Et Britanny par ci ! Et Britanny par-là ! Elena n’avait plus que cette Britanny, qui devait venir passer quelques jours de vacances avec elle, chez elle, comme seul et unique sujet de conversation. Il y en avait beaucoup parmi les filles, surtout celles qui avaient été en stage linguistique en Angleterre avec elle et avaient vu quel plaisir cette fille avait pris à la fouetter sauvagement, qui ne comprenaient pas trop.
« Attends,
moi, une nana m’aurait fait un truc pareil, j’aurais sûrement pas passé
l’éponge, alors là !
‒ Oui,
mais peut-être qu’elle a une idée derrière la tête. Qu’elle lui en calcule une
pour se venger.
En fait
Elena, elle, elle savait pas trop où elle en était.
‒ Je
comprends pas ce qu’il m’arrive. Normalement je devrais la détester, oui, ça,
bien sûr. Eh ben en fait c’est exactement le contraire qui se produit. Je me
sens toute fondante avec elle. Toute tendre. Et même… je lui suis
reconnaissante de m’avoir punie dans un sens. Comment vous expliquez ça, vous,
les filles ?
On
n’expliquait pas. On n’expliquait rien. On n’essayait même pas.
‒ Ce
qui se passe dans la tête des uns et des autres, c’est toujours très compliqué.
Iourievna a
même cru bon de préciser, d’un petit ton égrillard.
‒ Et
pas que dans la tête !
On a donc
fait la connaissance, dès son arrivée, de cette Britanny. Qui ne jurait que par
la plage.
‒ J’ai
pas la mer tout près, moi, là-bas, en Angleterre.
Qu’à cela ne
tienne ! On allait l’y emmener à la plage. D’autant qu’il faisait un temps
magnifique. Et direction notre espace réservé naturiste. Ce qui n’était
manifestement pas ce à quoi elle s’attendait. Elle n’a rien dit, mais elle a
mis un temps infini à étaler sa serviette de bain, elle a longuement fait mine
de chercher, dans son sac, quelque chose qu’elle n’y a pas trouvé, a jeté tout
un tas de regards furtifs et inquiets autour d’elle avant de se résoudre enfin
à faire comme nous et à quitter son maillot.
Elena a
murmuré à mon oreille.
‒ Comment
ça la met mal à l’aise de se mettre comme ça, toute nue, devant tout le monde.
C’est la première fois, je suis sûre ! J’adore.
Elle l’a
longuement contemplée, bien à l’abri derrière ses lunettes de soleil.
‒ Ce
qu’elle est bien foutue, n’empêche en attendant !
On est
restées un long moment à bronzer en silence. Trois ou quatre garçons de notre
âge sont venus courir autour de notre groupe en faisant exprès de nous envoyer
du sable. On les a rembarrés, menacés de faire appel au responsable de
l’association naturiste. Ils n’ont pas insisté, se sont éloignés.
‒ Ils
mériteraient une bonne fessée, ceux-là, tiens !
Ce qui nous
a tout naturellement amenées à parler de la fessée qu’Alexandru B. et Andréa A.
avaient récemment reçue devant nous. Britanny s’est tout de suite montrée très
intéressée. Il lui fallait des détails. Toujours plus de détails. Qui ils
étaient. S’ils avaient crié. Gigoté. Supplié. Ils étaient encore là ? On
pouvait les voir ? Et les gens ? Comment ils réagissaient, les
gens ? On a satisfait sa curiosité. Aussi bien qu’on a pu. Et puis, à son
tour, elle a voulu évoquer la correction qu’à la demande de la directrice elle
avait infligé là-bas à Elena pendant ce fameux stage en Angleterre. Mais Elena
a aussitôt coupé court. Elle s’est levée.
‒ Tu
viens ?
Et elle a
couru en direction de la mer.
Britanny l’a
rejointe. Elles se sont baignées. Elles ont joué dans l’eau, se sont
éclaboussées, ont chahuté tant et plus avant d’échanger un rapide baiser. Un
autre encore. Quand elles sont revenues vers nous, elles se tenaient par la
main.
Elles se
sont laissé tomber côte à côte sur le sable. Et Elena a soupiré.
‒ Qu’est-ce
qu’elle est bonne, les filles ! Si vous saviez… »
Le soir, je
n’ai pas réussi à m’endormir. Je me suis tournée et retournée dans mon lit et
j’ai fini, comme souvent, par aller m’offrir, en imagination, un petit séjour
en prison. Sauf que, cette fois, je ne me suis pas abandonnée aux caresses
savantes du docteur Pierre B. Non. Je suis restée en cellule. En compagnie
d’Émilie J., ma codétenue. Qui a chuchoté « Tu dors ? » Je n’ai
pas répondu. « Hein ? Tu dors ? » Elle s’est doucement
levée, s’est approchée sans bruit. Elle m’a effleuré la joue, du bout des
doigts. Je n’ai pas bougé. Le cou. Elle est descendue. Descendue encore. J’ai
retenu mon souffle. Elle m’a délicatement enrobé un sein, en a fait dresser la
pointe, y a posé ses lèvres, l’a agacé du bout des dents. Et puis ses mains.
Ses doigts. En folie partout. Ils m’ont assiégée en bas. Investie. Et j’ai été
à elle. J’ai gémi, mordu mon oreiller et joui éperdument sous ses baisers. J’ai
mis du temps pour revenir à moi. Pleine de perplexité. Et d’interrogations.
Mais il m’arrivait quoi, là ? Qu’est-ce que… ? C’était vraiment moi,
ça ? C’était aussi moi ? Oh, et puis zut ! Te pose pas tant de
questions, Olga ! Et je me suis endormie dans les bras de Théo.
Théo
justement, lui, il n’était pas là. Parti passer quelques jours chez sa
grand-mère en compagnie de sa mère et de son frère. En sorte que je disposais
de tout mon temps et que je passais mes après-midis à la plage en compagnie
d’Iourievna, d’Elena et de Britanny, Ekaterina nous ayant fait rapidement faux
bond pour aller rejoindre on ne savait trop on ne savait trop qui.
Iourievna
n’arrêtait pas de pester.
« Regarde-les,
les deux autres, là, à roucouler à longueur de temps… Ah, c’est agréable pour
nous ! Comment on se fait chier, oui ! Et même pas un mec de potable.
En plus !
Fallait bien
reconnaître qu’elle n’avait pas tout à fait tort. Elles ne se donnaient pas en
spectacle, non, mais elles étaient dans leur monde. À n’exister que l’une par
l’autre. Complices. Ailleurs. Les yeux pleins d’étoiles.
‒ Je me
sens de trop, moi ! Tu te sens pas de trop, toi ?
‒ Un
peu quand même, si !
‒ Ah,
tu vois ! Non, vivement qu’elle se tire, cette Britanny,
tiens ! »
Le samedi
soir, Mylène a appelé, tout excitée.
« Que
je vous raconte… Elena et sa copine, là… Qu’est pas mal du tout d’ailleurs,
soit dit en passant…
Iourievna
s’est agacée.
‒ Oui,
ben vas-y, accouche ! Qu’est-ce qu’il y a ?
‒ Il y
a qu’à mon avis, elles ont passé un sacré sale quart d’heure.
‒ Parce
que ?
‒ Parce
qu’elles se sont introduites au camping Bellevue où il y avait une fête et
l’élection de Mister Camping. Comme elles n’avaient ni invitation ni
autorisation, le gardien les a virées. Mais faut croire que ça les tenait de
voir des beaux mecs bien musclés parce qu’elles se sont débrouillées pour
revenir aussi sec. Elles voulaient pas louper ça, tu parles !
Iourievna a
murmuré.
‒ Comme
quoi elles mangent à tous les râteliers.
‒ Quand
il les a aperçues, il était fou furieux, le gardien ! « Encore
vous ! Oh, mais alors là, ça va pas se passer comme ça ! Vous allez
voir ! Vous allez voir ! » Et il a exigé d’Elena qu’elle lui
donne le numéro de téléphone de ses parents. Et alors vous la connaissez, sa
mère. Dix minutes après, elle était là. Et elle te leur a passé un de ces
savons devant tout le monde que j’aurais vraiment pas aimé être à leur place.
« À la maison tout de suite ! Et vous savez ce qui vous attend, je
suppose ! » Ah, elles étaient pas fières. Surtout qu’autour tout le monde
s’était arrêté de parler et regardait ce qui se passait en rigolant. Sûr qu’une
fois rentrées, elles ont dû se ramasser une sacrée déculottée, ça ! »
Dès qu’on a
eu raccroché avec Mylène, on a essayé d’appeler Elena, mais ça ne répondait
pas.
Iourievna a
eu un petit sourire entendu.
‒ C’est
qu’elles doivent être occupées, tiens, tu penses bien ! »
On y est
passées le lendemain. Elles étaient dans la chambre d’Elena, encore en pyjama.
« Alors ?
Hier soir ?
‒ Comment
vous savez ça ?
‒ Mylène…
‒ Oui,
oh, ben elle ! Elle nous a pas lâché les baskets de toute la soirée. Ou
pratiquement. Britanny lui plaît bien, c’est clair. Seulement elle peut
toujours rêver…
‒ Et
donc, vous y avez eu droit…
Elles ont
grimacé. Toutes les deux.
‒ À la
main ?
‒ Non.
Le martinet.
‒ Oh,
la la ! Mes pauvres !
Elena a
soupiré.
‒ Ah,
ça, vous pouvez le dire ! Et on a pris cher.
‒ Vous
faites voir ?
Elles ont
hésité. Se sont regardées.
‒ Oh,
mais si, allez ! On est qu’entre nous n’importe comment…
Elle a
haussé les épaules, nous a tourné le dos et a baissé sa culotte de pyjama.
Les traces
des lanières s’étaient profondément ancrées dans la peau, toutes rouges, toutes
boursouflées. Et nombreuses. Au moins une trentaine.
‒ Eh
ben, dis donc !
C’est
Iourievna qui en a fait la remarque.
‒ T’en
as aussi devant…
‒ Oui,
oh, ben ça, c’est quand tu te retournes en espérant qu’on te cinglera pas de ce
côté-là, qu’on aura pitié.
‒ Sauf
que ça a pas marché.
Elle a un
petit geste d’impuissance.
‒ Ça a
pas marché, non.
Bon, mais…
et Britanny ?
‒ Pareil !
Peut-être même en pire…
Et elle
aussi, elle a montré. Sans se faire vraiment prier. Des deux côtés.
La même
chose, oui. Mais en plus spectaculaire. Parce qu’elle a la peau beaucoup plus
pâle.
‒ Eh,
ben dites donc, les filles !
‒ On avait
mérité, faut reconnaître…
Elles se
sont pris la main.
‒ À
quelque chose malheur est bon. Parce que ça nous a rapprochées un peu plus
encore, tout ça !
Et elles se
sont embrassées.
Bon, mais en
attendant, la plage, vu les circonstances, fallait pas y compter, non ?
‒ Ah,
ben ça, pendant quelques jours…
On allait
faire quoi alors du coup ?
‒ On
trouvera bien. »
Moi, j’ai eu
aucun mal à trouver. Parce qu’on venait à peine de sortir de chez elles que mon
téléphone a sonné. C’était Théo.
« Je
suis là. On a abrégé notre séjour finalement. Je suis rentré.
‒ Super !
J’arrive.
Et j’ai volé
jusque chez lui. Où je me suis jetée dans ses bras.
‒ Théo !
Oh, mon Théo !
On a roulé
sur le lit. On s’est gorgés l’un de l’autre. Et on est retombés repus, heureux.
Il m’a caressé la joue. Du bout du pouce.
‒ Alors…
Raconte ! T’as fait quoi pendant tout ce temps-là ?
Et je lui ai
dit. Britanny. Elena. La plage. Leur incursion au camping Bellevue. La fessée
qui s’en était suivie.
Il s’est
redressé, appuyé sur un coude.
‒ Il y
en a une autre qu’a une fessée en attente, non ? Une fessée que sa maman
lui a promise.
J’ai baissé
les yeux.
‒ Si !
Oui.
‒ Et ce
serait peut-être le moment. Britanny pourrait en profiter comme ça avant de
repartir.
‒ Je…
‒ Oui ?
‒ Non.
Rien.
‒ T’appelles
ta mère, alors ? Tu lui dis que tu es prête ? »
Et je l’ai
fait.
Il y avait
Iourievna, bien sûr. Et puis Elena. Britanny. Théo. Et aussi Mylène. Qu’est-ce
qu’elle faisait là, elle, Mylène ?
Théo s’est
penché à mon oreille.
« C’est
moi qui lui ai dit de venir. J’ai bien fait, non ?
On était
tous assis autour de la grande table de la salle à manger. Maman avait fait du
thé. Sorti des gâteaux. Et tout le monde discutait. Comme si de rien n’était.
Tout en ne pensant qu’à ça. Qu’à ce qui allait m’arriver. Avec délectation. On
me regardait. On me souriait. On attendait. Moi, j’avais les mains moites. Et
les jambes qui tremblaient. J’appréhendais. Comment j’appréhendais ! Mais,
en même temps, comment j’étais pressée que c’en soit fini ! Une bonne fois
pour toutes.
Maman a
tapé, avec sa petite cuiller, sur le rebord de sa tasse. Tout le monde s’est
tu.
‒ Bien.
Alors vous savez tous pourquoi vous êtes ici. Olga va être punie. Devant vous.
Pour les raisons que vous connaissez, mais qu’elle va néanmoins vous rappeler.
On t’écoute, toi !
Je me suis
lancée.
‒ J’ai
séché les cours sans autorisation. J’ai sorti de la prison où j’étais en visite
des documents interdits.
‒ Et ?
Ce n’est pas tout.
‒ Et
j’ai accusé Sœur Marie-Zénaïde de choses qu’elle n’avait pas faites.
‒ En
effet, oui. Reconnais que tu l’as amplement méritée, cette fessée, non ?
‒ Si !
‒ Très
bien. Alors tu te lèves. Et tu te déshabilles.
J’ai obéi.
Sans regarder personne. J’ai tout enlevé. Et je suis restée là, les bras
ballants, tête basse, à attendre.
‒ Va
chercher ton martinet.
Suspendu,
là-bas, près de la télé, à côté de celui d’Iourievna.
Je l’ai
rapporté. Je le lui ai tendu.
‒ À
genoux !
Au bord du
canapé. Les mains agrippées au dossier.
Derrière
tout le monde s’est levé dans un grand raclement de chaises, s’est approché
pour mieux voir. En demi-cercle. Tout près.
‒ Et
toi, tu vas compter, Iourievna. À haute voix.
Je me suis
crispée dans l’attente de la première cinglée. Qui a mis un temps interminable
à venir. Qui m’a fait sursauter. Et arraché un gémissement. Il s’est bien
écoulé une bonne dizaine de secondes avant que ne tombe la deuxième. Lancée à
toute volée. Un temps d’arrêt un peu plus long encore. Et puis une quinzaine. À
la file. Rapprochées. À pleines fesses. Toujours au même endroit. J’ai hurlé.
J’ai bondi du derrière. Haut. Très haut. Quel spectacle impudique je devais
offrir ! Mais tant pis ! J’avais trop mal. Et plus rien n’avait
vraiment d’importance. Ça s’est encore arrêté. Quelqu’un, une fille, respirait
vite. Très vite. Mylène ? Ça a repris. Plus bas. Le bas des fesses. Les
cuisses. Je sanglotais tout ce que je savais, les ongles enfoncés dans le
dossier du canapé. Ça brûlait ! Comment ça brûlait ! Et j’ai encore
bondi. J’ai encore tout montré.
‒ Maman,
s’il te plaît, maman !
Mais elle ne
s’est pas arrêtée. Au contraire. Elle a tapé plus fort. Plus vite.
Iourievna
comptait d’une voix neutre, imperturbable.
‒ Trente.
Trente-et-un. Trente-deux…
Les
dernières cinglées, elle me les a lancées sur le dos. Sur tout le dos. Jusqu’en
haut. Jusqu’à la base du coup.
‒ Quarante !
Ça s’est
arrêté. Elle m’a fait relever, prise contre elle.
‒ Là !
Là ! C’est tout…
‒ Maman…
‒ Oui,
ma chérie…
‒ J’ai
été inconséquente. Et méchante. Je le ferai plus. Je te promets.
Elle m’a embrassée.
‒ Tout
est oublié. Allez, file vite dans ta chambre maintenant…
Et Iourievna ? On la connait
Il y a un début à cette série
et l'épisode précédent : chapitre 38
Bonjour François,
RépondreSupprimerLa venue de Brittany est un moment magique pour Elena. Un petit moment de complicité entre 2 femmes. Nouveau sur ce Blog... Bien que totalement à Théo, Olga aussi s'imagine en galante compagnie de son ex-codétenue... La température monte d'un seul coup dans ce Blog... L'excitation aussi bien dans les sentiments que sur les fesses !
Après quelques doux moments, il y a le naturel qui revient au galop. Les filles vont investir un camping et tenter d'y passer du bon temps en compagnie de jeunes garçons du coin.
Le pire la dedans c'est que ce camping est assez huppé et il faut montrer patte blanche pour entrer et profiter de toutes les installations. Et toc, les 2 nanas qui se font fesser durement par le gardiennage du camping.
Et enfin, Olga qui se décide de payer sa dette avec sa mère. Et quel spectacle et quelle humiliation lorsqu'elle se démène devant ses amies. On ne peut pas s'en prendre verbalement à une soeur, il en coûte...
Amitiés.
Elena.
Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
SupprimerEffectivement, l'arrivée de Britanny est un moment essentiel. Parce qu'elle oblige, entre autres, Elena à prendre conscience de tout un tas de réalités qui se trouvent en elle. De son attirance pour le sexe féminin, oui, mais aussi de son besoin d'être dominée. Ce qui ouvre des abîmes devant elle.
Reste qu'Elena, fidèle à son naturel impulsif, va prendre des risques et en faire prendre à Britanny avec elle. Les conséquences ne se font pas attendre. C'est fessée. Ce qui les rapproche, toutes les deux, un peu plus encore. Sans doute, au fil du temps, leur relation va-t-elle se développer encore et, quand nous en serons au 2483ème épisode, (lol) qu'elles seront mariées, mères de famille et toujours fessées, elles évoqueront avec nostalgie ces premières vacances ensemble.
Amicalement.
François
Chère Elena, si je peux me permettre, vous avez lu trop vite le récit de notre ami, les deux nanas comme vous dites ne se font pas fesser par le gardien, hélas, cela aurait pu être croustillant, une fessée publique devant tous les candidats au titre de Mister camping, mais par la maman, certes devant leurs ami et le fiancé Theo, ce qui n'est déjà pas rien .
RépondreSupprimerBravo encore pour vos récits aux intrigues et aux milieux toujours renouvelés.
Bien sympathiquement .
Serge
Bonjour Serge. Quelle sotte je fais. Vous avez entièrement raison. Toutes mes excuses. Je ne sais pas trop ce qui m'a pris d'écrire ça ! Le 14 Février, surement. Je devais être perturbée...
SupprimerAmitiés.
Elena.
Bonjour, Serge.
SupprimerLes textes d'Elena sont si foisonnants que, lorsqu'on marche sur ses traces, on n'a que l'embarras du choix. On peut partir dans un sens ou dans un autre. Et il y a des moments où j'aurais presque envie de donner plusieurs versions d'un même moment. Ou bien encore de donner la parole à l'un ou l'autre des autres protagonistes. un journal intime tenu par Léa ou Soeur Marie-Zénaïd, par exemple, ça pourrait valoir son pesant d'or. Quant au gardien, il n'aurait certainement pas demandé mieux que de fesser lui-même ces deux jeunes filles.
Amicalement.
François