Enfin, cela cesse, Lucie a abandonné son instrument de torture et passe à présent sa main sur mon fessier tuméfié.
« Venez toucher les filles, je lui
ai parfaitement cramé les fesses, je crois qu'il va s'en souvenir de celle-là. »
Tu parles qu’elles se font un plaisir d'obtempérer.
« Y a pas à dire, c'est de la belle
ouvrage, tu as couvert toute la surface et même le haut des cuisses.
– On dirait qu'il a revêtu un boxer
rouge vif.
– C'est sûr que ça remplace avantageusement
celui d'avant. »
Des mots, des rires, qui blessent, qui
flagellent à nouveau, qui font mal. Les filles ne se privent guère en venant
évaluer le degré de cuisson de mes fesses, d'en profiter pour me soupeser les
couilles en se marrant.
« Le petit vicieux, il ne s'est pas
privé de nous exhiber ses burnes, je me demande si ça ne justifierait une punition
supplémentaire.
– C'est vrai qu'elles sont toutes douces,
dépouillées de leurs poils, on en mangerait !
– Bon suffit comme ça, il va aller se
calmer au piquet et ensuite il nous servira le thé tout nu, ça nous permettra
de bien nous régaler de la vision de mon œuvre. »
Elle m'a redressé et, comble de la
honte, m'a entraîné vers le coin de mur auquel j'étais hélas habitué en me
tirant par l'oreille. Pour ne pas l'indisposer, j'ai mis les mains sur ma tête,
j'étais toujours en larmes, autant de douleur qu'humiliation. C'était vraiment très
cruel de me fesser aussi sévèrement devant ses copines somme toute pour des
vétilles, je la haïssais de toute mes forces.
J'ai pris sur moi pour tarir mes
sanglots après la menace de me ramasser une nouvelle fessée si ce n'était pas
le cas, ça les dérangeait dans leurs échanges les chipies.
Je les entendais se marrer et même si je
ne distinguais pas tous leurs propos, il me semblait bien que l'essentiel portât
sur le supplice que je venais de subir.
Margaux et Clémence devaient déjà songer
aux récits qu'elles feraient à tous leurs copains et copines de cette belle et
étrange après midi.
J'étais déjà pas mal grillé après ma petite
fessée publique de la plage, mais là c'était définitivement terminé pour moi, plus
jamais je n'oserais affronter les regards de notre petit groupe d'amis et surtout,
plus jamais, je n'accepterais d'aller passer une partie de l'été dans la
résidence balnéaire de la tante Maud.
J'ai eu droit à mon quart d'heure de
piquet, le temps de cesser de renifler et de sécher mes larmes,
Lucie m'a fait venir devant elle, toujours
assise, mon sexe se trouve ainsi pile à hauteur de son visage, plutôt agréable
par ailleurs.
« Regardez-moi cet insolent, à
peine vient-on de le corriger qu'il recommence à bander. Fabien je te veux tout
petit et décalotté pour faire ton service. »
C'est vrai que je ne sais trop pourquoi,
mon sexe a commencé à grossir quand je me suis trouvé nu en face de ma cousine
et avec le regard des quatre filles sur mes parties intimes.
Lucie m'a envoyé deux petites gifles sur
la queue qui l'on vite ramenée à la portion congrue, m'abaissant au passage le
prépuce qui s'était relevé pendant la fessée. Elle s'est ensuite levée, s'est
positionnée juste derrière moi, frôlant mon fessier toujours aussi douloureux
et s'est emparé de mes couilles avec sa main droite qu'elle a fait passer entre
mes cuisses et qu'elle a commencé à serrer, me mettant à nouveau les larmes aux
yeux et me faisant gémir.
« On croit que c'est du costaud ces
mecs, alors que c'est du fragile, un rien te les fait mettre à genoux. »
La garce me pressure de plus en plus les
burnes et ça me fait un mal de chien, je n'ose pas me rebiffer, mes larmes commencent
à couler de nouveau et à toutes fins utiles, je commence à m'agenouiller en
mettant les mains sur ma tête en guise de soumission. Ce devait être ce qu'elle
attendait car ma cousine a relâché mes bijoux de famille en ricanant de plus
belle.
« Vous avez vu les filles, ce n'est
pas très compliqué.
– On peut essayer nous aussi a avancé
Margaux.
– Non, ça suffit pour l'instant, il a assez
souffert notre petit Fabien, entre le devant et le derrière on ne te l’a pas raté,
allez, occupe-toi des boissons et gare à tes fesses si le service n'est pas parfait,
j’exige que tu gardes ton prépuce descendu. Vu ?
– Oui Lucie.
–S'il je n'avais pas peur que ça lui
échappe devant ma mère ou ma petite sœur, je t'obligerais à m'appeler maîtresse,
car à la sortie, c'est bien ce que je suis, non ?
– Oui maîtresse.
– C'est bien, tu auras droit à ton
susucre. »
Je m'empressai donc de servir le thé à ces
quatre grognasses dans le plus simple appareil.
Je réussi à ne rien casser, en dépit du
fait qu'à chacun de mes passages devant l'une ou l'autre, ces demoiselles
s'amusaient à me toucher les fesses, me gratifiant presque à chaque fois d'une
petite claque, certes pas très forte, mais qui faisait des ravages sur ma chair
meurtrie, se régalant du petit cri que je poussais à chaque fois.
« Qu'il est douillet le garçon, il
ne supporte même pas une petite gifle ! »
J'espérais que la tante finirait par se
pointer et je me demandais si elle apprécierait véritablement la situation, rien
n'était moins sûr, cependant j'avais si mal supporté la dernière fessée à la règle
que je ne risquais pas de lui rapporter toutes les misères que l'on me faisait
subir, j'avais trop peur de me prendre une nouvelle raclée que je ne me sentais
pas de supporter.
Je pouvais toujours rêver de la voir survenir
et qu'outrée, elle inflige dans la foulée une sévère fessée déculottée à sa
fille en présence de ses amies, quelle belle revanche ce serait.
En attendant, les filles s'en prenaient
à présent à mon service trois pièces, prenant mes testicules à pleines mains,
comme l'avait fait Lucie, sans les serrer toutefois, se contentant de les
soupeser en riant et jouant à descendre et remonter mon prépuce, transformé en une
sorte de jouet pour adolescentes délurées.
Cela déclenchait inévitablement un début
d'érection qu'elle moquait puis calmait d'une ou deux torgnoles.
« Il n'est pas très bien équipé ce
jeune homme, j'ai vu bien plus gros et ces couilles ne sont même pas égales,
regarde comme celle de droite pend lamentablement.
– C'est encore plus laid sans poils,
vous ne trouvez pas ?
– Calmez-vous les filles, je ne voudrais
pas qu'il vous éjacule dessus le salopard. »
Et ça a continué encore un petit moment
dans le même registre, j'avais subi bien des humiliations, entre autres mon
horrible fessée déculottée devant toute la classe, j'y reviens, pardon, mais je
crois que j'ai là atteint des sommets.
Je me sentais quasiment ravalé au rang
d'animal de compagnie, pire d'objet, je me disais que même les esclaves devaient
être mieux traités, je n'existais plus en tant qu'individu et on s'amusait avec
ma virilité comme avec un sex toy, pareil pour mes fesses, je m'attendais à tout
moment à ce qu'un doigt s'égare dans mon trou de balle, heureusement, j'y ai
échappé. Je redoutais aussi de me prendre une nouvelle dégelée, Margaux avait
notamment avancé que mon fessier avait perdu sa belle couleur rouge vif, ce qui
était bien dommage et s'était proposé pour lui rendre ce joli ton qui lui
allait si bien.
Mais les trois autres probablement lasses
de mes diverses mortifications, rendues presque banales sans doute par ma
totale soumission aux ordres de ma cousine, avaient entamé une conversation relative
à quelques garçons qu'elles avaient dans leur viseur qui leur semblait bien
plus passionnante.
Mon service effectué, Lucie m'avait dit
de retourner au piquet dans la position habituelle, les mains sur la tête
jusqu'à ce qu'on ait besoin de moi.
Il s'en était fallu de peu que je me retrouve
sur les genoux de Margaux pour me faire à nouveau rôtir le fondement, son
regard me disait bien qu'elle en crevait d'envie. J'aurais eu bien du mal à le
supporter tant mes fesses me cuisaient encore, la règle m'avait pincé et entre
autres martyrisé la hanche droite qui me piquait furieusement et j'avais bien du
mal à ne pas passer mes doigts dessus aux fins d'un illusoire soulagement.
Enfin la compagnie se décidât à se
séparer et les trois invitées s’apprêtèrent à regagner leur domicile respectif,
non sans me gratifier d'un dernier salut en actionnant ma verge en guise
d'adieu, une sorte de "shake sexe", ce au seuil de porte d’entrée ouverte,
je priais pour que des passants ne découvrent pas leur étrange manège.
Quand je me suis retrouvé seul avec Lucie,
j'ai été malgré tout soulagé, elle ne me ménageait guère, mais je m'y étais
presque habitué, alors que devant les trois autres, c'était horrible, elle ne
voulait pas déchoir et avait tendance à me tourmenter davantage. Une dont je ne
regrettais guère le départ, c'était Margaux, Lucie était une vraie salope, mais
j'avais eu de la chance de ne pas tomber entre les mains de Margaux qui semblait
pire encore, plus démoniaque, plus vicieuse, je priais le ciel de ne jamais me
retrouver sous sa férule, d'autant qu'à l'encontre de Lucie, plutôt fine,
c'était une costaude, une sorte d'athlète, pas vilaine pour autant si on aime
ce genre de fille.
« Alors qu'est-ce que tu attends
pour te rhabiller, tu espères le retour de Maman, tu penses qu'elle va te plaindre,
voire s'en prendre à moi pour avoir été trop dure avec toi ?
– Non Lucie, j'attendais juste que tu
m'y autorises.
– Tu fais bien, car si tu t'avisais de
te plaindre de quoi que ce soit, je te garantis que tu le regretterais, j'inventerai
n'importe quoi quant à ton attitude avec mes amies, qui ne manqueront pas de
confirmer si besoin est et tu te retrouverais avec à nouveau les fesses à l'air
à cueillir des orties au fond du jardin. »
Elle en était bien capable et je me suis résigné à m'écraser, méditant néanmoins des idées de revanche,
elle risquait de ne pas trop avoir la partie belle chez Madame Leblanc la chère
Lucie.
C'était ma dernière soirée, puisque je
regagnais mes pénates le lendemain en fin de matinée et j'espérais en avoir fini
avec mes souffrances. Mais ma cousine voulant affirmer son autorité jusqu'au
bout m'a envoyé au lit, faire la sieste. A dix sept heures ! Elle m'a enjoint
de passer mon pyjama, ce qui m'a soulagé, j'en avais assez d'être complètement
nu devant des personnes habillées. Vingt minutes plus tard, elle s'est pointée
dans ma chambre, alors que j'étais en train de bouquiner, allongé sur le ventre,
tant mes fesses me lançaient encore. Je me demandais si j'en avais le droit et
j'ai bien cru me recevoir une dernière fessée, mais non Lucie, dans sa grande mansuétude
venait soigner des fesses qu'elle n'avait pas ménagées tout au long de la
journée.
J'ai dû me coucher sur ses genoux dans
la position disciplinaire dont j'avais à présent l'habitude et elle m'a longuement
massé le fessier à l'aide d'une crème apaisante, s'attardant tout près de mon
anus et de mes roubignoles, ce qui immanquablement a déclenché un nouveau
développement de ma personnalité dont elle s'est bien entendu aperçue.
« Oh le vilain garçon qui bande quand
on vient le soigner, lève-toi que j'examine ça de plus près. »
Je me suis exécuté, très gêné, mon pantalon
de pyjama à mes chevilles.
« Eh bien dis donc, à croire que je
te fais de l'effet mon salaud, d'abord on va te décalotter, je préfère le voir comme
ça. »
Je me demandais ce qui allait s'en suivre,
pour la première fois, nos relations me semblaient prendre un caractère sexuel
très inattendu.
Elle prend mes burnes dans la paume de
sa main, j'ai peur qu'elle me les broie à nouveau, mais non, elle me remet sur
mes pieds s'amuse à monter et descendre mon prépuce.
« Tu ne crois pas que tu exagères
un peu ?
– De quoi, on se rebiffe, tu es encore à
ma disposition jusqu'à ton départ, tu ferais bien de t'en souvenir si tu ne
veux pas aller dormir en sanglotant comme un gosse avec les fesses écarlates. »
Je m'écrase aussi sec, revenant sur mes
idées de vengeance, pour le temps qui me reste à passer chez elle, je peux bien
subir quelques misères supplémentaires.
« Bien ça suffit, puisque tu n'es
même pas content que je m'occupe de te soulager, tu vas aller finir l'après-midi
au piquet et c'est Maman qui jugera si tu mérites une nouvelle correction,
allez, dépêche-toi, descends au salon et abandonne ton pyjama, haut et bas. »
J'ai obéi et je me suis retrouvé une
nouvelle fois tout nu et au coin.
Mets-toi à genoux, ça t'apprendra à rouspéter. »
C'est dans cette position, très vite fatigante
que m'a découvert la tante Maud, La gamine était restée chez une copine.
« Tiens-en voilà un qui a encore
fait des bêtises.
– Il a été désagréable avec mes copines
et je l'ai fessé à la règle devant elles.
– Tout nu ?
– Ben oui, tu as bien fait, à croire qu'il
est vraiment dur à la comprenette, même si cela va beaucoup mieux depuis que tu
l'as pris en mains. Dommage que son séjour se termine demain, mais j'ai une nouvelle
à t'annoncer.
– Je t'écoute.
– J'ai discuté avec ma sœur et elle est
très contente de l'école de commerce qu'a fréquenté Fabien l'an dernier, il va
y retourner et tu vas l'accompagner puisqu’étrangement ce sont également des
études économiques qui t'intéressent, tu seras dans la même section avec une
année de décalage, tu verras bien, si finalement cela ne te convient pas, tu es
très jeune et tu pourras éventuellement changer d'orientation.
– Bien, j'imagine que ce n'est pas
négociable.
– Non, toi aussi tu as fait des progrès
depuis que je me suis remise à te flanquer des fessées, il ne faudra pas que je
perde cette bonne habitude, tiens-le-toi pour dit.
– Oui Maman.
– Madame Leblanc, qui logeait Fabien l'année
dernière, n'a pas deux places à nous proposer, en conséquence, je vais vous
louer un grand studio à proximité.
– Super !
– Ne te réjouis pas trop vite ma fille,
vous prendrez tous vos repas chez elle et elle exercera sur vous sa
surveillance. J'ajoute que comme c'était le cas avec Fabien et d'ailleurs ses
autres pensionnaires, elle aura tous pouvoirs pour vous punir y compris par des
châtiments corporels. C'est bien compris ?
– Oui Maman. »
J'étais toujours au piquet nu, agenouillé
et les mains sur la tête, la position devenait de plus en plus dure à tenir,
mes bras, mes épaules et mes cuisses étaient de plus en plus ankylosés, sans
parler de mes genoux qui me faisaient un mal de chien. Ces nouvelles n'en
étaient pas tout à fait pour moi, j'avais en effet surpris quelques échanges téléphoniques
entre les deux soeurs et même si je ne la voyais pas réagir, je me doutais bien
que Lucie n'était guère enchantée.
« Un point important, Fabien restera
sous ta surveillance, j'ai dit à ta tante que depuis quelques jours, tu avais
fait du bon travail et elle est d'accord pour que tu le poursuives dans les
mêmes conditions, c'est à dire fermement et sans excès. Ce garçon a besoin
d'être sévèrement cadré et s'il ne t'obéissait pas, tu en réfèrerais à Madame
Leblanc qui ne manquerait pas de le remettre dans le droit chemin.
– Bien Maman. »
Ça c'était le coup de pied de l'âne, je
ne m'attendais certainement pas à passer toute une année scolaire sous la férule
de ma garce de cousine, j'étais effondré par cette annonce.
– Fabien vient ici, tu gardes tes mains
sur la tête. »
Je me relève péniblement et je viens me placer
devant la tante Maud qui contemple quelques instants mon service trois pièces.
« C'est vrai que ça fait tout drôle
de le voir avec le pubis épilé, on dirait presque un petit garçon, tu devrais
continuer poux ou pas, enfin tu feras bien ce que tu voudras. Tu as entendu ce
que j'ai dit Fabien ?
– Oui tante Maud.
– Tu vas donc avoir le bonheur d'être
dans le même établissement que ta cousine adorée, toi en deuxième année et elle
en première, vous logerez ensemble, ta mère vient de vous trouver un petit
appartement à deux pas de chez Madame Leblanc. C'est elle qui se chargera de vous
encadrer, de suivre vos études et éventuellement de vous punir de la façon dont
elle le souhaitera. Tu expliqueras à Lucie de quoi il retourne, pour le reste, c'est
ta cousine qui continuera de te diriger avec les mêmes attributions que ces
derniers jours, elle sera responsable de ton hygiène, de ta santé, pareil pour
vos sorties et vos fréquentations qu'elle devra gérer au mieux, quitte à en
référer à Madame Leblanc au cas de problème. Il est bien entendu que ma fille
bénéficiera des avantages de sa situation de tutrice, mais devra aussi en assumer
les devoirs, quitte à se faire tanner les fesses d’importance si elle le mérite,
comme j'ai cru comprendre que Madame Leblanc savait le faire. »
J'étais tétanisé, d'abord étant donné ma
position, entièrement nu et les fesses encore meurtries, les mains sur la tête
devant les deux femmes, dont les yeux avaient du mal à ne pas se plonger vers
ma virilité dont le prépuce était toujours rabattu, ce qui n'avait entraîné nul
commentaire de la tante, comme s'il était parfaitement normal que sa fille me mette
le gland à l'air et ensuite par ce que j'apprenais. La situation ne me semblant
pas très bien choisie pour cette annonce et encore moins pour une conversation de
fond.
C'était l'horreur, moi qui pensais que
mon supplice sous l'entière domination de Lucie se terminerait dès le lendemain
et mon retour chez ma mère, j'apprenais que dans moins d'un mois, dès la prochaine
rentrée scolaire, je serais à nouveau sous la terrible férule de cette morue de
Lucie, sans compter celle de Madame Leblanc, certes plus juste, mais pas moins
sévère.
Du coup, les larmes envahissent mes paupières,
ce qui fait rire la tante Maud.
« Tu n'as pas l'air heureux de
retrouver ta cousine, tu es bien ingrat, avec tout ce qu'elle fait pour toi, sachant
que c'est une lourde responsabilité qu'elle va devoir assumer et puis je te
rappelle que c'est toi qui t'es mis dans cette situation de dépendance par
d'honteuses manœuvres pour la faire punir, il faut assumer ses erreurs mon
garçon et puis tu verras, ce ne sera pas si terrible, Madame Leblanc veillera
comme je le fais à ce que Lucie n'aille pas au-delà de ses attributions, n'est
ce pas ma fille ?
–Bien sûr Maman. »
Tu parles qu'elle allait dire autre chose
la garce, je parviens à retenir mes larmes pour ne pas lui donner ce plaisir,
je me trouve complètement ridicule en train d'échanger avec ma tante et ma
cousine sur mon prochain avenir, alors que je suis toujours en position disciplinaire,
entièrement nu, les mains sur la tête, avec les fesses qui me brûlent encore.
Mais cela ne semble pas gêner mes interlocutrices.
« L'affaire est donc entendue,
Fabien, je compte sur toi pour aider ta cousine à s'intégrer dans sa nouvelle
école n'est ce pas ?
– Oui tante Maud, c’est entendu. »
Tu parles qu'elle peut s'attendre à ce
que je fasse tout mon possible pour la griller d'entrée, je rêverais de la voir
se ramasser une fessée devant toute la classe comme cela m'était arrivé avec Madame
Bruno.
« Bien, je vais aller préparer le
souper, Lucie, la punition de ton cousin est elle terminée.
– Pas tout à fait Maman.
– Il va donc se remettre au piquet pour
le temps qu'il lui reste, j'imagine qu'il en a jusqu'à ce qu'on passe à table.
– C'est à peu près ça, mais je vais être
indulgente, tu peux rester debout. »
Tu parles d'une indulgence, c'est horrible,
il me reste environ encore une heure à me farcir, complètement nu, rien ne
m'aura été épargné dans ces dernières heures chez tante Maud.
Je retourne donc me mettre au piquet
contre le mur, bien droit et les mains sur la tête, en espérant seulement qu'il
n'y aura pas trop de personnes qui viendront assister à mon ultime humiliation
dans cette maison.
Pas de chance, j'entends Marie qui arrive
et elle est semble-t-il en compagnie.
Je n'ose évidemment pas me retourner,
mais je subodore qu'elle est accompagnée de sa copine et de la mère de celle-ci.
Oh, ne vous étonnez pas chère amie,
c'est Fabien mon neveu qui vient de recevoir une bonne fessée et qui a été mis
au coin.
– Ça lui arrive souvent ?
– Un peu trop à mon goût, mais je ne désespère
pas que les quelques jours qu'il a passé chez nous aient contribué à lui mettre
un peu de plomb dans la tête et à lui faire acquérir le minimum des conditions
d'hygiène, d'obéissance et de politesse, je vous la fais courte.
– Mais quel âge a-t-il ?
– Dix-huit ans.
– Mais n'est-ce pas un peu âgé pour recevoir
la fessée déculottée ?
– Je ne le crois pas, non plus que sa Maman
qui nous l'a confié, ce n'est pas une question d'âge, mais de maturité et quand
on se comporte comme un petit garçon, il est naturel que l'on soit puni comme
un petit garçon, d'ailleurs Lucie et évidemment Marie, n'échappent pas aux
mêmes sanctions quand elles le méritent et croyez-moi, depuis que j'ai institué
ce régime, toute la maisonnée s'en porte mieux.
– Je vous bien vous croire et cela me
donne des idées pour ma grande fille.
– L'essayez c'est l'adopter chère amie,
vous prendrez bien un apéritif ? »
Ma seule satisfaction est d'imaginer ma
tourmenteuse rougissante, j'espère bien que notre visiteuse va se répandre et
que le fait qu'elle se ramasse également des fessées va faire le tour de notre
petite communauté. En attendant, je suis bien obligé de donner le spectacle de
ma nudité et de mes fesses marquées aux cinq personnes qui se sont installés derrière
moi et dont les regards doivent forcément s'en régaler, j'entends d'ailleurs Marie
et sa copine qui pouffent.
Enfin, nos deux visiteuses prennent
congé, probablement impatientes de se retrouver seules pour se gausser de mon
infortune avant d'aller porter la bonne parole un peu partout dans la petite station
balnéaire.
Je reste encore dix minutes le nez collé
contre la cloison, mes bras et mes épaules me tirent et me font atrocement mal,
cette pouffiasse de Lucie a adopté le régime de sa mère, avec des stations au
piquet interminables, ni chez ma mère, ni chez Madame Leblanc, je ne suis resté
aussi longtemps dans cette position, non seulement mortifiante, mais surtout
très pénible sur la durée.
Pourtant Lucie qui l'a éprouvé devrait
savoir de quoi il retourne, mais je n'ai pas le souvenir que sa mère, ni moi
quand j'ai eu le bonheur trop bref de lui imposer ma volonté, l'ayons mise au
piquet au-delà d'une demi-heure, ce qui n'est déjà pas rien.
Elle m'oblige à boire le calice jusqu'à
la lie, me convoquant devant elle, toujours les mains sur ma tête pour une ultime
admonestation, le procédé est évidemment très humiliant, après avoir
interminablement exposé mon fessier meurtri, c'est à nouveau au tour de mes attributs
sexuels d'être mis sous les yeux de tous les présents.
Heureusement en l'état, elle est seule, sa
mère s'affairant dans la cuisine avec Marie qui m'a tellement vu dans des
situations disons "embarrassantes" qu'elle n'en a plus cure.
« C'est bien, tu as conservé ton
pénis décalotté, ça n'a pas toujours été le cas et je sévirai si cela se reproduisait.
C'est ta tenue de punition et je vais te le rabattre. »
La pétasse joint le geste à la parole et
me remets le prépuce en place pour bien me démontrer que la gestion de mon sexe
fait partie intégrante de son territoire.
« Tu peux aller te remettre en pyjama
et descendre dîner. Tu as bien compris que contrairement à tes attentes, ce
n'est pas la dernière fois que je te punis. Allez mets toi à genoux, baise la
main qui t'a châtié et demande-moi pardon. »
Ça c’est nouveau, elle s'y croit vraiment,
la donzelle se prend vraiment pour une autre, compte que quand elle va se trouver
drivée par Madame Leblanc, elle va revenir sur terre, j'étais certain que même
sans que je m'en mêle, elle allait prendre cher la garce de Lucie. Car me
concernant, les manœuvres soi-disant subtiles aux fins de faire punir ou mieux
de punir moi moi-même ma cousine, on se souvient que j'avais eu le bonheur de
la fesser cul nu, c'était bien terminé, je mettais fait coincer et j'avais payé
trop cher, à savoir, toute une semaine sous la coupe de Lucie, à qui ma tante avait
attribué les pleins pouvoirs, y compris ceux de me fesser, de me laver, de me
soigner, de m'habiller, j'en passe et des meilleures.
Non, c'était bien fini, elle était bien
trop habile et manipulatrice pour moi, j'avais trop subi et trop souffert durant
ses sept jours interminables, le pire étant pour moi, ma réputation complètement
détruite auprès des copains et des copines.
Plus jamais, je n'oserai me présenter
devant eux, les corrections, même sévères, au fond, ce n'était rien, la vérité
c'est que je n'existais plus en tant que jeune homme de dix-huit ans, étant
ramené en somme toute très peu de temps, au rang de petit garçon, qu'on pouvait
déculotter et fesser sur la plage à la vue de tous.
Je me disais que je mettrais beaucoup de
temps à me relever de cette épreuve, si je ne m’en relevais jamais ! Quand, je
pensais que cela allait continuer peu ou prou, j'avais envie de vomir.
En attendant, je cédais aux injonctions
de ma cousine, lui baisant la main et lui demandant pardon, nu, agenouillé et
les yeux baissés.
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