La vie s’organisait en fonction du confinement. Il était maintenant officiellement en place. Maman Marianne avait prévenu Aurélie et Philippe.
« Je
ne veux pas que vous mettiez un pied en dehors de ma propriété sans mon
autorisation. Si je vous y prends… »
Oui, ils savaient. Il n’y avait aucune raison que leur mère et belle-mère soit laxiste sur ce sujet, elle ne l’était pas sur les autres.
Annette,
en ramenant Philippe à la maison le midi, avait convaincu Marianne qu’il
fallait profiter de ce moment hors du temps normal pour faire progresser ses
deux rejetons sur leur niveau scolaire. Elle avait obtenu qu’ils lui soient
confiés tous les matins en semaine pour leur faire travailler les lacunes
qu’identifierai dans les matières scolaires. Un test qu’elle avait effectué
auprès d’Aurélie s’était aussi soldé par une fessée et elle aussi était
embarquée dans l’histoire. L’école commençait le lendemain. Ils avaient tous
deux rendez-vous chez Mademoiselle Annette à neuf heures.
« Cela
vous occupera, avait conclu Maman Marianne en leur annonçant sa décision, et ce
sera très utile. Comme vous n’avez que deux demi-journées de travail par
semaine, il ne va pas falloir que je vous laisse inactifs ! Je vais vous
trouver du travail à faire ! »
Après
la sieste, ils avaient été envoyés donner un coup de main à Monsieur Antoine.
Car Maman Marianne avait décidé qu’une sieste après le repas, cela leur ferait
du bien. Et ce n’était pas discutable. Philippe qui avait osé mettre en doute
le bien-fondé de la décision de sa belle-mère avait reçu une claque sur le fond
du pantalon. Evidemment, cela ne lui avait fait aucun mal, mais c’était un
avertissement et Philippe se le tint pour dit.
Maman
Marianne les avait déshabillés, les laissant en sous-vêtements.
« Au
lit, avait-elle annoncé ! »
Ils
avaient eu le droit à un bisou chacun et à une petite caresse, puis il leur
avait été intimé de dormir jusqu’à ce qu’on vienne les lever. Volets fermés,
lumière éteinte, c’était une atmosphère propice au sommeil.
Philipe
n’avait pas envie de dormir. Il repensait aux fessées qu’il avait reçu depuis
son arrivée chez sa belle-mère. Si on lui avait demandé son avis, il aurait
continué à prétendre qu’à plus de trente ans, la fessée n’était plus de mise et
encore moins de baisser la culotte. Mais il semblait le seul à penser ainsi.
Peut-être Aurélie partageait-elle son avis ? Et encore ce n’était pas
certain.
D’un
autre côté, il n’y avait aucune tension dans les relations avec sa belle-mère
ni avec Madame Bernadette et pas plus, maintenant, avec Mademoiselle Annette.
C’était la première fois que Philippe connaissait une telle sérénité dans ses
contacts avec les autres. Il s’était même surpris à apprécier les câlins qui étaient
dispensés tout autant que les fessées.
Cela
faisait de bonnes conditions pour passer le confinement qui était annoncé pour
deux semaines, mais il se murmurait qu’il durerait bien plus longtemps. De
l’espace, le gite et le couvert assurés, pas de souci d’argent… Il était
certain que tous ces collègues ne pouvaient pas en dire autant.
Il
n’y avait que les corrections qu’il recevait et les moments passés au coin.
C’était… c’était… c’était désagréable, humiliant, douloureux. Tout ce qu’on
demandait à une fessée. Habituellement, quand on lui faisait remarquer les
mêmes choses qui lui valaient ici une fessée, il ignorait ces reproches, ce qui
lui avait valu pas mal d’inimitiés. Pas de ces choses la ici.
Il
n’arrivait pas à en vouloir à aucune des trois personnes qui l’avaient fessé.
Chacune des corrections avait été méritée et elles lui avaient permis de
prendre conscience des écarts qu’il commettait sans s’en rendre compte.
Finalement, elles lui avaient fait du bien, pas sur le moment, évidemment, mais
en prenant un peu de recul.
Il
se découvrait même une réelle affection et un nouveau respect pour sa
belle-mère. Pourquoi Aurélie avait-elle été si longtemps discrète sur sa
mère ? Oui, évidemment, il y avait les fessées qu’elle avait reçue. Elle
ne savait probablement pas comment réagirait Philippe quand il s’en rendrait
compte. Maintenant il n’y avait plus de souci, ils étaient logés à la même
enseigne.
Désirait-il
mettre fin à la situation dans laquelle l’avait placé Maman Marianne ? Il
n’en était pas sûr. S’il en avait la possibilité, partirait-il ? Cette
perspective ne lui était pas agréable. Ici, il se sentait protégé. Cela n’avait
pas que des avantages, mais il n’avait plus qu’à se laisser vivre, sans
s’inquiéter des contingences matérielles. Ce n’était pas négligeable/
Oui,
mais il y avait les fessées. D’ailleurs, il se ressentait encore de celles que
Mademoiselle Annette lui avait donné ce matin. Il avait l’impression que la
peau de ses fesses n’avait pas encore retrouvé toute son élasticité. Il glissa sa
main sous l’élastique de sa culotte, pour masser son épiderme fessier.
« Ça
fait encore mal ? »
Aurélie
avait remarqué son geste. Il retira prestement sa main.
« Laisse-moi ! »
Recevoir
une fessée, passe encore, mais que d’autres le sache… même si ce n’était
qu’Aurélie qui en recevait tout autant que lui.
« Oh,
ça va ! Pas la peine de le prendre de haut. Tout le monde sait que
Mademoiselle Annette t’a donné la fessée ce matin. Inutile de faire comme si on
ne savait pas ! »
Evidemment
que tout le monde savait. Aucune des fessées qu’il avait reçues, ne lui avait
été donnée discrètement, dans l’intimité. C’était le cadet des soucis de ses
trois fesseuses quand elles avaient décidé de sévir. Le corriger, lui et
Aurélie, paraissait alors si naturel qu’il se sentait gagné, lui aussi, par ce
sentiment de normalité. Cela faisait partie de la vie chez sa belle-mère et il
en comprenait les raisons.
Il
se tourna de l’autre côté. Ses réflexions le tenaient éveillé. La respiration
d’Aurélie était devenue lente et régulière. Sans doute dormait-elle. Philippe
n’avait ni envie de dormir, ni envie de ressasser les questions qui lui
tournaient dans la tête.
« Il
faut que je me change les idées ! »
Il
réfléchit un instant.
« Sans
doute, y a-t-il des copains qui ont cherché à me joindre ? »
Il
se leva en faisant le moins de bruit possible et il alla chercher son
smartphone qui était dans la poche de son pantalon. Il se cacha sous la couette
et alluma son téléphone. Il y avait effectivement cinq SMS qui l’attendaient et
un message vocal d’un copain, sans compter quelques mails. Il fallait répondre.
Il s’y mit aussitôt, sans dévoiler, bien entendu, quel était son statut chez sa
belle-mère. Cela, il ne fallait pas qu’aucune de ses relations amicales ou
professionnelles, ne l’apprît.
Il
sentit, plus qu’il n’entendit, un mouvement à l’entrée de la chambre. Aussi
vite qu’il put, il éteignit le téléphone et le glissa sous son oreiller. Puis
il s’efforça de prendre une respiration régulière.
Il
n’avait pas beaucoup d’espoir sur la réussite de son stratagème. Il sut qu’il
avait échoué quand la couette fut rabattue sur ses pieds.
« Donne,
lui dit sa belle-mère en tendant la main ! »
Il
n’hésita qu’une fraction de seconde. S’il niait, elle ne mettrait pas beaucoup
de temps à trouver l’objet du délit. Le mensonge se rajouterait alors à la
désobéissance. Cela alourdirait la facture qu’il devait payer. Il donna le
smartphone. Sa belle-mère l’ouvrit.
« Le
code ! »
Il
le lui donna.
« C’est
bien ce que je pensais. Tu regardes ton téléphone au lieu de dormir comme je te
l’ai ordonné. »
Elle
mit le téléphone dans sa poche.
« Il
est confisqué jusqu’à nouvel ordre ! »
Elle
lui prit la main et il dut sortir du lit. Tirant Philippe derrière elle, elle
sortit de la chambre, traversa le couloir et entra dans une autre chambre. Elle
était bien plus petite que celle qu’ils venaient de quitter. Contre le mur, il
y avait un lit pour une personne. Maman Marianne s’y assit. Elle amena Philippe
entre ses jambes et lui baissa la culotte.
« Non,
Maman Marianne, non ! Je ne le ferai plus !
–
Ça, je peux t’assurer que tu ne le feras plus. C’est d’ailleurs pour en être
certaine que je vais te donner une fessée ! »
Il
devança les désirs de sa belle-mère quand elle le coucha sur sa cuisse. Il
savait bien que ça n’amoindrirait pas la correction qu’elle lui réservait, mais
au moins ça ne l’aggraverait pas. Au premier contact de la main de Maman
Marianne avec ses fesses, il cria. Les fessées données par sa belle-mère
faisaient toujours aussi mal et ce n’était que le début.
Il
se vilipendait lui-même.
« Pourquoi
avoir voulu regarder son téléphone, alors que je savais que c’était
interdit ? Encore une désobéissance ! Est-ce que Maman Marianne va
m’en vouloir d’être un garçon aussi indiscipliné ? »
Il
espérait qu’avec la fessée, sa belle-mère lui pardonnerait ce nouvel écart. La
main tomba une deuxième fois.
« C’est
mérité, pensa-t-il ! »
La
main tomba une troisième fois. Il ne pensa plus à rien d’autre qu’à la brûlure
qui s’étendait sur ses fesses espérant que cette prochaine claque serait la
dernière, mais il y en avait toujours une autre, puis une autre…
Marianne
estima que la fessée avait atteint son but. Couché sur son genou, Philippe
avait les fesses toutes rouges. Il émettait un mélange de cris, de pleurs et de
gémissements qui n’avaient rien de simulé. Elle faisait le pari que la sieste
serait prise au sérieux dans les jours à venir. Elle le remit debout et lui
remonta la culotte.
« Mets-toi
sous la couette, ici ! »
Elle
avait ouvert le lit et Philippe s’y glissa, prenant juste la précaution de se
coucher sur le ventre. Maman Marianne alla fermer les volets.
« Tu
dors, maintenant ! »
Il
espérait qu’elle passerait un petit moment à son chevet. Avec une caresse dans
le dos, peut-être ? Ce lit n’était pas le sien. Il ne portait pas son
odeur. Il était bien plus étroit que celui auquel il était habitué. Cela dit,
il y dormait seul ce qui lui laissait plus de place. De toute façon, il ne se
voyait pas rouspéter contre cette nouveauté. Ses fesses étaient assez cuisante
comme ça.
Il
sentit que Maman Marianne s’assit sur le bord du matelas. Il se décala un peu
pour lui laisser plus de place. Une main se glissa sous son tee-shirt, par son
cou et commença à caresser le dos. Philippe soupira et il se détendit. Maman
Marianne n’était plus fâchée. Quand une autre main se glissa sous l’élastique
de sa culotte et massa tout doucement les endroits qu’elle venait de meurtrir,
Philippe sut que pour rien au monde il se passerait de cette caresse. Il ferma
les yeux et il s’endormit presque tout de suite.
« C’est
miraculeux comment une bonne fessée aide à endormir les enfants, y compris
quand ils sont grands, se dit Marianne. »
Quand
elle retira ses mains, Philippe grogna un peu. Mais il dormait déjà. Marianne
quitta la chambre.
Philippe
fut réveillé par les déplacements de Maman Marianne dans la chambre. Il ouvrit
un œil. Les volets avaient été ouverts et la lumière entrait à plein dans la
pièce.
« Ah,
tu te réveilles enfin ! Eh bien, tu avais besoin de dormir ! Une
sieste de deux heures ! La fessée que je t’ai donnée t’a fait du
bien ! Une bonne fessée déculottée, ça aide à dormir ! »
Philippe
émergeait difficilement. La peau de ses fesses tirait un peu, mais c’était très
léger.
« Allons,
debout, gros paresseux ! Aurélie est levée depuis presque une
heure ! »
Maman
Marianne tira la couette sur ses pieds. Puis elle reprit ses occupations.
Philipe s’assit sur le bord du lit. Son pantalon et sa chemise l’attendaient
sur une chaise, mais il ne savait pas s’il avait le droit de les mettre sans
avoir reçu la permission de sa belle-mère. Celle-ci le prit par la main.
« On
va faire pipi ! »
Tenu
par la main il suivit sa belle-mère. Elle le conduisit aux toilette, dont elle
ouvrit la porte. Elle alluma la lumière et plaça Philippe devant la cuvette.
Elle lui baissa alors la culotte et avec une petite claque sur les fesses, elle
lui ordonna de s’asseoir.
« Tu
m’appelles quand tu as fini ! Fais bien attention à ne pas faire pipi par
terre ! »
Une
caresse sur l’extérieur de chaque cuisse et elle disparut. Elle avait laissé la
porte ouverte. Philippe songea un instant à la refermer, mais il jugea plus
prudent de n’en rien faire, malgré l’envie qu’il en avait. Il se raisonna.
« Après
tout, il n’y a dans cette maison que des gens qui avaient déjà vu mes fesses
nues. »
C’était
sans doute vrai, mais ce n’était qu’une piètre consolation à la perte d’un
nouvel espace d’intimité. Il était encore tout à sa réflexion quand il se leva
et remonta sa culotte. Ce n’était pas parfait comme ça, mais c’était mieux. Il
tira la chasse d’eau et retourna dans la chambre. L’accueil ne fut pas celui
auquel il s’attendait.
Dès
qu’elle l’aperçut, sa belle-mère fronça des sourcils.
« Mais
qu’est-ce que tu fais là ? »
La
claque sur le haut de la cuisse indiquait qu’elle était en colère après lui. Il
ne comprit pas tout de suite ce qu’elle lui reprochait.
« Je
ne t’avais pas dit de m’appeler quand tu aurais fini ? »
Une
nouvelle calque au même souligna l’importance de ce qu’elle disait.
« Non…
euh si… je ne savais pas…
–
Et as-tu obéi ?
–
Non, mais je… »
Une
troisième claque l’interrompit.
« Tu
dois apprendre à obéir mieux que ça. Mais attend un peu… »
Sa
belle- mère le conduisit devant la fenêtre. Elle le tourna face à la lumière.
La fenêtre était fermée, mais les rideaux grands ouverts. Philippe put voir
Monsieur Antoine qui travaillait dans le jardin.
« Si
je le vois, il doit pouvoir me voir, lui aussi, pensa-t-il. »
Il
n’eut pas le temps d’en tirer des conclusions. Sa belle-mère avait écarté l’élastique
de la culotte et elle regardait à l’intérieur. En posant sa main sur le tissu,
elle toucha le pénis de son gendre. Celui-ci eut un geste de recul, limité par
la culotte dont l’élastique était tendu au maximum. Elle ne sembla pas
s’apercevoir de sa gêne à l’attouchement intime et elle ne montra aucun
trouble. Elle saisit l’oreille de Philippe et il dut baisser la tête, regardant
à son tour son entrejambe.
« Qu’est-ce
que c’est que ça ? »
Philippe
ne voyait pas de quoi elle voulait parler.
« Cette
tâche humide sur le devant de la culotte ! »
Maintenant
qu’elle s’était expliquée, Philippe voyait effectivement une petite tâche là où
la dernière goutte de pipi avait été épongée par sa culotte.
« Est-ce
que tu t’es essuyé ? Visiblement non ! »
Elle
lâcha son oreille, mais c’était pour lui donner une claque sur le haut de la
cuisse.
« Je
vais être obligée de te changer ! »
Une
autre claque sur la cuisse ponctua cette décision. Elle baissa la culotte.
« Lève
ton pied ! L’autre ! »
Philippe
se retrouva de nouveau les fesses nues. Il se sentait trop près de la fenêtre,
d’où, y compris en passant sur la route, on pouvait l’apercevoir. Mais il n’y
pouvait rien, c’était sa belle-mère qui décidait et il avait l’impression de
subir son courroux sans rien pouvoir y faire.
« Je
ne vais pas te remettre une culotte propre sur des fesses sales. File dans la
salle de bains ! »
Evidemment,
sa belle-mère le suivit de près. C’est elle qui prit le gant de toilette. Elle
le savonna, puis elle lava les fesses de son gendre, en portant une attention
particulière à son pénis qu’elle décalotta. Elle en profita pour laver les
fesses. C’est un garçon à l’hygiène irréprochable qui fit son retour dans la
chambre, tenu par le bras par sa belle-mère.
Elle
s’assit sur le lit et planta Philippe devant elle.
« Dorénavant,
tu me demanderas avant d’aller aux toilettes et tu attendras que je vienne
t’essuyer les fesses et le kiki. Si je ne suis pas là, tu demanderas à
Bernadette ou à Annette. Est-ce bien compris ?
–
Oui, Maman Marianne.
–
Une désobéissance, une culotte sale, cela mérite bien une fessée, tu ne crois
pas ?
–
Oui Maman Marianne.
–
C’est bien ce que je pensais ! »
Maman
Marianne installa Philippe à plat ventre sur son genou. La fessée fut à l’image
de ce que savait faire Maman Marianne. Longue, sèche, douloureuse. La main de
sa belle-mère ne s’arrêta pas avant d’avoir copieusement rougi toute la surface
qu’elle pouvait atteindre : les fesses, les cuisses jusqu’en leur milieu.
« Va
au coin, conclut Maman Marianne. »
Un
peu désorienté dans cette nouvelle chambre, Philippe hésita un peu avant de
suivre le doigt de Maman Marianne qui pointait un angle.
« C’est
ta chambre, désormais. C’est ici que tu dormiras. C’était celle d’Aurélie.
Regarde bien ce coin, car tu vas y passer de longs moments. C’est là que je
mettais Aurélie avant qu’elle ne vive avec toi. Tu vas prendre sa
suite ! »
Philippe
se plaça dans le coin qu’on lui désignait. Sa chambre ? Celle d’Aurélie
avant ? Mais il ne voulait pas dormir là ! Ce n’était pas son
lit !
Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !
Et le précédent : le chapitre 18
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