinglées, mes fesses me brulent toujours autant. Je m’abandonne et
j’urine sans pouvoir me retenir. Un long jet malodorant coule. Je sanglote
comme une gamine en reprenant mon souffle. J’ai l’impression que mes fesses sont
posées sur un poêle bouillant.
Les deux fesseuses me
détachent :
« Alors,
ma vieille, on t’a bien fait morfler, hein ? Qu’est-ce que t’en
dis ? J’espère que t’as retenu la leçon ? »
A bout de souffle, je ne
trouve même plus la force de répondre. Mes parents reçoivent l’autorisation de
venir vers moi.
Une femme gendarme dit à mes
parents :
« Prenez
votre fille et emmenez-la à la douche, elle en a besoin, elle est trempée de
sueur »
En boitant, j’accompagne comme
je peux, mes parents, en gémissant à chaque pas.
« Allez,
ma Lena, tu vas prendre une douche et on rentre à la maison, après » me
dit Maman.
« J’en
peux plus, Maman, ça brule, c’est atroce » me
plaignais-je
« Je
sais, ma chérie, c’est fini maintenant. Tu as payé ta faute »
Maladroitement, je prends ma
douche en évitant mes fesses et mes cuisses que je ne peux pas toucher, sans
crier de couleur. Maman m’aide, voyant de la façon dont je m’y prends.
A la fin de la douche, lorsque
je suis à peu près sèche, nous nous dirigeons vers le bureau d’une infirmière
qui me demande de m’allonger sur la table de soins. Avec mille précautions, je
m’installe en criant. L’infirmière m’enduit de crème les fesses, les cuisses et
les hanches. Le contact de la crème sur mes brulures m’arrache des hurlements,
puis elle me bande les cuisses et me place une couche culotte enveloppante pour
que la crème grasse reste au contact de ma chair meurtrie.
En me relevant, je ressemble à
un bébé muni de sa couche, ce qui me fait marcher les cuisses très écartées.
Maman m’enfile ma robe et ma veste pour cacher ma nudité. Lorsque je marche, je
sens que l’épaisse couche de crème s'introduit dans tous mes orifices, ce qui
rend la marche particulièrement désagréable...
Enfin, nous recevons
l’autorisation de sortir de la gendarmerie. Un adjudant nous dit que nous
recevrons une copie du procès-verbal et le film de la punition en cas de
contestation.
« Nous
ne contesterons pas la correction. Notre fille a eu ce qu’elle méritait. C’est
bien fait pour elle » lui répond mon père.
« C’est
la procédure que d’envoyer tous les documents aux punis. Faites-lui voir le
film de temps en temps pour qu’elle se rappelle ce qu’elle risque lorsqu’elle
désobéit, c’est très pédagogique et préventif, en même temps. C’est pas de
gaité de cœur qu’on puni les jeunes, mais il faut le faire pour éviter que ça
ne dégénère et qu’ils ne deviennent de véritables délinquants » Répond
l’adjudant à mes parents.
En sortant, l’air frais me
fait du bien. Je me sens enfin libre. Maman me serre dans ses bras, car elle
voit bien que je viens d’être éprouvée.
« Je
regrette tellement ce que j’ai fait, Maman. Je recommencerai plus ! » lui
dis-je.
« Je
sais, ma chérie, mais c’est toujours ce que tu dis sur l’instant et tu
recommences après. Tes sorties seront très encadrées, à présent »
Dehors, je reconnais des
jeunes qui étaient avec moi à la fête clandestine. Nous avons tous la mine
défaite, par le manque de sommeil de ces dernières quarante-huit heures, le
stress de la détention et la correction qui nous a épuisé.
Allongée sur la banquette
arrière de la voiture, nous rentrons à la maison. En arrivant, je demande à
aller me coucher, car je n’en peux plus.
Maman m’accompagne à ma
chambre, me déshabille entièrement, m’allonge sur le ventre, m’étale des serviettes
pour éponger ma sueur et me couvre de ma couette. Malgré la douleur qui me
tenaille, je ne tarde pas à sombrer dans un sommeil parsemé de cauchemars.
Vers dix heures, le lendemain
matin, je suis réveillée par une discussion qui vient du salon. Iourievna et sa
mère Irina sont avec Papa et Maman et discutent entre eux de la fête.
Intriguée par ce qui se dit,
je me lève péniblement et j’ai l’impression que des aguilles me transpercent
les fesses et les cuisses à chacun de mes mouvements, j’enfile un tee-shirt et
j’entre dans le salon, tout ébouriffée.
« Tu
es réveillée, Lena. Comment te sens-tu ? »
« Oui,
Maman, je vous ai entendu parler. J’ai encore affreusement mal partout et
j’ai fait dans ma couche » dis-je en rougissant, consciente qu’on va
me prendre pour une enfant.
« Bon,
je vais aller te laver et te talquer les fesses et l’entrecuisse, comme quand
tu étais petite » me dit Maman, sans ménager ma
susceptibilité, ce qui me fait rougir davantage.
« Nadejda,
je peux venir t’aider ? » demande Iourievna.
« Oui,
bien sûr Ioura, nous ne serons pas trop de deux pour laver cette jeune
fille ! » lui répond Maman.
Iourievna et Maman me retirent
la couche et les bandages de mes cuisses. Elles constatent que c’est encore
fort rouge.
« Ouh
la, t’es bien marquée, ma pauvre. Il y en a même à l’intérieur des
cuisses, ça a dû être extrêmement douloureux, ça ! » dit
Iourievna en grimaçant, sachant ce que ça provoque.
« Ça
la fera marcher en canard durant un moment ! Et je te confirme, t’as bien
fait dans ta couche, ma fille ! » déplore Maman
La douche est pénible et
douloureuse. Je gémis et je crie lorsque Maman ou Iourievna me touchent les
brulures.
« T’es
sûre que t’en fais pas beaucoup. C’est rouge, d’accord mais au point de crier
et de te contorsionner comme ça, quand même ! » me
reproche Maman.
« Si
Maman, j’ai trop mal, ça brule ! Faites doucement ! »
« Te
voilà propre et sèche. Met-toi à quatre pattes, Lena, on va te taquer les
fesses ! »
Docile, je m’agenouille délicatement
et je me mets en position.
« Voilà,
écarte bien les cuisses, ma puce. Ioura, prend le talque et enduit la bien
partout » demande Maman à mon amie.
Pas gênée le moins du monde,
Iourievna me talque les fesses et avec sa main, puis elle m’enduit de talque l’anus
et la vulve. Je suis surprise par ses attouchements qui me font rougir et je
sens que mon entrecuisse se mouille de ces caresses onctueuses. Je me retiens
de gémir de plaisir, surtout lorsqu’elle me touche le clitoris à plusieurs
reprises, car des ondes de plaisir me parcourent le corps.
« Ben
alors, Lena ? tu mouilles ? » me dit Iourievna
faussement surprise.
« Euh...
non, euh... je... sais pas, je le... fais pas exprès ! » je
lui réponds, en bafouillant, vexée de sa question.
« Je
sais, Lena, je te taquine, mais tu mouilles bien quand même ! Regarde
Nadya, mes mains sont couvertes de la cyprine de ta fille »
Maman sourit, mais ne renchérit
pas sur la réflexion de Iourievna.
« Bon,
on va la laisser les fesses à l’air durant plusieurs jours, de cette façon il
n’y aura pas de frottement sur ses brulures » nous indique
Maman.
Lorsque j’ai les fesses
talquées, je me relève et nous revenons au salon. Je suis fesses et sexe à
l’air, ne pouvant supporter de culotte, ce qui fait sourire Papa et Irina S. qui
n’avaient jamais vu une jeune adulte talquée de la sorte... Mon pubis épilé
fait ressortir davantage mon intimité et de ce fait, je ressemble totalement à
une fillette impubère.
Irina S. nous dit que de notre
groupe, seule Iourievna s’est sortie de l’interpellation et elle me demande si
je l’ai dénoncée ou pas. Je lui réponds que non, que c’est mon amie et je ne
ferai jamais ça. Iourievna me remercie et me dit que c’est déjà assez pénible
de voir sa sœur Olga et Théo, les fesses dans le même état que les miennes.
Dans la conversation, Irina S.
me dit qu’Alyson a eu droit à un répit, car elle doit se produire sur scène dans
la région, encore trois fois avec la troupe du CRAZY, mais dès que les
représentations seront terminées et avant de repartir dans d’autres régions,
Alyson devra venir se faire fesser à la gendarmerie.
Je comprends mieux le fait
qu’Alyson n’ait pas été fessée en même temps que nous. Sa directrice a dû
intervenir pour repousser la correction de sa danseuse.
Les jours suivants, Olga, Théo
et moi, nous nous téléphonons pour prendre de nos nouvelles et pour papoter
entre amis. Notre mésaventure nous a soudé encore un peu plus. Nous échangeons
sur l’organisation foireuse de la fête et des conséquences que ça a eu sur
notre vie.
Notre dossier disciplinaire a été mis à jour et à n’en pas douter, Ste CROIX en sera averti, le conseil des mères, également. Nous allons encore avoir droit à un sermon de Fabienne D. et François F., notre proviseure et de notre professeur principal. Nous devrons nous confondre en excuses et promettre, comme à chaque fois de faire attention à nos faits et gestes.
En ce qui concerne Alyson,
elle vit avec un stress permanent. Ayant assisté à nos fessées, elle se dit,
tout comme nous, que lorsqu’elle va y passer, ce sera vraiment très pénible et
douloureux pour elle et en étant corrigée devant ses parents et certains
membres de la troupe du CRAZY, elle sera humiliée davantage et sa fierté va en
prendre un sacré coup.
Après quelques jours de
souffrance où la position assise nous est interdite, nous pouvons à présent,
remettre des vêtements décents et sortir. Finalement, les soins de nos parents auront
terminé d’apaiser nos tourments.
Juste avant son départ pour
une nouvelle tournée, nous allons chez les parents d’Alyson pour la saluer, qui
de son côté, se remet juste de sa correction, qu’elle gardera à l’esprit durant
longtemps...
Une série écrite par Elena
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Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerQue voilà une punition magistrale. Et, pour tout dire, méritée. Reste qu'on ne sait pas trop quelle est la position la plus enviable: celle d'Elena qui a certes été fouettée, mais dont la punition est maintenant derrière elle, celle d'Alyson qui l'a devant elle et a tout le temps de l'appréhender ou bien celle d'Iourievna qui est toujours sous la menace d'être dénoncée.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerEn effet, durant les périodes de confinement, beaucoup de petites fêtes clandestines ont eu lieux de part et d'autres. Là, j'en raconte une. Les gendarmes se sont montrées très sévères avec les jeunes qui ont bravés les interdits et qui mettent en péril la santé de leurs famille.
C'est pour Alyson que c'est le plus dur, car l'angoisse est croissant plus le temps passe, car elle sait qu'elle va dérouiller, jusqu'au moment où elle la reçoit.
Il faut bien que jeunesse se passe...
Amitiés.
Elena.