Chacun a repris ses occupations comme si de rien n'était, j'observais néanmoins que bien des regards s'attardaient sur les fesses rubicondes de la punie qui tancée et menacée par notre logeuse de se voir allouer "un petit complément", avait fait en sorte de mettre fin à ses pleurs, jugés trop bruyants.
Elle a eu de la chance, car on devait
passer à table et sa punition n'a pas duré plus d'un quart d'heure, je me souvenais
d'avoir passé plus de deux longues heures, voire davantage, le nez collé contre
le mur du salon de la tante Maud.
« Viens ici jeune fille, tu gardes tes mains sur ta tête. »
On a eu droit à un nouvel exemple de la
marche entravée aux chevilles et Lucie nous a livré tout son devant, ce qui me permis
de détailler sa foufoune, elle est très mignonne, son épilation doit être tout
à fait récente, ses grandes lèvres dépassent à peine et on dirait véritablement
le sexe d'une toute petite fille, c'est très émouvant et je n'ai qu'une envie
c'est d'aller me soulager au plus tôt, mais je prends grave sur moi, sachant
bien que ce n'est guère le genre de la maison. J'avais déjà vue sa chatoune, mais
jamais dépouillée de sa toison, même si à de nombreuses reprises, j'avais découvert
avec émotion sa fente lors des quelques fessées précédentes, celles de sa mère
surtout, car les rares fois où j'ai pu la fesser, je n'étais évidemment pas si
bien placé.
« C'est ta première correction ma
fille et sans doute pas la dernière, pour cette fois, j'ai été indulgente, sache
bien que cela ne se renouvellera pas, tu pourras pour ta gouverne solliciter
ton cousin en ce sens. La prochaine fois, je me munirai de quelque instrument
punitif ; il n’en manque pas, quant à tes yeux fardés, qu'il n'en soit plus question
dans cette maison, ni à l'école d'ailleurs et gare à tes fesses si tu n'obéis
pas. Bien, tu peux te reculotter, nous allons passer à table. »
Lucie a eu du mal à s'asseoir et Madame
Sand qui assurait le service voulut bien lui fournir un coussin.
« Tu fais bien des histoires ma
jolie pour une petite correction de rien du tout, tu n'en es qu'au début. Demande
à Fabien, l'effet que produit par exemple sur les fesses une fessée aux orties
et ne fait pas la tête si tu ne veux pas avoir droit à une nouvelle tournée. »
Quand on a intégré notre nouveau logis,
juste après la fin du repas, Lucie qui avait encore un peu de mal à marcher s'est
mise à sangloter.
« Je ne veux pas rester ici, c'est
un vrai bagne, je vais appeler ma mère pour qu'elle me trouve une autre solution,
je ne vais pas laisser cette harpie me martyriser.
– Je te souhaite bonne chance, mais je
ne suis pas très confiant et je te rappelle que tu m'as fait subir bien
d'autres misères, c'est évidemment bien plus facile quand il s'agit des autres.
– Oui, c'est vrai que j'ai un peu
méchante avec toi, mais avoue que tu l'avais bien mérité, de toutes façons, je
te rappelle pour ta gouverne que j’ai encore le pouvoir de te diriger et de te
châtier, je n'ai pas l'intention d'en abuser, si tu n'exagères pas. Tu peux t'en
réjouir autant que tu l'as fait tout à l'heure, je t'ai bien observé, tu as
vraiment pris ton pied saligaud. N'oublie pas cependant que je dispose toujours
de la vidéo qu'on a filmé avec Corinne où tu te trouves dans une situation peu
avantageuse, je n'hésiterai pas à la diffuser sur les réseaux de l'école si tu fais
ton malin et si tu ne m'obéis pas au doigt et à l'œil, c'est bien compris.
– Oui Lucie. »
Elle était tout à coup rassérénée d'avoir
pu reprendre la main et je ne pouvais que m'incliner, même si évidemment il
m'en coûtait de reconnaître que j'étais toujours sous sa coupe, je me disais que
tôt ou tard, je trouverai une solution pour échapper à cet ignoble chantage.
« Il faudra que tu me présentes ta
petite amie, je te mettrais bien le feu aux fesses devant elle, ça te ramènera à
un peu plus d'humilité.
– Tu tombes mal, Maman m'a déjà administré
une fessée en sa présence.
– Ah bon ! Déculotté, j'espère ?
– Evidemment, tu connais Maman.
– Et alors ?
– Alors, rien, elle ne m'en a pas voulu,
elle m'a plutôt plaint de devoir supporté d'être fessé cul nu à plus de dix-huit
ans.
– Ça a dû être très humiliant ?
– Très, mais si on pouvait parler
d'autres choses, cela ne me ferait pas de peine, si tu veux, je vais t'expliquer
le fonctionnement de l'école. »
Ce qui fut fait, pour la première fois
depuis longtemps, nous eûmes une conversation normale entre deux cousins
proches en âge. Je me gardais bien de lui dire qu'à l'école aussi, nombre de
nos profs et même les surveillantes ne se privaient pas de nous punir corporellement,
elle serait toujours à temps de s'en rendre compte et je ne voulais surtout pas
évoquer ma terrible fessée à la règle devant toute la classe dont je gardais
encore les stigmates, sinon dans ma chair, à tout le moins dans ma mémoire,
jamais je n'avais ressenti une telle humiliation, même si mon séjour chez la
tante Maud avait fortement mis à mal mon ego. Je ne lui dis pas non plus que ses menaces de
divulguer sa vidéo perdait de son impact, étant donné que mes camarades de classe
étaient également soumis à la rude discipline de l'école, même si de se faire
fesser par des jeunes filles plus jeunes que moi étaient évidemment encore plus
humiliant et dévalorisant. Par ailleurs, je n'étais pas pressé de présenter Justine
à ma cousine, j'envisageais avec horreur les pires avanies, y compris une fessée
administrée par Lucie devant ma copine.
Lucie était en première année et nous ne
voyions pas beaucoup, hormis sur le trajet et encore, étant donné que nos horaires
de cours n'étaient pas toujours les mêmes.
Chez Madame Leblanc, après sa première
fessée publique, elle se tenait à carreau, nous assistâmes à la correction de Kevin
qui fût sévère, car comme moi l'année d'avant, il s'était rebiffé et il eut
droit après une fessée manuelle et sa suite à la règle, puis à la terrifiante frottée
aux orties. Je ne sais trop pourquoi, Madame Leblanc exigeât qu'il se déshabille
complètement, il exhibât ainsi piteusement un corps longiligne, voire
maigrichon, de petites fesses de gamin et un sexe ridiculement petit que son
pubis à peine poilu rendait encore plus dérisoire.
Comme après s'être fait tanner les
fesses d'importance en poussant des hurlements de porcelet qu'on égorge, il refusait
d'en subir davantage, il fallut le tenir, on le fit allonger sur la table du
salon, c'est Sylvie qui lui prit les mains tandis que Julie et Lucie qui s'était
promptement proposé lui maintenaient les cuisses écartées au maximum. Le
malheureux eut droit à une double fouaillée d'orties et il hurlât très rapidement.
Sa logeuse, énervée par sa résistance ne lui fit pas de cadeaux, ce n'était pas
l'habitude de la maison et Lucie qui était placé près du cœur du sujet me confiât
une fois rentrés chez nous, que le pauvre garçon se débattait tellement qu'elle
avait eu grand mal à le maintenir en position.
Madame Leblanc avait lourdement insisté
sur la raie de ses fesses, son anus, ses petites roubignolles glabres et même sur
son sexe, étrangement en érection. Ce qui avait beaucoup amusé ma cousine qui me
confiât sans vergogne qu'elle ne manquerait pas de me traiter de la même façon,
quitte à m'attacher. J'en eus des frissons.
Kevin, ivre de douleur avait ensuite été
mis au piquet à genoux et comme il ne pouvait s'empêcher de gratter ses fesses
meurtris par la plante terriblement urticante, c'est ma cousine qui fut désignée
pour veiller au grain, avec consigne de lui appliquer un coup de martinet à
chaque fois qu'il effectuerait une tentative.
Elle n'eut à intervenir qu'à deux
reprises, elle avait en effet tapé comme une sourde, arrachant de nouveaux
hurlements au malheureux, qui ensuite se le tint pour dit et laissât ses mains
sur sa tête.
« Finalement, je sens que je vais me
plaire dans cette maison, ricanait-elle.
– On en reparlera si tu as droit à ton tour
aux orties, j'ai dû les subir à deux reprises et je t'assure que je ne le
souhaite à personne, les fesses m'ont brûlé trois jours durant et encore, ma fouaillée
avait été moins sévère que la sienne.
– Ne te fais pas de soucis pour moi, je
crois que la mère Leblanc m'a à la bonne, elle m'a donné une fessée au départ
pour marquer son territoire, mais c'est fini, elle a compris que je lui serais
plus utile dans le rôle d'assistante.
– Et éventuellement de balance.
– Evidemment, surtout s'il s’agit de punir
mon cher cousin. Elle ricane, moi ça me fait moins marrer, mais je me dis que
rira bien qui rira le dernier. »
Lucie a vite compris de quoi il retournait
à l'école, elle s'est accrochée avec la terrible mère Bruno, ouf, pour l'heure
elle ne s'occupait pas de ma section. Ça n'a guère traîné, l'autre lui a intimé
de rester après le cours pour avoir un petit échange qui s'est très vite
transformé après une brève mise au point en une séance de fessée cul nu, avec
mise au piquet dans la foulée. Tu parles qu'elle ne s'en est pas trop vantée,
mais j'avais des copains redoublants qui se sont chargés de me mettre au
parfum.
J'ai abordé le sujet dès qu'on s'est retrouvé
seuls à la maison.
« Alors ma jolie, il parait que tu
as fait connaissance avec Madame Bruno.
– Qui t'a dit ça ? Ben oui, je la connais,
c'est ma prof.
– Je parle du contact de ses mains avec
tes fesses, voire munies d'une règle par exemple, tu sais un truc qui te cisaille
bien le cul et te laisse des marques, tu en a usé avec moi, tu avais eu les exemples
de ta mère et de la mienne. Alors tu y as eu droit en complément de la fessée à
la main ? »
Lucie s'est mise à rougir.
« Je ne suis pas sûre que ça te regarde,
mais après tout puisque nous sommes dans la même galère, oui la garce m'a frappé
avec une grande règle plate, ça m'a fait un mal de chien.
– Tu as dû bien brailler ?
– Oui, j'ai crié, pleuré aussi bien sûr,
puisque tu veux tout savoir, elle tape comme une sourde, bien plus fort que Maman.
– Genre Madame Leblanc, mais pour
l'instant, avec elle tu as échappé aux instruments, tu te souviens de l'état
des fesses du pauvre Kevin l'autre jour.
– Tu parles que je m'en souviens, il a mis
des jours à pouvoir marcher et s'asseoir normalement. J'imagine que cette garce
de prof t’a aussi largement claqué le cul l'an dernier.
– Effectivement, comme à beaucoup
d'autres. »
Je ne risquais pas de lui avouer ma
terrible correction devant toute la classe dont je restais tout à fait honteux.
« Le pire c'est que je n'étais pas
seule, il y avait aussi un garçon qui a pris cher. Encore heureux que je sois passé
après lui, elle devait être un brin fatigué la mère Bruno, j'attendais mon tour
au piquet, mais je l'ai entendu hurler et j'ai aperçu son fessier couleur brique
quand il y a été mis à son tour, le pauvre avait réussi à ne pas pleurer pendant
sa fessée, mais là, il craquait et sanglotait comme un gosse.
– Ça a dû te mettre en forme.
– C'est certain, tu as beau avoir pris quelques
fessées, tu en sais quelque chose, tu appréhendes toujours un max.
– C'est sûr, tu veux bien me faire voir
?
– Et puis encore !
– Tu sais, je les ai déjà pas mal vu tes
fesses et à mon avis, je les verrai encore.
– Après tout, tu as raison, tiens régale
toi, sale vicieux. »
Elle s’est mise de dos et a remonté sa
courte nuisette, sous laquelle, elle ne porte, à l'évidence, rien du tout, me
dévoilant un fessier encore rosé et surtout balafré sur presque toute sa
surface de lignes rouge foncé et brunes.
« Elle t'a pas ratée ! »
Elle rabat sa liquette et vient s'asseoir
en face de moi, j'avoue que le spectacle de son fessier massacré m'émeut, de même
que sa tenue de nuit ultra légère qui ne cache pas grand-chose de sa jolie plastique.
« J'imagine que tu y as eu droit aussi.
– Plusieurs fois.
– Est-ce qu'il y avait aussi la pionne ?
– Aude, oui, une fois, il faut t'en
méfier de celle-là, elle est capable de t'en filer une aussi, j'ai une copine
qui l'a appris à ses dépens. »
Je me gardais bien d'ajouter que c'était
aussi mon cas. Pour la première fois depuis des années, je retrouvais une sorte
de complicité avec ma cousine, nous nous retrouvions en quelque sorte sœur et
frère de fessée.
Hélas, notre nouvelle complicité n'a guère
duré, Justine est venue me visiter le premier samedi, je l'ai présentée à Madame
Leblanc, à ses locataires ainsi qu'à ma cousine, à la façon dont elle l'a regardée,
j'aurais dû me méfier.
En effet, après une après midi où on
avait comblé avec bonheur notre retard d'affection réciproque et alors qu'on se
remettait de nos émotions autour d'un rafraîchissement dans le salon, voilà t'y
pas qu'elle se pointe, l'air mutin.
Elle tient une culotte à la main.
« Qu'est-ce que c'est que ça ?
– Un de tes slips on dirait.
– Oui, mais avant son passage en machine,
il était blanc et à présent rose merdique et il y en trois comme ça, plus deux
paires de socquettes et un soutien gorge, si tu n'avais pas balancé ton putain de
tee-shirt rouge dans le tambour, ça ne serait pas arrivé, encore heureux que
pour le reste, ce soit du linge de maison qui n'a pas bougé ou des fringues à
toi, je suis sûre que tu l'as fait exprès.
– Pas du tout, j'en suis bien désolé
pour toi, mais après tout, c'est aussi joli rose que blanc.
– Tu as tort de le prendre à la rigolade,
que ce soit volontaire ou du fait de ton laisser aller, le résultat est le même
tu commences à me gonfler et il va falloir que tu t'appliques un peu, sinon notre
cohabitation va devenir difficile, je ne suis pas ta mère. Je crois bien que tu
mérites une bonne fessée.
– Tu veux rire et puis quoi encore ? Tu
me fais chier !
– C'est comme tu le sens, je crois bien
que je vais en parler à Madame Leblanc qui sera sensible à ta grossièreté.
– Tu ne feras pas ça.
– Je vais me gêner, qu'est ce que tu en
penses Justine ? »
Elle appuyait où ça faisait mal, en plus
j'étais presque certain de ne pas avoir mélangé ses fringues avec ma lessive,
ça ressemblait diablement à un coup monté cette histoire. Il n'empêche, je me
trouvais piégé, notre logeuse passerait peut-être sur mon inconséquence supposée,
mais certainement pas sur mes insultes, ça c'était la correction assurée,
j'aurais beau nier, elle ne me croirait pas.
« Tu n'as pas tort, non seulement
il a fait une bêtise, mais en plus au lieu de s'excuser, il te dit des trucs
désagréables. »
On n'est jamais trahi que par les siens,
évidemment, mais une alliance Justine, Lucie, c'était vraiment inattendu. Les
deux garces s'entendaient sur mon dos ou plutôt mon bas du dos. En plus Lucie
révélait implicitement à ma fiancée que la mère Leblanc n'hésitait pas à
châtier ses locataires, transformés d'ailleurs en des sortes de pupilles, sauf
qu'elle s'incluait au passage dans les corrigés potentiels, mais elle s'en
balançait, je ne sais trop pourquoi, elle avait envie de m'humilier devant ma chérie.
Ce alors, qu'objectivement, j'avais été plutôt sympa avec elle ces derniers
jours.
« Puisque Justine partage mon point
de vue, il ne te reste plus qu'à t'exécuter mon cher cousin. »
Et c'est ce que j'ai fait, résigné à exhiber
une deuxième fois mes fesses dans une position peu avantageuse à ma chère
Justine que ça ne semblait pas déranger outre mesure.
Lucie a fait ça bien, elle s’est installée
sur une chaise, perpendiculairement au canapé où trônait Justine, qui s'était redressée,
soudain tout à fait attentive.
« Allez, approche, méchant garçon que
je puisse te rôtir les fesses ! Il y a longtemps que ça me démange. »
J'ai desserré la ceinture de mon jean,
l'ai descendu jusqu'à mes chevilles et je me suis couché sur les cuisses de Lucie,
en position disciplinaire.
« Et ton slip, tu ne crois pas que
parce que tu as bousillé les miens, je ne vais pas te déculotter, allez debout. »
Je me suis donc relevé face à elle et la
garce a saisi l'élastique et a fait durer le plaisir en me mettant les fesses
et le reste à l'air que tout à fait progressivement.
« Je constate avec plaisir que ton pubis
est toujours aussi dépouillé, c'est une idée à moi, tu aimes Justine ?
– Oui, beaucoup.
– Fabien a passé quelques jours chez nous
et j'ai prétexté la présence de morpions pour l'épiler. »
Elle se marre, parti comme ça, elle allait
raconter toutes les misères qu'elle m'avait fait subir lors de cet infernal séjour
et surtout le fait que je m'étais trouvé complètement sous sa sujétion. Heureusement,
pour l'heure, Justine n'a pas insisté. Mon slip, ramené à mes chevilles, elle
m'a calé sur ses genoux, ajustant la position pour que mon bassin soit
parfaitement en place. Elle ne m'a rien épargné. Elle a commencé à faire le tour
du propriétaire en passant sa main sur l'ensemble de mon fessier, elle prend ses
aises la coquine, la présence de ma fiancée ne semble pas la gêner.
Dans ma position peu avantageuse, je ne
peux pas la voir, je me demande comment elle prend la chose. Elle m'a vu, à mon
grand désarroi me faire fesser par ma mère, mais par ma cousine qui me rend
presque deux années, c'est tout de même autre chose.
Après les sentiments humains sont tellement
compliqués ambivalents, je me dis qu'elle doit être à la fois jalouse des
prérogatives de Lucie et en même temps ravie de me voir humilier, elle doit peut-être
se dire qu'il n'y a pas de raison qu'elle ne procède pas à son tour de la même
manière et il est fort possible que ça te l'excite un max.
Mais je n'ai pas trop le temps de me lancer
dans les fines analyses psychologiques, Lucie a démarré et ce n'est pas pour de
rire.
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