Je prends beaucoup sur moi pour ne pas aggraver mes misères, si je me laissais aller, je lui enverrais, qu'elle avait raison de bien profiter de ma sujétion actuelle, car si les choses venaient à s'inverser, ce qu'à Dieu ne plaise, je serai me souvenir des turpitudes infligées. Je me retrouve donc dans la très humiliante position de repentance souhaitée.
« Tu demandes pardon et tu nous remercies de t'avoir corrigé. »
Au point où j'en suis, n'est ce pas, un
peu plus un peu moins. Je réussis entre deux sanglots à prononcer la phrase
souhaitée, qu'elle me fait répéter, parce qu'une première fois, inintelligible,
je bois le calice jusqu'à la lie, tandis que Corinne un peu surprise que sa
copine aille jusque là, sourit largement.
« C'est bien, tu commences à
devenir raisonnable, encore quelques bonnes roustes et seras à peu près dressé.
Bien, à présent, tu vas passer le tee shirt et le shorty en question. Qu'est ce que tu en penses, Corinne, tu crois
qu'il a besoin de mettre un slip en dessous.
– C'est peut-être plus hygiénique,
voyons s'il ne se voit pas trop, celui que tu as amené est plutôt soft, ça
devrait faire.
Tu parles, la coquine a récupéré au fond
de mon tiroir, un truc que je ne mettais plus depuis longtemps, il va être trop
petit et surtout en me serrant va accentuer les brûlures de mes fesses, mais
comme je suppose que tout cela est parfaitement calculé, il est vain de
protester.
Je m'efforce donc de passer la culotte
en question, elle est à l'évidence trop étroite et Lucie qui ne veut surtout
pas s'embarrasser, me la fait ôter et d'un coup de ciseau, l'ouvre presque complètement
en son milieu, côté verso. Du coup, bien entendu, je parviens à la mettre, mais
je me trouve parfaitement ridicule avec une bonne partie de mes fesses et
surtout la raie, complètement à l'air libre, je prie pour qu’elles ne
m'emmènent pas comme la veille essayer des trucs dans des boutiques, à moins
que cela soit précisément ce qu'elles manigancent.
En attendant, j'ai été bien obligé de mettre,
l'horrible boxer shorty, on aurait vraiment dit un truc de cycliste, il me
serrait les cuisses, pourtant plutôt minces et n'en dépassait guère le sommet.
Une paire de tongs complétait ma tenue
et je me sentais complètement con, encore heureux, je venais de le vérifier
dans le miroir de la sale d'eaux que les marques sur mes fesses, elles étaient
en train de passer du cramoisi au rouge brique avec des nuances de bleu et de
jaune foncé du plus bel effet, étaient néanmoins masqués par le boxer aussi
court soit-il, pour une fois Lucie avait été sinon clémente, à tout le moins
raisonnable.
Et nous voilà parti pour rejoindre les
copains, je suis encadré par les deux filles, qui ne me tiennent pas par la
main comme un petit garçon, mais c'est tout juste.
Tu parles que je ne suis pas pressé de
rencontrer qui que ce soit dans ce triste appareil.
Pour mon grand bonheur, on se casse les
dents à deux reprises à la porte des copains chez qui on se rend, pour la seconde,
on est tombé sur la mère d'un pote qui m'a longuement contemplé d'un air
affligé, toute réflexion faite, je pense que je ressemblais à une sorte de… de
je ne sais quoi.
La bonne femme s'était même permise de
glisser narquoisement :
–Je ne savais pas que c'était jour de carnaval
!
Pour finir, les filles ont réussi à
retrouver deux de leurs amies dans une brasserie en bord de mer, Clémence et Margaux,
deux chipies qui bien que physiquement moyennes surtout la première un brin
enveloppée se la jouaient grave et que j'appréciais assez peu.
Elles se moquent d'entrée de mon
accoutrement et bien entendu Corinne et Lucie en rajoutent, on est à peine
installés autour d'un verre que ça part en live.
– Et encore mes chéries, vous ne savez
pas tout, il faudrait que vous voyiez son slip, c'est à se tordre.
–Lucie, tu ne leur as pas dit qu'on
l'avait épilé aux endroits stratégiques !
– Ce n’est pas possible !
– C'est pourtant vrai, on a fait ça avec
Corinne.
– On ne vous croira pas si on ne le voit
pas.
– Qu'à cela ne tienne, Fabien, tu sais
ce qui te reste à faire.
– Mais ça ne va pas non, jamais de la
vie.
– Allez, fais nous plaisir, on a déjà vu
tes fesses et le reste à la plage, alors un peu plus, un peu moins, tu vas
aller aux toilettes et on va te suivre l'une après l'autre pour que ce soit
plus discret.
– Il n'en est pas question, je ne le
ferai pas.
– Tu sais ce que tu risques, si j'en
parle à Maman.
– Tu n'oseras pas le faire, car elle
risquerait de me donner raison et ce sont peut-être tes fesses qui seront mises
à contribution. »
Lucie était horriblement vexée par ma
rébellion devant ses copines et encore plus par l'allusion que je venais de
faire à la possibilité qu'elle se ramasse à son tour une fessée, ce qu'elle ne
devait pas crier sur les toits, à mon sens seule Corinne était vaguement au
courant sans avoir assisté à une véritable correction de ma cousine.
« Bien, c'est qu'on va voir, allez
on rentre à la maison, les filles si vous voulez en avoir le cœur net, vous
nous accompagnez, je vous promets que vous ne le regretterez pas. »
Le chemin du retour fut très désagréable,
on me faisait marcher devant les quatre filles et ma tenue ridicule attirait
les regards des passants et parfois les commentaires innocents des marmots.
Cela me rappelait mon affligeant retour
de plage en slip d'abord puis complètement nu pour les cinquante ou cent derniers
mètres des jours derniers.
J'en rougissais à chaque fois et surtout
je redoutais notre retour à la piaule, j'aurais dû accepter d'exhiber mon pubis
épilé devant ces deux connasses et on n'en aurait plus parlé, alors qu'a présent je craignais le
pire, Lucie voudrait se venger de ma rebuffade publique et il fallait m'attendre
au pire, à savoir me faire mettre nu devant ses deux copines, voire pire avec en
prime une bonne fessée, qui s'ajoutant à la sévère correction à la planche à
découper que je venais de me ramasser naguère, serait infiniment dure à
supporter.
Je m'angoissais tellement que
j'envisageais l'intervention de la tante Maud et l'éventuelle abominable fessée
aux orties qui pourrait en résulter.
A moins que ce soit ma cousine qui se fasse
tancer pour avoir abuser de ses prérogatives.
J'avais observé avec accablement la
nouvelle attitude de Clémence et Margaux à mon égard, elles n'avaient pas assisté
personnellement à la terrible humiliation infligée par Lucie à la plage, mais comme
il se doit, ma mésaventure avait fait le tour des copains et surtout des
copines, j'étais désormais tenu pour un moins que rien, aux ordres de ma
cousine plus jeune et je me disais qu'il faudrait bien du temps pour me refaire
une réputation possible, à tout moment, je pouvais m'attendre à des réflexions
du style " Fabien, fais ce qu'on te dit, sinon , je te baisse la culotte
et je te fesse devant tout le monde ".
J'étais partagé entre deux sentiments,
la volonté de me hâter pour échapper le plus vite possible aux réflexions et
aux regards étonnés des passants et le fait que je ne me faisais aucune
illusion sur la dérouillée qui m'attendait dès notre arrivée, ce qui ne me
rendait guère impatient.
J'en étais là de mes réflexions quand on
est parvenu au portail de la villa, les quatre filles n'avaient pas cessé de me
brocarder tout au long du parcours en riant comme des folles et envisageant
sans doute de passer un meilleur moment encore à mes dépens dès notre arrivée à
la maison.
Et ça n'a pas manqué, elles se sont assises
sur le sofa et les fauteuils du salon et se sont servies des sodas, tandis que
j'étais "invité" à patienter au piquet, face au mur, les mains sur la
tête, dans une position qui hélas m'était désormais habituelle.
La tante Maud n'était pas encore rentrée,
de toutes façons, il n'était nullement certain qu'elle serait venue à mon
secours, peut être même aurait-elle ajouté une couche à mes misères du moment,
j'avais désobéi à ma "responsable", quel qu'en soit le motif, c'était
du lourd.
« Bien, c'est pas tout ça, il va falloir
passer aux choses sérieuses, mes chéries puisque vous n'avez pas eu le bonheur
d'être présentes sur les plages quand j'ai fessé, à peine, le jeune Fabien,
vous allez pouvoir vous rattraper. Allez viens ici. »
Je n'ai d'autre choix que d'obéir, à
peine suis-je devant elle, toujours les mains sur la tête qu'elle empoigne mon
"shorty- boxer" et qu'elle le descend jusqu'à mes chevilles, dévoilant
le slip découpé par ses soins, qui découvre mes fesses, ainsi que mes testicules
qui se balancent lamentablement faute de soutien.
« Alors il n'est pas tout mignon comme
ça, notre jeune Fabien ? Et attendez, vous n'avez pas tout vu. »
Après m'avoir fait tourner sur moi-même
aux fins de bien exhiber mon verso, elle baisse ce que j'ose même plus nommer
un slip jusqu'à mes genoux.
« Oh, Il est complètement épilé ! Comment
tu as fait ça ?
– Devine ? J'ai inventé une histoire de
poux et j'ai obtenu l'accord de ma mère, on a fait ça avec Corinne, compte que
ça a été un grand moment. Elle s'esclaffe et les autres suivent.
–Mais il tout mimi comme ça, on dirait
vraiment un gamin. »
Margaux en profite pour passer sa main
sur mon pubis, ce qui déclenche à ma grande confusion un début d'érection.
« Il banderait presque !
– On va y remédier sous peu, reprend
Lucie, et regarde, il est encore plus nu comme ça. »
Elle vient de me décalotter, décidemment,
c'est sa nouvelle manie, du coup Margaux fait de même, me remonte le prépuce et
s'amuse à le baisser ensuite.
« Vas-y doucement Margaux, il ne
faudrait pas qu'il nous éjacule à la figure. Allez Fabien, tu enlèves tout, on
va vérifier que tes fesses sont également exemptes de tout poil. »
J’obtempère, je suis très gêné de me
mettre tout nu devant ces quatre filles, mais par ailleurs pas mécontent de me
dépouiller de cet horrible boxer et du slip « assorti » qui ne cache pas
grand-chose de mon intimité et qui me rend encore plus ridicule.
« Tourne-toi et penche-toi en
avant. Allez ! »
Décidemment elles ne m'épargnent rien,
je fais ce qu'on a exigé, posant mes mains sur mes cuisses, écartant même mes
fesses et exhibant honteusement mon trou de balle afin que ces dames veuillent bien
considérer après un examen attentif, qu'il est bien vierge de tout follicule
pileux. J'ai même droit au passage à quelques mains qui s'égarent au plus près
de mon anus.
« Eh bien dit moi, c'est du bon
travail, sans compter l'état de son fessier, tu l'aurais travaillé récemment à
je ne sais quoi que ça ne m'étonnerait pas, ses fesses vont passer par toutes les
couleurs de l'arc en ciel, ça a même déjà commencé.
– C'est bien ça, chère Margaux, pas plus
tard que tout à l'heure, il nous a chanté quelques airs d'opéra, les marques
que tu vois proviennent d'une planche à découper la viande, un truc nouveau que
j'ai inauguré, mais c'était juste un petit en cas avant ce soir, à présent je
vais faire les choses sérieusement. »
Je suis véritablement effondré, non
seulement, je vais me ramasser une correction maousse, tu parles que Lucie ne
va pas vouloir déchoir devant ses copines, mais de surcroît, je vais être
définitivement grillé dans le secteur, déjà que ma mini fessée sur la plage avait
évidemment fait grandement jaser, tant et si bien que si j'avais bien compris,
nombre de copains et copines avaient du mal à croire à la réalité de la chose,
il faut dire qu'à dix-huit ans, se faire mettre à poil sur une plage par sa
cousine plus jeune et se faire claquer le cul, ça pouvait effectivement surprendre,
mais avec ce qui allait m'arriver dans quelques secondes, c'en était
définitivement fini, j'entrais dans la catégorie des mauviettes, aux ordres de
Lucie et pourquoi pas de toutes les autres filles qui voudraient s'en donner la
peine, à commencer par Corinne et les deux autres garces de ce soir. Sans
parler des garçons qui ne pourront faire autrement que de me mépriser.
Après comme on l'a vu après ma terrible
fessée déculottée par Madame Bruno devant toute la classe, le pire n'est pas
toujours certain et j'avais découvert à cette mortifiante occasion, je ne vois
guère ce qu'il peut y avoir de plus humiliant, que nombre de mes camarades de
classe filles et garçons étaient également soumis au régime de la fessée, même
si à l'évidence, ils préféraient ne pas s'en vanter.
Je me jure bien de ne plus jamais
revenir dans la petite cité balnéaire, ce qui règlera la question.
Les choses ne traînent pas et je suis
"invité" d'un petit geste de la main par ma "tutrice" à
venir me coucher sur ses cuisses. La grognasse pourra se vanter de m'avoir fait
marcher au doigt et à l'œil, au sens propre du terme.
Une fois en position disciplinaire, elle
me caresse quelques instants le fessier comme pour en prendre possession,
tandis que j'entends le bruit des chaises et des fauteuils qu'on remue, les
trois "grâces" s'installent de manière à ne rien perdre du spectacle
qui s'annonce, en demi cercle autour de mon cul qui va être sous peu le roi de
la fête.
Et c'est parti, sur des bases élevées ;
Lucie ne tient pas à amuser la galerie, elle a de jolies petites mains fines,
mais il n'empêche, elle prend de l'élan et frappe avec force comme j'en ai
hélas pris l'habitude.
Je prends sur moi pour ne pas donner le plaisir
à ces pétasses de me voir craquer d'entrée ; c’est-à-dire geindre et supplier
avant de me mettre à pleurer.
Ma fesseuse ne me ménage pas, ça tombe
comme à Gravelotte avec vigueur, mais je tiens le choc en serrant les dents, parvenant
à conserver mes cuisses à peu près jointes, même si la terrible correction
précédente m'a littéralement mis le cul à vif, je ne veux pas complètement
déchoir devant cet aréopage de gonzesses, même si hélas, l'essentiel est fait.
Mais tu parles que ma tourmenteuse veut
briller devant ses copines, après m'avoir complètement rôti les fesses et m'avoir
par là même arraché des couinements, des plaintes, puis enfin des cris de
douleur, elle se reprend quelques instants, je sens qu'elle est essoufflée.
Elle demande à Corinne d'aller récupérer
la règle qui se trouve dans sa chambre sur son bureau, tout en me malaxant mon
fessier meurtri, me tirant de nouveaux hurlements, comme pour bien vérifier
qu'aucune surface n'a échappé à son traitement méthodique.
C'est bien le cas, la salope s'est même
attaquée au sommet de mes cuisses, là où la chair est moins épaisse et où ça
fait le plus mal et je ne pense pas que ce soit par mégarde.
Hélas la pause n'a duré qu'une à deux
minutes, le temps pour les deux filles restantes de ricaner devant la couleur
de mon arrière-train, joignant le geste à la parole en venant vérifier in situ
de leurs menottes que Lucie a parfaitement et vigoureusement couvert la surface
à corriger.
« On pourrait y mettre un œuf à
cuire, comme le dit Marie, Lucie tu as bien travaillé.
– Ce n'est encore rien, vous allez voir
quand je vais le travailler à la règle, compte qu'il va chouiner et hurler
comme un goret qu'on égorge. »
On se doute que ces perspectives ne me
réjouissent guère, déjà que vu ma position, allongé complètement nu sur les
genoux de ma cousine plus jeune, en présence de ses copines, je ne me grandis
guère, mais j'ai désormais dépassé le stade de l'humiliation, je ne vois pas
trop ce qui pourrait m'arriver de pire, on a beau dire que la douleur n'est
rien, que c'est la mortification qui est la plus dure à vivre, je leur souhaite
de se ramasser une fessée à coups de règles, qui succède à une première à la planche
à découper reçue quelques heures plus avant, sans compter la rude séance manuelle
préparatoire dont vient de me gratifier
ma cousine, devenue par la grâce de la tante Maud, ma tutrice, heureusement
provisoire.
Et c'est parti pour la danse de mes
fesses, les premiers coups assénés sans nul ménagement, me font d'entrée me
tordre, dans de vaines tentatives pour dérober les parties déjà atteintes, cependant,
je m'efforce de ne pas pour autant manifester ce qui pourrait être assimilé à
une tentative de rébellion, outrage ultime qui me vaudrait un passage au fond
du jardin avec l'abominable torture des orties, sachant que Lucie ne me tient
pas véritablement, se contentant de poser presque négligemment sa main gauche sur
ma taille.
La règle, c'est particulier, rien à voir
avec le martinet dont tu as l'impression que les lanières te pénètrent
littéralement, c'est plus insidieux, la surface couverte est plus importante et
ça te pince, la douleur résonne à l'intérieur avec un temps de retard, comme
une sorte de réplique, au-delà d'une quinzaine de coups, c'est véritablement
insupportable et en plus, ça te marque durablement les fesses, qui vont passer au
fil des heures et parfois des jours, du rouge vif, au brique, puis au bleu en
passant par le jaune foncé, un vrai régal.
Je fais mon maximum pour ne pas ajouter
au ridicule de me situation en serrant les dents et les poings, mais au bout
d'une douzaine de coups, je craque complètement et je me mets à hurler comme un
cochon qu’on égorge, donnant raison aux pronostics de ma cousine, ce qui
déchaîne l'hilarité des spectatrices.
« Il en prend pour son grade le
Fabien, sûr qu'il fait plus trop son malin à présent. »
Je passe assez vite aux supplications
que je sais d'expérience parfaitement inutiles.
« Pardon Lucie, je ne te résisterai
plus jamais, aie, ça fait trop mal, je t'en supplie, arrête, pardon, je ferai
tout ce que tu voudras, aie, assez ! »
Tu parles que ma bourrelle n'en a cure,
elle continue de m'envoyer avec autant de vigueur ces horribles coups de
règles. Je ne sais pas si elle s'est fixée un nombre dans sa tête ou si elle
attend que je sois complètement en larmes.
Ce qui ne tarde guère, on se souviendra
que cette terrible raclée s'ajoute aux coups de planche que je me suis pris auparavant
et que mes fesses ont déjà été rudement chauffées par la fessée manuelle qui a
précédé.
Ce sont d'abord des reniflements, puis
des sanglots et enfin les grandes eaux, alors que dévasté de souffrance, je n'ai même plus
la force de tenter de dérober mon cul aux coups, je reste inerte sur les genoux de ma cousine, dans un réflexe, j'ai
même assez largement désuni mes cuisses, c'est fréquent quand on arrive au bout
d'une sévère fessée et j'ai pu naguère me régaler de ce que dévoilait Lucie de son
intimité quand elle braillait sous les fourches caudines de sa Maman.
Je ne sais pas, on a l'impression que ça
laisse pénétrer un peu d'air frais sur les parties les plus massacrées par les
coups.
C'est ainsi que ça excite les filles.
« Regarde, on voit bien ses balloches
qui remuent, c'est trop marrant. »
Margaux, elle préfère contempler mon
visage dévasté, elle vient de se placer à l'opposé de ses copines, délaissant
la vision de mon fessier tuméfié, de mes bourses et du reste pour celui de mon
visage défiguré. Ce doit être la plus cruelle finalement !
Pourtant le spectacle que je donne à mon
corps défendant doit être fort attractif, j’ai si mal que je me mets à pédaler dans
le vide, ce qui ne calme pour autant Lucie qui ne mollit pas avec sa putain de
règle.
J'ai désormais abandonné toute dignité,
je ne sais plus où je suis, je braille à pleine voix, supplie de plus belle, sanglote
sans retenue.
Amis de la poésie et de l'usage de la planche à découper sur les fesses, bonjour!
RépondreSupprimerOn aurait pu croire que la fessée à la planche du chapitre précédent était un sommet des méthodes punitives de la douce Lucie... C'était sans compter sur un récit aux multiples rebondissements, tout aussi passionnants que ceux des fesses de Fabien, soumis aux caprices disciplinaires de ces intraitables demoiselles. Les délicieuses petites vicieuses ne manquent pas d'imagination pour ajouter une bonne dose d'humiliation aux cuisantes fessées successives, qui en font voir de toutes les nuances de rouge au derrière de leur victime.
C'est ainsi qu'elles ont la judicieuse initiative de montrer qu'un slip n'a pas forcément pour seule utilité l'hygiène du corps. Astucieusement découpé sur le fond, il permet d'offrir le spectacle permanent d'une paire de fesses à l'air libre, généreusement exposée, avec l'avantage appréciable, d'en rendre l'accès immédiat en cas d'urgence de fessée. Evidement, direz vous, ça prive du plaisir de les déculotter, mais bon... On ne peut pas tout avoir en même temps !
Les présentations étant faites, Fabien s'en prend plein les fesses, humilié jusqu'au fond de la raie, sur les genoux de Lucie, devant un parterre de voyeuses en pâmoison! Mis à part le puni dont le derrière est mis à rude épreuve, tout le monde se régale, y compris le lecteur.
Cordialement
Ramina