« Il ne reste plus que toi ! Tu sais ce qui t’attend ? Comme les copines, il n’y a pas de raison !
– Mais vous n’avez pas le
droit !
– Ah, oui ? Je n’ai pas le
droit ? C’est ce qu’on va voir !
– Non vous ne pouvez pas, vous
n’êtes pas ma mère !
– C’est exact, je ne suis pas ta
mère et c’est bien dommage ! Autrement, tu recevrais la fessée un peu plus
souvent que cela ne t’arrive !
– Vous n’avez pas le droit !
Je ne suis pas votre fille et de toute façon je suis majeure ! J’ai vingt
ans ! La fessée, c’est pour les petites ! Maintenant je suis
grande ! Je ne vous laisserai pas faire !
– Tu ne te laisseras pas
faire ? C’est ce qu’on va voir !
– Aïe, mon oreille !
– Que crois-tu ? Que c’est la première fois que je dois amener, en la tirant par l’oreille, une grande fille vers le lieu de sa punition ? Demande à Chloé, je pense qu’elle se souvient encore, du lendemain de ses dix-huit ans.
– Ah, mon oreille ! Vous me
faites mal !
– Il ne tient qu’à toi que la
douleur cesse ! Avance !
– Non, pas la fessée ! Je n’ai rien fait !
– Eh bien, vois-tu, moi je suis
persuadée du contraire ! Non seulement tu as participé à cette promenade
en disparaissant des radars toute l’après-midi, comme tes deux complices, mais
de plus, je crois que tu es l’instigatrice de cette ballade interdite.
– Non, ce n’est pas moi !
– Je pense que tu vas me
confesser toute l’affaire avant que j’en aie fini avec toi. Pour le moment,
c’est à plat ventre en travers de mes genoux. C’est là où finissent toutes les
grandes filles qui n’ont pas encore compris, que même à vingt ans, on doit
obéir aux grandes personnes.
– Non, non… je vais le dire à ma mère ! Non, à mon père !
– Ah nous y voilà ! Pour ce
qui est de ta mère, tu ne pourras plus la mettre au courant, je m’en suis
chargée. Elle a bien un peu hésité quand je lui ai parlé de fessée déculottée,
mais elle a fini par céder. De toute façon, je ne lui ai pas laissé le choix.
– Ah, non, attendez !
– J’attends juste que tu me
laisses te placer en bonne position pour recevoir ta fessée. Vas-tu enfin me
laisser faire ou faudra-t-il que je demande à Chloé d’aller chercher le
martinet ?
– Ma jupe, non, je ne veux pas !
– Ah ça, je m’en doute bien. Je
comprends ! Tu as parfaitement raison de redouter la fessée à venir. Comme
tes deux copines, tu vas finir les fesses brûlantes. Mais pour cela, il faut
écarter la jupe du trajet de ma main. C’est comme ça qu’il faut punir les
petites filles désobéissantes, surtout quand elles se croient trop grandes pour
être obéissantes.
– Non, non, non !
– Dis-moi, tu ne serais pas en
train de me faire une colère ? Parce que si c’est le cas, je vais devoir
te donner non pas une, mais deux fessées. Note bien que ce ne sera pas moi qui sentirait
notablement la différence. J’ai bien peur que ce soit surtout toi qui la
perçoives.
– Non, pas la culotte !
– Et pourquoi donc ne faudrait-il
pas te baisser la culotte ? Tu as bien vu que tes deux copines, avant toi,
ont reçu une fessée déculottée. Je ne vois pas pourquoi il ne faudrait pas
faire pareil avec toi. Tu as mérité une correction au moins aussi sévère.
– Mon père ! Mon père il ne
veut pas !
– Ah, nous y voilà ! La
petite chérie à son Papa ! Je sais. Ta mère m’a expliqué combien il était
laxiste et comment il te passait toutes tes frasques, sans jamais t’en punir.
C’est elle, m’a-t-elle dit, qui doit assurer l’autorité vis-à-vis de toi.
Malheureusement elle se contente de te gronder de temps en temps, mais tu n’as
pas les punitions dont tu as besoin ! Je vais corriger cela !
– Aïe ! Non, aïe ! Je vais le dire, aïe… à mon père, aïe !
– A ton père ? C’est une
excellente idée ! Par la même occasion, tu lui diras de passer me voir. J’ai
deux mots à lui dire sur la façon dont il élève sa fille. Je me demande même si
une bonne fessée… mais je m’égare. En attendant que tu ailles te plaindre, je
vais finir cette fessée, afin que tu prennes bien conscience de la bêtise que
tu viens de faire, ce qui ne me semble pas le cas pour le moment, et que tu
promettes sincèrement de ne plus recommencer et nous en sommes encore loin.
– Non, aïe ! Je vais être sage,
aïe ! Mais arrêtez, aïe !
– Oh là, là, comme si une aussi
petite fessée était suffisante. Non, pas question que je mette fin à la fessée
aussi vite ! Si je veux que tu te souviennes de cette punition, il faut
que je continue encore un bon moment. Et puis, nous n’avons pas encore éclairci
la question de l’initiatrice de cette escapade. Es-tu toujours aussi certaine
que ce ne serait pas toi ?
– Non, aïe ! Ce n’est pas, aïe ! Pas moi, aïe !
– Pas toi ? Mettons !
Qui a eu cette brillante idée, alors ?
– Je ne sais pas !
– Veux-tu me faire croire que tu
as oublié le nom de la personne qui est l’instigatrice de cette excursion ou
que tu ne sais plus comment cette inspiration saugrenue vous est venue ?
– Aïe ! Je ne sais plus, pour
l’idée, aïe ! Je ne sais plus !
– Parions que cette fessée va t’aider
à retrouver la mémoire. Tu me diras quand tu t’en rappelleras. En attendant, je
vais accentuer un peu cette correction. Sans doute est-elle trop clémente pour
que tu arrives à te remémorer comment l’idée vous est venue ? Il te faut
une correction plus rigoureuse.
– Aïe, non ! C’est moi, Madame, c’est moi !
– C’est toi qui…
– Aïe ! C’est moi qui, aïe…
ai eu l’idée, aïe… c’est moi !
– A la bonne heure ! Voilà
une confession presque spontanée qui confirme ce que je pense de toi, petite
peste. Tu as entraîné les autres et elles se sont laissé faire. Rien d’étonnant
avec ces deux écervelées ! Elles ont donc largement mérité leur fessée et
toi également. Je vais faire en sorte que la tienne soit un peu plus consistante
que celles que tes deux acolytes ont reçues. C’est normal, non, puisque tu es à
l’origine de la désobéissance, non ?
–Oui… non, aïe ! Pardon !
– Relève-toi. Je crois que la fessée a porté ses fruits. Oh, mais j’y pense ! Si c’est toi, cela veut dire que tu m’as menti, tout à l’heure. N’est-ce pas ?
– Non… euh, oui !
– Sais-tu ce qui arrive aux
grandes filles qui mentent dans cette maison ? Chloé ne t’en a jamais
parlé ? Pourtant cela lui est arrivé plusieurs fois.
– Non ! Pardon Madame, pardon !
– J’ai bien peur que tu aies à
souffrir une deuxième fessée avant que tu ne quittes cette maison et que je
doive m’occuper d’extraire tous ces mensonges de ta bouche. Mais nous verrons
cela plus tard. Bien évidemment, tu ne perds rien pour attendre !
– Oui, Madame !
– Chloé le sait déjà, mais j’espère
que vous avez compris, Gaétane et toi, que cette fessée n’est que la première d’une
longue liste et je ne parle pas seulement de celle que tu vas avoir tout à l’heure
pour le mensonge.
– Oh !
– Nous avons convenu, avec vos
Mamans respectives, que vous êtes privées de sortie pendant un mois, pour
commencer. Ensuite, nous verrons. Cela dépendra de beaucoup de facteurs : votre
obéissance, vos résultats scolaires, votre comportement… et j’en passe ! Au
cas où nous ne serions pas satisfaites de vous, nous repartirons pour un autre
mois, voire plus. En attendant, plus de sorties le week-end et encore moins en
semaine. Dès les cours terminés, vous rentrez faire vos devoirs à la maison. Et
pas de détour ! A chaque incartade, ce sera la fessée. Est-ce bien compris ?
– Oui Madame.
– Il reste à régler la question
du mercredi après-midi. Toutes les deux, comme votre Maman ne sera pas chez
elle, vous viendrez ici, avec Chloé. Je vous ferai faire vos devoirs et je vous
donnerai du travail supplémentaire si besoin. Et sachez que je n’hésiterai pas
à baisser la culotte et à donner la fessée ! S’il le faut, vous ferez
connaissance avec le martinet. Demandez à Chloé comment il laisse de belles
marques rouges sur les fesses. Allez, toutes les trois le nez contre le mur et
les mains sur la tête. Une bonne demi-heure de piquet, la culotte baissée et la
jupe relevée, vous fera le plus grand bien.
La boucle est bouclée et par principe d'égalité, toutes fautives, toutes punies.
RépondreSupprimerCaroline,
SupprimerL'équité respectée, une juste punition également répartie, qui, de plus, engage l'avenir en annonçant d'autres fessées… Tout cela a le mérite d'être clair.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Oui l'ai l'impression aussi que nous en sommes qu'au début...
RépondreSupprimerBonjour à vous,
RépondreSupprimerPetite question toute bête :
"les maman se montrent-elles beaucoup plus sévères avec leurs filles ou leurs garçons ?
Thèse, antithèse, conclusion . Vous avez deux heures ! ".
Belle discussion, non ?
Amicalement. Peter.
Peter Pan,
SupprimerBien souvent les Mamans se sentent responsables de ce qui peut arriver à leur progéniture, y compris quand ils sont devenus grands et quel que soit leur âge. Si une bonne fessée peut les remettre dans le droit chemin, je trouve qu'elles ont raison de se montrer sévères. C'est leur devoir.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG,
SupprimerJ'approuve tout à fait. Les ainés anticipent sur les éventuels problèmes liés à nos comportements. La fougue de la jeunesse donne souvent un sentiment de suffisance.
Mais personnellement, mon caractère et ma physionomie me dictaient bien souvent la prudence.
Amicalement. Peter.
La réponse en un seul mot : oui..lol
RépondreSupprimerBonjour Peter, et tout le monde,
RépondreSupprimerC'est peut être parce qu'il est plus facile de retrousser une jupe, que de descendre un pantalon. mais bon... C'est juste une hypothétique hypothèse...
Euh, ça ne m'a pris que trois minutes. Il m'en reste encore cent dix sept pour creuser le sujet et trouver une réponse plus pertinente, avec thèse, antithèse, prothèse, conclusion.. je cherche.
Cordialement
Ramina