Le SIE ( Syndicat Indépendant Etudiants ), dont le rôle est d'améliorer la condition des élèves et étudiants, est en campagne contre certains établissements scolaires de notre région qui ont, dans leur règlement intérieur, inscrit le recours aux châtiment corporels, comme moyen de punition, dans les cas les plus graves. Bien qu’il y ait des films pour prouver que les punitions sont réalisées dans le plus stricte respect des lois, le syndicat est opposé, par principe, à ce moyen d’éducation.
Etudiante elle-même, Clairanne L. dirige le syndicat dans notre région. A plusieurs reprises, avec ses amies, toutes âgées d’une vingtaine d’années ( Alexia D., Orlane F., Marine R. et Cécile F. ), nous l’avons vu intervenir auprès de Fabienne D., notre proviseure, pour faire annuler des punitions et pour faire retirer les châtiments corporels des textes à Ste CROIX.
« Pour
une école à connotation religieuse, les fessées sont en contradiction avec la
foi et les élèves peuvent être traumatisé par ces punitions dont certaines sont
en public, comme au moyen âge ! » tente de faire
entendre raison Clairanne.
« Mademoiselle
L., merci pour votre attention envers les élèves, mais sachez que tous sont
traités équitablement et la fessée est un moyen de leur faire découvrir le
repentir, ce qui est important pour garder le cap. Nos élèves peuvent partir de
l’établissement lorsqu’ils le souhaitent, mais je n’ai encore reçu aucune
demande de leur part » réplique Fabienne D.
« Lorsqu’ils
sortent d’ici, nos élèves nous remercient de les avoir gardés sur la voie de la
réussite et de la lumière » complète mère supérieure, qui
assiste à chaque visite des membres du syndicat, pour tenter de justifier des
méthodes de Ste CROIX.
Fabienne D., qui n’est pas une
femme qui se laisse dicter sa conduite dans son établissement et qui est
convaincue du bienfondé des châtiments corporels pour faire entendre raison aux
étudiants indisciplinés, reçoit les membres du syndicat et les mets à la porte
après leur avoir énoncé la liste des étudiants qui ont une bonne situation
professionnelle, grâce à ses méthodes. Fabienne D. n’est pas étonnée que
d’autres établissements corrigent leurs élèves en reproduisant les méthodes
pédagogiques éprouvées de Ste CROIX.
Même le recteur d’académie,
Bernard B., encourage les établissements à expérimenter les méthodes de Ste
CROIX. Le recteur se réjouit lorsque des films lui sont envoyés. Ils les
regardent avec délectation, surtout lorsqu’il s’agit de jeunes et jolies jeunes
femmes. Il aimerait les soumettre par lui-même, mais les fessées ne doivent
être données que par des femmes, nettement moins puissantes que celles faites par
des hommes, ce qui fait que ces corrections ne risquent pas de blesser le ou la
punie.
Clairanne et les membres du
syndicat organisent des pétitions pour faire cesser les pratiques punitives.
Les pétitions arrivent sur le bureau du recteur qui s’offusque de cette révolte.
Si le SIE gagnait la partie, les fessées et donc les films ne pourraient plus
être réalisés.
Le recteur décide donc de
saborder le mouvement syndicaliste et ordonne que des fonds soient versés à Clairanne
pour un motif de soutien au mouvement.
Lors d’une entrevue un certain
Monsieur T., se disant représentant du recteur, sous prétexte d’éclaircissement
de certains points vis-à-vis des règlements intérieurs des établissements, Clairanne
empoche cinq mille euros pour limiter ses actions contre certains
établissements de notre région. Clairanne, mettant de côté ses convictions,
prend l’argent et signe un document officialisant la transaction entre elle et
le rectorat.
Clairanne ne se vante pas de
cette transaction, mais cette rentrée d’argent lui va bien, car ça lui
permettra, en plus de sa bourse d’étudiante, de continuer ses études dans une
école de commerce privée de grande renommée. Avec cette première victoire, elle
pourra élargir ses moyens syndicaux et peut-être prétendre à un poste dans une
formation plus politisée.
Quelques semaines après la
transaction, lors d’une réunion avec quelques sympathisants, Clairanne annonce
l’arrêt de certaines distributions de tracts auprès de certains établissements,
tels que Ste CROIX ou St THOMAS.
Clairanne explique :
« J’ai
pris la décision, car ces établissements ont promis de limiter les corrections
des élèves. J’ai eu un représentant du rectorat, cette semaine »
« Mais,
Clairanne, ce n’est pas une limitation que nous voulons, mais l’arrêt total de
ces pratiques ! » réplique Marine R.
« Je
sais, mais c’est un bon début. Il est prévu que je fasse un point avec la
proviseure tous les mois pour statuer sur les punitions et sur d’autres points,
tels que les hébergements dans l’internat »
conclut Clairanne.
Dans la presse locale sur les
réseaux sociaux, un article de MEDFIP dénonce un arrangement entre Clairanne et
une tierce personne pour saborder le syndicat SIE. L’article dit que Clairanne
aurait reçu une somme d’argent pour ne plus protéger les élèves mais
privilégier son ascension sociale. Des exemples sont donnés sur des combats
perdus par le SIE et qui auraient été provoqués par le SIE.
Ce mini scandale touchant le
syndicat majoritaire des étudiants fait l’effet d’une bombe, car certains
voyaient déjà le retrait des punitions corporelles des règlements intérieurs, or
avec ces révélations, il n’en sera rien.
« Allo,
Olia, Ça va ? Regarde l’article que je t’ai envoyé par mail. Ils disent
que le SIE a reçu de l’argent pour fermer les yeux sur certaines actions
militantes auprès du rectorat » dis-je à Olga.
« Ouais,
j’ai vu, nous étions justement en train d’en parler avec Ioura et Maman. C’est
un scandale, je trouve. Nous, qui espérions que les corrections et les
humiliations publiques allaient cesser ! Et ben, c’est raté » me
répond Olga.
Je lui réponds : « Je suis super déçue, comme
toi ! »
« Moi,
moins, puisque je ne m’en prends pas souvent, mais pour mes proches, telles que
toi et Ioura, je me doute que c’est la douche froide » me
dit Olga
« Ah,
cette Clairanne, si je la tenais ! avec ses discours sur ses grandes
convictions, je t’en fou, c’était du vent, lorsqu’elle nous disait qu’on serait
juste collé au lieu de se faire corriger toute nue ! C’était juste de la
démagogie pour qu’on adhère au SIE. Ils sont tout juste bons à négocier les
menus des cantines. Je vais résilier mon adhésion dès cet après-midi »
Parallèlement, Clairanne
dépose plainte pour diffamation, car elle se dit victime d’un coup monté, pour
tenter de sauver ce qui peut encore l’être. Avec l’article, le syndicat a perdu
bon nombre de soutiens, ce qui le place au même niveau que les autres
organisations de la région.
Lors de l’enquête, il est
prouvé qu’elle a eu de l’argent et on retrouve le formulaire de la transaction.
Par contre, au rectorat, il n’y a pas de Monsieur T. Le juge de proximité,
Claude R., en charge de l’enquête reproche à Clairanne son manque de lucidité
et le fait qu’elle s’est octroyée l’argent.
Avec cette accusation, Clairanne
est destituée de son poste de directrice du SIE et c’est Orlane F. qui la
remplace, par contre, la crédibilité du syndicat étant tellement tâché, que
leurs combats sont de suite placés aux oubliettes.
Les ennuis de Clairanne ne
sont pas finis, car elle est mise en cause pour avoir touché des dessous de
table. Ses amies du SIE la lâchent et Clairanne doit faire face à ces
accusations et son petit ami, Pierre G. la lâche également, ce qui accentue la
tristesse de Clairanne.
Le recteur, Bernard B., à
l’origine de la manipulation, encourage les autorités à corriger corporellement
et publiquement cette fille indigne des responsabilités qui étaient les siennes
au SIE et il retirera sa plainte, en signe de compassion...
Virginie B. l’avocate de Clairanne
demande la relaxe de sa cliente, car elle serait victime d’un complot, à n’en
pas douter.
Lors d’une réunion avec Maître
Virginie B., le juge débordé d’affaires, lui suggère :
« Maître,
il s’agit là d’une affaire qui pourrait s’arranger pour les deux parties.
Mademoiselle L. devra restituer l’argent au SIE, organisme bénéficiaire et je préconise
qu’elle soit corrigée comme une sale gamine ! Par ailleurs, elle sera
privée de tout mandat auprès qu’une association quelle qu’elle soit et devra faire
des travaux d’intérêt général durant un an »
« Mais,
Monsieur le juge, ne croyez-vous pas que cette sentence est
disproportionnée ? »
« Maître,
je vous rappelle que nous avons un détournement de fond dans un intérêt
d’enrichissement personnel, je vous rappelle la loi : un million d’euros
et dix ans de prison... Ça vous va comme argument ? C’est déjà bien
que je fasse un geste pour cette jeune femme et que le recteur pense retirer sa
plainte »
« Oui
Monsieur le juge, j’accepte la punition pour ma cliente » doit
s’incliner Maître Virginie B.
« Bien,
alors, elle recevra cinquante coups de martinet sur tout le corps, dans le
gymnase de la gendarmerie, seule salle assez grande pour accueillir du monde,
en ces temps de confinement. Il sera à noter que le film de la punition sera
projeté dans quelques établissements scolaires, pour montrer à tous ce qu’il en
coûte de détourner de l’argent. Avec cette humiliation, Mademoiselle L. devrait
revenir à de meilleures dispositions en ce qui concerne ses choix »
Clairanne est doublement
punie, car elle perd sa place auprès du SIE et elle va se faire corriger, dans
les conditions de celles et ceux qu’elle voulait protéger.
« Mais
Maître, je ne peux pas me faire fouetter en public, de quoi vais-je avoir l’air
auprès de mes amis et de ma famille ? »
proteste Clairanne.
« Il
fallait y penser avant, Mademoiselle, maintenant, il faut accepter et allez de
l’avant. Vous n’irez pas en prison et pourrez continuer vos études, c’est déjà un
miracle que vous puissiez le faire. Ah, j’oubliais, vous devrez faire une année
de travaux d’intérêt général et vous êtes inscrite à Ste CROIX, pour la fin de
votre cursus mastère dans la section Business & Administration »
« Alors
là, c’est le bouquet, avec tous les conflits qui m’ont opposée à Fabienne D.,
elle va pas me rater, celle-là ! » déplore Clairanne.
« Mademoiselle,
n’allez pas envenimer la situation, car toute dérapage de votre part à Ste
CROIX et ce sera la punition, toute nue et en public. Madame la proviseure se
fera un plaisir de vous faire corriger »
La décision fait le tour de
Ste CROIX.
« J’ai
appris par Léa que Clairanne allait venir à Ste CROIX, après avoir été fouettée.
On aura même le droit de voir le film de sa correction » me
dit Iourievna.
« Tant
mieux, ça lui fera les pieds à celle-là ! Parce que maintenant, on
n’est plus défendu. Sans contrôle de la part du SIE, le conseil de discipline
de Ste CROIX pourra faire ce qu’il veut, maintenant que le SIE n’a plus aucun
poids » me faisant me lamenter.
« Ouais,
les flagellations publiques au centre de la cour à Ste CROIX ont encore de
belles années devant elles... » dit Olga.
« J’en
reviens pas qu’on ait été lâché par le syndicat ! Déjà que Léa est plus
vraiment de notre côté, alors qu’elle devrait l’être, et là, c’est le SIE,
notre dernier rempart qui est démoli ! J’en reviens pas ! Dès
que je vais la voir à Ste CROIX, je vais lui dire ma façon de penser, à la
Clairanne »
« En
plus, elle sera dans ma section, je pense qu’elle va prendre cher ! » complète
Olga
Le jour de sa correction,
Clairanne est convoquée à la gendarmerie où elle est reçue par le commandant et
la doctoresse Cindy B. de la caserne :
« Vous
allez me suivre, Mademoiselle L. Mettez-vous entièrement nue ! »
« Nue ?
Oh, non, je suis super pudique, j’oserais jamais ! »
« Vous
allez en recevoir cinquante, voulez-vous que j’en rajoute dix de plus pour
votre résistance ? »
« Non,
pas ça ! je vais me déshabiller ! » supplie
Clairanne.
En rougissant, Clairanne se
déshabille et se laisse examiner par la Capitaine Cindy B. qui ne se prive pas
pour la palper un peu partout, histoire de bien lui faire sentir qu’elle n’a
plus son libre arbitre.
La doctoresse signe le
registre d’aptitude à la correction :
« Vous
êtes parfaitement apte, Mademoiselle. Sportive comme vous êtes, vous
supporterez bien la correction. Mettez les mains dans le dos, je vais vous
menotter. Maintenant, suivez-moi sans faire d’histoires ! »
Les deux femmes traversent les
couloirs pour se rendre dans le gymnase de la caserne où se trouvent des gens
éparpillés un peu partout. Clairanne reconnait ses parents, ses cousins et même
Fabienne D. et le recteur, malgré leur masque. La proviseure est visiblement en
grande conversation avec le commandant Jean-Luc L.
L’arrivée de Clairanne est
saluée par des applaudissements de la part des spectateurs. Quant à Clairanne,
les larmes coulent déjà sur son visage et ses tétons pointent sous
l’humiliation et l’émotion subie de devoir exhiber son corps nu devant des
inconnus.
Le commandant la présente
comme étant la responsable de détournement de fond. Aussitôt des sifflets de
désapprobation s’élèvent dans la salle où chaque son résonne.
« Cadettes,
attachez-la, elle doit payer pour ce qu’elle a fait »
ordonne le Commandant.
Deux cadettes l’attachent, en
premier dos au public, bras et cuisses écartés, de façon à ce qu’elle ne puisse
pas se protéger d’aucune sorte. Son corps doit être parfaitement offert aux
lanières qui vont lui enflammer son épiderme.
Sous le commandement du
Lieutenant Helga K., les cadettes Alicia H. et Lucie S., munies de leur long
martinet de discipline, cinglent les fesses, les cuisses puis le dos de
Clairanne.
Les claquements sonores des
martinets sur la chair sont amplifiés par l’écho de l’immense salle et déjà les
premiers gémissements de Clairanne sortent de sa gorge. Les traces rouges font
leurs apparitions sur la chair blanche de la punie qui s’agrippe fermement à
ses liens, en tressaillant à chaque fouettée.
Au fur et à mesure où la
correction avance, Clairanne se démène davantage et pousse de vrais hurlements,
qui ravissent les spectateurs, venus essentiellement admirer et écouter la
punie brailler de repentir. Seuls ses parents ressentent de la tristesse pour
leur fille.
Lorsque vient la flagellation
du dos, Clairanne hurle à gorge déployée en se secouant comme une damnée.
Certains hurlements montent dans les aigues, ce qui prouve l’efficacité de la
punition.
Lorsque la vingt-cinquième
cinglée est donnée, le Lieutenant Helga K. demande aux cadettes de la détacher
puis de retourner Clairanne, afin de procéder aux fouettée sur le torse de la
jeune femme.
S’affaissant à genoux, Clairanne,
l’arrière du corps en feu, supplie qu’elle en a eu assez et qu’elle est à
bout :
« Voyons,
Mademoiselle, je vous pensais plus résistante que ça. Faite preuve d’un peu de
courage » lui lance la femme médecin.
Après l’avoir ausculté, la Capitaine
médecin affirme :
« Ne
vous faite pas avoir par ses lamentations. Elle va pouvoir recevoir la fin de
sa correction, cette pleurnicheuse. Donnez-lui un peu à boire et vous pourrez
continuer »
Les cadettes Alicia H. et
Lucie S. attachent Clairanne, cette fois, face au public.
Ses ancien amis, Pierre G., Alexia
D., Orlane F., Marine R. et Cécile F., furieuses contre leur ancienne
présidente se moque d’elle :
« Eh,
patate, pour piquer de l’argent, t’es forte, mais là, t’as le trouillomètre à
zéro, ma vieille ! » dit Orlane F.
« Fouettez-lui
les seins, à cette greluche, qu’on l’entende beugler ! »
ajoute Marine R.
« Ouais,
à cause d’elle, on n’est plus crédible, faites-la brailler, cette voleuse ! »
complète Cécile F.
A suivre...
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Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerOuf! On a eu chaud. Parce que si cette Clairanne avait réussi à faire interdire les châtiments corporels à Sainte-Croix on se serait retrouvés, vous et moi, au chômage. Heureusement qu'elle avait l'appât du gain et que le recteur appréciait la vue de jeunes fessiers féminins abondamment rougis. Cela a permis de remettre les choses dans le bon sens. Et finalement Clairanne va être condamnée, pour le plaisir de beaucoup de monde, à ce châtiment qu'elle avait voulu faire interdire. Cruel retour de bâton.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerOui, en effet. Le début de ma fiction est tirée d'un fait réel ( je le précise au cas où quelqu'un penserait encore que c'est de la science-fiction... ) ! Le reste est romancé, bien évidemment.
Il y aura 3 parties à ce chapitre. Là, j'aborde le syndicalisme étudiant. Assez vindicatifs, les jeunes veulent remettre de l'ordre dans les pratiques de châtiments corporels qu'ils jugent d'un autre âge. Cependant, l'appât du gain est toujours assez fort et dans ce chapitre, on voit que le pouvoir peut faire faire des choses que les idéaux empêcheraient. Mal en prend à Clairanne, qui se laisse prendre par le détournement de fond public à des fins personnelles.
Elle sera rapidement mise hors combat par le recteur qui souhaite assister aux punitions d'étudiants et étudiantes et que rien ne change. Le stratagème mis en place aura raison de Clairanne, qui sera prise dans un tourbillon judiciaire. Elle sera à la place de ceux et celles qu'elle voulait défendre... Pour notre plus grand plaisir !
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et de la fessée en dessous de table et pas au dessus comme d'habitude... Bonjour !
RépondreSupprimerAh ben bravo!! La honte... Qu'est ce qu'on apprend...Hein ? Le Recteur d'Académie, non seulement se tripatouille ( parce que c'est bien de cela qu'il s'agit! ) devant les films de jeunes filles en train de se faire cingler le derrière dans la cour de St croix, et voudrait bien y participer, mais en plus, il pratique la corruption et les dessous de tables véreux pour saborder le syndicat anti-fessées de Clairanne.
Bravo, c'est du propre, belle mentalité!
Clairanne ne vois tu rien venir ? La mignonnette n'a rien vu, que les billets de mille euros, mais pas la poussière du coup monté qui poudroie à ses yeux, et elle tombe dans le panneau qui ne lui a rien signalé.
Le piège machiavélique, tendu par le Recteur pervers, avec la complicité du mystérieux Monsieur T, comme "Traquenard", soudainement disparu après la sinistre machination...
Euuh... attendez, la phrase est vachement longue, je ne sais plus où j'en suis du coup. Ah oui, ça y est,ça me revient! Alors bon, oui... Le piège, c'est ça, le piège se referme sur la pauvre syndicaliste qui se ramasse le genre de raclée qu'elle voulait faire interdire. L'arroseuse, fessée!
La pauvre Cosette du syndicat, est seule contre tous, comme "Sissi face à son destin". Même les élèves qui réclament de la fessée et des dégelées au martinet, à tour de bras, raccourcis, se liguent contre elle!! Misère!
Alors, c'est là, mesdames et messieurs les jurés, madame la présidente Elena, que je demande votre attention. Qui mérite la sanction, les fesses à l'air, tout nu dans la cour ? Je vous le redemande...mesdames et messieurs...Présidente Elena.
La présidente vénale du syndicat qui voulait soulager ses semblables des châtiments corporels, ou l'infâme Recteur manipulateur, voyeur tricheur, menteur, cuisine au beurre...pardon je m'égare... manipulateur! Mais hein, lequel des deux ?
Bon maintenant c'est trop tard, Clairanne n'a pas vu, non plus, venir sur ses arrières, la grosse fessée au martinet . Pffff, Quelle histoire ! Comme dit François, certains ont frisé des mises au chômage, comme les fabricants de martinets, dont la maison Delaniaires, pour interdiction de fesser. Autant dire qu'en fin de compte, il n'y a pas que Clairanne à avoir eu chaud aux fesses!
Amicalement.
Ramina
Amis de la poésie et des bons réquisitoires pour sauver la veuve et l'orphelin, bonjour Ramina.
SupprimerMerci de ce bon réquisitoire, Ramina. Encore une bonne partie de rire en disant ce commentaire. Heureusement qu'il y a des gens comme vous, pour me redonner joie en l'écriture.
Pour être sincère, j'ai pioché dans les fait divers pour l'inspiration et voilà ce que j'ai trouvé. La pauvre Clairanne, ne va pas en être quitte pour autant. Le seul syndicat digne de ce nom, torpillé par sa présidente, ne fait pas l'affaire des étudiants, mais je dois reconnaître que notre recteur s'en lèche les babines. Un peu pervers, le gars, quand même, mais on ne va pas lui retiré cette qualité... ( utile dans mes fictions ). C'est pour le bien des élèves et du Blog. Dans tous les combats, il y a des perdants, dans le cas présent, c'est Clairanne qui montera sur l'autel des sacrifiées au nom de la pérennité du Blog UNE BONNE FESSEE. A l'heure où le confinement fait perdre leur emploi aux petits commerçants, il aurait été dommage de fermer la maison DELANIAIRES, célèbre maison de fabrication artisanale des martinets et autres ustensiles de punition, utilisés dans mes fictions. Avec ce qui arrive à nos personnages, la maison DELANIAIRES n'est pas prête de faire faillite.
Amitiés.
Elena.