Dans l’après-midi, alertés par Andrée D., la directrice de la revue, Antoine K. et Séverine K., les parents d’Alyson, viennent chercher leur fille, au théâtre où a lieu les répétitions et la future représentation, pour la ramener chez eux et terminer ses soins, en attendant le jour du spectacle.
Le trajet en voiture est des plus pénibles, car Alyson se sait plus comment se positionner sur la banquette arrière, pour ne pas souffrir. Elle pousse des plaintes lorsque la voiture passe sur un défaut de la route.
« AAAAH ! Doucement, Papa !
Doucement ! »
« Je conduis le plus lentement possible, ma chérie, nous
sommes bientôt arrivés à la maison » tente de se faire pardonner
le père d’Alyson, lorsqu’il se rend compte que sa conduite brutale fait
souffrir sa fille.
« Tu vois, Alyson, nous t’avions dit de faire attention à
tes revendications. Tu es bien avancée, maintenant, regarde dans quel état tu
es ! Tu n’as pas eu plus et tu as souffert pour rien »
dit Séverine K.
« Oui, je sais, Maman, j’ai compris la leçon,
crois-moi ! »
« Elle sait s’y prendre votre directrice avec ses
danseuses mutines » complète son père.
« Oui, mais je pensais pas que ça en arriverait
là ! » lui répond Alyson.
« Avec des douches froides et de la crème, ça devrait
aller. Au téléphone, ta directrice nous a dit qu’il fallait que tu sois remise
pour après-demain, ce sera la première représentation dans cette ville et
il faut que tout soit irréprochable » la prévient sa mère.
« J’ai le corps en feu et j’en peux plus ! Andrée,
c’est une vraie garce ! Maman, si tu savais, j’ai mal partout ! Ça
brule ! » ne cesse de se plaindre Alyson, en larmes.
En allant chez Alyson, pour
lui faire une visite surprise, nous croisons Antoine K., Séverine K. et notre
amie qui arrivent juste à leur domicile.
« Vous tombez bien, toutes les trois. Venez nous aider, s’il
vous plait, on a besoin de vous » nous demande Séverine K.
« Oui, bien sûr, Madame. Ouh là, là, que lui est-il arrivé,
elle s’est fait punir ? » demande Iourievna
« On va rentrer, on vous expliquera plus longuement à
l’intérieur »
« Elle est vachement marquée ! » dis-je à mes amies.
Nous aidons Alyson, qui est
nue, à sortir délicatement de la voiture et nous l’aidons à rentrer dans la
maison, en la soutenant.
« Je vous en prie, faite doucement, ça fait trop mal ! »
geint Alyson, en marchant en crabe, les cuisses écartées.
Alyson a les yeux rouges
d’avoir beaucoup pleuré, ses cheveux longs en bataille et la mine abattue.
« Merci les filles, installez-vous au salon avec Antoine,
je vais donner la douche à Alyson et on arrive. Antoine, fais le thé, pour se
réchauffer un peu et prépare un alcool fort pour Alyson, car elle en a
besoin... »
« Ô oui, c’est vrai qu’elle a bien besoin d’une douche
et d’un remontant ! » dis-je à la cantonade.
Tout en servant le thé, Antoine
K. commence à nous raconter les mésaventures de sa fille lors de la grève et des
négociations salariales avec la direction du CRAZY à PARIS.
Nous entendons Alyson crier
de douleur lorsque le jet d’eau de sa douche et sa mère touchent ses parties
échauffées.
« Elle est têtue, notre Alyson, même étant toute petite,
elle était toujours à défier l’autorité, ça n’a pas changé étant adulte.
Pourtant, nous lui avions dit de faire attention, mais nous ne savions pas que
ça se finirait par une sévère correction. Elle est bien avancée, maintenant.
Vous avez vu ses traces sur son corps ? »
« Oui, nous avons vu, elles n’ont pas fait semblant, ses
responsables. Mais rassurez-vous, ça ne reste jamais très longtemps »
tentais-je de le rassurer
« Ah bon ? » s’étonne son père
« En effet, nous qui en recevons de temps en temps à Ste
CROIX ou chez nous, on peut vous l’affirmer »
complète Iourievna
« Le plus long, c’est la douleur qui persiste pas loin
d’une semaine après. Sur les chairs, les marques se résorbent au bout de
quelques jours, même s’il reste quelques traces un peu rouges et
boursouflées » avoue Olga.
Une bonne demi-heure plus
tard, nous voyons Séverine K. suivie par Alyson, cheveux mouillés, attachés en
chignon, tête basse d’être exhibée nue devant nous. Alyson, fatiguée, s’allonge
sur le canapé et sa mère lui étale de la crème sensée être apaisante. Le fait
d’enduire de crème le corps de sa fille, la fait grimacer de douleur, car sa
chair est encore hyper sensible. Nous la voyons tressaillir, les poings serrer pour
tenter de ne pas crier.
Nous passons quelques heures
à papoter et à réconforter notre amie, qui s’en veut de s’être entêtée pour
rien, car elle n’a pas eu ce qu’elle espérait.
« Ô, c’est fort, ça, c’est quoi ce truc ? » demande
Alyson en buvant son verre d’alcool
« C’est un grog maison, car j’ai doublé la dose de
rhum par rapport à la recette initiale ! Ça va te requinquer et
t’aider à dormir ! » lui répond son père.
Olga compare Alyson à moi et
mon sale caractère, ce qui m’a valu de recevoir un tas de bonnes fouettées qui
n’étaient pas forcément nécessaires. Si j’avais été plus docile, ça ne serait
pas arrivé. Mais avec les femmes de caractère, il n’est jamais simple de leur
faire entendre raison, ce que me disent souvent mes parents.
Dès le lendemain après-midi,
Alyson doit retourner s’entrainer avec la troupe, car la date du spectacle
approche. Avec leur récente correction, Silvia et Alyson souffrent toutes les
deux en répétant leurs exercices, ce qui leur vaut les reproches de Svetlana K.,
la responsable de scène :
« Silvia, Alyson, je sais que vous avez encore mal, mais
appliquez-vous, sinon, il se pourrait que vous en repreniez une autre et
souriez. Vous devez faire bonne figure pour les spectateurs. Là, vous nous
faites la danse des robots ! Décrispez-vous ! »
En faisant mine de sourire,
Silvia et Alyson retournent à l’entrainement en serrant les dents, car il
serait préjudiciable pour elles qu’elles se fassent remarquer dans le mauvais
sens, car Svetlana K. les a maintenant à l’œil, selon les directives de la
direction !
Le soir de la
représentation, nous arrivons un peu en avance et Alyson vient nous saluer dans
une pièce, juste avant les loges. Elle est vêtue de son peignoir en satin aux
couleurs du CRAZY HORSE, très maquillée et avec sa tenue et coiffe de BRITISH HORSE
GUARD anglais et prête en entrer sur scène, on la reconnait à peine. Elle nous
confie qu’elle a le trac de danser devant ses parents, ses oncles, tantes et cousins,
cousines. Elle espère qu’ils ne la prendront pas pour une fille aux mœurs
légères. Nous lui souhaitons bon courage pour la représentation.
En aparté, Séverine K. dit à
sa fille : « On est très fier
de toi, ma chérie, tu fais un beau métier. Courage ! Ne t’en fais pas, on
ne te jugera pas »
« Merci Maman ! Allez, je file, les autres
filles, Svetlana et Sophie m’attendent pour les dernières recommandations, on
entre en scène dans quinze minutes pour le premier tableau. On se voit
après ! »
En effet, durant le
spectacle, sur certaines scènes, on ne la reconnait pas du tout parmi les
danseuses, sur d’autres scènes et grâce à sa perruque verte, nous la ciblons
mieux. Avec le fond de teint sur tout le corps, les traces de sa correction
récente sont bien masquées et personne ne voit qu’elle souffre en silence, tant
elle met de l’énergie à sourire.
Au bout d’une heure et demie
de spectacle où les sept danseuses ont interprété une vingtaine de scènes, certaines
collectives, d’autres individuelles, elles sont chaleureusement applaudies,
puis elles regagnent les loges, pour se préparer pour le spectacle suivant.
Nous quittons la salle de
représentation, époustouflés par tant de charme, d’agilité et de souplesse. Avec
élégance, talent et impertinence, chaque danseuse nous a offert une vision
particulière de la féminité. Du bout des ongles à la pointe des pieds, l’éclat
des corps des danseuses nous a envahi.
A peine le temps de se
reposer, les filles enchainent avec le second et dernier spectacle de
l’après-midi, le tout devant être terminé assez tôt pour laisser le temps aux
spectateurs de rentrer chez eux avant le couvre-feu.
Lorsque les deux spectacles
sont terminés, pendant la douche des danseuses, Svetlana K. leur fait un retour
d’information de ce qui a été et de ce qui pourrait être amélioré dans la
chorégraphie, surtout dans celle de groupe. C’est l’occasion pour les danseuses
de se remettre en question, voire de demander des améliorations sur tel ou tel
enchainement technique ou d’exprimer leur indignation par rapport à une
remarque dont elles font l’objet. Svetlana K. veille à ce que tout soit le plus
parfait possible, pour la notoriété de la revue.
Le lendemain matin, Alyson, qui
est rentrée juste à temps chez ses parents pour le couvre-feu, dort encore
lorsque, venues en visite, Olga, Iourievna et moi allons, accompagnées de sa
mère, la réveillons avec son petit-déjeuner. Celui-ci doit être très équilibré,
car les danseuses ne doivent pas prendre de kilos disgracieux, même durant la
période de fêtes. En effet, certains « costumes » sont faits sur
mesure et il serait préjudiciable qu’elles ne rentrent plus dedans.
En nous voyant et à peine
réveillée, Alyson est bien embarrassée, car elle dort nue et elle sait qu’elle
va devoir s’extraire du lit pour déjeuner.
« Allez ma chérie, ton petit déjeuner est servi et tes
amies sont là pour te faire une surprise »
dit sa mère en posant le plateau sur son lit.
Alyson s’assoit, se couvrant
le corps le plus possible, ne laissant que ses épaules visibles au-dessus de la
couette.
« Pour une fille qui danse nue, tous les soirs, devant presque
cinq cents spectateurs, je te trouve bien pudique, tout d’un coup ! »
ironise sa mère en nous faisant un clin d’œil. Nous rigolons de cette soudaine
pudeur.
La pique de sa mère fait
effet et Alyson se découvre complètement, rougissant au passage :
« Voilà, Maman, es-tu satisfaite ? Comme ça,
elles pourront se rincer l’œil ! » lui répond, faussement
fâchée, Alyson.
« En effet, c’est mieux ainsi, ma chérie ! Je vous laisse
entre filles, vous devez avoir beaucoup de choses à vous raconter ».
« Tu es très belle, Alyson, ça aurait été dommage de nous
priver d’une si belle vue ! » lui dis-je !
Durant le temps du petit déjeuner
d’Alyson, nous papotons et la discussion tourne, bien évidemment, autour du
superbe spectacle de la veille où nous avons été impressionnées par tant de
grâce chez les danseuses, des conséquences de leur grève et des marques
résiduelles que porte encore Alyson sur les fesses, les cuisses et le dos, qui
ne disparaitront complétement que dans quelques jours.
« Je vais vous confiez un secret, les filles »
nous dit Alyson, dans le cours de la conversation.
« Ah, vas-y raconte ! »
dis-je, pressé d’entendre sa confidence.
« Ouais, on t’écoute »
dit Olga.
« Une fessée, ça vous a déjà fait mouiller et vous
masturber après ? eh bien, moi, oui... et pas qu’un peu... »
nous révèle Alyson en rougissant de nous divulguer ce secret très personnel.
Stupéfaites de cette
révélation super intime, nous lui disons que très souvent pour ne pas dire
toujours, ça nous arrive aussi, mais que c’est normal, car l’échauffement des
chairs dû aux fouettées, créé une réaction proche de ce que serait un orgasme.
Et puis, il y a le fait que, durant la correction, on soit nue devant tout le
monde et donc complètement rabaissée, à la merci de la fesseuse, ce qui
rajoute à notre extrême émotion !
« Bon, ça me rassure un peu ! et pour dire vrai,
lorsque je suis sur scène, j’avoue que par moment, je mouille aussi et mes
tétons sont dressés, car j’imagine le public en train de se soulager devant moi,
bien que je ne le vois pas ! » nous avoue Alyson, toute
rouge de nous avoir confié ce détail coquin.
« Ouais, ça me fait ça aussi, lorsque je dois défiler nue,
parmi les élèves qui rient et qui se moquent de moi, avant d’aller me faire
fouetter. J’en mène pas large et je sens que mon entrecuisse est trempé »
confiais-je à mes amies.
Après ces petits secrets polissons
entre jeunes femmes, Alyson nous dit qu’elle en a bavé durant la
représentation, tant les brulures de sa récente correction se réveillaient lors
de certaines postures très impudiques.
« Mais pourquoi tu ne te plaindrais pas au syndicat des
artistes, car c’est une atteinte au droit de grève, ce qu’elles vous ont fait ? Elles
n’avaient pas le droit ! » lui demandais-je
« Oui, tu as raison, Lena, mais il y a eu ce fichu film
pour attester du contexte et du respect de l’intensité de la fessée. Celle-ci a
été réglementaire, pas de blessure, juste des marques rouges, alors toute
plainte est inutile. De plus, on était que deux à refuser de reprendre le
travail » rectifie Alyson
« Ah, je vois ! C’est comme à Ste CROIX, comme c’est
filmé et fait dans les règles imposées, on ne peut pas se plaindre sous
peine de s’en prendre une seconde si notre plainte est rejetée »
dit Iourievna.
« Exactement, il faut être super sûre de son coup pour
porter plainte et les tribunaux ne sont pas très enthousiastes pour
examiner des cas comme ceux-là, ils ont déjà super à faire avec d’autres procès
beaucoup plus importants ! C’est pour ça que les punitions corporelles ont
été autorisées, pour désengorger les tribunaux et vider les prisons »
se désole Alyson.
« Tu nous le ferais voir le film de ta correction ? »
demande Olga à Alyson.
« C’est un peu embarrassant ce que vous me demandez, car
j’y suis pas du tout à mon avantage... Mais comme vous êtes des super amies, je
veux bien vous montrer. Olga, s’il te plait, allume mon ordinateur, on va le visualiser.
Madame D. l’a envoyé à mes parents pour leur faire voir comment j’ai été
soumise. Mais vous rigolerez pas en me voyant pleurnicher et me dandiner comme
une gamine, sous les coups de ceinture ? »
« Non, promis ! Tu sais, lorsqu’on est fouettée, on en
mène pas large non plus et on donne un piètre spectacle... Si tu veux on
t’enverra les films de nos punitions, on les a tous ! »
Avouais-je à Alyson.
« Ah ouais, je veux bien, je verrai si vous êtes plus
courageuses que moi ! » se réjouit Alyson.
« Oh, ça m’étonnerait, car on a beau en avoir reçu plus que
toi, ça fait toujours aussi mal et on braille toujours
autant ! » je lui réponds.
Sur le film, nous regardons
avec grand intérêt les deux filles punies se mettre nues, se faire fouetter
devant leurs amies et leurs responsables et s’écrouler lamentablement sur le
sol en geignant et en suppliant lorsqu’elles n’en peuvent plus. Nous nous sentons
un peu coupable de nous délecter de la voir souffrir, se démener et hurler,
mais en même temps, nous sommes terriblement excitées...
Une série écrite par Elena
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Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerAprès la magistrale fessée de l'épisode précédent, nous avons un petit temps de latence. Il faut laisser à Alison le temps de récupérer et de retrouver ses marques dans le spectacle dont elle est l'une des vedettes. Les filles en profitent pour se laisser glisser sur la pente des confidences et s'avouer les unes aux autres que les fessées auxquelles elles assistent aussi bien que celles qu'elles reçoivent ne les laissent pas indifférentes. les choses ont maintenant le mérite d'être claires. Et on peut procéder en toute quiétude à un échange de films dont chacune sait bien quel usage en sera fait.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerOui, en effet, la fautive ayant été punie, les compteurs sont remis à zéro et on enchaine sur autre chose. Dans ce cas, Alyson s'est repentie d'avoir manifester aussi vertement auprès de la direction. En ces temps de disette, ce n'était surement pas le bon timing...
Entre copines, vous m'imagineriez pas tout ce que nous pouvons nous raconter... Dans l'épisode, les personnages se livrent à des confidences intimes, mais elles savent que ça restera plus ou moins entre elles.
Pour les films qui sont échangés, oui, l'objectif est clair et chacune va profiter au maximum de sa jouissance, même si elles se sentent un peu coupable d'éprouver du plaisir en regardant leurs copines souffrir, mais, comme on dit, un moment de honte est vite passé !
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et du couvre feu... aux fesses, bonjour !
RépondreSupprimerElena, pareil...
Elle en a de bonnes, la Svetlana K. (comme Ka-ce qu'elle s'est pris comme dérouillée!) Alyson, encore sonnée par la terrible punition de la semaine dernière, est sommée de monter sur scène et de faire bonne figure endolorie, avec les deux kilos de fond de teint dont on lui a tartiné sa surface corrigée. Sautez, dansez, souriez comme vous pouvez!
Tu peux porter plainte, mais si elle n'est pas reçue, t'en reprend une deuxième tournée gratuite, pour la déroute. Comme ceux qui reçoivent les plaintes font partie de la bande de ceux qui flanquent les raclées, t'as aucune chance! C'est comme les contraventions, ou la police des polices qui enquête sur la police... D'autres questions?
Ce qu'il y a de bien avec Elena c'est qu'elle n'y va pas par quatre chemins pavés de bonnes punitions, pour parler franchement sans se voiler la fesse, de l'influence des fessées sur le moral des troupes dans la culotte. Et pas que celle des zouaves.
Elle dit tout ce que tout le monde sait sur la fessée mais qu'on fait comme si on savait pas... Qu'on l'administre, la reçoit ou qu'on regarde, ça turlupine les zones sensibles. Et qu'il y en a plein, qui prennent leur pied et même les deux, à mater une paire de fesses en train de valser sous les claques. Avec des poussées de fièvre de (Grazy) cheval au sous sol.
Du coup, Aly...sonne la récré avec ses copines qui se répandent en confidences sur les dégâts des eaux dans l'entre jambe pendant les séances de punitions publiques. Les fessées ça fait du bien, où ça fait mal. Et on se mouille le bavoir à cyprine, toutes ensemble hé, devant le film des dernières danses des fesses en représentation privée.
Ah, ma pôv' Dame , les jeunes maintenant, y savent plus s'amuser... la preuve que si!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerEncore de belles répliques à mes textes pour qui Aly sonne le glas ! Ce qui est sûr, c'est qu'Alyson et sa copine s'en sont pris une bien bonne et qu'elles s'en sont ressenties durant quelques jours. Le kilo de fond de teint arrangera tout et avec éclairage tamisé ambiant, rien n'y paraitra et, je vois que vous avez bien saisi le concept des plaintes qu'il ne faudrait peut être pas déposer, sous peine de s'en reprendre un autre, pour le plus grand plaisir des nos forces de l'ordres déployées sur tout le territoire pour chasser et arrêter les jeunes rebelles... et avec plaisir, en plus.
Nos jeunes sont vraiment indomptables et il est vrai que les fessées leur enflamment les hormones, mais pas que...
Ah la la, mon bon Monsieur, dans quel monde vivons nous !
Amitiés.
Elena.